Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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À Lyon, une propriétaire condamnée à dédommager ses squatteurs
Dans un immeuble de 800 m², ils avaient commis de nombreuses dégradations et installé une piscine sur le toit.
Ils demandaient à «réintégrer leur domicile sans délai» et osaient même exiger «une remise en état», «sous astreinte», de l’immeuble lyonnais qu’ils avaient «entièrement saccagé», selon la propriétaire, en dix-huit mois d’occupation illégale. Ainsi que des dommages et intérêts. Mardi, le tribunal leur a donné gain de cause sur ce point: la propriétaire ayant récupéré les lieux avant le délai imparti, les deux jeunes squatteurs qui avaient investi un immeuble en juillet 2021 ont obtenu chacun 2000 euros, «en réparation du préjudice subi».
Bagarres, attroupements, musique à fond, fêtes jusqu’à l’aube, les riverains de la rue des Tuileries, dans le 9eme arrondissement de Lyon, vivaient «un enfer», confiait, début mars, Anne Gagneux, gérante de la société en nom collectif (SNC) «La Belle et le clochard», à ActuLyon . La vingtaine de squatteurs, qui avaient pris la précaution de souscrire un contrat d’électricité et réceptionnent leur courrier à cette adresse, exerçaient tranquillement leur «activité commerciale»: «garagiste, serrurier, prostitution, drogue…, précise la propriétaire. C’est tout tagué, tout pourri. Je me retrouve avec un immeuble dans un état catastrophique. J’en ai pour plus de 500.000 euros». Sur le toit, les squatteurs avaient même installé une piscine hors-sol: «ils étaient 30 ou 40, témoigne un voisin au micro de TF1. Ils ont installé des banquettes, des chaises. Ils étaient tranquillement en tenue d’Eve».
Se faire justice soi-même coûte cher
Comme le prévoit la loi sur les squats, la propriétaire engage une procédure judiciaire. Les squatteurs obtiennent de rester jusqu’à la fin de la trêve hivernale, le 31 mars. Mais le 23 janvier, la société profite de leur absence pour condamner l’entrée et placer l’immeuble sous surveillance. Deux des squatteurs, un serrurier et une professeure des écoles, invoquent une «violation de domicile» et décident de saisir la justice: pour leur avocate, Me Florence Alligier, il s’agit d’une «expulsion illégale», le promoteur immobilier n’ayant pas respecté l’ordonnance du juge des contentieux_._ Face à ces jeunes «occupants sans droit ni titre» qui demandent «réparation» au tribunal, le conseil de la propriétaire, Me Benoit Favre, réclame 512.000 euros pour réhabiliter le bâtiment de 800 m2, ainsi qu’une condamnation des deux plaignants à 3000 euros de dédommagement pour procédure abusive.
Mais d’après la loi, un propriétaire ne peut pas se faire justice lui-même: le fait de forcer un tiers à quitter le lieu qu’il habite sans avoir obtenu le concours de l’État dans les conditions prévues par le code des procédures civiles d’exécution, à l’aide de manœuvres, menaces, voies de fait ou contraintes, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende… Ce mardi, la SNC «La Belle et le clochard» a finalement été condamnée aux dépens: le juge a déclaré «irrégulière la procédure de ‘reprise des lieux’ diligentée de 23 janvier». Si les plaignants ont été déboutés de leur demande de «pouvoir réintéger leur domicile», ils ont chacun obtenu 2000 euros de dommages et intérêts, et 1000 euros au titre des frais de justice. «Pour l’instant nous réfléchissons encore à interjeter appel ou non», précise au Figaro Anne Gagneux, qui ne «souhaite pas commenter cette décision de justice». Ni l’avocat de la propriétaire, ni celle des squatteurs n’ont répondu aux questions du Figaro.
Source : lefigaro.fr
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rho les boules !!!
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Aux Etats Unis, il suffit juste que tu héberges une personne chez toi par charité chrétienne quelques mois, pour qu’il ait tous les droits autant que toi et donc si il voulait te faire chier, rester chez toi sans que la police vienne l’emmerder.
Juste pour dire qu’aux states, c’est pas mieux -
@Psyckofox c’est différent, la tu parles d’inviter kkn pendant x temps, alors qu’en France au bout de 48 ou 72h ou si ta un ticket de livraison de pizza on ne peut plus te virer
moi je parlais surtout que ta le droit de dégommer le 1er trou de cul qui pénètre sur ta propriété
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@Ashura a dit dans Le monde est fou (vers l’infini et au delà) :
moi je parlais surtout que ta le droit de dégommer le 1er trou de cul qui pénètre sur ta propriété
Ben c’est le cas ici non ? Si une personne vient te faire chier dans ta propriété tu le fumes (je sais pas, c’est comme ça que je procède et je suis français lol).
Maintenant, dégommer pour dégommer façon redneck amerlock en abusant de son deuxième amendement juste parce que tu as traversé son trottoir, c’est une autre histoire.
Y’a + de mauvais que de bon à prendre des States (c’est pour ça que même armé jusqu’aux dents, plusieurs Etats là bas sont un bordel sans nom avec son lot d’homicide pour du gratos). -
Alors celle là, elle me plie lol
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Mister158 le dernière édition par
@Mister158 c’est tellement vrai que les produits Microsoft sont plus simples à installer en version craquée qu’en version légale.
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@Raccoon Faut installer sans connexion internet, c’est dingue, juste pour avoir un compte local.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Un Ancien Utilisateur le dernière édition par Raccoon
@ake yep, mais avec la dernière version de Windows 11 impossible. L’installation reste bloquée à l’étape création de compte si elle ne détecte pas de connexion internet. Mais tout de suite après tu peux renseigner n’importe quel compte mail, genre [email protected] et surtout mettre un mauvais mot de passe et là ça te dit qu’il y a eu trop de mauvais essais et ça te propose de créer un compte local.
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J’ai installé la 22h2 il y a quelques jours avec internet connecté, je lui ai simplement dit que je voulais rejoindre un domaine, il a un peu insisté pour que je crée un compte quand même, mais finalement, je n’ai pas eu besoin de tricher plus que ça pour avoir un compte local (et je n’ai rejoint aucun domaine)…
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CupidBot.ai les préliminaires automatiques pour votre site de rencontre
CupidBot promet de décrocher des rendez-vous concrets pour ses clients.
La promesse est peut-être trop belle. Le service CupidBot assure à ses clients, moyennant un abonnement mensuel de 15 dollars, «d’obtenir plusieurs rendez-vous par semaine sur Tinder en ne faisant absolument rien».
L’algorithme de l’IA «swipera sur les filles qui sont juste votre type et travaille constamment pour obtenir des “matches” de haute qualité», puis un chatbot s’entretient avec les femmes, jusqu’à ce qu’elles acceptent d’aller à un rendez-vous et de convenir d’une heure et d’un lieu de rencontre. La date est ensuite ajoutée au calendrier de l’utilisateur de CupidBot, vante son site web.Mais la crédibilité du service est sérieusement mise à mal. «Nous n’avons aucune preuve que le bot soit utilisé sur la plateforme à ce stade», a fait savoir la filiale du groupe Match. Pire, le groupe américain a fermement démenti que les cofondateurs de CupidBot étaient des anciens employés de Tinder, contrairement à leurs affirmations.
Lors de la promotion de CupidBot, son porte-parole a indiqué au site Motherboard que «le bot ne révèle pas qu’il s’agit d’un bot, de sorte que les ‘matches’ peuvent discuter longuement avec un bot avant qu’ils aient la moindre idée que ce n’est pas un vrai humain. Nous conseillons fortement à nos utilisateurs de le dire aux femmes une fois leurs coordonnées obtenues».
CupidBot s’est profilé comme un service voulant combler les «désavantages auxquels l’homme moyen est confronté dans les rencontres en ligne». Ses responsables ont assuré que l’objectif n’était pas de «saturer l’application» avec des conversations via l’IA, ni «d’objectiver les femmes», mais de «forcer Tinder à réévaluer son fonctionnement et à faciliter le processus de rencontres pour certaines personnes».
De son côté, le site Motherboard a souscrit à la version bêta à l’application lui indiquant être l’utilisateur numéro 5027 des 6000 éligibles, avec un accès effectif n’intervenant pas avant le 31 mars. Quoi qu’il advienne, Tinder risque à l’avenir de devoir renforcer sa garde contre une nouvelle forme de bots. Si CupidBot n’arrive pas à ses fins, d’autres services pourraient lui emboîter le pas avec la nouvelle génération de chatbots et son emblématique ChatGPT d’OpenAI.
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Une directrice d’école américaine contrainte de démissionner parce que des élèves ont vu le David de Michel-Ange: “Pornographique”
Dans le cadre de leur cours d’arts plastiques, les élèves de la Tallahassee Classical School ont été appelés à visionner une photo de la statue du David de Michel-Ange. Bien qu’il s’agisse de l’une des œuvres d’art les plus célèbres de l’histoire occidentale, cela n’a pas beaucoup plu à l’un des parents.
La photo porno en questionL’homme a déposé une plainte contre l’école considérant que du “contenu pornographique” avait été montré aux élèves, âgés de 11 et 12 ans. À leur tour, deux autres parents ont révélé qu’ils “aimeraient être informés à l’avance” si de tels sujets étaient abordés en classe.
Cette plainte a valu sa place à la directrice, Hope Carrasquilla. Confrontée à un dilemme: être renvoyée ou démissionner, elle a finalement opté pour la deuxième option. “C’est avec un cœur triste que ma mission en tant que directrice de la Tallahassee Classical School a pris fin”, a-t-elle écrit ce jeudi dans une lettre adressée au conseil scolaire.
Barney Bishop III, président du conseil scolaire et lobbyiste, a confirmé qu’il avait appelé Hope Carrasquilla à renoncer à sa fonction de directrice après avoir reçu des plaintes de trois parents qui jugeaient la leçon sur David “controversée” et pas adapté à des enfants de cet âge.
La directrice du musée de Florence abritant le David de Michel-Ange a déploré lundi “l’esprit tordu” des “ignorants” ayant obtenu le licenciement de la directrice. “Il y a une grande différence entre nudité et pornographie”, a tenu à souligner Cecilie Hollberg, directrice de la Galerie de l’Académie de Florence, dans un entretien avec l’AFP. “Il faut vraiment avoir l’esprit tordu pour confondre” les deux. “Ceux qui dérangés (par la nudité de David) ont un sérieux problème avec les racines de la culture occidentale”, tranche-t-elle, alors que “c’est justement la nudité qui est le symbole de sa pureté”.
L’historienne allemande, qui dénonce “un puritanisme déplacé”, juge cette affaire “assez grave” parce qu’elle révèle que “nous perdons le lien avec notre culture et avec l’Histoire”. “Quand on pense qu’autrefois aux jeux Olympiques en Grèce tous (les athlètes) étaient nus”, ajoute-t-elle dans un sourire.
Sur Twitter, le maire de Florence, Dario Nardella, a quant à lui estimé que “confondre l’art avec la pornographie est tout simplement ridicule”.
Tout en reconnaissant la beauté esthétique de l’œuvre, M. Bishop a expliqué que le concept des droits parentaux, suprême en Floride, prévalait.
Pour vos vacances, évitez la Floride si vous ne voulez pas visiter ses prisons et ses débiles profonds.
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@duJambon les américains n’ont plus aucune limite quand il s’agit de se plaindre … surtout que souvent ils gagnent du fric en faisant des procès débiles !
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@Mister158 Oui, mais là, on a viré une directrice d’école, c’est pas juste un procès pour un pseudo dommage.
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@Ashura Ils sont plus à une contradiction près.
Ce néo-puritanisme me fait vomir, par contre les fusils d’assaut en vente quasi libre, ça passe crème!
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@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l’infini et au delà) :
la Floride
État très conservateur mais une passion inébranlable pour les armes à feu…va comprendre Charles dick…ens.
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@Psyckofox c’est pourtant pas les pires, c’est dire.
Ils doivent doucher leurs mômes habillés les gueux qui ont porté plainte.
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Toulouse : Ils enlèvent un jeune homme de 19 ans et réclament en rançon, 2000€ et une Playstation 5
La rançon prêterait presqu’à sourire mais c’est bien à une sordide histoire que les gendarmes ont eu affaire le week-end dernier à Toulouse (Haute-Garonne). Un rapt sur fond de violences, d’humiliations, de trafic de drogue… et de jeux vidéo.
L’affaire a débuté à la sortie d’une station de métro de Toulouse, vendredi 24 mars, rapporte La Dépêche. Des individus forcent un jeune homme de 19 ans à embarquer dans une voiture. Un enlèvement vient d’avoir lieu.
La victime est conduite dans un appartement toulousain. Pendant 48 heures, le jeune homme sera victime de violences et d’humiliations. Certaines seront filmées au téléphone portable. Pourquoi ces vidéos ? L’affaire étant très probablement liée à un règlement de compte sur fond de trafic de drogues, les auteurs des faits envisageaient semble-t-il de diffuser certaines séquences sur les réseaux sociaux pour “faire un exemple”.
Au cours du week-end, les ravisseurs vont contacter les parents de leur otage, pour exiger une rançon. Le prix exigé est pour le moins surprenant : 2000 euros, des produits stupéfiants et… une console de jeux Playstation 5.
La famille de la victime alerte les gendarmes qui déploient un vaste dispositif de recherche, le GIGN de Toulouse est notamment mobilisé.
Les parents du jeune homme fixent un rendez-vous aux ravisseurs pour leur remettre la rançon, dimanche matin à 6 h. Il s’agit d’un piège, les gendarmes qui avaient repérés les lieux, sont cachés sur place.
Huit ravisseurs sont identifiés, tous sont interpellés. Le jeune otage de 19 ans et retrouvé complétement traumatisé et marqué au visage par les coups. Il a été pris en charge par les secours.