[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
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@normand-normal a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
Snöänglar (Snow Angels), créée par Mette Heeno, Danemark
le syno :
Veille de Noël, dans la banlieue de Stockholm, Lukas, un bébé de 5 semaines disparaît. L’officier de police trouve qu’un élément cloche dans leurs témoignages. Obsédée par l’affaire, elle découvre qu’une infirmière et la mère de Jenni, Kajsa, ont des doutes concernant la culpabilité de la mère de l’enfant…
sortie 2021, noté nulle part je vais donc tester
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La Traque
De Serge Leroy
Année: 1975
Genre: Survival
Véritable arlésienne de l’exploitation française, refilée sous le manteau de génération en génération dans des rip VHS de qualité médiocre, le 3ème long métrage de Serge Leroy ne doit pas son culte qu’à sa rareté. Un casting de notables en devenir du cinéma français chasse la muse du cinéma de genre européen dans un exercice de style périlleux, exécuté avec brio, auquel la récente restauration ourdie par l’éditeur indépendant le chat qui fume entend redonner tout son lustre.
Serge Leroy restera dans l’inconscient cinéphile français comme le réalisateur d’un film météore, dont les rares diffusions sur FR et Canal+ ont traumatisé deux générations de cinéphiles qui ne purent jamais, jusqu’à présent, donc depuis 40 ans, posséder l’objet pour en profiter dans des conditions de visionnage optimale.
La faute à un écueil tristement récurent de l’exploitation - la division des droits du film en 3 propriétaires, qui se regardent en chien de faïence dans l’espoir que les 2 autres bougent et assument seul les frais. Il s’en est fallu de l’intérêt du chat qui fume pour que la situation se débloque - les marlous à la solde du félin clopeur entendent attaquer l’année 2021 avec une flopée de titres voués à rappeler le temps ou le cinéma français était tout autant terre de polars rugueux que de comédies, et la sortie de La Traque en version restaurée fait office de gros, gros coup de semonce.
SYNOPSIS:
Helen Wells, une touriste anglaise en goguette dans les terres normandes, croise la route d’une bande de chasseurs constituée de notables locaux.
La battue du sanglier n’est qu’un prétexte pour entretenir les liens entre les sept hommes, assurer les ambitions électorales de Philippe Mansart, réaffirmer si besoin était le pouvoir financier de David Sutter, surligner les dynamiques de coopération et de domination interpersonnelles, fusils à la main.
Les frangins Albert et Paul Danville, les plus couillons et alcoolisés du groupe, se retrouvent seuls avec Helen, et la violent sous le regard de Chamond, un assureur introverti.La jeune femme parvient à tromper la vigilance de ses bourreaux, blesse grièvement Paul Danville, et s’enfuit avec la ferme volonté de dénoncer le groupe aux forces de l’ordre.
Les intérêts communs des chasseurs les font progressivement changer de proie.
En l’état, la seule méchanceté du synopsis suffit à éveiller la curiosité, mais son incarnation réveille inévitablement l’attention. Dans le rôle de la victime résiliente, la grande Mimsy Farmer, actrice américaine qui aura traversé les cinémas d’exploitation européens des années 1970 en étoile filante, délivre ici l’une de ses meilleures performances, a égalité très serrée avec le sublime La route de Salina de Georges lautner.
Face à elle, le film aligne aussi bien son partenaire de 4 mouches de velours gris, Jean-Pierre Marielle, que la star montante Philippe Léotard, le taulier Michael Lonsdale, l’impeccable Jean-Luc Bideau ou l’impressionnant Michel Constantin que Leroy avait déjà fais tourner deux ans plus tôt dans Le mataf.Des acteurs qui , en 1975, n’avaient pas encore de filmo longue comme le bras, mais possédaient déjà suffisamment de bagages pour en imposer sévère. Chacun parvient à distiller sa veulerie aux compte-goutte, en rythme harmonieux, pour que l’étau se resserre de façon inexorable.
Le récit fonctionne tout autant comme miroir d’une société uniquement préoccupé par l’extérieur quand ses plates bandes sont menacées, que comme reflet difforme des aspirations du 7ème art national d’alors, aux velléités contestataires régulièrement tuées dans l’oeuf par une censure étatique qui ne disait pas son nom.
Et pour qui conchie la surinterprétation, La Traque se montre encore plus efficace au premier degré, dans sa mécanique narrative implacable, sa cruauté fataliste et son hypocrisie bon teint terrifiante.
Cela réaffirme le principe selon lequel tout réalisateur possède un chef d’œuvre en lui, pour peu que le zeitgeist soit favorable.
Le choc de la redécouverte du film dans son nouveau master 4K est à la hauteur de ceux que furent les restaurations du Maniac de William Lustig ou du Schizophrenia de Gerald Kargl.
La Traque va enfin pouvoir les rejoindre dans la glorieuse catégorie des classiques rageurs maudits.
SOURCE: Mad Movies
EDIT:
Petite archive pour le délire :
EDIT2:
Maté hier soir, ba ba ba la tuerie…
Chose rares pour l’époque, il y a pas mal de passages filmés à l’épaule.
Une performance pour l’époque au vu du poids des caméras ! -
J’ai vu ce film 2 ou 3 fois quand j’étais ado et j’avais aimé (y’avait le professeur Strauss si ma mémoire ne me fait pas défaut).
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@psyckofox a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
J’ai vu ce film 2 ou 3 fois quand j’étais ado et j’avais aimé (y’avait le professeur Strauss si ma mémoire ne me fait pas défaut).
Tu fais partie des rares privilégiés qui ont vu ce film alors
Mais oui c’ets bien cela Jean-Luc Bideau !EDIT: Mais tu as quel age bordel ?
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41 piges wesh mdr mais m’intéressait à tous ce qui bouge lol (films, séries, jeux vidéos, arts martiaux, sports, tech …tout y passe lol).
Papa et maman m’ont mis la teloche dans ma chambre alors que j’étais en CM1 (et j’avais mon papa qui était trop porté sur le cinéma, était abonné à canal + et csat par la suite, ainsi qu’inscrit aux vieux vidéos club ou tu louais des films VHS sauf le porno…papa est catho lol).
Sans parler que j’habitais (et encore aujourd’hui) un quartier très cinéphile lol.
C’était le bon vieux temps lol ou la cassette VHS The Killer n’avait plus de sang tellement elle avait tourné. -
Je me souviens de ce film un peu traumatisant à l’age ou je l’ai vu, à la tv sur je ne sais plus quelle chaîne en Suisse.
Un film qui n’épargnait aucun de ses protagonistes,
mis à part cette pauvre femme que ces porcs laisseront se noyer dans une marre si mes souvenirs sont justessublimés dans leur médiocrité, un vrai plaidoyer pour qui se demande quoi penser de l’humanité!
Une sublime description du genre humain.
Edit: ajout d’un spolier (pour ceux qui ne l’ont pas vus)
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Même avis.
C’était plutôt sec les raisins sec (de vrais enflures que ces chasseurs… je parle du film lol) -
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J’ai rarement vu un très bon film qu’avec des gentils.
De bons psychopathes et sociopathes dans un scénario, font de bons films voir très très bons -
Bonsoir,
oui je sais, il est tard…
Alors, si je dois choisir ?
Star Wars: The Force Awakens (J. J. Abrams) j’aime* divertissant et pour faire plaisir au fans…
ou le magicien d’Oz (Victor Fleming) j’adore* un bon souvenir de l’étranger…
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Choisis hier soir au hasard pour varier un peu, un bon moment cinéma avec deux films aux ambiances très différentes tout en grignotant du Pop-Corn divin et en sirotant du Red Ribbon “Cherry & Almond Cream”, …
Thor: The Dark World (Alan Taylor)
À bout de souffle (Jean-Luc Godard) - Monsieur Parvulesco
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Stalker : Dans un futur lointain, le protagoniste (Alexandre Kaïdanovski) travaille en tant que « stalker », une sorte de passeur pouvant guider les visiteurs à travers “la zone”, un lieu en ruine où les lois de la réalité ne s’appliquent pas et dont personne ne connaît la nature. En son cœur, on dit qu’il existe un lieu, « la chambre », où tous les souhaits peuvent être réalisés. Les environs de la Zone ont été scellés par le gouvernement et des militaires les quadrillent.
Le film commence sur le Stalker qui se réveille auprès de sa femme et de sa fille. Sa femme (Alisa Freindlich) le supplie de ne pas retourner à l’intérieur de la Zone, mais il rejette sa prière. Dans un bar miteux, le Stalker rencontre les deux clients qu’il doit guider à travers la zone, l’Écrivain (Anatoli Solonitsyne) et le Professeur (Nikolai Grinko).
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Tiens je me le mets de côté celui-là @Ashura
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Une enquête à la Sherlock Holmes, bien ficelée et très réaliste, petite dose de suspens, bien interprété et le tout sur un vrai sujet. Excellent
Que s’est-il passé à bord du vol Dubaï-Paris avant son crash dans le massif alpin ? Technicien au BEA, autorité responsable des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile, Mathieu Vasseur est propulsé enquêteur en chef sur une catastrophe aérienne sans précédent. Erreur de pilotage ? Défaillance technique ? Acte terroriste ? L’analyse minutieuse des boîtes noires va pousser Mathieu à mener en secret sa propre investigation. Il ignore encore jusqu’où va le mener sa quête de vérité.
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JE NE SUIS PAS TON PAUVRE
Magnifique !!
Pas de militantisme, pas de politique, juste les doutes, les certitudes, les contradictions, les peurs, les questionnements de personnes qui relevent la tête et enfilent un gilet jaune.
Emotion garantis. -
Mad Max: Fury Road (2015)
En visio (…)
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Ukraine on Fire 2016 (Oliver Stone) Docu
Le massacre de Maidan en Ukraine en 2014 a contribué à évincer le président Yanukovych, la Russie étant dépeinte comme l’auteur du crime. Oliver Stone interroge le président russe Vladimir Poutine, Ianoukovitch et d’autres personnes exposant le rôle joué par les États-Unis dans la déstabilisation de la région.
L’Ukraine. De l’autre côté de sa frontière orientale se trouve la Russie et à l’ouest l’Europe.
Depuis des siècles, elle est au centre d’un bras de fer entre des puissances qui cherchent à contrôler ses riches terres et l’accès à la mer Noire.
En 2014, le massacre de Maidan a déclenché un soulèvement sanglant qui a chassé le président Viktor Ianoukovitch et que les médias occidentaux ont dépeint comme le coupable, la Russie.
Mais l’était-elle ? “L’Ukraine en feu” d’Igor Lopatonok offre une perspective historique pour les profondes divisions dans la région qui ont conduit à la révolution orange de 2004, aux soulèvements de 2014 et au renversement violent de Ianoukovitch élu démocratiquement.
Couvert par les médias occidentaux comme une révolution populaire, il s’agissait en fait d’un coup d’État scénarisé et mis en scène par des groupes nationalistes et le Département d’État américain.
Le journaliste d’investigation Robert Parry révèle comment des ONG politiques et des sociétés de médias financées par les États-Unis sont apparues depuis les années 80, remplaçant la CIA dans la promotion de l’agenda géopolitique américain à l’étranger.
Le producteur exécutif Oliver Stone obtient un accès sans précédent à l’histoire interne grâce à ses interviews devant la caméra de l’ancien président Viktor Ianoukovitch et du ministre de l’intérieur, Vitaliy Zakharchenko, qui expliquent comment l’ambassadeur des États-Unis et les factions à Washington ont activement comploté pour un changement de régime.
Et, lors de sa première rencontre avec le président russe Vladimir Poutine, M. Stone demande à ce dernier son avis sur l’importance de la Crimée, l’OTAN et l’histoire de l’ingérence des États-Unis dans les élections et les changements de régime dans la région.
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No pain, no gain
À Miami, Daniel Lugo, coach sportif, ferait n’importe quoi pour vivre le « rêve américain » et profiter, comme sa clientèle fortunée, de ce que la vie offre de meilleur : maisons de luxe, voitures de course et filles de rêve… Pour se donner toutes les chances d’y arriver, il dresse un plan simple et (presque) parfait : enlever un de ses plus riches clients et… lui voler sa vie. Il embarque avec lui deux complices, Paul Doyle et Adrian Doorbal, aussi influençables qu’ambitieux.
Mon avis: Dynamique et bien déjanté. Basé sur une histoire vraie. Un bon moment.
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Je plussoie…vu au moins 6 fois pour dire
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Je plussoie aussi.
Je l’ai vu pas mal de fois aussi. The rock en cocainoman est juste excellent dans ce film…(son meilleur jeu pour moi)
Et Mark Wallberg limite dans son propre rôle ha ha quand tu sais la fixette qu’il fait sur les pec dans la vraie vie…
Et Michael Bay montre le meilleur de lui même quand il ne fais pas de gros blockbuster écervelé… J’avais bien aimé aussi dans une moindre mesure 6 underground…