Actualités High-Tech

1.4k Sujets 7.4k Messages
  • Iptv

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    Bonjour,bonsoir, le clavier interne pour écrire dans une barre de recherche de mon Formuler z10 n’est plus là , et il y était auparavant , quelqu’un pourrait il m’aider à le récupérer ou bien l’appareil est-il défectueux ?

  • Piratage de Thalès, données publiées sur le darkweb

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    @Pollux Ben ça, c’était le 9 novembre l’article du Parisien est du 11, ça a pu changer depuis. Ils ont peut-être étés vexés de ne pas être pris au sérieux par numérama :lol:

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    Il existe surement une version faux palmier pour les quartiers plus chic 😉

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    Ou autres:

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    http://www.mondegeek.com/les-meilleurs-camouflage-des-antennes-telephoniques/

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    Affaire Binance-FTX : Changpeng Zhao, prince d’un royaume crypto en ruine

    Analyse fleuve du marché:

    Le patron de Binance a mis à terre l’un de ses concurrents en quelques jours seulement, renforçant sa position de leader dans un monde crypto toutefois très fragilisé.

    Il n’est plus si rare, de nos jours, d’observer de puissantes entreprises vaciller à cause d’un simple tweet. On savait ce pouvoir dans les mains de l’excentrique Elon Musk. Changpeng Zhao, alias “CZ”, en dispose lui aussi. Le 6 novembre, le patron de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Binance, la plus importante au monde, annonce sur le réseau social “liquider” ses jetons FTT émis par son concurrent FTX. Les conséquences ne se font pas attendre : de nombreux internautes l’imitent immédiatement et vendent leurs propres FTT. La cryptomonnaie s’effondre, passant de 22 dollars à seulement 4 en quelques heures. FTX, dont la valorisation approchait les 32 milliards de dollars en début d’année, se trouve vite en manque de liquidités et appelle à l’aide. Mercredi 9 novembre, Binance, qui s’était un temps positionnée pour racheter son concurrent aux 5 millions d’utilisateurs, jette l’éponge. FTX cherche en panique des capitaux, mais la perspective d’une faillite pure et simple n’a jamais semblé aussi proche.

    Voilà l’affaire résumée dans ses grandes lignes. Elle met depuis à feu et à sang l’intégralité du monde crypto. Sa valeur star, le bitcoin, navigue autour des 17 000 dollars, à son plus bas depuis deux ans. Le patron de Binance, Changpeng Zhao, ne voulait pas que ça se passe ainsi, a-t-il affirmé. Il est permis d’en penser autrement.

    Ce retournement de situation intervient en effet après plusieurs mois de conflit entre “CZ” et le patron de FTX, Sam Bankman-Fried, une étoile montante du milieu. Les deux étaient en désaccord sur la question de la régulation du secteur, notamment aux Etats-Unis, où CZ a déjà connu quelques déboires. Il est assez probable que Bankman-Fried ait tenté d’inciter le gouvernement américain à apposer des règles plus strictes sur les échanges de cryptomonnaies, au détriment de Binance. Ce qui pourrait justifier cette phrase du fameux tweet de Changpeng Zhao envoyé le 6 novembre : “Nous ne soutiendrons pas les personnes qui font pression sur d’autres acteurs du secteur dans leur dos.” Cela expliquerait également pourquoi CZ n’a pas hésité à exécuter FTX aussi facilement qu’un empereur romain baissant le pouce dans l’arène. Sam Bankman-Fried, lui, a perdu 94% de sa fortune personnelle en quelques petites heures d’après Bloomberg. Une dégringolade quasi-inédite dans le monde des affaires. “J’ai merdé, et j’aurais dû faire mieux”, a-t-il à son tour tweeté ce jeudi après-midi.

    Zhao, 45 ans, n’a pourtant pas le profil d’un autocrate sanguinaire. L’entrepreneur au visage poupon, apprécié dans le milieu crypto, a plusieurs fois assuré vouloir transmettre l’intégralité de sa fortune personnelle actuellement estimée à plus de 17 milliards de dollars. Il communique souvent sur son mode de vie simple, donne des conférences en short et en tong, cultive l’image du simple passionné d’informatique ayant joué la bonne carte en misant dès 2013 sur un bitcoin auquel peu croyaient. Le Canadien d’origine chinoise - sa famille a quitté le pays lorsqu’il était adolescent - n’en reste pas moins un stratège aux immenses ambitions. Binance est devenu numéro 1 en seulement huit mois et contrôle plus de la moitié du trading des cryptomonnaies sur la planète. Selon une enquête de Reuters, CZ aurait déjà confié à ses équipes vouloir “prendre le contrôle de l’ensemble du marché [des cryptomonnaies]” et devenir à terme, “plus grand que Google”.

    Pour ce faire, le Canadien avance habilement ses pions. Il ne lésine pas sur la publicité dans des marchés émergents, en témoigne son sponsoring de la Coupe d’Afrique des Nations de football. CZ investit aussi dans l’économie traditionnelle. Récemment, l’entrepreneur a renfloué Twitter à hauteur de 500 millions de dollars, son nouveau boss Elon Musk ayant indiqué à maintes reprises sa volonté de faire du réseau social un des futurs géants du Web3 et du paiement en cryptomonnaies.

    Binance a également monté plus de 70 entités à travers le globe afin de booster sa croissance. Celles-ci lui permettent de jongler entre les différentes législations en vigueur, pas toujours favorables aux cryptomonnaies. Toujours selon l’agence de presse américaine, CZ a ainsi méthodiquement esquivé aux Etats-Unis et au Royaume-Uni des enquêtes concernant du blanchiment d’argent. L’affaire avec FTX est une illustration criante de ce manque global de régulation dont profite Binance. “Imaginez un instant si cette affaire avec FTX s’était passée dans l’économie classique. C’est comme si BNP provoquait un bank run, un retrait de dépôts massifs, chez Société générale pour l’affaiblir…”, commente Vincent Boy, analyste chez IG France. D’un autre côté, CZ sait habilement se positionner en Europe désireuse de mettre un terme à ce Far West. Binance a annoncé un investissement de 100 millions de dollars en France tout en acquérant le statut contraignant de prestataire de services sur actifs numériques (PSAN). Zhao a par ailleurs déclaré que les nouvelles normes apportées par la réglementation européenne MiCA sur le marché étaient “fantastiques” et devraient être “copiées partout dans le monde”.

    FTX, récent challenger, avait pour objectif clair de concurrencer Binance. La plateforme était en pleine expansion dans le monde, notamment grâce à plusieurs rachats d’envergure (BlockFI, Voyager Digital…) à la suite du récent coup de froid sur le marché, provoqué par le contexte géopolitique, l’inflation et la fin du Covid. “L’énorme expansion des cryptomonnaies, lors de la crise sanitaire, a été nourrie par les excès de liquidités dans l’économie. Depuis le début de l’année, on assiste donc à l’élimination des projets les moins solides”, analyse Nathalie Janson, professeur d’économie à NEOMA Business School.

    Sam Bankman-Fried et FTX ne semblaient pas faire partie de ces brebis galeuses. Bien au contraire, le jeune trentenaire, se positionnait comme un des moteurs de la “structuration” du secteur autour de ces acteurs les plus puissants. Un “sauveur”, même, développant une forte notoriété dans un milieu comptant pour l’heure peu de figures en vue, hormis Satoshi Nakamoto, inventeur du bitcoin, une personnalité fictive qui n’a plus donné signe de vie depuis près de 10 ans, et Vitalik Butherin, créateur de l’ethereum au profil atypique, inventeur de génie plus que véritable businessman. “La plateforme de trading de Bankman-Fried était jugée comme l’une des plus performantes et intuitives par les professionnels”, indique Nathalie Janson. Cette ombre était-elle devenue trop importante pour Binance et CZ ? Possible. Le leader du marché avait retiré des parts qu’il détenait chez FTX. La séparation était actée entre les deux acteurs forts, avec l’Américain Coinbase, de ce marché de l’échange de cryptos.

    Mais elle s’est confirmée, au tout début du mois, lorsqu’un article du site CoinDesk a révélé le talon d’Achille de FTX : sa grande dépendance d’investissement en cryptomonnaies Alameda Research, également fondé par Sam Bankman-Fried, et garantie… par les FTT. Changpeng Zhao avait alors un levier conséquent, qu’il a immédiatement actionné en vendant ses propres FTT. La suite est connue. Les dominos ont chuté un à un. La situation rappelle à de nombreux égards le premier cryptocrash survenu au printemps, provoqué par la chute d’un actif censé être “stable”, le TerraUSD, à cause de la faiblesse de son actif de réserve, le Luna. Les deux appartenaient au même entrepreneur sud-coréen, Do Kwon. CZ, en bon prince, faisait la leçon sur Twitter ce mercredi : “N’utilisez jamais un jeton que vous avez créé en garantie. Ayez une large réserve”.

    Les semaines à venir s’annoncent toutefois nuageuses pour les acteurs crypto, y compris Binance. “Le risque est fort de voir la valorisation des cryptomonnaies continuer de baisser dans les prochains mois alors que de l’autre côté la technologie blockchain s’ancre dans notre monde économique”, souligne Vincent Boy. Le patron de Binance ne se réjouit d’ailleurs pas. “La confiance des utilisateurs est gravement ébranlée. Les régulateurs vont examiner les exchanges crypto encore plus attentivement. Les licences d’activités de cryptomonnaies dans le monde entier seront plus difficiles à obtenir. Et les gens pensent maintenant que nous sommes les plus grands, et nous attaqueront davantage”, a-t-il commenté auprès de ses employés dans une lettre rendue publique cette semaine. Bien assis sur son trône, et alors que des centaines de milliers de petits porteurs risquent de perdre leur capital, CZ a laconiquement tweeté : “Jour triste. J’aurais essayé, mais…”, conclut d’un smiley en larmes. De crocodiles ?

    Source: https://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/affaire-binance-ftx-changpeng-zhao-prince-d-un-royaume-crypto-en-ruine_2183274.html

    La plateforme de cryptomonnaies FTX en faillite aux États-Unis, son patron qui a perdu près de 16 milliards en une journée démissionne

    https://www.7sur7.be/economie/la-plateforme-de-cryptomonnaies-ftx-en-faillite-aux-etats-unis-son-patron-qui-a-perdu-pres-de-16-milliards-en-une-journee-demissionne~a82a198b/

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    Je ne connaissait pas cette Molly White, mais elle me plait 🙂

    Par contre lire la transcription est compliqué, je conseil de regarder la vidéo, c’est plus clair. 🙂

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    En effet @Ashura ça s’espionne et ça se hack tout le temps depuis pas mal de temps déjà.

    Le cyber est une arme de dissuasion/destruction massive tt comme le nucléaire et les hommes d’État en parlent bien en secret lors de leurs rencontres.

    Je me rappelle encore le regard d’Obama a Poutine lors d’une de leur rencontre. Ça en disais long.

    Il y a eu un reportage très intéressant sur ce sujet il y a peu sur France 5 ou arte.

    Édit: c’était le documentaire Cyber, la guerre est déclarée, diffusée sur France5 le 9 octobre 2022.

    Ça parlait surtout des hacks Ukraine/Russie principalement mais pas que: les hacks entre les états, Pegasus, Wagner, comment les hack sont utilisés pour influencer les élections, manipuler les réseaux sociaux et l’opinion, paralyser les entreprises et les administrations, détruire des données stratégiques…

    https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/4145386-cyber-la-guerre-est-declaree.html

  • LastPass : code source dérobé

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    @Ashura a dit dans LastPass : code source dérobé :

    Sinon avoir un QI de 180 et se souvenir de tout, mais bon ça reste rare

    Ben, Monk le fait bien, lui !
    Alors pourquoi pas nous ? :siffle:

    Plus sérieusement, rien de mieux qu’un gestionnaire de mots de passe en local avec sauvegardes à l’appui pour protéger ses accès 👍

  • Meta prévoit un plan de licenciement massif

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    C’est 11 000 personnes (environ 13% du personnel) qui sont virées dans ce premier lot.

    https://www.letemps.ch/economie/me-suis-trompe-metafacebook-annonce-plus-11-000-licenciements

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    pour entrer dans le rang et prendre un compte “Mirosoft”, heureusement elle est encore facilement contournable, mais ça deviens vraiment agaçant.

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    Les New-Yorkais sont habitués aux publicités qui parsèment le paysage , mais maintenant ils ne peuvent même plus chercher refuge dans le ciel. Comme Gothamist rapporte , le développeur mobile King et l’organisateur de l’émission Pixis ont fait voler un essaim d’au moins 500 drones équipés de LED au-dessus de l’horizon de New York le 3 novembre pour faire la publicité de Candy Crush . Ils ont décollé et sont resté dans le New Jersey pour la présentation de 10 minutes, mais vous pouviez les voir si vous vous trouviez dans un rayon d’un mile de Battery Park.

    Ce n’est pas le premier spectacle lumineux de drones destiné à NYC. En juin, Pixis a orchestré un essaim qui a promu le repêchage de la NBA en survolant la rivière Hudson. le directeur général de la société, Jeff Kaplan, qualifie la Candy Crush de “prochaine vague”, et il est sûr de dire que ce sera difficile à éviter si vous êtes dans la région. Le plus grand spectacle de drones à ce jour est venu de la marque Genesis de Hyundai, qui a fait voler 3 281 drones au-dessus de Shanghai en mars 2021.

    Pixis saute par-dessus plusieurs obstacles juridiques pour concrétiser la campagne. La loi sur l’aviation de la ville de New York interdit complètement les vols de drones, de sorte que tout argumentaire de vente aérien doit rester à l’intérieur des frontières du New Jersey. La société a également dû obtenir à la fois une dérogation de la Federal Aviation Administration (pour voler dans l’espace aérien fédéral) et un permis spécial du New Jersey (pour opérer depuis Liberty State Park).

    Le vol prévu suscite déjà la colère des critiques. Le sénateur de l’État de New York, Brad Hoylman, par exemple, déclare qu’il est “scandaleux” de remplir le ciel de drones et envisage de légiférer pour interdire de telles publicités. Audubon de New York craint également que les drones n’interfèrent avec les schémas de vol des oiseaux. Il y a une histoire de répression de ce type de comportement – ​​l’État et la ville ont expulsé un bateau transportant des panneaux d’affichage en 2019.

    À moins que cela ne se produise, il deviendra plus difficile d’échapper aux drones. Un futur dépliant robotique sera visible dans un rayon de 3 miles, couvrant potentiellement une large bande de Manhattan et même des parties importantes de l’ouest de Brooklyn. Qu’on le veuille ou non, ces baratins marketing axés sur la technologie pourraient bientôt devenir le quotidien pour les résidents de New York.

    Source: https://www.engadget.com/drone-swarm-ads-over-new-york-city-195042672.html

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    Il ne s’agit pas seulement d’un écran “souple”.

    LG Display, une des branches du géant sud-coréen LG, vient de dévoiler un nouveau gadget qui montre à quel point le monde de la technologie ne cesse d’évoluer. Le gadget en question est un écran étirable de 12 pouces qui peut être étiré jusqu’à 14 pouces, soit une déformation de 20%.

    D’après LG Display, ce nouveau type d’écran peut être tiré, plié ou encore tordu. Le fait de pouvoir être étiré est quelque chose que les autres compagnies n’ont pas encore réellement exploré. Samsung, par exemple, possède le Galaxy Fold dont l’écran peut être plié mais ne peut pas être étiré.

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    LG Display espère qu’un jour, cet écran pourra être utilisé sur des surfaces irrégulières comme les vêtements pour afficher des messages. C’est quelque chose d’utile pour les secouristes par exemple.

    Pour arriver à un tel résultat, LG Display a fabriqué le matériau du substrat de base à partir d’un silicium similaire à ce qu’on utilise pour les lentilles de contact. L’écran se sert également de micro-LED plus petits que 40 micromètres comme source de lumière. Cela permet d’avoir une résolution élevée et de la résistance.

    En ce qui concerne les circuits, ces derniers ont la forme de ressorts pour s’adapter à la flexion et au pliage.

    LG Display explique que la technologie révolutionnaire de cet écran étirable offre une polyvalence de haut niveau pour divers scénarios de la vie quotidienne. Le gadget peut facilement être fixé sur des surfaces recourbées comme la peau, les vêtements, les meubles, les voitures ou encore les avions. Cette innovation unique élargit les potentiels du nouvel écran dans diverses industries comme la mode, la mobilité, ou encore les jeux vidéo.

    Ce n’est pas la première fois qu’on parle d’écran étirable. Certaines entreprises comme Samsung ont déjà essayé de proposer leurs versions, mais celles-ci finissaient toujours par faire apparaître une entaille. En ce qui concerne l’écran étirable de LG, il semble aller plus loin en termes d’innovation.

    L’entreprise a commencé à travailler sur cette technologie en 2020 et il est prévu que la recherche soit achevée en 2024. Attendons ainsi la sortie du produit final pour voir ce que peut réellement apporter cet écran révolutionnaire dans les différentes situations de la vie quotidienne.

    Source: https://www.fredzone.org/lg-a-cree-un-ecran-pliable-qui-peut-setirer-jusqua-20-407729

    et https://www.engadget.com/lgs-latest-display-can-be-stretched-by-20-percent-092041123.html

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    il va y avoir des abus, c’est certain !!!

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    @Pollux oui c’est ça.

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    Washington, DC, est le port d’attache du gouvernement le plus puissant du monde. Il abrite également 690 000 personnes et 29 algorithmes obscurs qui façonnent leur vie. Les agences municipales utilisent l’automatisation pour filtrer les demandeurs de logement, prédire la récidive criminelle, identifier la fraude à l’aide alimentaire, déterminer si un lycéen est susceptible d’abandonner, éclairer les décisions de détermination de la peine pour les jeunes et bien d’autres choses.

    Cet instantané de la vie urbaine semi-automatisée provient d’ un nouveau rapport de l’Electronic Privacy Information Center (EPIC). L’organisation à but non lucratif a passé 14 mois à enquêter sur l’utilisation des algorithmes par la ville et a découvert qu’ils étaient utilisés dans 20 agences, dont plus d’un tiers déployés dans la police ou la justice pénale. Pour de nombreux systèmes, les agences municipales ne fourniraient pas tous les détails sur le fonctionnement ou l’utilisation de leur technologie. L’équipe du projet a conclu que la ville utilise probablement encore plus d’algorithmes qu’elle n’a pas été en mesure de découvrir.

    Les résultats sont notables au-delà de Washington, car ils ajoutent à la preuve que de nombreuses villes ont discrètement mis en œuvre des algorithmes bureaucratiques dans leurs départements, où ils peuvent contribuer aux décisions qui affectent la vie des citoyens.

    Les agences gouvernementales se tournent souvent vers l’automatisation dans l’espoir d’ajouter de l’efficacité ou de l’objectivité aux processus bureaucratiques, mais il est souvent difficile pour les citoyens de savoir qu’ils sont au travail, et certains systèmes se sont avérés discriminatoires et conduisent à des décisions qui ruinent des vies humaines. Dans le Michigan, un algorithme de détection de fraude au chômage avec un taux d’erreur de 93 % a causé 40 000 fausses allégations de fraude . Une analyse réalisée en 2020 par l’Université de Stanford et l’Université de New York a révélé que près de la moitié des agences fédérales utilisent une forme ou une autre de systèmes de prise de décision automatisés.

    EPIC a creusé profondément dans l’utilisation d’algorithmes par une ville pour donner une idée des nombreuses façons dont ils peuvent influencer la vie des citoyens et encourager les gens d’autres endroits à entreprendre des exercices similaires. Ben Winters, qui dirige le travail de l’organisation à but non lucratif sur l’IA et les droits de l’homme, affirme que Washington a été choisi en partie parce qu’environ la moitié des habitants de la ville s’identifient comme noirs.

    “Le plus souvent, les systèmes de prise de décision automatisés ont des impacts disproportionnés sur les communautés noires”, déclare Winters. Le projet a trouvé des preuves que les caméras automatisées de contrôle de la circulation sont placées de manière disproportionnée dans les quartiers avec plus de résidents noirs.

    — plus de détails locaux dans l’article original —

    Il y a environ deux ans, les villes d’Amsterdam et d’Helsinki ont annoncé leur intention de dresser des listes complètes de leurs propres algorithmes municipaux, ainsi que des ensembles de données utilisés pour les former et les employés municipaux responsables. L’idée était d’aider les citoyens à demander réparation à un humain s’ils estimaient qu’un système avait des problèmes.

    Mais à ce jour, artificielle d’Helsinki sert en grande partie de marketing pour un ensemble de chatbots de services municipaux. Le registre des algorithmes d’Amsterdam répertorie actuellement uniquement les systèmes de détection des locations de vacances illégales, le contrôle automatisé du stationnement et un algorithme utilisé pour signaler les problèmes à la ville. Ensemble, les deux villes répertorient un total de 10 systèmes de prise de décision automatisés, malgré le fait qu’un document publié par les responsables d’Amsterdam et d’Helsinki indique qu’ils avaient conjointement plus de 30 projets d’IA en cours fin 2020.

    Des chercheurs de l’Université d’Oxford, de l’Institut Alan Turing de Londres et de l’Université de Cardiff déclaré dans un article l’année dernière que le registre d’IA d’Amsterdam omettait certains des outils les plus préoccupants ou problématiques rencontrés par les habitants d’Amsterdam, appelant la liste “théâtre éthique”. En ville, les algorithmes peuvent également décider où les enfants vont à l’école ou où envoyer la police. Les auteurs ont conclu que le projet de registre semblait intentionnellement axé uniquement sur un ensemble limité et inoffensif d’algorithmes.

    Winters dit que les registres d’algorithmes peuvent fonctionner, si des règles ou des lois sont en place pour obliger les ministères à les prendre au sérieux. « C’est un excellent format », dit-il à propos de l’approche d’Amsterdam. “Mais c’est extrêmement incomplet.”

    Sources: https://arstechnica.com/information-technology/2022/11/algorithms-quietly-run-the-city-of-dc-and-maybe-your-hometown/
    et https://epic.org/screened-scored-in-dc/
    et https://www.wired.com/story/algorithms-quietly-run-the-city-of-dc-and-maybe-your-hometown/

    Est-ce une explication de l’inflexibilité, de la stupidité et de l’aveuglement de la bureaucratie galopante ?

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    Grâce à ses 30 lasers de 150W, le nouveau robot agricole de la start-up américaine Carbon Robotics fait disparaître les mauvaises herbes en un claquement de doigts. Une alternative aux herbicides encore couramment répandus dans les champs.

    Spécialisée dans la robotique agricole, la start-up américaine Carbon Robotics avait déjà présenté un premier robot tueur de mauvaises herbes en avril 2021. Il y a quelques mois, elle a dévoilé un nouveau modèle plus puissant et plus pratique, puisqu’il peut s’accrocher à l’arrière de nombreux tracteurs. Autonome, l’appareil baptisé LaserWeeder est en mesure d’éliminer jusqu’à 200 000 mauvaises herbes par heure et de nettoyer ainsi sept hectares par jour environ.

    Pour atteindre un tel niveau de performance, la machine a été équipée de capteurs Lidar, de cartes graphiques Nvidia, de 12 caméras à haute résolution et de 30 lasers à dioxyde de carbone (soit presque quatre fois plus que sur le précédent modèle de l’entreprise), dotés chacun d’une puissance de 150W. Une fois les plantes indésirables identifiées par l’intelligence artificielle de l’ordinateur intégré, les lasers peuvent faire feu avec une précision de l’ordre du millimètre, à raison d’un tir toutes les 50 millisecondes. La start-up garantit bien sûr que la qualité et le goût des récoltes ne sont en rien affectés par ce dispositif. Pas de vague saveur de brûlé en vue a priori.

    Le prix d’achat du LaserWeeder n’est pas précisé, mais l’entreprise assure que la facture est rentabilisée au bout de deux à trois ans. Des promesses qui semblent convaincre les agriculteurs, car la totalité des stocks de 2022 ont déjà été écoulés. Les investisseurs semblent aussi y croire, puisque la société a levé 36 millions de dollars depuis sa création en 2018. Les mauvaises herbes n’ont qu’à bien se tenir.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/article/l-industrie-c-est-fou-ce-robot-agricole-peut-eliminer-200-000-mauvaises-herbes-par-heure.N2061172

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    La Chine a beaucoup d’argent et les européens sont très cupides,donc les européens cèdent à la Chine leurs infrastructures stratégiques et voila comment la Chine fait main basse sur quelques-uns des plus grands ports européens…
    Petit à petit la Chine tisse la toile de sa route de la soie,mais évidemment ce n’est que du partenariat commercial et rien d’autre,c’est du gagnant/gagnant,c’est-à-dire … la Chine gagne deux fois.

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    @Raccoon
    Pendant longtemps, les pirates ont agi principalement par défi technique. La domination des ransomwares et des pirates cupides ou nationalistes, c’est assez récent.

  • Interpol s'invite dans le Metavers

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    @Indigostar a dit dans Interpol s'invite dans le Metavers :

    d’ici 2026 plus d’un quart de la population mondiale passerait au moins 1h par jour dans un des métavers disponibles

    Vous y croyez vous ? perso j’en doute.

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    Le gouvernement Suisse n’a même pas voulu gérer d’ID internet, il espérait même se reposer sur le privé pour ça…

    Vu les dangers de la chose, mieux vaut pas s’y lancer avant d’avoir inventé un plan b, c, d, e… z en cas de piratage. Ce qui ne rendra d’ailleurs pas invisible ou inutilisables les données en fuite.