@rethalem j’ai cru comprendre que la fixation sera maintenue par des aimants néodymes.
Raccoon
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Sur Windows il existe Recuva qui est gratuit, simple et efficace. Par contre il faut pouvoir connecter le disque dur à son PC, que ce soit en SATA ou en USB.
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@Laurent75-0 pour une utilisation multimédia, NTFS et exFAT se valent. exFAT à l’avantage d’être reconnu nativement par quasi tous les OS (Windows, MacOS, Linux) et donc la quasi totalité des appareils pouvant embarquer un disque dur, tandis que NFTS est avant tout fait pour les environnements Windows.
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J’ai le premier modèle de la Switch 1, donc celui de 2017, je n’ai jamais eu de problème avec les Joy-Con vendus avec.
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Il circule quelques rumeurs concernant sa puissance.
Une carte mère qui promet des performances plus élevées
En plus du design, la carte mère de la Nintendo Switch 2 est elle aussi sous le feu des projecteurs. Celle-ci a été partagée en images sur les réseaux sociaux.
Contrairement à la console de 2017, qui possédait une NVIDIA Tegra X1, la Nintendo Switch de 2025 devrait intégrer une NVIDIA Tegra 239 de la famille Orin. Ce changement induit une nette amélioration en termes de performances, la première carte mère disposant de 12 cœurs Cortex-A78AE, la deuxième de 2048 cœurs CUDA.
Les rumeurs estiment que la Switch 2 pourra faire tourner des jeux en 4K et en 30 IPS (Image Par Seconde). Elle pourrait également inclure le ray tracing, qui retranscrit parfaitement les jeux de lumière, d’ombre et de reflets. Malgré ces évolutions majeures, la console ne devrait pas surpasser la PlayStation 5 ou la Xbox Series S/X en termes de puissance.Source : linternaute.com
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Nintendo vient de publier sur sa chaine Youtube un premier aperçu de sa nouvelle console.
Sans grande surprise c’est une Switch 2 qui ressemble fortement à sa grande soeur.Reste à voir ce qu’elle a dans le sac et le catalogue de sortie.
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Broadcom mise sur l’augmentation des prix, mais risque de détruire l’écosystème VMware
L’acquisition de VMware par Broadcom a eu des répercussions immédiates, en particulier pour des acteurs majeurs du secteur du cloud tels qu’Anexia, un fournisseur de services autrichien. Face à des hausses de coûts de licences drastiques, Anexia a pris la décision de migrer 12 000 machines virtuelles (VM) de VMware vers une solution open-source basée sur l’hyperviseur KVM, déjà utilisée dans ses autres services. Cette migration ne relève pas seulement d’une stratégie de réduction des coûts, mais fait également partie d’un effort plus large visant à renforcer son autonomie et à maîtriser davantage ses choix technologiques.
Les récentes actions de Broadcom, perçues par certains comme de l’avidité excessive, ont provoqué une perte de confiance parmi ses clients, un phénomène qui pourrait inciter d’autres entreprises à suivre l’exemple d’Anexia. Les nouvelles conditions imposées par Broadcom, notamment des hausses de prix avoisinant les 500 %, ont rendu les relations commerciales précédentes insoutenables pour des entreprises comme Anexia, qui ont vu leur trésorerie mise sous pression. Face à ces défis, Anexia n’a pas seulement migré vers KVM, mais a aussi développé un outil de migration simple, permettant à ses clients de passer facilement de VMware à KVM en quelques clics. Ce processus, bien que complexe, a permis à Anexia de conserver sa clientèle tout en consolidant sa position face à un marché incertain.
Fondé en 2006, Anexia est basé en Autriche et fournit des services cloud à partir de plus de 100 sites dans le monde en plaçant des équipements dans des centres de données tiers. Elle compte parmi ses clients le fournisseur de services d’accès et de contrôle à distance TeamViewer et la compagnie aérienne Lufthansa, ainsi que de nombreuses autres entreprises qui ont besoin d’un hébergement et d’un service fiables.
Le 22 novembre 2023, Broadcom, un leader mondial dans la conception de puces et de solutions logicielles d’infrastructure, a annoncé avoir acquis VMware. Hock Tan, le PDG de Broadcom, a souligné la synergie entre les deux entreprises, avec l’objectif de devenir des pionniers dans le domaine des technologies d’infrastructure. La priorité sera donnée à l’amélioration des environnements de cloud privé et hybride, à l’investissement dans VMware Cloud Foundation, ainsi qu’au développement de services comme VMware Tanzu et Advanced Security.
VMware, basée à Palo Alto en Californie, est une société américaine spécialisée dans le cloud computing et la virtualisation, qui a été la première à réussir commercialement la virtualisation de l’architecture x86, là où d’autres avaient échoué.
Broadcom avait également annoncé la finalisation de l’acquisition de VMware. Hock Tan, président et directeur général de Broadcom, a exprimé sa satisfaction en déclarant : « Nous sommes enthousiastes d’accueillir VMware au sein de Broadcom et de réunir nos équipes dédiées à l’innovation et à l’ingénierie. Ce partenariat constitue une étape importante pour établir Broadcom comme le leader mondial des technologies d’infrastructure. Avec une vision partagée de la réussite de nos clients, nous sommes idéalement placés pour aider les entreprises à adopter des environnements de cloud privés et hybrides, tout en les rendant plus sécurisés et plus résilients.
La montée en puissance des alternatives open-source face à VMware et Broadcom
Depuis toujours, Broadcom investit dans les entreprises qu’il acquiert pour favoriser leur croissance durable, et nous poursuivrons cette approche avec VMware pour le plus grand bénéfice de toutes les parties prenantes. » Cette évolution soulève des questions sur l’avenir de VMware sous la direction de Broadcom. Si l’augmentation des coûts continue, d’autres acteurs du marché pourraient envisager des alternatives open-source ou d’autres solutions plus économiques et souveraines, accélérant ainsi une transition vers des environnements cloud plus flexibles et transparents.
Broadcom a perdu un autre client majeur de sa plateforme VMware : le fournisseur autrichien de services cloud Anexia, qui a migré 12 000 machines virtuelles, utilisées par de grandes entreprises européennes, vers une solution open-source basée sur l’hyperviseur KVM. Fondée en 2006 et située en Autriche, Anexia offre des services cloud à partir de plus de 100 sites à travers le monde, en utilisant des centres de données tiers. Parmi ses clients figurent des entreprises comme TeamViewer et Lufthansa, ainsi que de nombreuses autres nécessitant un hébergement fiable.
Le PDG, Alexander Windbichler, a expliqué à que bien qu’Anexia ait pu continuer à exploiter un cloud VMware après l’acquisition par Broadcom, l’augmentation des coûts des licences et les changements dans le programme de partenariat ont rendu cette option inviable. Les nouvelles conditions imposées par Broadcom ont entraîné une hausse importante du coût des licences, une augmentation que Windbichler a estimée supérieure à 500 % mais qu’il a préféré ne pas préciser. Selon lui, cette hausse aurait eu un impact financier « existentiel » pour l’entreprise.
L’ancien modèle de paiement mensuel de VMware, auquel Anexia était habituée, a été remplacé par un paiement annuel avec un contrat de deux ans, créant une pression extrême sur la trésorerie de l’entreprise. Windbichler a souligné qu’Anexia n’aurait pas pu continuer à rivaliser sur le marché, d’autant que ses clients sous contrat refusaient de supporter l’augmentation des prix. Bien qu’une action en justice ait été envisagée, le PDG a jugé que cela aurait été trop long et coûteux.
Face à cette situation, Anexia a pris la décision de migrer vers KVM, facilité par le fait que la société possédait déjà une autre entreprise d’hébergement, Netcup, utilisant cette technologie. De plus, grâce à une couche d’abstraction nommée « Anexia Engine », Anexia avait masqué l’utilisation de VMware aux yeux de ses clients, qui géraient leurs parcs de machines virtuelles via une interface différente. En outre, étant déjà un grand utilisateur de stockage NetApp, Anexia pouvait réorienter les nouvelles machines virtuelles vers les volumes existants. Un autre atout est que KVM est compatible avec le format de disque VMDK de VMware, ce qui a facilité la transition.
Broadcom met en péril la fidélité des clients avec des hausses de prix excessives
La décision d’Anexia de migrer 12 000 machines virtuelles de VMware vers une solution open source basée sur KVM soulève plusieurs questions intéressantes, notamment sur la réaction de Broadcom face à cette perte de client majeur. L’augmentation significative des coûts de licences, que certains estiment supérieure à 500 %, semble avoir été le déclencheur de cette migration.
Le modèle commercial de Broadcom, axé sur des hausses de tarifs substantielles et une exigence de paiement anticipé pour des périodes prolongées, a poussé des entreprises comme Anexia à chercher des alternatives plus viables sur le long terme. Cette approche, qui semble se concentrer uniquement sur l’augmentation de la valeur actionnariale, pourrait à court terme rapporter à Broadcom, mais elle pourrait également nuire à la fidélité des clients et à l’image de la marque sur la durée.
L’exemple d’Anexia montre que la migration de VMware à une plateforme comme KVM n’est pas aussi complexe qu’on pourrait le penser, en particulier lorsqu’il existe déjà des outils et des infrastructures capables de faciliter cette transition. Le succès de cette migration repose également sur l’absence de dépendance aux spécificités de VMware, grâce à une couche d’abstraction (le « moteur Anexia ») qui masquait l’utilisation de VMware pour les clients. En outre, Anexia a su exploiter sa plateforme existante (Netcup) et a développé des outils de migration qui simplifient le processus pour ses clients, rendant la transition à la fois rapide et indolore.
Cependant, la migration ne s’est pas faite sans défis. La nécessité de gérer deux instances de machines virtuelles pendant la transition a engendré des coûts supplémentaires en termes de capacité matérielle, ce qui a nécessité une planification minutieuse des ressources. Malgré cela, Anexia a réussi à effectuer cette migration sans modifier son infrastructure physique, un exploit impressionnant compte tenu de la complexité du projet.
<iframe class=“restrain” title=“YouTube video player” width=“560” height=“315” allowfullscreen=“” src=“
” frameborder=“0”></iframe>L’acquisition de VMware par Broadcom pourrait marquer un tournant dans l’industrie, avec la possibilité que d’autres entreprises suivent l’exemple d’Anexia en choisissant de migrer vers des solutions open-source ou moins coûteuses. Ce mouvement pourrait signaler un changement dans l’attitude des entreprises vis-à-vis des fournisseurs de solutions propriétaires, surtout si ces derniers continuent de privilégier des modèles tarifaires agressifs.
Enfin, l’hostilité grandissante envers Broadcom, soulignée par la perte de confiance de nombreux clients, pourrait influencer l’avenir de VMware sous cette nouvelle direction. Bien que Broadcom semble miser sur l’augmentation immédiate de la rentabilité, la stratégie de pression tarifaire pourrait entraîner une érosion de la base de clients fidèles et ouvrir la voie à des alternatives compétitives comme Proxmox ou XCP-NG, qui continuent de croître en fonctionnalités et en adoption.
Source : Alexander Windbichler, CEO at ANEXIA | European Cloud Provider, during an interview
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Est-ce que la migration de 12 000 machines virtuelles par Anexia vers une solution open-source montre la fragilité du modèle propriétaire de VMware face aux pressions tarifaires ?
Broadcom, en augmentant les prix de manière drastique, a-t-il sous-estimé la capacité des entreprises à migrer vers des alternatives open-source comme KVM ?
Source : developpez.com
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Nouvelle norme à respecter pour les automobilistes qui se rendront en Espagne au 1er janvier 2026. Ils devront impérativement s’équiper d’un gyrophare à placer sur le toit de la voiture en cas de panne ou d’accident. Il s’agit d’une balise nommée V-16. Explications.
L’Espagne impose de nouvelles règles aux automobilistes, y compris à ceux qui viennent de l’étranger. À partir du 1er janvier 2026, même si vous avez les triangles de signalisation d’urgence à bord pour signaler que votre véhicule est en panne ou accidenté, vous serez susceptible d’être verbalisé. Il faudra, en effet, vous équiper d’un dispositif V-16, une balise lumineuse et connectée, censée améliorer la sécurité routière.
Ce gyrophare émet une lumière jaune visible jusqu’à un kilomètre, d’après nos confrères de La Semaine du Roussillon qui ont relevé l’information. Cet équipement permet d’après la DGT (Direction générale de la circulation espagnole) de mieux repérer les véhicules arrêtés au bord de la route dans l’obscurité ou en cas de brouillard dense. Autre point fort d’après les autorités espagnoles : il renferme un système de géolocalisation qui envoie la position du véhicule à sa plateforme.
Relié à la direction de la circulation
Le V-16 coûte 40 euros. Il marche avec des piles donc il faut vérifier son bon fonctionnement régulièrement, s’assurer qu’il est connecté à la plateforme DGT3.0 et porte l’étiquette qui prouve sa conformité à la réglementation espagnole. Le service des transports espagnol publie sur son site une liste des produits conformes. Ce système envoie-t-il d’autres informations à la DGT, c’est la question qu’on peut se poser.
Quelle que soit la nationalité du conducteur, il s’exposera à 200€ d’amende s’il n’a pas à bord ce dispositif à partir du début de l’année prochaine. L’Espagne est pour l’instant le seul pays en Europe à préconiser, et bientôt à imposer, son utilisation.
Source : france3-regions.francetvinfo.fr
Le PDG de la boite qui fabrique les gyrophares doit être un bon pote au ministre des transport pour imposer un truc aussi inutile.
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C’est vrai qu’un Raspberry Pi 4 (c’est celui que j’ai) permet de faire déjà pas mal de tâches courantes, Web, mailing, bureautique légère, multimédia avec une relative aisance à condition de ne pas tout faire en même temps.
J’imagine que le 5 avec 8 ou 16 Go de RAM ça doit envoyer pas mal par rapport à son prix. -
J’ai tendance à changer de thème ou à ne pas avoir le même sur chacun de mes appareils.
En ce moment je suis avec Dim - FlatDark qui à une dominance verte. Ensuite j’utilise souvent X-Wing, dominante bleue, et en 3 ça se joue entre Death Star, vert, et Sith Order, rouge. Parfois le thème par défaut quand je passe vite fait en mode navigation privée depuis un PC du taf. -
C’est surtout 1 développeur qui a abattu tout ce boulot, @Violence pour ne pas le dénoncer.
Je voterai plus tard quand je serai sur PC. Mais ma préférence va pour les thèmes sombres, bien moins agressifs que les thèmes blancs. -
Le Raspberry Pi 5 a été présenté officiellement en septembre 2023, avec de nombreuses améliorations. Deux versions étaient annoncées, avec 4 ou 8 Go de mémoire pour respectivement 70 et 90 euros. En aout dernier, une déclinaison avec 2 Go de mémoire vive arrivait, à 57 euros.
Voici maintenant le Raspberry Pi 5 avec 16 Go, pour 120 dollars tout de même. La fondation en charge du micro-ordinateur explique que le nouveau stepping D0 du BCM2712 introduit avec la version 2 Go prend en charge des capacités mémoire de plus de 8 Go, permettant ainsi à cette nouvelle déclinaison de voir le jour. Ce n’est pas non plus une surprise totale puisque le Compute Module 5 (annoncé en novembre et basé sur le Rasbperry Pi 5) arrivera en version 16 Go cette année.
[…]
- Raspberry Pi 5 2 Go : 56,40 euros
- Raspberry Pi 5 4 Go : 69 euros (12,6 euros les 2 Go de plus, soit 6,3 euros par Go)
- Raspberry Pi 5 8 Go : 91,50 euros (22,5 euros les 4 Go de plus, soit 5,6 euros par Go)
- Raspberry Pi 5 16 Go : 147 euros (55,5 euros les 8 Go de plus, soit 6,9 euros par Go)
[…]
Article complet : next.ink
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La distribution Tails a reçu hier d’importants correctifs de sécurité au sein d’une mise à jour estampillée 6.11.
Plusieurs failles critiques sont colmatées. Elles ont été découvertes par des chercheurs de Radically Open Security dans Tails 6.10. Exploitées, elles peuvent permettre diverses actions, comme l’installation permanente de logiciels malveillants (via Tails Upgrader), de surveiller l’activité en ligne (Onion Circuits, Unsafe Browser, Tor Browser et Tor Connection) ou encore de modifier les paramètres de Persistent Storage.
Bien que les failles soient décrites comme critiques, elles nécessitent que les pirates aient déjà un pied dans le système, par l’exploitation d’une autre faille.
« Ces vulnérabilités ne peuvent être exploitées que par un attaquant puissant qui a déjà exploité une autre vulnérabilité pour prendre le contrôle d’une application dans Tails. Si vous voulez être très prudent et que vous avez beaucoup utilisé Tails depuis le 9 janvier sans faire de mise à jour, nous vous recommandons d’effectuer une mise à jour manuelle au lieu d’une mise à jour automatique », indique l’équipe de Tails dans un billet.
Tails 6.11 présente également quelques nouveautés plus pratiques. Elle permet ainsi une meilleure détection des erreurs de partitionnement sur les clés USB Tails, à cause « d’un matériel cassé ou contrefait, d’erreurs logicielles ou du retrait physique de la clé USB lorsque Tails est en cours d’exécution ». La distribution détecte maintenant plus tôt ces erreurs. « Par exemple, si des erreurs de partitionnement sont détectées alors qu’il n’y a pas de stockage persistant, Tails recommande de réinstaller ou d’utiliser une nouvelle clé USB », explique l’équipe.
Signalons aussi l’arrivée de Tor Browser 14.0.4 et Thunderbird 128.5.0 ESR, l’ajout d’un lien Tor Connection dans le menu de l’icône d’état sur le bureau, ou encore une option pour bloquer l’ouverture automatique du dernier document dans GNOME Text Editor.
Source : next.ink
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Qu’en est-il de la possibilité avec des jeux crackés ? Est-il facile de monter un ISO, de lancer l’installation puis copier l’éventuel dossier “Crack” fournit avec ? Ou de lancer l’exécutable d’un jeu pré-cracké ?
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@michmich a dit dans Modération : Meta laisse passer certaines insultes visant les femmes et personnes LGBT :
dont on imagine qu’ils se situent plutôt côté démocrate
Pour son côté pro-esclavage ?
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Je pense que Zuckerberg est bien content de pouvoir économiser le coût de la modération sur FB mais aussi de laisser les fake news prendre de la place qui serviront sans doutes ses intérêts économiques et politiques.
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@Violence j’ai cru que ça parlait plutôt des virements instantanés sur les appli bancaires. Jusqu’à présent quand j’en fait ça n’est pas toujours possible et je dois opter pour le virement classique en 2-3 jours.
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Alors que Donald Trump va être officiellement investi le 20 janvier prochain, Meta modifie sa politique de modération sur Facebook et Instagram pour aller dans la droite ligne idéologique du nouveau président américain, chantre de la liberté d’expression. Les nouvelles conditions d’utilisation de Facebook permettent par exemple aux utilisateurs américains d’utiliser certaines insultes envers les femmes, les gays et les trans.
Mark Zuckerberg a déclenché une petite tempête médiatique mardi avec l’annonce d’un chantier de révision stratégique de la politique de modération de Facebook, Threads et Instagram. Lancé aux États-Unis, il prévoit pour mémoire de transférer les équipes de modération de Meta de Californie vers le Texas et d’abandonner les programmes de vérification des informations au profit d’une modération assurée par les utilisateurs finaux, à la façon des Community Notes instaurées sur X.
À ces chantiers de moyen terme, qui de l’aveu même de Zuckerberg font suite au retour de Donald Trump à la Maison blanche, s’ajoutent quelques décisions à la portée plus immédiate. Comme l’a remarqué Wired, l’entreprise a aussi modifié mardi, sans faire de bruit cette fois, ses indications sur sa politique de modérations des « comportement haineux ».
Autorisation de qualifier de maladie mentale ou d’anormalité l’homosexualité ou la transidentité
Pour cette politique de modération en anglais (attention, le lien renvoie vers la page en français dans un navigateur paramétré pour un utilisateur francophone), le média pointe notamment le nouveau passage qui affirme : « nous autorisons les allégations de maladie mentale ou d’anormalité lorsqu’elles sont fondées sur le genre ou l’orientation sexuelle, compte tenu du discours politique et religieux sur le transgendérisme et l’homosexualité et de l’utilisation courante et non sérieuse de mots tels que “bizarre” ».
Alors que jusqu’à maintenant ce genre de messages aurait été modéré, l’entreprise de Mark Zuckerberg prévient donc qu’elle laissera dorénavant passer les messages qui qualifie l’homosexualité et la transidentité de maladies mentales. Meta n’a pas répondu aux demandes d’éclaircissement de Wired.
Wired note d’autres changements dans cette politique de modération. L’entreprise a notamment supprimé une formulation interdisant les contenus ciblant des personnes sur la base de leurs « caractéristiques protégées », qui comprennent la race, l’appartenance ethnique et l’identité sexuelle, lorsqu’elles sont associées à des « allégations selon lesquelles elles sont porteuses du coronavirus ou l’ont propagé ». Wired explique que « sans cette disposition, il serait désormais permis d’accuser, par exemple, les Chinois d’être responsables de la pandémie de Covid-19 ».
Meta avance aussi que « les gens utilisent parfois un langage d’exclusion de sexe ou genre » : « lorsqu’ils discutent de l’accès à des espaces souvent limités par le sexe ou le genre, tels que l’accès aux toilettes, à des écoles spécifiques, à des rôles militaires, de maintien de l’ordre ou d’enseignement spécifiques, ainsi qu’à des groupes de santé ou de soutien. D’autres fois, ils appellent à l’exclusion ou utilisent un langage insultant dans le contexte d’une discussion sur des sujets politiques ou religieux, comme les droits des transgenres, l’immigration ou l’homosexualité. Enfin, il arrive que des personnes insultent un sexe dans le cadre d’une rupture amoureuse ». L’entreprise affirme que ses nouvelles politiques « sont conçues pour laisser de la place à ces types de discours ».
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Source et suite : next.ink
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Après plusieurs années d’adoption en ordre dispersé, le virement instantané gratuit doit être rendu disponible par toutes les banques à partir de ce 9 janvier 2025.
Sept ans après le lancement du virement instantané, le voici rendu gratuit dans toutes les banques de France. À partir de ce jeudi 9 janvier, quelle que soit votre banque, toutes doivent vous rendre disponible la possibilité d’opérer des virements en moins de dix secondes, gratuitement. Le tout, tous les jours de l’année, 24 heures sur 24, jusqu’à 100 000 euros (sauf si la banque applique un plafond inférieur).
Le changement vise à généraliser l’adoption de ce type de virement par rapport à ceux classiquement opérés en 2 à 3 jours, uniquement les jours ouvrés. En 2023, les virements instantanés ne représentaient encore que 6,4 % des virements réalisés en France, selon les chiffres de la banque de France.
La gratuité est une étape dans un processus sur les rails depuis 2017, et la mise en place du schéma de virement SEPA Instant Credit Transfer (SCT Inst), en complément du schéma classique SEPA Credit Transfer (SCT).
Travail de longue haleine
Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la possibilité de payer de manière instantanée existe depuis près de 15 ans dans certains pays d’Europe, tandis que la France reposait historiquement beaucoup sur les paiements par carte bancaire. Devant la multiplication des offres de fintech et de néobanques, cela dit, l’Europe lance son schéma de paiement instantané, SCT Inst, en 2017. À l’époque, aucune obligation n’est formulée pour pousser les acteurs à s’en saisir, même si certains, comme le groupe BPCE, s’y mettent dès l’année suivante.
Pour les acteurs bancaires, le défi technique est réel, notamment pour interfacer SCT Inst avec leurs systèmes de tenue de compte préexistants, et pour adapter leurs logiques de sécurité. Sur un schéma de virement classique, les 2 à 3 jours de battements servent à effectuer toutes les vérifications nécessaires (présence de l’argent émis, non-figuration des noms des émetteurs et bénéficiaires sur les listes de lutte contre le blanchiment des capitaux ou de financement du terrorisme, etc).
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Source et suite : next.ink
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C’est le moment de se lancer dans le marché noir de puces IA.
Nintendo Switch 2
Vos Disques Durs
Vos Disques Durs
Nintendo Switch 2
Nintendo Switch 2
Nintendo Switch 2
Euro-Cloud Anexia transfère 12 000 machines virtuelles de VMware vers une plateforme KVM développée en interne
Sécurité routière : un gyrophare bientôt obligatoire si vous circulez en Espagne
Raspberry Pi 5 passe à 16 Go de mémoire… pour 147 euros
2025 - Votre thème Planete-Warez ?
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Tails 6.11 corrige plusieurs failles critiques
SteamOS veux s'imposer à Windows comme alternative sérieuse pour le gaming
Modération : Meta laisse passer certaines insultes visant les femmes et personnes LGBT
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Les États-Unis divisent le monde en trois niveaux pour l'accès aux puces IA