[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
-
-
Ce message a été supprimé !
-
Ce message a été supprimé !
-
-
Le dernier film d’Andreï Konchalovsky est une œuvre qui aspire indéniablement à la monumentalité. Pour dresser le portrait du m*****o, Michel-Ange, le film opère une mise en abyme de la quête artistique, celle qui mène à la réalisation du chef-d’œuvre. Une notion qui renvoie moins ici à l’idée d’une œuvre majeure et capitale qu’au sens que lui donnent encore les cercles de compagnonnage : un labeur nécessitant la démonstration du plus grand savoir-faire technique et artistique.
Source : CritikatLa recherche esthétique du long-métrage n’aurait pas cette intensité sans l’interprétation des comédiens, et particulièrement celle d’Alberto Testone. Il incarne un Michel-Ange torturé et désinvolte à la fois. On ressent dans la façon dont le visage se crispe, dans la crasse qui lui couvre le corps, la puissance d’un être écartelé entre son désir de création et la peur de lui-même. Le spectateur ressort de ces deux heures avec l’envie urgente de voyager en Italie pour redécouvrir les œuvres de l’artiste.
Source : Avoir - Alire -
Infinite est un film de science-fiction américain réalisé par Antoine Fuqua et sorti en 2021. Il s’agit de l’adaptation du roman The Reincarnationist Papers de D. Eric Maikranz.
Initialement prévu au cinéma, il sort sur la plateforme Paramount+ aux États-Unis. Il y reçoit des critiques très négatives, pointant notamment du doigt l’interprétation de Mark Wahlberg et la similitude avec des films comme Matrix.
Synopsis : Schizophrène et hanté par des visions mystérieuses, Evan McCauley ne parvient à obtenir un emploi, en partie à cause de comportements violents. Arrêté pour ses liens avec un criminel local, il rencontre Bathurst au commissariat. Celui-ci l’appelle Treadway et semble le connaitre depuis des années. Evan découvre alors qu’il est un « Infinite » : un être capable de se réincarner, en conservant à chaque fois la plupart des souvenirs de ses vies passées. Il découvre par ailleurs l’existence d’une société secrète appelée la Cognomina. Depuis des siècles, ses membres, eux aussi des Infinites, ont participé à des changements majeurs de l’Histoire. Pour contrer les projets sombres d’un ancien membre, Ted, et de son organisation, le groupe va faire équipe avec Evan.
Mon avis : Antoine Fuqua nous a habitué a beaucoup mieux, certes les scènes d’action sont efficaces mais le film souffre de temps mort et le scénario n’est pas innovateur. Un bon divertissement de 2 heures rien de plus
-
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@violence a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
J’ai fais du ménage…
Privilégiez les MP pour vos recherches SVPCe message a été supprimé !
-
@warezb47 salut et j’imagine que tu l’as vu sur une plateforme de streaming car je ne pense pas l’avoir déja vu sur un site torrents ce film ?
sinon en passant,deux de mes films préférés que j’aime revoir sont: “12 years a slave (justement avec Chiwetel Ejiofor) et Django unchained”
-
-
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à WarezB47 le dernière édition par
@warezb47 a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
@nick2 salut, il est bien dispo en Torrent
Au passage Django Unchained au top ce film !Oui en VO
-
-
-
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Nick2 le dernière édition par
@nick2 a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
@warezb47 ah bon ? je vais mieux chercher alors car ce film ne me disait rien,merci
edit: mais c’est uniquement en vo ou vostfr ? sinon pas de vf ?
pas encore
-
@Nick2 le film doit sortir en France mi-septembre de mémoire en VOD
-
-
-
On en reviens au sujet, le DL c’est sur les trackers
En Pays Cannibale
Réalisation/scénario: Alexandre Villeret & Aymeric de Heurtaumont
Année: 2012
Genre: Drame, coke party
Le petit rejeton de Jacques Villeret, Alexandre Villeret a donc fait un seul et unique film mais quel film !
Après 6 ans de recherche, requêtes sur les TK, recherche web torrent et DDL, j’ai contacté Mr Villeret sur son Twitter, Facebook ainsi que les différentes boites de prod, aucuns n’ont daigné me répondre pour l’obtenir de manière légale A croire que le réalisateur et la production renie le film !
J’ai donc pu enfin pu mettre la main dessus avec une chance de dingue par le biais d’un des figurants du film. (que j’ai provoqué bien sur, merci à la personne si jamais elle passe par là, je tiendrais ma parole ^^) et le choc fut bel et bien là.
Il faut savoir qu’à l’époque, le film n’a été diffusé que dans 2 salles Parisiennes pendant 2 semaines je crois. Pas d’édition DVD/BR, seulement une petite campagne sur KissKissBankBank pendant très peu de temps pour les cinéphiles s’étant intéressés au film.
Une galerie de personnage et de seconds rôles hallucinants (superbe Jo Prestia), un noir et blanc convaincant, de la coke à foison, une ambiance de folie et une musique de dingue.
Qui aurait cru que le fils de Villeret accoucherai d’une dinguerie pareil
Un film qui est unique dans le paysage du cinéma Français, je le met bien au chaud aux côtés de La Haine, Assassin(s), 13 Tzameti & C’est arrivé près de chez vous (belge) etc.
[[gallery]]
SYNOPSIS OFFICIEL:
Loin d’un Paris de carte postale, Max et sa bande de pieds-nickelés se trimballent dans les profondeurs d’un petit milieu de citadin décalé, animé par les teufs, le sexe et les drogues. Un “trip-tease” de 48 heures, et une escalade de situations déjantées dans les bas fonds de Paname. Bienvenue EN PAYS CANNIBALE.
TRAILER
Longue présentation du film par leurs auteurs et acteurs qui donne une bonne impression de ce qu’est le film:
Je met une belle critique trouvé sur Sens Critique avec laquelle je suis entièrement d’accord:
–
En Pays Cannibale c’est un peu ce moment de désespoirs qui nous amène à nous interroger sur l’état du cinéma français. Sorti en indépendant, on ne peut que s’étonner de la qualité d’un tel film face aux faibles moyens qu’il a eu à sa disposition. C’est donc avec un regret non dissimulé qu’on se dit que ce très bon film ne sera pas vu par tous, mais, qu’au contraire, il faudra se battre pour pouvoir en profiter.
En Pays Cannibale se veut violent, non pas dans ses propos ou dans ses scènes (encore que), mais dans la façon dont il s’immisce dans la tête du spectateur. Découpage par chapitres, longs monologues, film en noir et blanc, bande-son d’une puissance insoupçonnée, tout est mis en place pour que le spectateur ne soit qu’un mannequin fixé sur sa chaise et se prenne la tarte du siècle face au film. On retrouve du Fincher et du Tarantino dans le procédé et dans cette façon d’œuvrer.
Du Tarantino oui … Beaucoup de Tarantino, dans ce refus total d’expliquer quoique ce soit, on ne va pas justifier la mort d’un personnage, on ne va pas dire ce qu’il s’est passé dans tel appart, quel est la vie de tel ou tel personnage, tout va vite, très vite, trop vite.
Car après tout, cette vitesse c’est comme l’ultime rail de coke de Max, dealer de son état, qui à déjà 30 ans, a bien du mal à se remettre de la mort (suicide ?) de son père alors qu’il n’en avait que 9.
Sans aucun doute, Max veut en finir, c’est claire, c’est très claire, il n’a plus foi en rien, même plus dans la possibilité d’une vie meilleure (chapitre de Marie), mais plutôt que mourir à petit feu, Max veut briller. Il va donc proposer à son ami Lenny, un réalisateur raté et Yoann, un étudiant en école d’ingénieur du son, de faire un film sur 48 heures avec lui.
48 heures qui nous amènent dans le Paris de la drogue et du sexe, de la déviance à outrance, où l’on tue pour un oui ou pour un non, ou le canon d’un flingue vient se coller à sa tempe uniquement parce qu’un homme nous oblige à lui sucer son pénis. 48 heures dans un Paris qui n’aurait rien à envier au dernier GTA ou à la célèbre BD de Miller, Sin City.
Pourtant, cette haine, cette violence, ce sexe, et surtout cette drogue à excès (encore plus de coke que dans Scarface, c’est dire !) ne servent qu’à mettre en évidence un message. Il y a tellement de tout qu’il faut oublier ce tout et voir derrière l’évidence d’un regard naïf. Ce film ne parle pas de drogue, de banlieue, de banditisme ou de violence, ce film parle de la solitude extrême des gens. Les gens ne s’écoutent pas, tout simplement. Et dans leurs paradis artificiels, ils pensent avoir accès au bonheur mais en réalité, la seule utilité de ces drogues c’est de ne pas se sentir non-écouté. C’est d’oublier, un instant du moins, la peine que ce monde leur inflige.
Max est spécial parce qu’il s’en rend compte quelque part, mais qu’il ne peut lutter contre, il n’est pas assez fort. Ce film qu’il veut donc tourner, qu’En Pays Cannibale nous raconte, c’est donc cette dernière vie vécue dans la vie, son dernier rôle, sa dernière bouffé d’un oxygène trop pollué ou de toute façon, tout est déjà joué depuis qu’il a 9 ans, depuis que son père est mort.
Cependant, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme, loin de là même. Il est dans l’exagération, pour laisser voir subtilement ce message. Les personnages sont donc tellement exagéré qu’on les aime ou les déteste. De Lady Fanta, femme de petite vertu qui ferait fuir le plus hargneux des pervers à Gros Louis, espèce d’époux dans une relation à 3 avec des prostituées qu’il semble frapper, tous sont dans l’exagération.
Quand on sait qu’une partie des acteurs ne sont justement pas des acteurs, on ne peut qu’être surpris. On prendra du plaisir à retrouver David Saracino, adepte des petits rôles, dans le rôle de Lenny. Angelo, un des personnages les plus marquant du film est joué par Jo Prestia, une gueule comme on en fait rarement et on se régale de l’avoir vu dans ce rôle, un acteur qui gagne à être connu. Sinon, on peut noter le père de Lenny, joué par Yves Pignot, une scène brève d’une rare puissance. Beaucoup de seconds rôles sont tout simplement excellents d’ailleurs.
A tel point que les personnages principaux peuvent sembler transparent par moment, ou du moins, moins charismatique. Pourtant, Axel Philippon campe très bien Max et on l’apprécie rapidement. Le personnage de Yoann est moins captivant, moins séduisant, est ce dû à un Ivan Cori qui se retrouve avec un rôle assez basique, il faut le dire : le jeune paumé dans un univers encore inconnu pour lui et bien too much. Ce personnage de Yoann semble servir d’indicateur de “folie” à ce qui se passe autour et pourtant dans plus d’une scène je l’ai trouvé peu intéressant voir inutile.
Au niveau technique, c’est du grand niveau, une réalisation très bonne malgré quelques cadrages qui peuvent gêner pour quelques scènes. Heureusement, dans 95% du film, les cadrages restent, on ne va pas dire basique, mais plutôt évident, parfaitement réalisé, parfaitement mis en place et c’est ça qu’on attend d’un film. Que ça soit tellement bien fait que ça semble évident alors qu’il y a eu tout un travail en réalité dessus.
La bande-son est tout simplement jouissif et je pense qu’une grande partie de la qualité du film vient en réalité de là.
Enfin, le montage est … fou ! On retrouve toute la fougue, tout le dynamisme des jeunes réalisateurs qui osent faire plus que les autres, et aussi cette vitesse dont Max n’a de cesse de voir.Bref, En Pays Cannibale est certainement le meilleur film français que j’ai vu depuis des années, la preuve qu’il reste encore du talent chez nous, mais uniquement en indépendant.
-
@violence On le trouve ou ??? En MP ?
-
@violence
c’est ZE PREZZ -
Quand on aime, on fais bien les choses
C’est clair que celui la je le garde en 3 ou 4 exemplaires sur 3 support différents sinon c’est mort je ne le retrouverais jamais ^^
Le truc c’est que j’ai donné ma parole que ce film ne se retrouvera jamais sur les réseaux…