Prochain alunissage (si tout va bien), le 25 janvier
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Peregrine (Pélerin) en péril dans l’espace
Le problème résulte d’un souci au niveau du système de propulsion, causant « une perte critique » de carburant.
Photo AFP (pas de légende)Le premier atterrissage d’un engin américain sur la Lune depuis plus de 50 ans devra probablement encore attendre : un alunisseur privé a rencontré une « anomalie » peu après son décollage lundi, et perd désormais du carburant en vol, a déclaré l’entreprise Astrobotic l’ayant développé.
L’alunisseur a décollé de Floride avant l’aube lundi, à bord de la nouvelle fusée Vulcan Centaur du groupe ULA, qui regroupe Boeing et Lockheed Martin. L’appareil, nommé Peregrine, a été mis sous tension peu après sa séparation d’avec la fusée, et la communication a pu être établie avec succès.
Mais « malheureusement, une anomalie est survenue », a expliqué Astrobotic dans une déclaration sur X (ex-Twitter). Celle-ci a dans un premier temps empêché l’entreprise de réorienter l’appareil vers le Soleil, afin qu’il puisse recharger ses batteries grâce à ses panneaux solaires.
Une « manœuvre improvisée » a finalement réussi et « la batterie du vaisseau est désormais pleine », a plus tard déclaré la compagnie. Elle a cependant ajouté que le problème résultait d’un souci au niveau du système de propulsion, causant « une perte critique » de carburant.
Astrobotic a publié une image montrant une partie de l’extérieur de l’appareil, visiblement endommagée : une photo qui appuie l’hypothèse d’un problème de propulsion, selon l’entreprise, qui a promis des nouvelles plus tard dans la soirée. « Nous utilisons l’énergie existante pour réaliser autant d’opérations du vaisseau et de la cargaison que possible », a-t-elle ajouté sans plus de détails.
Peregrine a été développé par Astrobotic avec le soutien de la Nasa, qui a chargé cette entreprise de transporter jusqu’à la Lune du matériel scientifique – un contrat de 108 millions de dollars. Astrobotic espérait devenir la première entreprise privée à réussir à se poser sur la Lune, et le premier engin américain à le faire depuis la fin du programme Apollo. La tentative d’alunissage était prévue le 23 février.
Ces dernières années, des compagnies israélienne et japonaise ont aussi tenté d’alunir, mais ces missions se sont soldées par des crashs. Le patron d’Astrobotic, John Thornton, s’était dit conscient des risques d’échec lors d’une conférence de presse vendredi.
Source et plus: https://www.lesoir.be/559990/article/2024-01-08/un-alunisseur-prive-americain-en-peril-dans-lespace
Edit: Dans la nuit de lundi à mardi, Astrobotic a indiqué qu’il ne restait qu’une quarantaine d’heures de carburant à Peregrine avant que l’engin ne devienne «incontrôlable». D’ici là, «le but est de parvenir à rapprocher autant que possible Peregrine de la Lune», a indiqué l’opérateur, sans préciser si un alunissage en catastrophe serait le cas échéant tenté.
Les Navajos doivent avoir jeté un sort contre cet alunisseur qui contenait des restes humains, ce dont ils avaient réclamé le retrait.
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@duJambon Et pendant ce temps la, les sondes indiennes et chinoises posent regulierement des alunisseurs… Les 4 derniers officiellement reconnu (bien d’autres ne le sont pas) sont chinois et indiens, il s’agit pour la chine de Chang’e 3 le 14/12/2013, Chang’e 4 le 3 Janvier 2019, Chang’e 5 le 1er Decembre 2020 et pour l’Inde Chandrayaan 3 le 23 Aout 2023, equipé de l’aterrisseur Vikram et du rover Pragyam.
Les USA sont totalement largués desormais… La Russie et la chine se préparent grace au nouveau bloc asiatique a creer une base sur la Lune en prévision d’aller sur Mars…
Quand on voit ce qu’arrivent a faire de simples amateurs comme projets en orbite basse pour des couts assez minimes… -
@Neutron Merci pour l’info, mais tout ça a déjà été dit ici même, il suffit de parcourir un peu les topics.
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@duJambon C’est vrai, tu as parfaitement raison, j’ai fait mon feignasse LOL…
J’avoue m’interesser a toutes ces experiences de lanceurs amateurs, et surtout de ce qu’on peut envoyer en tres haute altitude comme objets destinés a prendre des relevés et ensuite recuperer ces objets a leur retour sur Terre… plus que lancer l’objet, la grosse difficulté est de pouvoir le recuperer ensuite… Meme avec une balise GPS embarquée, la tache est souvent ardue. Bravo a ces petits génies. -
24 heures après le décollage de son engin spatial Peregrine, Astrobotic Technology a officiellement annoncé qu’elle abandonnait sa tentative d’alunissage…
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L’alunisseur américain parti en difficulté est encore dans l’espace
Plus de quatre jours après son décollage, et malgré une fuite de carburant ayant voué la mission à l’échec, l’alunisseur d’une entreprise américaine continue tant bien que mal à opérer dans l’espace.
La start-up Astrobotic, ayant développé l’alunisseur Peregrine, devait tenter le premier atterrissage d’un appareil américain sur la Lune depuis plus de 50 ans.
Mais l’entreprise a fait savoir en début de semaine que l’appareil ne pourrait pas atterrir comme prévu sur la surface lunaire.
Malgré tout, les équipes d’Astrobotic continuent à chercher “des solutions pour étendre sa durée de vie”, a déclaré vendredi l’entreprise, qui l’opère désormais comme un vaisseau afin de réunir un maximum de données en vue d’une prochaine tentative.
Fuite de carburant
Selon la jeune société, l’anomalie rencontrée peu après le décollage lundi pourrait provenir d’une valve ayant mal fonctionné, et ayant provoqué la “rupture d’un réservoir”. Résultat: une fuite de carburant affecte depuis l’alunisseur.
Astrobotic n’a pas pour autant baissé les bras, et ses efforts ont payé: l’engin a pour le moment réussi à rester sur sa trajectoire, et à s’éloigner de plus de 350’000 kilomètres de la Terre.
Les cargaisons à bord, notamment des instruments scientifiques de la Nasa, ont réussi à transmettre des données. Deux d’entre eux procèdent à des mesures des radiations en vol, a indiqué la Nasa.
“Envoyer un vaisseau vers la Lune n’est pas simple”, a écrit jeudi sur X Nicky Fox, administratrice associée à la Nasa en charge des missions scientifiques. “Je salue le dur travail, la ténacité et l’engagement d’Astrobotic, au moment où ils font face aux défis de leur mission.”
La Nasa espère utiliser un service de livraison commercial pour recevoir de futures cargaisons sur la lune, Peregrine est aussi un test dans ce sens:
La façon dont l’alunisseur terminera son aventure n’est pas encore claire, même si certains mordus d’espace spéculent sur un crash possible sur la surface lunaire.
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Z’en ont pas marre d’envoyer dans l’espace des machins qui tombent en panne sitôt lancés ?
La distance entre la terre et la lune est devenue une vraie décharge qui ferait le bonheur de tout ferrailleur qui se respecte…
Si des aliens viennent un jour ici, ils diront aux suivants de tourner à gauche après la décharge terrestre… -
L’alunisseur Peregrine se dirige maintenant vers la Terre
«Notre dernière estimation montre que le vaisseau spatial se dirige vers la Terre, où il se consumera probablement dans l’atmosphère», a indiqué la société établie à Pittsburgh sur le réseau social X (ex-Twitter) «L’équipe est en train d’évaluer les options possibles et nous vous tiendrons au courant dès que possible.»
A 390’000 km de la Terre
Peregrine est dans l’espace depuis plus de cinq jours et se trouve actuellement à 390’000 kilomètres de notre planète, a ajouté Astrobotic. (l’équivalent de la distance terre-lune)
Outre le matériel scientifique, le vaisseau spatial transporte des marchandises destinées à des clients privés d’Astrobotic, notamment une canette de boisson sportive, un bitcoin physique ainsi que des cendres et de l’ADN d’êtres humains et d’animaux. Il devait également acheminer du matériel scientifique pour la NASA pour un montant s’élevant à 108 millions de dollars.
A ce jour, seules quatre nations, les Etats-Unis, l’Union soviétique, la Chine et l’Inde, ont réussi à faire se poser un appareil sur la Lune. Des compagnies privées israélienne et japonaise ont aussi tenté d’alunir ces dernières années, mais ces missions se sont soldées par des crashs.
En dépit de cet échec, les responsables de la NASA ont indiqué vouloir continuer à multiplier les tentatives pour accroître leurs chances de réussir. La prochaine sera celle d’Intuitive Machines, en février.
La société Astrobotic aura une autre chance en novembre avec son alunisseur Griffin transportant l’astromobile VIPER de la NASA jusqu’au pôle sud de la Lune.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans Prochain alunissage (si tout va bien), le 25 janvier :
La société Astrobotic aura une autre chance en novembre avec son alunisseur Griffin transportant l’astromobile VIPER de la NASA jusqu’au pôle sud de la Lune.
En espérant pour eux une réussite cette fois-ci.
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@duJambon a dit dans Prochain alunissage (si tout va bien), le 25 janvier :
A ce jour, seules quatre nations, les Etats-Unis, l’Union soviétique, la Chine et l’Inde, ont réussi à faire se poser un appareil sur la Lune. Des compagnies privées israélienne et japonaise ont aussi tenté d’alunir ces dernières années, mais ces missions se sont soldées par des crashs.
Ca y est, le Japon est desormais le nouveau pays a avoir posé son alunisseur… Et en plus avec une precision au sol fantastique…
https://www.leparisien.fr/sciences/le-module-spatial-japonais-moon-sniper-semble-setre-pose-sur-la-lune-19-01-2024-OO47GLFQ5RFH7NL7C4XUY66F2E.php