[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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The Tomorrow War
Film entre science-fiction et guerre, puisqu’il s’agit de recruter du monde dans le passé à fin de combattre des extra-terrestres dans le futur.
Encore une fois, les Américains vont sauver le monde, mais cette fois, il y a un scénario et en fin de compte, c’est un bon divertissement, surtout dans un genre qui ne produit généralement que des navets.
(Pour une critique “classique”, reportez-vous à vos sites habituels)
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Un très mauvais plan (Christmas Crossfire) 2020 Netflix
Un film très spécial qu’on adorera ou qu’on détestera selon le cas, il est d’ailleurs très mal noté, peut-être parce qu’il ne ressemble en rien à d’autres films et qu’il est difficile à classer, l’histoire elle-même ne semble rien annoncer d’intéressant, la voici:
Un homme déjoue une tentative de meurtre et échappe aux tueurs en compagnie de leur cible, alors qu’une femme qu’il vient de rencontrer essaie de le retrouver.
Et pourtant, malgré un début assez banal, une suite d’événements va vous mener dans des situations de plus en plus improbables et déjantées, jusqu’au constat final dont le message de haute volée est probablement passé inaperçu du grand public.
Un film pas comme les autres, pour vous changer grandement, pour une fois, des films convenus.
Déconseillé aux amateurs de super héros.
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R.I.P Richard Donner
Le réalisateur de Superman n’est plus
– Le cinéaste américain Richard Donner (à droite sur la photo) s’est éteint le 05/07/2021 à l’âge de 91 ans. Un décès qui marque la fin d’une longue carrière durant laquelle le réalisateur de la tétralogie L’Arme fatale a démontré un goût assumé pour le divertissement populaire et l’éclectisme.
– Action (Assassins), polar (16 Blocks), thriller (Complots), drame (Radio Flyer), aventure (Les Goonies) ou fantastique (La Malédiction)…
– Donner s’est frotté à tous les genres en faisait souvent preuve d’une grande maîtrise de la caméra et de la direction d’acteur. Des qualités qui ont permis à son formidable Superman de s’imposer à la fin des années 70 comme LE film de super-héros séminal, un classique dont la pérennité semble désormais éternelle.
SOURCE: Mad Movies
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Good Omens Série de 2019 (mieux vaut tard que jamais et une saison 2 est prévue)
Un ange pas très sage et un démon pas trop méchant collaborent pour éviter l’apocalypse.
Une série de haute qualité, qui ne manque pas d’humour et égratigne intelligemment les dogmes à travers 6000 ans d’histoire (biblique) et d’humour Anglais.
Vous en redemanderez.
(Pour une critique “classique”, reportez-vous à vos sites habituels)
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Ce film narre l’histoire d’une fille qui est prisonnière dans un tube et qui fait tout pour s’échapper des pièges mortels parsemés de ci de la.
Ce film ne m’a pas captivé plus que ça, on est dans la série des films ou les 3/4 se passe avec un personnage unique à l’écran (Covid oblige surement), mais je dois être un piètre spectateur au vu des récompenses qu’il a reçu comme on peut le voir sur l’affiche.
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@deadpunk a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Ce film narre l’histoire d’une fille qui est prisonnière dans un tube et qui fait tout pour s’échapper des pièges mortels parsemés de ci de la.
Ce film ne m’a pas captivé plus que ça, on est dans la série des films ou les 3/4 se passe avec un personnage unique à l’écran (Covid oblige surement), mais je dois être un piètre spectateur au vu des récompenses qu’il a reçu comme on peut le voir sur l’affiche.
Compétemment d’accord, ça part bien puis pouett pouett, ça tombe à plat direct…
Dommage -
Resident Evil: Infinite Darkness
La série est sorti hier sur Netflix.
Etant fan de la première heure des 3 premiers voltes et RE:CV (uniquement!!) ainsi que des films d’animations, j’espère que la série sera à la hauteur.
De toute façon, quel bonheur de retrouver Claire et Léon! (bon, j’avoue, surtout Claire )Elle se présente sous forme de 4 épisodes de 20 min (un peu déçu de ce côté là)
La série se déroule en 2006, soit deux ans après les événements de Resident Evil 4 et prend place dans la chronologie officielle de la saga. Resident Evil : Infinite Darkness est donc un épisode canon au même titre que Resident Evil Village (2021) pour ne citer que les récentes itérations.
Les personnages iconiques de la série sont interprétés par leurs acteurs/actrices de doublage attitrés dans le remake de ** 2 & 3**… histoire de garantir une certaine continuité. Il s’agit de Nick Apostolides et Stephanie Panisello pour les voix anglaises, et Anatole de Bodinat et Kelly Marot pour celles françaises.
SYNOPSIS
En 2006, la Maison-Blanche est la cible d’une attaque informatique. L’agent fédéral Leon S. Kennedy est chargé d’enquêter sur l’incident3. Dans les couloirs de la Maison Blanche, Leon rencontre Claire Redfield, membre de l’ONG TerraSave, qui lui montre des dessins très inquiétants faits par une jeune réfugiée. Ils sont ensuite attaqués par des zombies qui prennent d’assaut le bâtiment3,4.
TRAILER
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Parfois, les 2 premières minutes d’un film me font penser que je vais aimer le film d’un bout à l’autre. J’avoue, il m’arrive de m’emballer et finalement le film n’est pas terrible.
Ce n’est pas du tout le cas pour Jagame Thandhiram.
C’est un super film, ou l’action se mêle aux sentiments.
A Londres, un blanc anglais raciste et suprémaciste fait venir du Sri Lanka un gangster pour éliminer un autre gangster lui aussi originaire du Sri Lanka.
A noter que les divers musiques du film sont très bien.
Je vous encourage à prendre 2 heures et 23 minutes pour visionner ce film
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Lupin III The First
Le cultissime «gentleman cambrioleur» Lupin III revient dans une aventure effrénée, pour la première fois au cinéma en France, pour marquer son grand retour au pays de son illustre grand-père ! Il s’associe à la jeune Laëtitia pour faire main basse sur le journal de Bresson, un trésor que même Arsène Lupin n’a jamais réussi à dérober. Alors que Lupin III et ses compagnons se démènent pour dénouer les secrets du fameux journal, ils doivent faire face à une sombre cabale poursuivant d’horribles desseins. Entre pièges mortels, escapades aériennes et abracadabrantes évasions, Lupin et sa bande de casse-cou rivalisent d’esprit et d’audace dans ce long-métrage d’animation qui ravira autant les fans de cette série légendaire créée il a 50 ans par Monkey Punch, que les nouveaux venus de 7 à 77 ans !
Un vrai régal, a déguster sans attendre. Seul petit bemol, la caricature visuelle est parfois excessive.
(Pour une critique “classique”, reportez-vous à vos sites habituels)
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Major Grom : Le Docteur de Peste
Major Grom : Le Docteur de Peste est tiré d’une série de bandes dessinées de la maison d’édition Bubble sur un major de la police de Saint-Pétersbourg. Les comics ont été publiés de 2012 à 2017. Le film est une adaptation de Docteur peste, le premier livre de la série, qui traite de la chasse à un mystérieux maniaque qui élimine brutalement des médecins, des hommes d’affaires et des fonctionnaires corrompus. Dans la bande dessinée, le principal méchant est un milliardaire et propriétaire d’un important réseau social qui cache ses tendances sadiques au public.
Film russe atypique, déjanté et plutôt décontracté, assez inégal du point de vue intérêt dans sa progression, mais qui se démarque par ses nombreuses facettes, dont l’une au l’autre (voire plusieurs) pourront vous séduire.
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Comment je suis devenu Super-Héros.
Paris 2020. Dans une société où les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés, une mystérieuse substance procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas se répand. Face aux incidents qui se multiplient, les lieutenants Moreau et Schaltzmann sont chargés de l’enquête. Avec l’aide de Monté Carlo et Callista, deux anciens justiciers, ils feront tout pour démanteler le trafic. Mais le passé de Moreau ressurgit, et l’enquête se complique…
Point de n ième film de super-héros sauf qu’à la sauce Française. Que nenni, si vous n’aimez que ce genre cinématographique, passez votre chemin.
Il est question ici, de polar “moderne” saupoudré de complications que des supers pouvoirs pourraient impliquer dans la vie de tous les jours.
Une bonne surprise, même si l’aspect franchouillard y est omniprésent et déconcertant dans un tel cadre, certain y verront même surement un aspect très positif ou une évolution du genre, bien que Kick-ass aie un peu ouvert la voie.
(Pour une critique “classique”, reportez-vous à vos sites habituels)
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Creatures
Signé Tony Jopia (Cute Little Buggers, Crying Wolf), Creatures s’annonce comme une comédie horrifique assez réjouissante. Il sera en effet question d’un groupe d’étudiants en astronomie et de leur professeur, le Dr Serling, qui assistent au crash d’un vaisseau spatial dans un champ de la campagne anglaise.
En fouillant l’épave, ils découvrent un gentil alien à fourrure qu’ils baptisent Mumpy, lequel est malheureusement traqué par des féroces créatures extraterrestres assoiffées de sang.
Le petit groupe trouve alors refuge dans la maison de campagne d’un major à la retraite (Pascal Praud? ) qui planque un véritable arsenal (encore un survivaliste )
Équipés d’armes de collection au fonctionnement aléatoire (ba oui sinon ce n’est pas drôle), les étudiants, le prof, l’ancien militaire et une girafe (si, si !!) vont faire face aux monstres pour protéger Mumpy.
TRAILER
SOURCE: Mad Movies
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@violence J’appréhende un croisement d’E.T. et Greemlins mais ça peut-être sympa, en tout cas, c’est mignon…
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L’Île aux chiens (2018)
Je ne mets même pas de synopsis ni de résumé tellement l’histoire n’a pas vraiment d’importance.
Ce dessin animé, que dis-je, cette performance extraordinaire, réussi le pari d’être continuellement à cent pourcents caricaturale sans jamais approcher du ridicule et touche ça cible à chaque fois.
Seul bémol, il faut connaitre un peu de culture japonaise pour en apprécier tout le wasabi.
Pas sûr que les enfants apprécient, même si les chiens sont attachants.
Une bonne partie de rigolade, malgré que la trame de l’histoire dénonce la corruption dans la société japonaise et les méthodes du gouvernement.
(Pour une critique “classique”, reportez-vous à vos sites habituels)
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Settlers
– En attendant de retourner à Pandora avec James Cameron, Mars accueille l’histoire de Settlers, le premier film de Wyatt Rockfeller.
Synopsis:
Fuyant la terre en espérant trouver une vie meilleure, une famille s’installe dans une maison sur la planète rouge, près de régions encore inexplorées.
C’est alors qu’un soldat venu des collines (Ismael Cruz Cordova, Marie Stuart: Reine d’Ecosse) viens s’installer chez les pionniers, leur affirmant que leur demeure lui reviens de droit.
La petite Remmy (Nell Tiger Free, Too Old to Die Young) va alors faire face à la terrible réalité que sa mère (Sofia Boutella, le Climax de Gaspar Noé) et son père (Jonny Lee Miller, Trainspotting) lui ont cachée.
– Tourné dans le désert d’Afrique du Sud, présenté le mois dernier au festival de Tribeca et prévu pour une sortie VOD US le 23 juillet, Settlers se veut résolument old school, entre hommage à la SF de l’Age d’Or et aux westerns classiques.
– Un peu comme le dernier film de Josiane Balasko et Marilou Berry, mais sans les vers géants
TRAILER:
SOURCE: Mad Movies
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@violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Settlers
– En attendant de retourner à Pandora avec James Cameron, Mars accueille l’histoire de Settlers, le premier film de Wyatt Rockfeller.
Synopsis:
Fuyant la terre en espérant trouver une vie meilleure, une famille s’installe dans une maison sur la planète rouge, près de régions encore inexplorées.
C’est alors qu’un soldat venu des collines (Ismael Cruz Cordova, Marie Stuart: Reine d’Ecosse) viens s’installer chez les pionniers, leur affirmant que leur demeure lui reviens de droit.
La petite Remmy (Nell Tiger Free, Too Old to Die Young) va alors faire face à la terrible réalité que sa mère (Sofia Boutella, le Climax de Gaspar Noé) et son père (Jonny Lee Miller, Trainspotting) lui ont cachée.
– Tourné dans le désert d’Afrique du Sud, présenté le mois dernier au festival de Tribeca et prévu pour une sortie VOD US le 23 juillet, Settlers se veut résolument old school, entre hommage à la SF de l’Age d’Or et aux westerns classiques.
– Un peu comme le dernier film de Josiane Balasko et Marilou Berry, mais sans les vers géants
TRAILER:
SOURCE: Mad Movies
La BO donne envie en tout cas.
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Le dernier Hugh Jackman n’a pas l’air mal.