On ne se moque pas de ces choses là.
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Stupeur à l’Élysée: Brigitte Macron découvre sur le site des impôts qu’elle s’appelle… Jean-Michel Depuis plusieurs années, Brigitte Macron est la cible de théories complotistes affirmant qu’elle serait née homme et qu’elle s’appellerait en réalité Jean-Michel Trogneux, le nom de son frère. Ces rumeurs, massivement relayées sur les réseaux sociaux et à l’étranger, ont conduit le couple présidentiel à engager plusieurs actions en justice pour diffamation. Ces derniers jours, de nouvelles révélations dans un documentaire réalisé par nos confrères de BFMTV sont venues relancer ce sujet sensible au sein de l’Élysée. Source et plus: https://www.7sur7.be/monde/stupeur-a-lelysee-brigitte-macron-decouvre-sur-le-site-des-impots-quelle-sappelle-jean-michel~a18854ab/ 
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@Popaul C’est pas la même boite que les chaussures, ni les pantalons électriques, mais ça existe aussi depuis un certain temps. 
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@duJambon 
 Ahhhh on est d’accord que c’est pas la même boîte. Mais avec ces deux là, t’ajoute un exo pour la colonne, les bras et la nuque… bah tu te transforme en un sacré robot.
 Par contre, faut pas que ça foire… un mauvais geste et t’es cassé.
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@Popaul Et si tu tombe…  
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@Popaul a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. : Par contre, faut pas que ça foire… un mauvais geste et t’es cassé. Et si c’est connecté, bonjour la cata…  
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Vexée par des rumeurs de grossesse: «J’avais juste mangé libanais» « On a dit que j’étais enceinte alors que c’est faux. J’avais juste mangé libanais», défend l’actrice à l’affiche du film Chien 51. La star de 31 ans, un peu vexée par les signes d’une potentielle grossesse que certains ont cru voir, explique qu’elle n’a « jamais été aussi fit de ma vie», elle qui a « repris le sport il y a trois mois» et fait de l’exercice « tous les jours!» Je ne vais plus jamais manger libanais, même si on me taxe de racisme  
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L’affaire dramatique des bancs violetsSigné «The Bancsies»: à Meyrin (Genève), de mystérieux bancs violets agitent la commune Des bancs peints en violet sans autorisation dans le quartier des Vergers en 2023 ont mis le Conseil municipal meyrinois sens dessus dessous et entraîné un bras de fer avec le Conseil administratif.  Tout est parti d’un mojito à la violette. Et de cette énergie particulière qui émane du 14 juin, lorsque les poings se lèvent et que, le temps d’une journée, les femmes de Suisse font leur l’espace public. Cette année-là, en 2023, dans l’écoquartier des Vergers à Meyrin, deux amies décident de rester au pied des immeubles après avoir peint des pancartes, alors que le gros des troupes descend au centre-ville pour la manifestation. Le fond de l’air est gai, l’après-midi s’étire, elles trinquent, quelques fleurs dans les cheveux. Un reste de peinture attire leur regard, qui glisse et s’arrête sur les deux bancs de l’esplanade des Récréations, une large avenue piétonne qui traverse les immeubles. Le duo attrape pinceaux et acrylique sous l’œil curieux de quelques enfants qui s’enquièrent de la légalité de la chose. «Mais vous avez le droit?» Le geste aurait pu rester anecdotique dans ce quartier inauguré en 2019, où les initiatives citoyennes ont toujours été encouragées et valorisées. Il marque pourtant le point de départ d’une saga qui, deux ans plus tard, n’est toujours pas terminée. Retrait des bancs, vague au Conseil municipal, nouvelle couche de peinture clandestine, courriers anonymes, mobilisation citoyenne, menace de plainte: à Meyrin, les bancs violets ont bousculé certains élus, inspiré une compagnie de théâtre et généré bien des discussions sur les trottoirs. Qualifiés d’acte de vandalisme à droite de l’échiquier politique – et dans la loi –, les coups de pinceau ont trouvé de vigoureux défenseurs parmi les habitantes et habitants et des personnalités de gauche meyrinoises. Récit d’une «affaire» inattendue qui nourrit le débat sur l’appropriation citoyenne de l’espace public et interroge le rôle de la désobéissance civile en démocratie. Il est 2 heures braves gens, tout vas bien, dormez tranquilles !  
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Autant je peux clairement piger qu’un “nik la police” puisse être qualifié de vandalisme, mais j’ai de la peine avec une couleur uniforme. 
 On peut débattre sur les goûts et le couleurs mais pas partir en live à cause de ça.
 Et bon, ptet qu’avec le violet les pigeons iraient moins chier dessus 
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J’aimerai bien savoir ce que cela a couté à la municipalité et donc aux contribuables de Meyrin. 
 C’est un joli violet, en plus.
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@Pluton9 Le prix pour enlever les bancs, les repeindre et les remettre en place plus le prix d’interminables heures de palabres aux frais du contribuable, pour ne pas tomber d’accord de toute façons. Je suis d’accord, même si la couleur aurait pu être différente, le boulot a été très bien fait.  
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