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    Nickel j’en prends 3

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    @Indigostar a dit dans Ciel à nouveau dégagé pour Starlink en France :

    a parabole serait vendue à perte sur le marché français. Il est actuellement fixé à 300 euros contre plus de 1 000 dollars (940 euros) de prix de revient

    CA pue l’espionnage tout ça, y’aurait de la petite backdoor là-dedans que ça m’étonnerait pas

    Selon Reuters, la NSA a récemment modifié sa politique liée à l’implémentation de backdoors dans les technologies américaines. Ce changement fait suite à deux événements, les révélations d’Edward Snowden
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    ouf il reste quelques domaines ou on se bouge le cul face au reste du monde, même si je suis d’accords avec les com du dessus il ne faut pas se laisser bouffer

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    Car l’Arcep n’aurait pas respecté les règles d’attribution d’une telle licence

    Seulement un an après avoir reçu l’autorisation de déployer Starlink en France, SpaceX doit arrêter ses activités dans l’Hexagone. La licence d’exploitation accordée à la société américaine de fusées par l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques) a été révoquée ce mardi par le Conseil d’État, car le régulateur n’avait pas organisé une consultation publique sur le sujet. En raison de cette décision, l’opérateur satellitaire perd ses fréquences en France et la question se pose de savoir ce qu’il adviendra des clients actuels.

    En février 2021, SpaceX recevait l’autorisation de l’Arcep pour commencer à fournir une connexion Internet haut débit Starlink en France. L’Arcep a annoncé qu’elle a autorisé Starlink à devenir un opérateur Internet sur le territoire national, et avait également autorisé l’exploitation de l’antenne parabolique de l’utilisateur. Quelques mois auparavant, mais toujours en 2020, le régulateur avait accordé à SpaceX le droit de construire et d’exploiter des stations terrestres Starlink Gateway en France. Mais en donnant toutes ces approbations à SpaceX, l’Arcep aurait manqué d’organiser une consultation publique sur l’arrivée de l’opérateur satellitaire en France.

    En effet, selon l’article L. 32-1 du Code des postes et communications électroniques, quand l’Arcep envisage d’adopter des mesures ayant une incidence importante sur le marché ou affectant les intérêts des utilisateurs finaux, elle doit soumettre ces mesures à une consultation, dont les résultats sont rendus publics. Ainsi, en accordant son feu vert sans consultation du public, l’Arcep n’a pas respecté le Code des postes et communications électroniques. Et les associations PRIARTEM, Informer et Agir pour l’environnement avaient demandé l’annulation de l’utilisation du spectre. Les groupes de défense des droits ont obtenu gain de cause.

    « La décision attaquée de l’Arcep, qui vise à autoriser la société Starlink Internet Services Limited […] est susceptible d’avoir un impact significatif sur le marché de la fourniture d’accès à Internet à haut débit et d’affecter les intérêts des utilisateurs finaux. Ainsi, en prenant cette décision sans avoir préalablement consulté le public, l’Arcep a méconnu les dispositions du V de l’article L. 32-1 du code des postes et des communications électroniques », indique l’arrêt du Conseil d’État. Selon Stephen Kerckhove, délégué général de l’association Agir pour l’environnement, cette décision des autorités « remet les choses à l’endroit ».

    Notons que Stephen Kerckhove s’était déjà dressé contre la pollution visuelle générée par la mise en orbite des constellations de Starlink, qui devrait compter à terme 12 000 satellites. Selon l’avocat François Lafforgue, c’est bien simple : « la décision du Conseil d’État interdit désormais à Starlink d’utiliser ces fréquences, et donc de proposer son service en France ». Jusqu’ici, Starlink avait offert des vitesses pouvant atteindre 150 Mb/s en France. Les vitesses actuelles du service Starlink sont comparables à la 4G, bien que lors de son lancement, SpaceX a déclaré que les vitesses de connectivité s’amélioreraient avec le temps.

    En outre, ce n’est pas la première fois que Starlink rencontre des difficultés en France. Lorsque l’Arcep l’avait autorisé à installer ses stations Gateway en 2020, SpaceX prévoyait d’exploiter trois stations terrestres Starlink. Mais aujourd’hui, la société n’aurait plus qu’une seule station terrestre en France, à Villenave-d’Ornon, dans le Girondin. Les deux autres passerelles - qui ont été autorisées entre juillet et décembre 2020 - se sont heurtées à une opposition locale. Les villageois craignaient que les passerelles du réseau terrestre n’affectent le bétail. L’ANFR (Agence nationale des fréquences) avait pourtant assuré qu’il n’y avait pas de risque.

    L’annulation des fréquences de Starlink par le Conseil d’État ne signifie toutefois pas la fin de l’aventure en France pour Starlink. Théoriquement, le service d’Internet par satellite d’Elon Musk pourrait toujours reconduire une procédure auprès de l’Arcep pour se voir de nouveau octroyer des fréquences dans l’Hexagone. Cependant, l’on ignore si Starlink relancera une nouvelle procédure ou s’il quitterait le pays. Le sort des clients actuels est également préoccupant, mais SpaceX n’a pas encore commenté l’affaire afin de les situer. Les concurrents de Starlink pourraient également profiter de la situation pour lui arracher quelques clients.

    Starlink n’est pas le seul acteur du marché des satellites Internet en orbite terrestre basse (LEO). La couverture de chaque engin spatial est une bande étroite autour du monde entier, ce qui signifie qu’elle doit faire face à une concurrence mondiale. L’un de ces rivaux est le projet Kuiper d’Amazon, qui a déclaré cette semaine avoir obtenu “jusqu’à 83 lancements” d’Arianespace, Blue Origin et United Launch Alliance. Le géant du commerce de détail et de l’informatique dématérialisée a déclaré que ces accords constituaient “la plus grande acquisition commerciale de lanceurs de l’histoire”.

    Cela fournit une capacité de transport lourd pour le projet Kuiper afin de déployer la majorité de sa constellation LEO de 3 236 satellites. En France, Starlink est confronté à un rival local, Eutelsat, basé à Paris. Le plus grand opérateur de télécommunications français, Orange, a conclu un accord avec Eutelsat en 2020. En vertu de cet accord, il a acheté toute la capacité disponible sur le satellite Konnect d’Eutelsat pour couvrir l’ensemble du territoire français, affirmant que cela permettrait même aux personnes vivant dans les zones les plus isolées de bénéficier du très haut débit fixe par satellite à partir de janvier 2021.

    En octobre 2021, Eutelsat a investi 165 millions de dollars supplémentaires dans OneWeb et a augmenté sa participation dans le fournisseur de services haut débit par satellite après lui avoir injecté plus d’un demi-milliard de dollars en début d’année. L’année précédente, l’entreprise avait été rachetée par le gouvernement britannique et la multinationale indienne Bharti Global pour éviter la faillite. Contrairement à Starlink, le fournisseur de constellations basé à Londres n’est qu’un grossiste. En mars, OneWeb s’est tourné vers SpaceX après que ses vols en orbite ont été victimes des sanctions imposées à la Russie à la suite de l’invasion de l’Ukraine.

    Source : Le Conseil d’Étatla décision de justice (PDF), developpez.com

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    franchement des fois je suis bien content d’avoir 63 ans, plus que trois ou quatre mercredi et assuré de ne pas voir ce que l’avenir réserve !!!

    ou ça fait vraiment chier de laisser ça à mes gamins !

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    @Ze-lol a dit :

    un orage magnétique (solaire) n’a rien à voir avec le champ magnétique (de la terre).
    A part le mot magnétique… 😉

    Edit

    Merci de me l’apprendre ^

    Bonne semaine et amusez vous bien…

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    Qui viennent perturber les observations des astres depuis le sol.

    Starlink Internet Services est une division de SpaceX, la société aérospatiale de Musk, qui projette de fournir une connexion Internet à haut débit depuis l’espace aux habitants dans les endroits les plus reculés de la Terre. La société a déjà lancé près de 2 000, sur environ 12 000 prévus, en orbite terrestre basse et une version bêta du service Internet est déjà en cours aux États-Unis, en France et dans plusieurs autres pays.

    Et cela inquiète les astronomes. Bien que SpaceX ait pris des mesures pour réduire l’impact de son matériel (SpaceX affirme que ses satellites Starlink disposent de leur propre logiciel autonome d’évitement des collisions, qui leur permet de s’écarter d’eux-mêmes s’ils soupçonnent qu’ils pourraient se rapprocher d’un autre véhicule ou d’un débris), il n’y a aucun moyen d’éliminer complètement les traces que les satellites laissent à travers les observations au sol.

    À quel point le problème est-il grave ? Une équipe d’astronomes a utilisé des images d’archives d’un télescope de sondage pour rechercher des traces de Starlink au cours des deux dernières années. Au cours de cette période, le nombre d’images affectées a été multiplié par 35, et les chercheurs estiment qu’au moment où la constellation Starlink prévue sera terminée, à peu près toutes les images de leur matériel contiendront au moins une trace.

    Le matériel utilisé pour l’analyse s’appelle le Zwicky Transient Facility (ZTF) à l’observatoire de Palomar. Le ZTF est conçu pour capter des événements rares, comme les supernovae (une supernova est l’ensemble des phénomènes qui résultent de l’implosion d’une étoile en fin de vie, notamment une gigantesque explosion qui s’accompagne d’une augmentation brève, mais fantastiquement grande de sa luminosité). Pour ce faire, il scanne le ciel entier à plusieurs reprises, avec un logiciel surveillant les images résultantes pour rechercher des objets qui étaient absents des premières images, mais qui sont apparus dans les dernières. La sensibilité élevée du ZTF le rend idéal pour détecter des objets sombres, comme des astéroïdes, dans notre système solaire.

    Pour faciliter la tâche de scanner rapidement tout le ciel, le ZTF s’appuie sur un champ de vision très large et une caméra tout aussi grande. Ce large champ de vision, malheureusement, augmente également la probabilité qu’une exposition ait un satellite Starlink en vue.

    Pour déterminer la fréquence à laquelle la présence de ces satellites a été captée par les caméras ZTF, l’équipe à l’origine de la nouvelle analyse a pris des données sur les orbites de tout le matériel Starlink et les a comparées à la zone du ciel capturée dans chaque image d’archive ZTF. Une fois qu’une image a été identifiée comme capturant potentiellement un satellite, un logiciel a été utilisé pour détecter la présence d’une piste brillante sur l’image. Au total, l’analyse a couvert une période d’environ deux ans, de novembre 2019 à septembre 2021.

    C’était à l’époque où SpaceX construisait rapidement sa constellation Starlink, et cela se voit définitivement. Au début de la période d’étude, alors qu’il n’y avait qu’environ 100 Starlinks en orbite, il était relativement courant d’avoir une période de 10 jours d’observations où aucun n’était détecté. Au moment où 500 étaient en orbite, ces périodes appartenaient désormais au passé. Et une fois qu’il y avait plus de 1 500 satellites Starlink en orbite, le ZTF en imageait généralement plus de 200 sur une période de 10 jours.

    Les observations crépusculaires ont été particulièrement affectées en raison de la confluence de deux facteurs. Les images qui capturent l’horizon incluront des angles qui montrent beaucoup plus d’espace occupé par les orbites Starlink. Et en raison de la position du Soleil, un plus grand nombre de ces satellites sont susceptibles d’être entièrement éclairés. En conséquence, environ 64 % des pistes photographiées ont été prises bas dans le ciel au crépuscule. Ces pistes ont également connu une croissance explosive à mesure que la constellation de satellites se remplissait. Fin 2020, seulement 6 % environ des images crépusculaires étaient affectées. Fin 2021, ce chiffre est passé à 18 %.

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    Chaque barre bleue représente le nombre de traces Starlink sur une période d’observation de 10 jours. La ligne rouge suit le nombre total de satellites Starlink

    Conséquences

    En réponse aux plaintes de la communauté des astronomes, SpaceX a mis des visières sur les générations ultérieures de satellites Starlink. L’équipe de recherche a pu comparer la visibilité de ces différentes générations et a constaté que les visières fonctionnaient (les satellites avec des visières perdaient en luminosité d’un facteur d’environ 4,6 - le nombre précis dépendait de la longueur d’onde). La visibilité, cependant, était encore supérieure à l’objectif fixé lors d’un atelier qui devait traiter de cette question.

    Parce que ces pistes sont petites et que le logiciel les identifie et les gère déjà, elles n’ont pas beaucoup d’effet sur les observations. Les chercheurs estiment qu’à l’heure actuelle, il n’y a que 0,04 % de chances qu’un événement rare soit manqué, car il coïncide avec une piste. Mais comme le problème est plus aigu dans les observations crépusculaires, il est plus susceptible d’avoir un impact sur les recherches d’objets dans le système solaire. Cela comprendrait les comètes et les astéroïdes, y compris les astéroïdes qui se sont formés autour d’autres étoiles.

    Mais encore une fois, le problème risque de s’aggraver. SpaceX a déjà l’autorisation d’augmenter le nombre de satellites Starlink à plus de 10 000 ; les auteurs estiment qu’à 10 000, chaque image au crépuscule contiendra probablement une piste Starlink. SpaceX a indiqué qu’il aimerait éventuellement augmenter le nombre de satellites à plus de 40 000, auquel cas toutes les images crépusculaires auront probablement quatre pistes.

    Et SpaceX n’est pas la seule entreprise à planifier ce type de service par satellite. Si toutes les entreprises impliquées donnent suite à leurs plans, l’orbite terrestre basse pourrait voir jusqu’à 100 000 de ces satellites.

    Dans l’ensemble, le tableau est mitigé. La mission principale du ZTF - repérer des événements rares causés par des phénomènes énergétiques lointains - n’est en grande partie pas affectée par le nombre croissant de pistes satellites. Et parce que le pourcentage d’événements est actuellement faible, tripler le nombre de satellites n’aura pas un impact dramatique sur les observations. Mais une mission scientifique secondaire voit déjà beaucoup de contamination lumineuse, et les choses ne feront qu’empirer.

    Starlink pointé du doigt récemment

    La constellation Starlink de Musk a, semble-t-il, commencé à gêner d’autres projets en cours de développement dans l’espace, comme le décrit une plainte de la Chine datant du 6 décembre auprès des Nations unies.

    Dans la plainte, la Chine argue qu’elle a dû effectuer deux manœuvres d’évitement de sa station spatiale pour éviter des collisions potentielles avec deux des satellites Starlink distincts. La Chine détaille deux cas, le 1er juillet 2020 et le 21 octobre 2021, où elle a dû manœuvrer le module central de sa station spatiale, appelé Tianhe, pour l’éloigner des deux satellites Starlink. Les trois astronautes chinois qui vivent actuellement sur Tianhe y sont arrivés quelques jours avant la manœuvre d’octobre. « Pour des raisons de sécurité, la station spatiale chinoise a mis en œuvre un contrôle préventif d’évitement des collisions », a déclaré la Chine.

    Le pays a demandé au Secrétaire général de l’ONU de rappeler aux pays leurs obligations en vertu du droit international de l’espace, bien que la Chine n’ait pas spécifié exactement les mesures qu’elle souhaite voir prises.

    Dans la même période, le chef de l’Agence spatiale européenne (ESA) s’est inquiété du fait que le milliardaire à la tête de SpaceX soit celui qui « fasse les règles » en matière d’espace, à défaut d’une coordination internationale sur le sujet. Aschbacher a averti que la précipitation de Musk à lancer des milliers de satellites de communication laisserait moins de fréquences radio et de créneaux orbitaux disponibles pour tout le monde.

    Elon Musk a riposté aux critiques selon lesquelles les satellites Starlink de son entreprise occupent trop de place dans l’espace, et a plutôt fait valoir dans le cadre d’une interview avec le Financial Times qu’il pourrait y avoir de la place pour « des dizaines de milliards » de vaisseaux spatiaux en orbite proche de la Terre.

    « L’espace est tout simplement extrêmement énorme et les satellites sont très petits », a déclaré Musk. « Ce n’est pas une situation dans laquelle nous bloquons efficacement les autres de quelque manière que ce soit. Nous n’avons empêché personne de faire quoi que ce soit, et nous ne nous attendons pas à le faire ».

    Rejetant les suggestions selon lesquelles il « évinçait » les futurs concurrents des satellites, Musk a estimé qu’il y a une grande marge de manœuvre. Pour illustrer ses propos, il a comparé le nombre de satellites en orbite terrestre basse aux 2 milliards de voitures et de camions qui seraient en circulation sur Terre. Chaque « coquille » orbitale autour de la Terre est plus grande que la surface de la planète, a-t-il dit, avec une coquille supplémentaire tous les 10 mètres environ plus loin dans l’espace.

    « Cela impliquerait qu’il y a de la place pour des dizaines de milliards de satellites », a-t-il déclaré. « Quelques milliers de satellites, ce n’est rien. C’est comme des milliers de voitures sur Terre, ce n’est rien ».

    Certains experts ont contesté l’affirmation de Musk selon laquelle les satellites en orbite terrestre basse pourraient correspondre en toute sécurité à la densité des voitures et des camions sur Terre.

    Source : The Astrophysical Journal Letters, developpez.com

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    La première partie de la news, avec les chats, est amusante et mimi, mais la suite montre surtout la mégalomanie d’Elon Musk :siffle:

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    SpaceX lance 22 satellites Starlink de nouvelle génération à large bande Starlink “V2 mini” en orbite et fait atterrir une fusée en mer

    Le lancement était le premier d’un programme double prévu pour SpaceX vendredi matin (19 mai).

    Le premier étage du Falcon 9 est revenu sur Terre comme prévu environ 8,5 minutes après le décollage. Il a atterri sur le drone SpaceX A Shortfall of Gravitas, qui était stationné dans l’océan Atlantique au large de la côte de la Floride.
    Starlink est la constellation énorme et sans cesse croissante de vaisseaux spatiaux à large bande de SpaceX. Le pays a déjà lancé plus de 4 400 satellites Starlink (ouvre dans un nouvel onglet) mais pourrait finir par en déployer près de 10 fois plus, si les approbations requises sont obtenues.

    Les satellites qui sont montés vendredi matin sont des “minis V2”, qui sont plus grands et plus capables que les engins Starlink de première génération qui constituent la grande majorité de la mégaconstellation. Les satellites pleine grandeur Starlink V2 , qui seront encore plus gros et plus puissants, seront lancés par l’énorme Starship de SpaceX, qui est toujours en développement. fusée

    Le lancement de vendredi était le 30e vol Falcon 9 de l’année et la 32e mission orbitale au total pour SpaceX en 2023. (La société d’Elon Musk a également lancé sa puissante Falcon Heavy deux fois cette année.) fusée

    La mission Starlink est la première d’un programme double prévu vendredi matin pour SpaceX. La société vise à lancer 16 satellites pour OneWeb et cinq engins de communication pour Iridium vendredi à 9 h 19 HAE (13 h 19 GMT) au sommet d’un Falcon 9 depuis la Vandenberg Space Force Base en Californie.

    Source: https://www.space.com/spacex-starlink-launch-group-6-3