Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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Le projet fou de Boris Johnson: l’ex-Premier ministre britannique aurait planifié d’attaquer une usine de vaccins aux Pays-Bas
Quand on vous dit que le pouvoir monte au bourrichon…
Boris JonhsonL’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson a demandé aux services secrets britanniques d’élaborer un plan pour attaquer une usine de vaccins à Leyde, aux Pays-Bas, en 2021, selon les informations du tabloïd The Daily Mail.
Boris Johnson était furieux, selon deux sources diplomatiques, que l’UE bloque l’exportation de 5 millions de doses de la firme pharmaceutique AstraZeneca que Londres avait achetées au fabricant néerlandais Halix. Le conservateur aurait dès lors demandé que l’on étudie toutes les possibilités, et notamment militaires, pour ramener outre-Manche ces doses volées, selon lui, par l’UE.
Pour rappel, au printemps 2021, en plein processus de vaccination de sa population, l’UE a eu un litige avec AstraZeneca. En raison de problèmes de production, seul un quart des doses promises par l’entreprise suédo-britannique a pu être livré à l’UE, cette dernière refusant de combler son retard avec des produits provenant de ses sites britanniques. En réaction, l’UE a menacé d’interrompre les exportations de vaccins, une mesure visant à “s’assurer que l’Europe reçoive sa juste part”, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
D’après le tabloïd, des diplomates britanniques ont dissuadé le Premier ministre en lui expliquant que son projet compromettrait les relations internationales du Royaume-Uni et de futures importations plus importantes de vaccins. Londres a finalement acheté les doses manquantes en Inde.
Boris Johnson doit être entendu cette semaine par une commission chargée d’enquêter sur la politique du gouvernement lors de la crise du coronavirus.
Merci d’éviter les dérives au sujet du vaccin lui-même.
Et n’oubliez pas d’aller voter la prochaine fois comme d’habitude, on ne change pas une équipe qui gagne.
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Ils sont tous plus perchés les uns que les autres.
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Les bananes de Perpignan (et oui, maintenant ça pousse aussi en France)
Pyrénées-Orientales : les premières bananes catalanes made in Pollestres sont arrivées !
Ce mardi 28 novembre 2028, l’agriculteur et maraîcher bio Didier Salgado, installé sur son domaine de la Devèze à Pollestres, a récolté son premier régime de bananes catalanes, qu’il a apporté dans les locaux de la FDSEA 66.
“Ce sont les premières qu’on a récoltées, maintenant il va falloir les faire mûrir en chambre pendant environ quatre jours. Ensuite, on pourra les mettre en vente”, se réjouit-il. Elles devront ensuite être vendues dans les quatre jours pour être d’une qualité optimale. “Nous allons en couper quatre de plus tous les deux jours, et nous avons environ une cinquantaine de régimes de bananes. Nous les conditionnerons ensuite en caisses de 5 kg pour les emmener sur les points de vente”.
Des points de vente qui restent encore à déterminer, mais les premières bananes catalanes pourront être dégustées d’ici une petite semaine.
Plus de 5 € le kilo quand même…
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@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Ce mardi 28 novembre 2028
Ouch, pas vu passer le temps moi!
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@michmich Ben, il ne doit pas encore faire assez chaud
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@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
une mesure visant à “s’assurer que l’Europe reçoive sa juste part”, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
Marrant de lire ça, quand on sait la quantité qu’elle en a commandée, et dont plus personne ne veut
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Les pompes funèbres de l’enfer: 190 familles découvrent l’horreur
Au lieu d’incinérer les défunts, un couple a stocké pendant 4 ans les corps dans des pièces non réfrigérées. Il rendait aux familles endeuillées des urnes remplies de poussière de béton.
Carrie et Jon Hallford, tout sourire lors de l’ouverture de leur entreprise en 2017.Ils promettaient aux familles endeuillées «un enterrement naturel», c’est à un véritable cauchemar que celles-ci ont eu droit. Un couple originaire du Colorado doit répondre cette semaine de pas moins de 250 chefs d’accusation de contrefaçon, vol, blanchiment d’argent et maltraitance de cadavre. Jon et Carrie Hallford, qui géraient des pompes funèbres à Colorado Springs, sont notamment accusés d’avoir laissé 190 corps se décomposer pendant des années dans un espace non réfrigéré.
À force de recevoir des plaintes d’un voisinage excédé par «une odeur incessante d’animal mort», la police a fini par se rendre sur le lieu de travail des Hallford, en octobre dernier. C’est là qu’elle a découvert l’horreur. Près de 200 corps avaient été laissés à l’abandon dans des pièces où «des fluides de décomposition humaine et des insectes tapissaient le sol». Les enquêteurs ont alors découvert que contre la somme de 1290 dollars, le couple promettait aux proches des défunts une incinération écologique et la plantation d’un arbre dans la forêt nationale du Colorado.
L’entreprise de pompes funèbres avait ouvert ses portes en 2017, mais elle croulait sous les dettes et avait déjà été rattrapée plusieurs fois par la justice pour des salaires impayés et des litiges avec des centres médicaux locaux. La licence d’exploitation de l’entreprise avait expiré en novembre 2022, mais les pompes funèbres étant peu surveillées dans le Colorado, les Hallford étaient passés entre les mailles du filet. Ils ont été arrêtés le 8 novembre dernier après avoir pris la fuite en Oklahoma. Le bâtiment abritant les pompes funèbres sera démoli en janvier.
Source et plus: https://www.20min.ch/fr/story/les-pompes-funebres-ont-laisse-pourrir-190-corps-930511164830
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Vaucluse : Ses tracteurs « polluent la vue » de son voisin, un paysan condamné à payer 105.000 euros
Un contentieux oppose un agriculteur de Vaison-la-Romaine (Vaucluse) à son voisin, propriétaire de gîtes de luxe à deux kilomètres de sa ferme. Ce dernier a estimé que la présence d’engins agricoles constitue une « pollution visuelle », rapporte Le Dauphiné Libéré.
La ferme de Vincent Blanc, établie depuis 1996, abrite, en effet, des équipements essentiels à son activité viticole, mais son voisin les considère comme une « décharge à ciel ouvert ». En 2020, Vincent Blanc est sommé de retirer les véhicules et déchets, sous peine d’une astreinte de 200 euros par jour de retard.
Escroquerie au jugement
Épuisé physiquement et moralement, l’agriculteur ne s’est pas rendu à l’audience de son procès en janvier 2022 et a été condamné. En octobre 2023, une assignation a réclamé la liquidation de l’astreinte de 105.400 euros pour ce vendredi. Vincent Blanc, appuyé par des constats d’huissier, a déposé plainte pour escroquerie au jugement.
Le voisin réclame quant à lui la somme, mettant en péril l’exploitation déjà en difficulté. L’association Solidarité paysans a lancé une pétition en soutien à l’exploitation.
Source : 20minutes.fr
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Australie: Jax De Vill a attaché une pastèque autour de son ventre pour découvrir ce que c’est que de se raser quand on est enceinte
«Je tiens à préciser que c’est plus difficile qu’il n’y paraît!»
Source: https://www.20min.ch/fr/video/un-australien-enceint-sessaie-au-rasage-de-jambes-320261840799
Il a surement été mordu par un kangourou quand il était petit…
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Une assurance proposée par Carrefour en France pour continuer à “faire ses courses” en cas de coup dur
Carrefour a lancé en France une “garantie pouvoir d’achat” en partenariat avec une compagnie d’assurance. Le but? Permettre aux clients de faire leurs courses en cas d’accident de la vie et obtenir des indemnisations financières “en cas d’hospitalisation accidentelle, d’incapacité temporaire totale, de perte d’emploi ou d’invalidité”.
Une “assurance caddie” en France. Pour fidéliser sa clientèle, l’enseigne Carrefour a lancé un partenariat avec l’assureur CNP Assurances. L’objectif est d’aider les bénéficiaires “à faire face à leurs dépenses contraintes en cas d’hospitalisation accidentelle, d’incapacité temporaire totale, de perte d’emploi ou d’invalidité (perte d’autonomie)”. “Il s’agit de protéger le budget alimentation des ménages lors d’aléas de la vie qui peuvent générer des pertes de revenus”, a expliqué Carrefour dans les colonnes du Parisien.
Deux formules: l’une, baptisée «Courses Protect’», à 2,90 ou 3,90 euros par mois, offre notamment aux clients qui ne peuvent plus travailler un bon d’achat valable allant de 75 à 150 euros par mois (pendant neuf mois). L’autre formule, “Budget Protect”, est plus chère, à hauteur de 5,90 ou 8,90 euros par mois, mais offre en échange des indemnisations plus élevées, allant de 300 à 500 euros par mois en cas d’incapacité ou de perte d’emploi (sur neuf mois). Cette garantie s’adresse à tous à condition d’être client Carrefour et d’avoir entre 18 et 80 ans.
Mais cette initiative est loin de faire l’unanimité. “Donc maintenant, pour pouvoir manger quand on est dans la mouise, il va falloir prendre une assurance. Je pense qu’il faut qu’on mesure de quoi on parle. (…) Ça en dit long sur la conception que certains se font de la solidarité dans ce pays”, a critiqué Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, sur RMC. “Payer une assurance tous les mois à Carrefour… pour manger ! Ils ne s’en mettaient déjà pas assez dans les poches avec l’inflation”, a ajouté sur X le député LFI de la Somme François Ruffin.
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@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
son voisin, propriétaire de gîtes de luxe à deux kilomètres de sa ferme.
Qu’il retourne en ville si les tracteurs le gêne, ça me fais penser à ces citadins qui une fois dans leur résidence secondaire se plaignent du chant du coq au petit matin.
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@michmich c’est exactement ça. Les mecs débarquent de la ville en s’imaginant que la campagne c’est les paysages de cartes postales et se plaignent des activités de la campagne…
Ca en devient tellement ridicule qu’une proposition de loi est à l’étude qui vise notamment à limiter les conflits de voisinage à la campagne et les plaintes de plus nombreuses des néo-ruraux contre les agriculteurs. Elle consacre dans le code civil le principe de responsabilité fondée sur les troubles anormaux du voisinage, posé par la jurisprudence, tout en l’assortissant de limites.
C’est quand même impressionnant d’être obligé d’en arriver là pour ne pas être emmerdé par les derniers arrivés qui ne supportent pas l’odeur des bouses de vaches, la boue quand il pleut et les ânes qui braient. -
Oise : Un homme de 30 ans retrouvé mort dans la rue, deux conducteurs lui ont roulé dessus sans s’arrêter
Le corps de Marvin G., 30 ans, a été retrouvé à Margny-lès-Compiègne (Oise), dans une rue, dans la nuit de vendredi à samedi. Les premières investigations ont montré qu’il avait été écrasé par deux automobilistes qui ne se sont pas arrêtés.
Deux jours après la découverte du corps sans vie de Marvin G., âgé de 30 ans, dans une rue de Margny-lès-Compiègne (Oise), les circonstances de sa mort commencent à s’éclaircir. Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Compiègne pour “homicide involontaire” et “délit de fuite”.
Selon les premières investigations menées par le commissariat de Compiègne, la victime aurait été écrasée par deux véhicules distincts alors qu’elle gisait inconsciente au milieu de la chaussée, dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 décembre, indiquent Oise Hebdo et Le Parisien.
Le premier choc aurait été mortel
L’homme, domicilié à Margny-lès-Compiègne et qui travaillait dans un restaurant de Compiègne, avait passé la soirée dans un bar avant de se rendre chez un ami. Selon une source policière, Marvin pourrait avoir chuté au sol en raison d’un “état d’ébriété avancé”. La première collision aurait eu lieu vers 4 heures du matin alors qu’il pleuvait. La vidéosurveillance de la rue de la République, où le drame a eu lieu, montre qu’un premier conducteur a roulé sur la victime sans marquer d’arrêt. Le choc aurait provoqué la mort du trentenaire. Peu après, un second véhicule a également roulé sur le corps sans s’arrêter.
Le conducteur de la deuxième voiture a été identifié par les enquêteurs. Placé en garde à vue, il a été mis en examen ce lundi puis remis en liberté sous contrôle judiciaire. La suite des investigations doit permettre d’identifier le conducteur en fuite. L’enquête devra aussi déterminer pourquoi les deux conducteurs ne se sont pas arrêtés et s’ils étaient conscients d’avoir roulé sur la victime.
“Boire ou conduire, il faut choisir”, qu’ils disaient…
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Pyongyang a tiré un missile capable d’atteindre les États-Unis
Le Japon et la Corée du Sud estiment que la Corée du Nord a procédé lundi au lancement d’un missile balistique de longue portée, potentiellement capable de frapper les États-Unis.
La Corée du Nord a tiré lundi un missile balistique de longue portée potentiellement capable de frapper les États-Unis, ont annoncé Séoul et Tokyo, quelques heures seulement après un autre lancement tard dans la nuit d’un missile à courte portée.
Ces deux tirs consécutifs interviennent quelques jours après des mises en garde de Séoul et Washington qui ont averti Pyongyang que «toute attaque nucléaire» contre les États-Unis ou leurs alliés entraînerait la fin du régime de Kim Jong-un, le dirigeant nord-coréen.
L’armée sud-coréenne a annoncé avoir détecté le lancement d’un missile balistique à longue portée lancé lundi depuis la région de Pyongyang, estimant qu’il avait parcouru 1000 km avant de s’abîmer dans la mer du Japon. Le Japon a lui déclaré qu’il s’agissait probablement d’un missile de classe ICBM. Ce type de projectile «pourrait avoir la capacité de voler plus de 15’000 km, et dans ce cas tout le territoire des États-Unis serait à sa portée», selon le vice-ministre parlementaire de la Défense Shingo Miyake.
Son vol a duré 1h13, atteignant une altitude maximum de plus de 6000 km. Et vers 09h37 heure japonaise (01h37 heure suisse), le missile est tombé en mer en dehors de la zone économique exclusive (ZEE) du Japon, à 250km au nord-ouest de la petite île d’Okushiri qui est voisine de celle d’Hokkaido (nord du pays), a précisé Shingo Miyake.
Séoul «condamne fermement» le nouveau lancement par la Corée du Nord d’un missile balistique intercontinental (ICBM) à combustible solide, a déclaré lundi la présidence sud-coréenne. La Corée du Sud «condamne fermement» son voisin du Nord qui «fait peser une grave menace sur la paix et la sécurité de la péninsule coréenne et de la communauté internationale» avec ce lancement, souligne la présidence sud-coréenne dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion d’urgence du Conseil national de sécurité.
Condamnations de Washington et Tokyo
Le Japon et les États-Unis ont aussi condamné le tir. «Ces lancements, comme les autres tirs de missiles balistiques effectués par Pyongyang cette année, constituent une violation de plusieurs résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies», a déclaré le porte-parole du Département d’État américain dans un communiqué à l’AFP.
La Corée du Nord avait déjà procédé cette année à quatre essais d’ICBM, dont le dernier, un Hwasong-18, remontait à juillet. Ce missile à combustible solide, déjà testé en avril dernier, a la particularité d’être plus facile à transporter et plus rapide à lancer que les versions à combustible liquide. Le porte-parole de l’état-major interarmées de la Corée du Sud a déclaré qu’il était en train d’analyser si le lancement de lundi était un ICBM à combustible solide.
Les États-Unis et la Corée du Sud ont participé vendredi à la deuxième session du Groupe consultatif nucléaire à Washington, axée sur la dissuasion nucléaire en cas de conflit avec le Nord. C’est à cette occasion que la Maison-Blanche a averti que toute attaque nucléaire de Pyongyang mettrait fin au régime.
Riposte préventive et mortelle
Dimanche, un porte-parole du ministère nord-coréen de la défense a dénoncé un projet des alliés d’ajouter l’an prochain un exercice nucléaire à leurs exercices militaires conjoints annuels, en menaçant d’une «contre-attaque préventive et mortelle».
«Il s’agit d’une déclaration ouverte sur la confrontation nucléaire visant à faire de l’utilisation d’armes nucléaires contre la RPDC un fait accompli», a déclaré le ministère dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.
«Toute tentative d’utilisation des forces armées contre la RPDC fera l’objet d’une riposte préventive et mortelle», ajoute le communiqué, faisant référence à la République populaire démocratique de Corée, nom officiel de la Corée du Nord. Le lancement du missile à courte portée de dimanche a eu lieu alors que Pyongyang marquait l’anniversaire de la mort du père et prédécesseur du dirigeant Kim Jong-un, Kim Jong-il, décédé le 17 décembre 2011.
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Ballons chinois, c’est toujours la mode (voir plus haut)
Taïpei affirme avoir détecté deux ballons chinois près de Taïwan
Les ballons chinois sont devenus un sujet politiquement sensible depuis février dernier, lorsque les Etats-Unis ont abattu, après qu’il ait survolé leur territoire, ce qu’ils ont qualifié de ballon espion.Le ministère taïwanais de la défense a affirmé lundi que deux ballons chinois avaient franchi dimanche la ligne médiane du détroit de Taïwan qui sépare l’île de la Chine continentale. Il s’agit du deuxième incident de ce type rapporté ce mois-ci.
Les ballons chinois sont devenus un sujet politiquement sensible depuis février dernier, lorsque les Etats-Unis ont abattu, après qu’il ait survolé leur territoire, ce qu’ils ont qualifié de ballon espion. Pékin avait de son côté affirmé qu’il s’agissait d’un dirigeable civil ayant dévié de sa trajectoire.
Ces dernières années, la Chine a intensifié sa pression militaire et politique sur Taïwan, qu’elle revendique comme faisant partie de son territoire, mais l’apparition de ballons est relativement rare.
Les deux observations annoncées lundi ont été faites dimanche à 09h03 et 14h43, heure locale, à environ 110 milles nautiques (204 kilomètres) au nord-ouest de Keelung, une ville portuaire située à une vingtaine de kilomètres au nord de Taïpei, après avoir traversé le détroit, a déclaré le ministère taïwanais de la défense.
Etat d’alerte
«Les ballons se sont dirigés vers l’est et ont disparu respectivement à 09h36 et 16h35», a-t-il ajouté dans un communiqué. Un porte-parole du ministère taïwanais de la défense a déclaré qu’il s’agissait de ballons météorologiques, selon de premiers éléments.
Taïpei avait déjà annoncé qu’un ballon avait franchi la ligne médiane du détroit de Taïwan le 8 décembre.
Taïwan est en état d’alerte à l’approche de l’élection présidentielle en janvier prochain, Taïpei et Washington mettant en garde Pékin contre toute ingérence dans le scrutin.
Pékin, qui n’a pas renoncé à conquérir l’île par la force, exerce une forte pression militaire et économique sur Taïwan depuis l’arrivée au pouvoir en 2016 de Tsai Ing-wen, issue d’un parti traditionnellement favorable à l’indépendance.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par Raccoon
@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Son vol a duré 1h13, atteignant une altitude maximum de plus de 6000 km.
Je pense qu’il y a une erreur, 6000 km d’altitude ça veut dire qu’il est allé bien loin dans l’espace.
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@Raccoon T’a raison, ça doit être 6000m ou autre chose, mais en mètres, ça fait un peu bas…
Je n’ai pas eu le courage de chercher une source plus scientifique, c’est un détail qui ne change malheureusement pas grand-chose à cette folie croissante.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par Raccoon
@duJambon j’ai cherché et apparemment ce n’est pas une coquille, les missiles intercontinentaux montent bien à plusieurs milliers de kilomètres d’altitude. J’ai trouvé ce schéma sur Wikipédia
Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/98/Missile_balistique_1.pngJe n’aurais jamais cru qu’ils aillent si haut.
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@Raccoon J’ai eu un doute vu qu’il est retombé presque au même endroit (1000 km) de son départ, mais si on veut frapper loin, il vaut mieux monter haut
En tout cas, merci pour le complément d’info.
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Bonjour/à ces riches Américains: étant donné ce qu’on voit en France, même si en France certains peuvent se permettre ce que, sans doute, aux Etats-Unis ne serait pas toléré, j’attends encore de voir si, véritablement, cet homme est condamné et si pas au plus un bracelet électronique et autorisation d’un certain espace lui permettant de vivre encore très correctement. (Je suppose qu’en France, c’est probablement ce qu’on observerait).
Voyons le côté positif pour nous: ils ont financé l’entretien de nos établissements et peut-être payés quelques taxes, une chance qu’ils aient choisit plutôt Paris. (Déjà mieux que Israël et aller à la fameuse fête?)