[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Sorti dans toute les crèmeries en vostfr (je pense que tu le sais )
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Bon, j’ai maté Butt Boy hier et je ne sais pas trop quoi en penser.
J’hésite à le classer en pure chef d’œuvre ou en grosse daube monumentale lol
Le scénario est digne d’une série B. Les acteurs sont imperturbables et d’un sérieux incroyable dans des scènes parfois surréalistes !
En tout cas, ce film est un véritable ovnis, plus série B qu’autre chose et à prendre au 18ème degré !
A chacun de se faire son propre avis, vous aimerez ou vous detesterez, mais il n’y aura pas de juste milieu ! -
Je sais pas pourquoi mais je sens qu’un truc lui sors par les fesses façon Kuato comme dans total recall.
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@psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Je sais pas pourquoi mais je sens qu’un truc lui sors par les fesses façon Kuato comme dans total recall.
Hum disons que c’est plutôt le chemin inverse !P
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Merde, ou est la zapette chérie ?
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J’ai tenu 24 minutes et 50 secondes en y croyant.
Mais non, c’est une vraie grosse daube ce film… -
@pacidodomingo a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Je suis rentré dans le film et la zapette a suivie le mouv !! sorryyyyyyyyy
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Non, on dit “je n’aime pas”… Surtout quand on a pas vu le film en entier.
Non mais
Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas.
Puis quand les gens disent que c’est de la daube, je vais forcément regarder ha ha
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On dit ce qu’on veux
Je n’ai pas dit que je n’aimais pas
C’est objectivement un mauvais film mal joué, sans scénario, plein de clichés, sans esthétique, sans dialogues…Quand je commence un livre ou un film que je ne trouve pas intéressant je ne me force pas à le finir.
Comme le vin: s’il est mauvais au mieux en sauce ou au vinaigrier. Au pire dans l’évier.
Pour Butt Boy c’est l’évier.
Après libre à toi de te coller des brulures d’estomac… :coucou:
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ceci dit la zapette est toujours portée “disparue” pour bien sur toujours rester poli
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Au choix, Il y’en a des universelles au marché
(Je dis ça, je sais même pas de quoi on cause lol) -
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@psyckofox
Les zapettes universelles sont généralement plus encombrantes… ça aurait fait le bonheur du scénariste s’il y avait pensé! -
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DUNE: DERNIER TRAILER, DATE DE SORTIE
Peut-être le blockbuster le plus attendu de 2021, le Dune de Denis Villeneuve débarquera dans les salles le 22 octobre ainsi que sur HBO Max, malgré les incertitudes qui planaient jusqu’ici quant à cette sortie en VOD.
Une annonce accompagnée d’un nouveau trailer monumental diffusé fin juillet bourré de plans, d’images et de répliques qui donnent l’eau à la bouche.
Exit les tristes effets spéciaux du Dune de David Lynch, sorti il y a 45 ans déjà, voici un film qui s’annonce rugueux, nerveux et palpable, tout en ne lésinant pas sur les effets spéciaux nécessaires à mettre en place un tel univers.
Après un premier buzz montrant la sortie des nouvelles d’affiches du film dévoilant le casting et déjà détournées à foison par les internautes, cette nouvelle annonce poursuit la montée en puissance de la nouvelle adaptation du classique de Frank Herbert portée par Warner.
La hype est réelle, encore un peu de patience. En attendant, vous avez déjà envie de revoir ce trailer.
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SOURCE: Cinenews (Kevin Giraud)
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BEAUTY WATER
De CHO KYUNG-HUN -
Corée du Sud, Gérardmer 2021 - Hors compétition
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L’édition 2021 du Festival de Gérardmer a fonctionnée en marabout de ficelle d’un film à l’autre et ce premier long métrage d’animation coréen se situe juste entre The Stylist et son compatriote The Cursed Lesson.
Plus exactement, il se hisse sur leurs épaules et les enfonce dans le sol.
Ne cherchez plus: voilà la proposition horrifique la plus originale, la plus viscérale et la plus dérangeante toutes sélection confondues. L’intrigue se réduit à une peau de chagrin quasi conceptuelle: une femme enrobée développe une accoutumance au produit en titre, une eau de toilette aux vertus amincissantes dangereusement corrosives en cas d’abus.Autour de ce principe, CHO KYUNG-HUN se repose sur une animation trouble, ou les mouvements des personnages semblent sortir d’un mauvais rêve, répétitif et angoissant, angoissant car répétitif.
Le film touche à des territoires peu explorés de la Body Horror, transforme la peau en matière friable et le regard en dernier bastion d’humanité. A peine le temps de s’habituer à cet univers malsain que le final emporte tout, dans un ultime mouvement encore plus déstabilisant que le reste.
Retenez le nom de CHO KYUNG-HUN.
SOURCE: Mad Movies