Windows, Linux, MacOS & autres OS

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  • Partage disque dur pc vers Nas Synology

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    @Raccoon

    Bonjour
    Merci beaucoupo cela fonctionne

  • Utilisation De RDP (Bureau a distance) Windows 11

    Déplacé Résolu
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    @Violence

    Bonjour merci

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    massgrave mes frères, massgrave 😉 😉

    En plus ils viennent de résoudre un pb avec l’activation permanente donc Hi Ha !!!

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    La distribution Linux antiX revient dans une mouture 23. Elle profite du passage à Debian 12 (Bookworm) pour une vaste modernisation de sa base. Les petites configurations restent cependant sa cible principale, et elle se montre toujours d’une étonnante légèreté.

    Début août, nous évoquions la sortie de MX Linux 23, qui était née de la coopération/fusion de deux projets, antiX et MEPIS. La seconde a disparu, mais la première est toujours là, profitant d’un développement actif et de nouvelles moutures régulièrement. Basée sur Debian, elle a constitué la base de travail de MX Linux toutes ces années, mais garde une existence propre depuis sa création en 2007.

    MX Linux 23 : une distribution sobre, discrète et efficace

    Si MX Linux était déjà remarquable pour sa légèreté (1 Go de mémoire demandé, 8,5 Go d’empreinte disque), antiX est pour sa part clairement destiné à du vieux matériel. De là lui vient d’ailleurs son nom. Rien n’empêche bien sûr de s’en servir sur du matériel plus récent, la bascule vers Debian 12 accentue d’ailleurs cette utilisation.

    Une installation très rapide, de nombreuses variantes

    On commence comme d’habitude avec une image ISO que l’on récupère depuis le site officiel. antiX est proposé en quatre variantes : full, base, core et net, de la plus complète à la plus légère. Les deux premières seulement proposent des environnements graphiques, la dernière ne disposant même pas du serveur graphique X.

    Dans le cadre d’un essai, nous vous conseillons la version full, dont l’image ISO pèse 1,7 Go. Quatre environnements graphiques y sont présents : IceWM (par défaut), fluxbox, jwm et herbstluftwm. Précisons également que la distribution ne se sert pas de systemd et peut être téléchargée en deux versions, l’une avec sysVinit, l’autre avec runit. À moins de savoir ce que vous faites, il est recommandé de prendre une version sysVinit. La distribution étant disponible en versions 32 et 64 bits, il faut donc faire son choix entre 16 variations. Dans notre cas, nous avons sélectionné « antiX-23-Full 64bit » dans la partie sysVinit.

    À noter que si des versions 32 bits sont toujours proposées, l’équipe de développement prévient que nombre d’applications ne sont plus aujourd’hui disponibles pour cette architecture. La mouture 64 bits est clairement mise en avant pour les ordinateurs « construits au cours des dix dernières années », représentant une grande majorité du parc disponible.

    De son côté, l’installation est l’une des plus rapides que nous ayons vues, par le temps comme par l’expérience utilisateur. La copie des fichiers commence en effet au bout de deux questions. L’installateur se contente du minimum d’informations vitales pour finir ses opérations, avec choix de la disposition du clavier, de la langue, de la partition et la création du compte utilisateur.

    La distribution se présente sous forme d’un Live CD et permet de s’en servir un peu avant de lancer l’installation proprement dite. Étonnamment, antiX n’a pas détecté qu’il s’agissait d’une configuration française et a affiché toute l’interface – installation comprise – en anglais. De manière générale, la traduction ne fait pas partie des points forts du système.

    Petit tour du propriétaire

    Si vous avez l’habitude d’Ubuntu ou même de distributions ayant fait de l’expérience utilisateur une marque de fabrique, antiX risque de vous faire lever un sourcil. L’ensemble ne brille pas par son esthétique et la distribution présente un vrai côté « old school », qui n’est d’ailleurs pas que graphique. La manière dont se manipule le système pourra sembler particulière aux personnes ne connaissant que les distributions les plus connues.

    antiXantiX

    L’organisation générale est cependant connue : une barre des tâches, un menu général de type « Démarrer », un systray avec quelques indicateurs classiques (comme le réseau et l’heure) et quelques icônes sur le bureau. On s’aperçoit cependant vite de certaines différences. Par exemple, le clic droit sur le bureau ouvre un menu proposant une foule de possibilités, par exemple l’ouverture du terminal ou du gestionnaire de fichiers, la liste complète des applications, l’accès aux fichiers récemment utilisés, les paramètres ou encore le menu de déconnexion. Il y a à boire et à manger, mais on se prend à apprécier d’avoir tout à portée d’un clic.

    Précisons également que le menu Personal augmente encore l’intérêt de ce menu. On y trouve un éditeur qui permet de configurer ce sous-menu, dans lequel on va pouvoir épingler tout ce que l’on souhaite. Une personnalisation qui peut vite faire la différence.

    L’une des particularités d’antiX est aussi d’afficher une surveillance constante des signes vitaux de la machine (via Conky). À droite de l’écran, on trouvera donc une série d’informations techniques telles que la définition de l’écran, le DPI, la charge du processeur, sa fréquence, la quantité de mémoire consommée ainsi que l’empreinte sur le stockage.

    Une matière brute à modeler

    Ce côté « old school » pourrait faire passer antiX pour une distribution minimaliste. Elle l’est, d’une certaine manière, mais de la même façon que le clic droit sur le bureau révèle de nombreux éléments, il ne faudrait pas penser qu’antiX se limite à ce que l’on voit.

    La distribution est fournie avec bon nombre d’applications. On retrouve ainsi Firefox 102 ESR ou Seamonkey 2.53.17 pour la navigation web (une présence assez rare pour la souligner). Claws Mail 4.11 s’occupe des courriels, LibreOffice 7.5.5 est là pour la bureautique, XMMS pour l’audio, Celluloid et MPV pour la lecture vidéo, la visionneuse Qpdfview, etc.

    antiXantiX

    Puisque le système est maintenant basé sur Debian 12, tous les composants ont reçu une mise à jour significative. Le noyau Linux est en version 6.1.42 et il est accompagné de changements récents que l’on a pu voir dans d’autres distributions, comme la présence du duo PipeWire/WirePlumber pour la gestion de l’audio, en lieu et place de l’ancien PulseAudio.

    Attention cependant, la présence des composants dépend de l’édition sélectionnée. En « full » bien sûr, tout est là. En édition « base », Firefox est remplacé par Seamonkey, et Pipewire et WirePlumber disparaissent, tandis qu’ALSA apparaît. Chaque variante a une identité propre qui ne consiste pas seulement à enlever des applications et supprimer des composants.

    antiX propose également de nombreux outils de personnalisation. La distribution intègre par exemple une très longue liste de thèmes. On peut y accéder d’ailleurs via le fameux clic droit sur le bureau et en se rendant dans Paramètres > Thèmes. En bas de la liste, une ligne « Thème par défaut » permet de revenir à l’apparence de base.

    L’environnement par défaut d’antiX est un mélange entre zzzFM et IceWM. De ce dernier, antiX 23 reprend le Control Centre. Ce dernier présente une apparence particulièrement « brute de décoffrage » et dépouillée. Il est cependant efficace, avec des rubriques clairement identifiées et un accès à de nombreux réglages, d’éléments simples comme le fond d’écran à des paramètres plus poussés, comme ceux du réseau ou la gestion des pilotes. À noter qu’une fonction spéciale est présente pour les configurations intégrant un GPU NVIDIA, souvent source de difficultés pour en exploiter l’accélération matérielle.

    Ce centre de contrôle contient aussi de très nombreux outils, dont certains peuvent rendre bien des services. On trouve par exemple une fonction dédiée à la réparation du boot, un installateur de paquets, un assistant réseau ou encore un panneau pour gérer simplement les comptes utilisateurs.

    antiX

    Un mot sur les performances

    antiX est une distribution redoutablement rapide et légère. C’est bien la promesse de la distribution, mais il ne s’agit pas de paroles en l’air. À froid, avec la session par défaut et sans applications ouvertes, le système ne consomme que 363 Mo de mémoire vive. C’est extrêmement peu.

    À titre d’information, la configuration minimale est d’à peine 256 Mo de RAM. En espace disque, tout dépend de la variante choisie : au moins 5 Go pour full, 3,5 Go pour base, tandis que Core peut se contenter de 1 Go.

    Après une installation déjà rapide, le système démarre et s’éteint très rapidement. Même chose pour les applications, d’autant que l’on peut constater d’un coup d’œil ce que fait le système et les ressources consommées en regardant les informations renvoyées par Conky à droite du bureau.

    Pour information, nous avons installé le système dans une machine virtuelle limitée à 4 Go de RAM et un seul cœur, sur la base d’un Ryzen 5 5600X. Un type de processeur pas nécessairement visé par antiX, il faut le reconnaître. Mais même ainsi, antiX est de loin l’une des distributions les plus réactives que nous ayons prises en main.

    Pas pour tout le monde, mais redoutablement efficace

    antiX est une distribution particulière. Le système, « fièrement antifasciste », peut présenter un visage minimaliste, vieillot, voire peu amical ou même franchement repoussant, selon qui l’utilise.

    Mais le système a d’indéniables qualités. Les promesses sur la consommation de ressources et les performances sont clairement tenues : antiX est une distribution très légère et tous les choix de développement vont dans ce sens. Il n’y a pas de Wayland, pas plus que de gestionnaires de paquets plus récents, mais particulièrement voraces en espace disque, comme Snap ou Flatpak. Aucun environnement de bureau beaucoup plus grand public, comme Gnome ou KDE, n’est présent non plus. Même Xfce est absent, alors qu’il est pourtant proposé comme alternative légère dans nombre de distributions.

    En fait, loin d’être anémique, on pourrait presque reprocher à antiX de proposer « trop » de choix. Le système est une matière à manipuler ses goûts, le degré de personnalisation possible étant très poussé, ne serait-ce que sur l’apparence ou à travers le menu Personal du clic. Pour chaque type d’application, on a souvent plusieurs alternatives. C’est d’ailleurs un étrange constat si l’on considère qu’antiX est l’une des distributions les plus légères qui existe. Et contrairement à d’autres distributions orientées vers la légèreté, la plupart de ces composants, applications et outils sont utilisables tels quels.

    Une profusion qui peut presque lui donner un air « anarchique » et il faut effectivement un peu de temps pour débroussailler tout ça. Mais sur du vieux matériel – son cœur de cible – ou sur une configuration plus récente, antiX vaut une session d’essai.

    Source : nextinpact.com

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    @duJambon ouille fait mal au dos ça!

  • Comment choisir un navigateur pour un usage quotidien ?

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    Sa conclusion est que Pale Moon est mieux que les autres mais va devenir pourri 🤣

    Donc one again !!

    Pour firefox ça fait quelque temps que le discours ne colle plus aux actes et que je l’ai abandonné.

    Mais je suis assez d’accord avec toi @Psyckofox

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    En raison du passage de GNOME Shell aux modules JavaScript standard (ESM)

    À l’heure actuelle, ce n’est probablement plus une nouvelle pour beaucoup : GNOME Shell est passé du système d’importation personnalisé de GJS aux modules JavaScript standard (ESM).

    IMPORTS ? ESM ?

    JavaScript est apparu dans les navigateurs web pour ajouter un peu d’interactivité à des pages par ailleurs statiques. Il n’était pas nécessaire de diviser de petits extraits de code en plusieurs fichiers, et le langage ne prévoyait donc pas de mécanisme pour cela.

    Le problème s’est posé lorsque les gens ont commencé à écrire des programmes plus importants en JavaScript, et des environnements tels que node.js et GJS ont ajouté leurs propres systèmes d’importation pour organiser le code en plusieurs fichiers. En conséquence, les développeurs et les outils ont eu du mal à passer d’un environnement à l’autre.

    Les choses ont changé en 2015 lorsque ECMAScript 6 a normalisé les modules, ce qui a donné lieu à une syntaxe bien définie et largement supportée par tous les principaux moteurs JavaScript. GJS supporte ESModules depuis 2021, mais le portage de GNOME Shell était une tâche bien plus importante qui devait être réalisée en une seule fois.

    ALORS ? POURQUOI DEVRAIS-JE M’EN SOUCIER ?

    Eh bien, il y a un tout petit inconvénient : Les modules et les importations héritées sont incompatibles en pratique.

    Les modules sont chargés différemment des scripts, et certaines instructions - à savoir import et export - ne sont valables que dans les modules. Cela signifie qu’essayer d’importer un module avec le système existant entraînera une erreur de syntaxe si le module utilise l’une de ces instructions (ce qui est aussi probable qu’un pape soit catholique).

    Les modules cachent également à l’extérieur tout ce qui n’est pas explicitement exporté. Ainsi, bien qu’il soit techniquement possible d’importer un script en tant que module, cela est aussi utile que d’importer un fichier vide.

    QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE POUR LES EXTENSIONS ?

    Les extensions qui ciblent les anciennes versions de GNOME ne fonctionneront pas dans GNOME 45. De même, les extensions adaptées à GNOME 45 ne fonctionneront pas dans les anciennes versions.

    Vous pouvez toujours prendre en charge plus d’une version de GNOME, mais vous devrez télécharger différentes versions sur extensions.gnome.org pour la prise en charge avant et après 45.

    Il existe un guide de portage contenant des informations détaillées. Les deux changements les plus importants (qui seront suffisants pour de nombreuses extensions !) sont les suivants :

    1. Utiliser la syntaxe standard pour importer des modules depuis gnome-shell :

    123import * as Main from 'resource:///org/gnome/shell/ui/main.js';   Main.notify('Loaded!');

    2. Exporter une classe par défaut avec les méthodes enable() et disable() de votre extension.js.
    Vous pouvez étendre la nouvelle classe Extension qui remplace l’API de commodité de l’ancien module ExtensionUtils.

    1234567891011import {Extension, gettext as _} from 'resource:///org/gnome/shell/extensions/extension.js';   export default class MyTestExtension extends Extension { enable() { console.log(_('%s is now enabled').format(this.uuid)); }   disable() { console.log(_('%s is now disabled.').format(this.uuid)); } }

    Enfin, vous pouvez toujours trouver des personnes sympathiques sur Matrix et Discourse qui seront heureuses de vous aider à résoudre vos problèmes de portage.

    RÉSUMÉ

    Passer du système d’importation personnalisé de GJS au standard de l’industrie ECMAScript 6 entraînera la rupture de toutes les extensions. Cependant, ce changement signifie de suivre les standards appropriés et non pas les standards maison, ce qui permet une plus grande compatibilité avec l’écosystème JavaScript. Les importations héritées sont toujours prises en charge sur extensions.gnome.org mais vous devrez télécharger un support pré et post GNOME 45 afin de prendre en charge à la fois les distributions LTS et régulières.

    Pour les développeurs d’extensions GNOME :
    Il existe une communauté active d’extensions qui peut vous aider à porter vos extensions vers le nouveau système d’importation de Matrix et Discourse qui peut vous aider à porter rapidement vos extensions vers la nouvelle version.

    Vous pouvez tester vos extensions en téléchargeant la dernière version de GNOME OS et en essayant votre extension.

    Source : GNOME, developpez.com

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?

  • [WINDOWS] le menu WINDOWS + X

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    Il y aussi le god mode qui s’avère très utile avec tous les raccourcis qu’il propose.
    Voici comment l’activer :

    Sur le bureau créer un nouveau dossier Renommer très exactement ce nouveau dossier GodMode.{ED7BA470-8E54-465E-825C-99712043E01C}

    bb9b3437-2c10-4423-863b-8a725491e14c-image.png

    fc1d71bb-0c8e-4305-85c6-13b9ccf94781-image.png

    fe60cf1b-4356-4f12-984f-95a9f34518cb-image.png

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    Moi aussi c’est une de mes distributions de prédilection. Sympa aussi bien en serveur qu’en desktop même si je lui préfère Manjaro pour une utilisation desktop quotidienne

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    Merci pour le topic a essayé

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    Adrien de LinuxTricks a sorti une vidéo sur cette distro

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    @Raccoon a dit dans MX Linux 23 : une distribution sobre, discrète et efficace :

    Nous avons cependant été surpris de la non-détection du français. S’agissant d’un Live DVD tout ce qu’il y a plus classique, on bénéficie pourtant d’une interface graphique (Xfce bien sûr). Pour peu que l’on connaisse un peu d’anglais, tout va bien. Il faudra simplement se méfier de la configuration anglaise du clavier lors de l’écriture du mot de passe.

    @Raccoon a dit dans MX Linux 23 : une distribution sobre, discrète et efficace :

    Après un redémarrage lui aussi très rapide, on parvient pour la première fois sur le bureau de MX Linux. Cette fois, tout est en français… sauf le clavier. Nous sommes allés changer sa configuration immédiatement en passant par les paramètres, sur lesquels nous reviendrons d’ailleurs.

    @Raccoon a dit dans MX Linux 23 : une distribution sobre, discrète et efficace :

    Un regret cependant, puisque l’on est dans le thème de la convivialité : la procédure de mise à niveau d’une version majeure à la suivante n’a jamais été simple. Comme on peut le voir sur cette page, l’équipe de développement fournit une méthode en lignes de commandes. Après avoir sauvegardé ses données, on pourra ainsi les copier et coller dans un terminal et laisser faire la machine. Cependant, à l’instar d’Ubuntu, de Linux Mint ou encore récemment de Zorin OS, une fonction intégrée ou une application dédiée serait la bienvenue.

    Arf, le genre de trucs qui va effrayer le néophyte des l’installation et après. Vraiment dommage pour le coup.

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    Belle distribution, parfaite pour les vieux PC, simple d’utilisation.

    Excellent pour les nouveaux venus dans l’univers Linux.

    J’en profite pour relayer cet article et inversement : https://planete-warez.net/topic/2455/topic-unique-distributions-linux-laquelle-choisir

    https://planete-warez.net/topic/2455/topic-unique-distributions-linux-laquelle-choisir

    Edit: Je mets toutes les étoiles au topic 😆

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    Précisément

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    Je l’ai dégagé sur Windows et sur tous les Halo que j’ai fait 😁

  • Android TV : Problème de volume de stockage disponible

    Non résolu
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    text alternatif

    Qui peut servir pour le commentaire précédent également d’ailleurs.

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    @Snoubi cette build est une révolution 🙂

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    Linux Mint revient dans une version 21.2, nommée Victoria et pour l’instant en bêta. Elle embarque notamment Cinnamon 5.8 et comporte de nombreuses améliorations graphiques. Voici le résumé des nouveautés ainsi qu’une comparaison visuelle des principaux éléments entre les versions Vera (21.1) et Victoria.

    La distribution Linux Mint s’est rapidement faite une réputation de système particulièrement agréable à utiliser. D’abord parce qu’elle préservait l’expérience GNOME 2.X en gardant une barre des tâches et un menu général, ensuite par le soin apporté à l’interface par les graphistes et développeurs.

    La nouvelle mouture 21.2 est d’autant plus attendue qu’elle vient justement capitaliser sur ce souci du détail, en apportant une nouvelle fois des capacités de personnalisation et des raffinements visuels, qui viennent d’ailleurs en bonne partie de l’environnement de bureau Cinnamon 5.8, de la même équipe.

    Télécharger Linux Mint 21.2 Les améliorations visuelles

    L’équipe indique avoir été consciente que certaines modifications introduites dans Linux Mint 21 n’ont pas plu à de nombreuses personnes. Particulièrement l’utilisation d’un jaune très « Vista » uniforme pour les dossiers, la couleur d’accentuation n’apparaissant plus que comme un petit bandeau en biais en bas à droite.

    Dans la version 21.2, on revient à l’ancien fonctionnement, avec un bonus. Non seulement la couleur détermine bien celle des dossiers entiers, mais certaines teintes sont doubles, comme on peut le voir sur les captures ci-dessous :

    Cinnamon 5.8 – et donc Victoria – intègrent également les styles. C’est un fonctionnement similaire à celui que l’on trouve dans Windows 10 et 11 pour la teinte des couleurs : en plus des modes clair et sombre, un mode mixte fait son apparition, mélangeant les deux. Par exemple, la barre des tâches reste sombre, tandis que les fenêtres sont claires.

    Grâce aux styles, on peut personnaliser chaque mode, qui pourra dès lors avoir sa propre couleur d’accentuation. Si l’on clique sur « Paramètres avancés », on retrouve également des choix plus précis, comme le pointeur de la souris, le thème des applications ou encore l’apparence de la barre des tâches. Une fois modifié, le système garde ces réglages et les applique à chaque changement de mode. La présentation des thèmes a été nettement simplifiée.

    Les bulles d’aide ont été améliorées elles aussi. Leur apparence a été standardisée, avec une taille plus grande, des coins arrondis et des marges plus importantes. Pour qui a déjà manipulé une distribution utilisant GNOME 3.X, on reconnait l’inspiration.

    Notez que l’ancien thème Mint-Y-Legacy a été renommé simplement en Mint-L et est compatible avec l’ensemble des nouveaux réglages.

    Nouveautés dans les applications

    Logithèque a reçu un léger remaniement général de son interface. La section « En vedette » est réellement en vedette désormais, les catégories étant plus bas et prenant moins de place. On a moins cette sensation d’être envahi par les lignes. En outre, les applications mises en avant incluent maintenant les flatpaks. Le système de notation a lui aussi été revu pour mieux permettre aux applications ayant un succès croissant d’apparaître sur la page d’accueil, dans une nouvelle rubrique « Les mieux notées ».

    La visionneuse Pix a aussi droit à un ravalement de façade, pour être plus en phase avec les canons esthétiques de Mint aujourd’hui. Les icônes d’outils ont été directement intégrées à la barre titre, le haut de la fenêtre prenant donc moins de place. En outre, la base de l’application passe de gThumb 3.2.8 à la version 3.12.2.

    Warpinator gagne de son côté l’isolation des dossiers, garantissant que des fichiers ne seront pas écrits en dehors du dossier de téléchargement. La gestion du Bluetooth, via Blueman, passe à la version 2.3.5 et gagne au passage la gestion des formats HEIF et AVIF apportée par Linux Mint 21.2. La visionneuse de documents Xreader reçoit pour sa part le support des documents Adobe Illustrator.

    Cinnamon 5.8 introduit aussi Gestures. Comme le nom l’indique, le système permet maintenant de personnaliser les actions pour tous les gestes impliquant deux, trois ou quatre doigts, comme le swipe avec deux doigts ou la pince avec quatre. Les paramètres permettent de définir des seuils d’activation. Ces gestes sont compatibles avec les touchpads et les écrans tactiles. Ils peuvent également être repris dans les machines virtuelles, par exemple avec Windows.

    Base système et écran de connexion

    Rappelons que Linux Mint n’a pas la même orientation que des systèmes comme Fedora ou, dans une moins mesure, Ubuntu, sur laquelle pourtant le système est basé. Mint ne reprend en effet que les versions LTS de la distribution de Canonical.

    Aussi, même si la plupart des paquets sont mis à jour dans leurs dernières révisions stables, il ne faut pas s’attendre à avoir forcément les toutes dernières versions. Par exemple, le noyau Linux reste en mouture 5.15, quand les distributions sorties récemment ont le plus souvent les versions 6.1 ou 6.2. Le prochain bond se fera au printemps prochain, avec l’arrivée d’Ubuntu 24.04.

    Un mot également sur l’écran de connexion, qui reçoit deux améliorations importantes. D’une part, l’icône en haut à droite indiquant la disposition du clavier est maintenant cliquable. On peut alors la changer à la volée. Un ajout très utile puisqu’il permet de modifier notamment la manière dont on va écrire le mot de passe de la session. D’autre part, les utilisateurs de touchpads ont à présent droit au « toucher pour cliquer » directement dans cet écran.

    Enfin, Linux Mint 21.2 intègre le support de XDG Desktop Portal pour les XApps, aussi bien pour Cinnamon que MATE et Xfce. Cette arrivée doit permettre une meilleure compatibilité entre les environnements de bureau et les applications non natives comme celles provenant de GNOME ou des flatpaks.

    Les bénéfices sont importants, l’équipe citant en exemples la prise de captures d’écran ou la prise en charge du mode sombre. Trois réglages sont possibles pour les utilisateurs : préférer le mode clair, préférer le mode sombre ou laisser l’application décider.

    Source : nextinpact.com

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    Debian 12 n’est pas encore là, mais il est possible de se pencher sur le système au travers de ses préversions, surtout maintenant que la distribution est en « hard freeze », signifiant que plus aucune nouveauté ne sera ajoutée. Faisons donc le tour de ses apports.

    Debian est une distribution à part. En soi, les nouveautés qu’elle propose dans la version 12 n’ont rien d’extraordinaire. Pour la plupart, elles se retrouvent dans d’autres systèmes Linux depuis un bon moment déjà. La nouvelle version majeure sortira même avec des composants et applications que l’on peut considérer comme « en retard » sur d’autres distributions.

    Pour Debian cependant, l’intérêt n’est pas là. D’une part, l’intégralité du cycle de vie de cette distribution est centrée sur la fiabilité. Les composants ne sont pas forcément dernier cri, mais ils sont éprouvés. Aucune mise à jour majeure n’intervient tant que le système lui-même ne passe pas à la version suivante, à l’exception de certaines applications comme le navigateur. Chaque passage d’une mouture majeure de Debian à la suivante se traduit donc par des bonds conséquents dans les paquets.

    D’autre part, Debian est la racine d’un très grand nombre d’autres distributions, dont la plus connue est Ubuntu, qui sert elle-même de socle à de nombreux systèmes, dont Linux Mint. Même si ces distributions « filles » ont leurs propres évolutions, la sortie d’une nouvelle Debian est toujours une étape marquante dans le paysage Linux, d’autant que cela ne se produit que tous les deux ans en moyenne.

    Debian 12, nommée Bookworm, ne fait pas exception. Elle doit arriver durant ce trimestre en version finale, mais peut être testée sans trop de problème, même s’il s’agit toujours officiellement de l’alpha 2. Comme toujours dans ce cas, nous ne conseillons pas son installation sur un environnement de production ou sur un ordinateur important. Une machine dédiée ou un environnement virtualisé sont à privilégier.

    Télécharger la préversion de Debian 12 Bookworm Modernisation de la base

    Quand Debian 11 (Bullseye) est sortie durant l’été 2021, elle était accompagnée d’un noyau 5.10. Contrairement à la plupart des autres distributions, Debian n’utilise que des versions LTS (longterm support) du noyau et reste sur la même mouture principale pendant toute la durée de vie de sa version majeure. Actuellement, dans Debian 11.6, la version du noyau est ainsi la 5.10.0-21.

    Debian 12 embarque quant à elle un noyau Linux 6.1, ce qui implique des améliorations significatives à bien des niveaux, notamment pour le support du matériel et des hausses de performances diverses (surtout sur les systèmes de fichiers). Notez que les utilisateurs peuvent tout à fait choisir de passer sur un noyau plus récent en cours d’utilisation, mais beaucoup préfèrent se contenter des seules mises à jour officielles, pour préserver la fiabilité inhérente à la plateforme.

    Avec ce changement de noyau en vient un autre : l’utilisation par défaut de Pipewire pour la gestion du son, en lieu et place de Pulseaudio pour GNOME. Cette bascule a déjà été observée dans d’autres distributions et apporte une gestion plus efficace du traitement basse latence et du partage multimédia. Il est conçu pour fonctionner avec le serveur d’affichage Wayland, lui aussi utilisé par défaut dans Debian 12.

    Signalons également la présence du gestionnaire de paquets Apt en version 2.6. Celle-ci amène principalement la prise en charge des firmwares non libres (propriétaires). Cet ajout va de pair avec un autre changement de Debian 12 : il n’est plus besoin de choisir entre les images ISO libres et non libres. Le téléchargement se fait maintenant sur une image unique, dont on choisit la taille en fonction des besoins (complète, netinstall, etc.). Des questions supplémentaires sont posées pendant l’installation sur la possible activation des dépôts non libres, Apt se chargeant ensuite du reste, y compris des mises à jour.

    L’installateur de la distribution, actuellement en RC1, a reçu d’autres évolutions, comme l’utilisation d’un firmware UEFI 32 bits quand le système se charge sur une machine AMD64, l’abandon de win32-loader, le support de Windows 11 dans la détection du multiboot, la prise en charge d’EFI Zboot sur les machines ARM64, ainsi que quelques remaniements visuels pour adapter notamment l’interface au thème de Debian 12 (notamment le nouveau fond d’écran, nommé Emerald).

    Attention cependant, il reste quelques problèmes. Par exemple, la gestion des volumes LVM chiffrés peut échouer sur des ordinateurs ayant une faible quantité de RAM, de même que le mode « guided - use entire disk and setup LVM » peut bloquer sur des systèmes UEFI.

    Environnements de bureau

    Voici probablement le point sur lequel les personnes se servant de Debian verront les plus gros changements. Comme pour les versions du noyau, Debian ne change en effet pas de version d’un environnement de bureau pendant son cycle de vie. Mettre à jour vers une mouture majeure de Debian signifie donc de nombreuses nouveautés, selon ce que l’on utilise.

    GNOME est ainsi présent en version 43. La version 44 est sortie trop récemment en version finale pour pouvoir être intégrée, le « hard freeze » (gel de la liste des composants) de Debian 12 étant intervenu le 12 mars. Mais même ainsi, c’est un bond conséquent : Debian 11 est fournie avec GNOME 3.38 et n’a donc pas connu la branche 4X de l’environnement. Or, toutes ces versions ont apporté de nombreuses nouveautés, en particulier les moutures 40 et 41.

    GNOME 40 bascule les bureaux virtuels à l’horizontale sur les écrans multiples GNOME 41 prend le relai avec de nombreuses améliorations

    Même constat pour les autres environnements, que l’on peut choisir à l’installation du système. KDE Plasma est ainsi fourni en version 5.27 et est rejoint par LXDE 11, LXQt 1.2, MATE 1.26 ou encore Xfce 4.18. Il s’agit à chaque fois des dernières révisions stables disponibles au moment du hard freeze.

    Applications et modules développeurs

    La philosophie générale de Debian est très bien illustrée par les choix des versions pour les applications et autres modules. Cas emblématique, Firefox est présent dans sa révision 102.9, autrement dit la dernière ESR (Extended Support Release). Même chose pour LibreOffice, présent en version 7.4.4, la branche 7.5 étant trop récente (ce qui correspond d’ailleurs aux propres recommandations de la Document Foundation).

    Côté développement, on note tout particulièrement l’arrivée de Python 3.11 et l’abandon de python2. On y trouve aussi LLVM 15 (la version 16 est présente dans des distributions plus rapides comme Ubuntu 23.04 et Fedora 38, toutes deux en bêta), OpenJDK 11.6, PHP 8.2 ou encore Samba 4.17.

    Support du matériel

    C’est l’un des points forts de Debian : on peut l’installer sur pratiquement n’importe quoi. Debian profite du noyau Linux 6.1 qui apporte, comme nous l’avons mentionné, de nouveaux pilotes pour des processeurs, GPU et SoC ARM supplémentaires.

    Plus spécifiquement, Debian 12 prend en charge de nombreux nouveaux appareils ARM comme les Banana Pi BPI M2 Ultra, ODROID-C4, ODROID-HC4, ODROID-N2, ODROID-N2+, le smartphone Linux Librem 5r4 (Evergreen), ainsi que le pc portable modulaire MNT Reform Version 2.

    Bookworm apporte également le support de nouveaux appareils RISC-V comme le SiFive HiFive Unmatched, le BeagleV Starlight Beta et le Microchip PolarFire-SoC Icicle Kit.

    Dans l’ensemble, Debian 12 s’annonce comme une énorme mise à jour et une évolution majeure de la plateforme. La version finale est attendue pour ce trimestre, mais sans plus de précisions pour l’instant.

    Source : nextinpact.com

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    https://korben.info/activez-windows-xp-en-2023-le-retour-dune-legende.html

    Bien que cette méthode puisse être pratique pour certains nostalgiques de Windows XP, il est important de noter que l’installation d’un système d’exploitation aussi ancien sur un appareil connecté à Internet est fortement déconseillée, puisqu’il présente des risques de sécurité importants puisqu’il n’est plus pris en charge ou mis à jour par Microsoft.

    Bref, pensez à utiliser une machine virtuelle pour faire fonctionner Windows XP sur votre ordinateur actuel, ce qui vous permettra de rester en sécurité.

    Pour ceux qui sont curieux et qui souhaitent en savoir plus sur cette méthode d’activation, vous pouvez en découvrir davantage sur le blog tinyapps.