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    @indigostar Put*** d’Etat policier. Allez nos chers dirigeants… encore un petit effort, et nous n’aurons plus besoin de lire du Georges Orwell. D’ailleurs, ce sont peut-être les mêmes qui ne le lisent pas qui votent pour vous.

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    Les emplacements des utilisateurs de l’application de rencontres ont été collectés et vendus depuis au moins 2017

    Grindr est une application de rencontre conçue pour les hommes homosexuels, bisexuels ou bicurieux disponible sur iOS, Blackberry OS et Android. Elle permet de discuter et d’échanger avec des hommes géolocalisés. L’application est numéro au monde et revendiquait en 2021 plus de 6 millions d’utilisateurs dans 192 pays. En 2022, elle a dépassé la barre des 10 millions de téléchargement sur Play Store. À la vue de ces chiffres, on peut imaginer la quantité d’informations utilisateurs dont dispose la société.

    Le partage des données utilisateurs

    Pour mémoire, en janvier 2018, Beijing Kunlun Tech qui détenait déjà 60 % du capital de Grindr LLC d’une valeur de 93 millions de dollars à ce moment-là, acquis en janvier 2016, a racheté la totalité de l’entreprise pour 152 millions de dollars supplémentaires. Cependant, ce n’est pas l’achat de Grindr, basé à West Hollywood avec plus de 27 millions d’utilisateurs, dont 4,5 millions actifs par jour, qui semble poser problème. En effet, malgré les assurances données à la Commission sur l’investissement étranger aux États-Unis (CFIUS) que la société chinoise n’aurait pas accès aux données sensibles des Américains par l’intermédiaire de ses bureaux en Chine, l’acquisition a entraîné une réduction rapide de son personnel d’ingénierie américain par des départs et licenciements. Beijing Kunlun a également mis un accent accru sur le développement et le traitement des données dans son bureau de Beijing, a déclaré un ancien employé connaissant bien la décision.

    Les préoccupations relatives à la protection des données personnelles ont été au cœur de l’enquête de CFIUS au départ. Reuters a rapporté en mars 2019 que CFIUS se concentrait sur l’ensemble des données sensibles que Grindr recueille sur ses utilisateurs : emplacement, préférences sexuelles, statut VIH et photos qui sont échangées lors des discussions. Les autorités américaines craignaient également que le gouvernement chinois puisse facilement exiger que Kunlun lui communique ces données, bien qu’elle soit une société privée.

    Mais, selon Reuters, ce sont des entretiens avec plus d’une douzaine de sources connaissant les activités de Grindr, y compris les anciens employés, qui ont pour la première fois mis en lumière ce que l’entreprise chinoise faisait des données sensibles sur les citoyens américains et comment elle a ensuite essayé d’arranger les choses pour sauver son application. En effet, pendant que la société chinoise réorganisait Grindr, certains ingénieurs de l’entreprise à Pékin ont eu accès à la base de données des utilisateurs pendant plusieurs mois, d’après les huit anciens employés.

    C’est au début de 2018 que CFIUS qui est chargé d’examiner les acquisitions étrangères de sociétés américaines a commencé à examiner l’accord de Grindr pour voir s’il soulevait des risques pour la sécurité nationale, selon une source proche de la société. En septembre 2018, l’organisme a ordonné à Kunlun de restreindre l’accès de ses ingénieurs basés à Pékin à la base de données de Grindr, selon la même source. Toutefois, une porte-parole de Grindr a déclaré que « la confidentialité et la sécurité des données personnelles de nos utilisateurs sont et seront toujours une priorité absolue ».

    N’empêche qu’en avril 2018, l’application de rencontre gay a partagé le statut sérologique de ses utilisateurs avec des entreprises tierces. Le site américain BuzzFeed News a rapporté en avril 2019 que Grindr aurait transmis le statut VIH des personnes inscrites sur ce réseau à deux entreprises, Apptimize et Localytics. Après la révélation de l’affaire, Grindr avait reconnu que « la révélation d’un statut VIH peut être un sujet sensible » et avait interrompu le partage de ces données. Mais cela n’a pas empêché l’application de continuer d’exposer l’emplacement de ses utilisateurs ainsi que d’autres informations de profil y compris le statut VIH. Grindr a même fait l’objet de poursuite aux USA en janvier 2019 par un utilisateur après des mois de harcèlement au travers de Grindr pour iOS et Android.

    Mise en vente des données de géolocalisation depuis un réseau publicitaire

    Les mouvements précis de millions d’utilisateurs de l’application de rencontres Grindr ont été collectés à partir d’un réseau publicitaire numérique et mis en vente, selon des personnes proches du dossier.

    Les informations étaient disponibles à la vente depuis au moins 2017, et des données historiques peuvent encore être obtenues, ont déclaré les sources. Grindr a coupé il y a deux ans le flux de données de localisation vers tous les réseaux publicitaires, mettant ainsi fin à la possibilité d’une telle collecte de données aujourd’hui, a déclaré la société.

    La disponibilité commerciale des informations personnelles, qui n’a pas été signalée auparavant, illustre le marché florissant des détails parfois intimes sur les utilisateurs qui peuvent être récoltés à partir d’appareils mobiles. L’année dernière, un responsable catholique américain a été dénoncé en tant qu’utilisateur de Grindr dans un incident très médiatisé qui impliquait l’analyse de données similaires.

    Les responsables de la sécurité nationale ont également fait part de leur inquiétude à ce sujet : les données de Grindr ont été utilisées dans le cadre d’une démonstration pour diverses agences gouvernementales américaines sur les risques liés au renseignement des informations disponibles dans le commerce, selon une personne impliquée dans la présentation.

    Les clients d’une société de publicité mobile ont pu pendant des années acheter des données de mouvement de téléphone en masse qui comprenaient de nombreux utilisateurs de Grindr, ont déclaré des personnes proches du dossier.

    Les données ne contenaient pas d’informations personnelles telles que des noms ou des numéros de téléphone. Mais les données de Grindr étaient dans certains cas suffisamment détaillées pour déduire des choses comme des rencontres amoureuses entre des utilisateurs spécifiques en fonction de la proximité de leur appareil les uns par rapport aux autres, ainsi que pour identifier des indices sur l’identité des personnes telles que leurs lieux de travail et leurs adresses personnelles en fonction de leurs schémas, habitudes et routines, ont déclaré des personnes familières avec les données.

    « Depuis début 2020, Grindr a partagé moins d’informations avec des partenaires publicitaires que n’importe laquelle des grandes plateformes technologiques et la plupart de nos concurrents », a déclaré Patrick Lenihan, porte-parole de Grindr. Il a déclaré que la société payait un prix pour la réduction des données partagées, y compris une moindre qualité des publicités pour les utilisateurs et une baisse des revenus. Lenihan a ajouté : « Les activités qui ont été décrites ne seraient pas possibles avec les pratiques de confidentialité actuelles de Grindr, que nous avons mises en place depuis deux ans ».

    Les données de géolocalisation sont de plus en plus utilisées pour des raisons qui vont au-delà de leur objectif. Plus tôt cette année, des chercheurs ont repéré des signes de l’invasion russe en Ukraine avant qu’elle ne soit connue du public en regardant les fonctionnalités de Google Maps conçues pour montrer les retards de circulation. Google a ensuite désactivé ces fonctionnalités pour éviter qu’elles ne soient exploitées de manière à affecter la sécurité des personnes sur le terrain.

    Grindr en 2019 a déclaré qu’il s’agissait de la plus grande application de réseautage social au monde pour les personnes gay, bi, trans et queer, avec « des millions d’utilisateurs quotidiens qui utilisent notre technologie basée sur la localisation dans presque tous les pays aux quatre coins de la planète ».

    L’entreprise ne pensait pas que le partage de ce type de données poserait un risque pour la vie privée

    Lorsque l’entreprise a commencé à partager les données de localisation de ses utilisateurs avec les réseaux publicitaires, les dirigeants de l’entreprise pensaient que les données ne posaient pas ce type de risques pour la vie privée, selon un ancien cadre supérieur. À l’époque, les dirigeants de l’industrie de la publicité avaient déclaré à Grindr que les publicités hyperlocales pour les établissements situés juste à côté de leurs utilisateurs allaient remodeler les budgets marketing, a déclaré l’ancien employé.

    L’idée était que, grâce à ce que l’on appelle des échanges d’annonces en temps réel, les utilisateurs recevraient des messages ciblés sur les restaurants, les bars ou les hôtels les plus proches.

    Le fonctionnement des enchères en temps réel est que chaque fois qu’un utilisateur de smartphone ouvre une application ou un site Web disposant d’un espace publicitaire, l’appareil partage des données sur le téléphone avec un réseau publicitaire pour aider à micro-cibler les publicités. Ces données peuvent inclure l’emplacement géographique précis du téléphone, si l’utilisateur a autorisé une application à le connaître, ainsi que des données démographiques sur le propriétaire et des journaux détaillés sur l’état du téléphone. La plupart des utilisateurs choisissent de partager leur emplacement avec Grindr afin d’être connectés avec d’autres utilisateurs à proximité. Cette fonctionnalité est ce qui l’a rendue attrayante en tant qu’application lors de sa création en 2009.

    Dans un processus informatisé qui se déroule en quelques millisecondes, les annonceurs enchérissent sur la diffusion d’une annonce et le plus offrant l’emporte. Les consommateurs ignorent en grande partie que le processus se produit sur leurs appareils chaque fois qu’ils chargent une application ou une page Web ou combien de données sont partagées avec des tiers.

    La plupart des applications participent à des échanges d’annonces en temps réel qui exposent leurs détails à des centaines ou des milliers de parties inconnues. Cependant, Grindr et d’autres applications conçues pour encourager les utilisateurs à partager leur emplacement génèrent des ensembles de données particulièrement spécifiques qui peuvent être utilisés pour reconstruire des données sur des utilisateurs individuels.

    Être gay reste un crime dans un certain nombre de pays à travers le monde et de tels ensembles de données pourraient mettre les gens en danger de poursuites et de sanctions, la peine dans certains pays étant la mort. Grindr a déclaré qu’il ne diffusait pas d’annonces dans les régions où être gay est illégal, ce qui empêche les informations de ces utilisateurs d’échanger des publicités.

    Même dans les pays où être gay est légal, cela peut toujours rester une menace de chantage pour ceux qui ne le vivent pas ouvertement. Le gouvernement américain est intervenu pour forcer une entreprise chinoise à se départir de Grindr pour des raisons de sécurité nationale en 2019, citant le risque de chantage à l’aide des données de l’application et la possibilité que le gouvernement chinois utilise les données de l’application à des fins de surveillance.

    Ces risques ne sont pas hypothétiques.

    Source : WSJ, developpez.com

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    En raison des critiques sur leur plus-value sociale et leur impact environnemental

    La communauté Wikipédia annonce de façon officielle qu’elle arrête d’accepter les dons en monnaies cryptographiques. Le positionnement fait suite à un vote en interne dont le verdict est tombé le 12 avril dernier : 232 votants pour l’arrêt de l’acceptation de dons en cryptomonnaies et 94 contre. La communauté Wikipédia vient allonger une liste d’organisations qui s’interdisent d’assumer les monnaies cryptographiques en raison de critiques récurrentes sur leur plus-value sociale et leur impact sur l’environnement.

    « La Fondation Wikimedia a décidé de ne plus accepter directement les cryptomonnaies comme moyen de faire des dons. Nous avons commencé notre acceptation directe des cryptomonnaies en 2014 sur la base des demandes de nos bénévoles et de nos communautés de donateurs. Nous prenons cette décision sur la base des commentaires récents de ces mêmes communautés. Plus précisément, nous allons fermer notre compte Bitpay, ce qui supprimera notre capacité à accepter directement les cryptomonnaies comme méthode de don.
    Nous continuerons à surveiller cette question et nous apprécions les commentaires et la considération accordés à cette question en constante évolution par les personnes du mouvement Wikimedia. Nous resterons flexibles et réactifs aux besoins des bénévoles et des donateurs. Merci encore à tous ceux qui ont fourni des informations précieuses sur ce sujet de plus en plus complexe et changeant », précise-t-elle.

    Mozilla, l’organisation à but non lucratif qui édite le navigateur web Firefox, avait de la même façon annoncé qu’elle n’accepte plus les dons en cryptomonnaies suite à une réaction négative importante provoquée en partie par l’initiateur principal du projet Mozilla, Jamie Zawinski.

    « La semaine dernière, nous avons rappelé sur Twitter que Mozilla accepte les dons en cryptomonnaies. Cela a conduit à une discussion importante sur l’impact environnemental des cryptomonnaies », avait indiqué l’organisation qui avait ajouté qu’elle « examinerait en quoi sa politique actuelle sur les dons en cryptomonnaies correspond à ses objectifs climatiques. » Elle a donc mis une pause sur les paiements depuis lors.

    Réaction de Zawinski dans un billet de blog où il avait maintenu ses critiques acerbes : « Je suis heureux du rôle que j’ai pu jouer pour qu’ils annulent cette terrible décision. Les cryptomonnaies ne sont pas seulement un désastre écologique apocalyptique et un système pyramidal encore plus fou, mais elles sont aussi incroyablement toxiques pour le web ouvert, un autre idéal que Mozilla avait l’habitude de soutenir. »

    La décision de Mozilla faisait suite à celle de Tesla d’arrêter d’accepter le bitcoin comme moyen de paiement pour l’achat des véhicules. Le motif : lutter contre le réchauffement climatique. En effet, le bitcoin figure dans la liste des potentielles causes de coupures d’électricité en Iran. Si l’on considère le réseau Bitcoin comme un pays, alors ce dernier consomme plus d’énergie électrique par an que l’Argentine tout entière. C’est l’une des plus grosses tares que le réseau sous-jacent à la célèbre monnaie cryptographique traîne.

    La consommation d’énergie du réseau Bitcoin n’est pas un bogue. Elle est liée au mécanisme d’émission des jetons. Dans le jargon de la cryptomonnaie, le processus prend le nom de minage. Le principal problème qui découle de cette méthode de validation des transactions est sa lourdeur de fonctionnement. La preuve de travail, qui demande un consensus global de chaque nœud sur la blockchain, requiert une quantité d’énergie considérable. Cet algorithme demande à chaque nœud de résoudre un puzzle cryptographique.

    Ce puzzle est résolu par les mineurs qui entrent dans une sorte de compétition de laquelle le gagnant ressort avec une récompense en bitcoins. Cette récompense est accordée à un mineur lorsqu’il trouve le hash qui permettra la création d’un nouveau bloc. Mais trouver ce hash devient de plus en plus compliqué et nécessite l’usage d’un nombre chaque fois plus élevé de machines. C’est la raison pour laquelle certains construisent des fermes de minage, d’où les publications qui s’enchaînent et qui font état d’importantes consommations du « pays Bitcoin ». À ce jour, il consomme 121,36 TWh par an, selon l’analyse de l’université de Cambridge. Cette consommation devrait être revue à la hausse à l’avenir quand on prend en compte le fait qu’une augmentation du prix de la cryptomonnaie entraîne une augmentation de l’énergie nécessaire pour le minage. De même, les émissions de gaz à effet de serre dues au fonctionnement du réseau Bitcoin iront croissant. C’est en raison de l’importance de cette consommation que ses détracteurs sont d’avis que « le bitcoin ne rend pas de réel service à l’humanité. »

    Source : Wikimedia, developpez.com

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    “Audiogalaxy”

    Oulala, là tu m’as carrément mis en mode nostalgie là Tristan lol.

    En tous cas content de te lire de temps à autre l’ami 😉

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    Bref, tant que tu ne désinstalles pas toi-même IE des machines des gens, ils continueront à penser que c’est un navigateur digne de ce nom et à faire comme si que rien n’était :siffle:

    Par contre, ils ont oublié de mentionner « Windows 10 » dans le titre de la news.
    Car pour ceux restés bloqués sur d’anciens OS, c’est « rien de nouveau sous le soleil » !

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    terrorisme numérique, la nouvelle étape :hihi:

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    C’estt une horreur !

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    En parlant de coca-cola,le saviez-vous que le coca est à l’origine une invention française d’un pharmacien corse qui eut l’idée de mélanger du vin et des feuilles de coca et déposée en 1863,donc bien avant le fameux coca-cola créé en 1886 par un autre pharmacien aux Etats-Unis qui à copié la boisson corse avant de changer la formule qui deviendra le coca-cola…

    https://www.rtl.fr/culture/culture-generale/savez-vous-pourquoi-le-cocacola-n-aurait-jamais-existe-sans-la-corse-7900092999

    https://media.sudouest.fr/2333502/1200x-1/le-vin-mariani.jpg?v=1619797748

  • Survivre à une coupure d’internet

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    @raccoon Oups ! désolé, avant de poster j’avais fait une recherche “internet” pas “fibre optique”…

    Je lis trop de trucs pour me souvenir toujours de où.

    Ton article est bien plus complet, j’encourage les intéressés à le lire, parce que qui sait de quoi demain sera fait.

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    Je pense qu’on a déjà tous fait l’expérience que les idées viennent plus facilement si on laisse dériver un peu son esprit.

  • Un son et lumières avec votre Tesla

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    Un problème des voitures électriques, c’est l’autonomie…
    La mienne, par exemple, a une autonomie de 10 mètres… normal, je n’ai pas de câble plus long.

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    Meta a vu son bénéfice net baisser de 21% au premier trimestre, mais le marché s’attendait à pire pour la maison mère de Facebook et Instagram.

    Meta a gagné des utilisateurs et réalisé des profits trimestriels meilleurs qu’attendus par le marché dans un contexte économique et politique compliqué pour la maison mère de Facebook et Instagram. Le groupe californien a dégagé 7,47 milliards de dollars (7,24 milliards de francs) de bénéfice net au premier trimestre, un résultat en baisse de 21% sur un an, pour un chiffre d’affaires frôlant les 28 milliards de dollars (+7%).

    Son titre bondissait de 18% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York. Surtout, il n’a pas de nouveau perdu des utilisateurs. Ces chiffres étaient très attendus des investisseurs après ceux de février, quand le réseau social avait admis avoir perdu, pour la première fois, environ un million d’utilisateurs quotidiens actifs en trois mois.

    Fin mars, Facebook comptait 1,96 milliard d’utilisateurs quotidiens, contre 1,93 fin décembre 2021, d’après le communiqué de résultats de l’entreprise. Et quelque 3,64 milliards de personnes dans le monde se servent d’au moins une des plateformes du groupe (Facebook, Instagram, Messenger, WhatsApp) tous les mois.

    Mais Meta doit quand même «faire face à la réalité: la croissance des utilisateurs de Facebook stagne», a souligné Debra Aho Williamson, analyste chez eMarketer. «Il revient donc à Instagram de servir de moteur de croissance», a-t-elle ajouté. «Le métavers génère beaucoup de presse, mais Horizon Worlds, la plateforme sociale en réalité virtuelle de Meta, ne compte que quelques centaines de milliers d’utilisateurs à ce stade».

    Dans l’immédiat, le deuxième acteur mondial de la publicité en ligne fait néanmoins face à de nombreux vents contraires. Les règles imposées par Apple l’année dernière – pour empêcher les applications de récolter sans permission des données sur les utilisateurs à des fins publicitaires – affectent les résultats financiers de Meta.

    La très populaire application concurrente TikTok grignote des parts d’audience à toutes les grandes plateformes, de YouTube à Instagram, qui ont copié ses formats de vidéos courtes et amusantes (avec les «YouTube Shorts» et les «Reels», respectivement).

    Source et plus: https://www.lematin.ch/story/meta-rassure-au-premier-trimestre-mais-lavenir-reste-incertain-700880421179

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    Peut-être que quelqu’un dans l’entreprise est devenu un peu arrogant et a pensé qu’il tenait “Dieu par la barbe”…

    Eh bien, le pouvoir derrière les “maîtres banquiers” a montré à bookface qui fait partie de la jeune et croissante élite
    “bigtech” qui est le vrai boss!

    Le métavers de Zuckerberg s’intègre bien ici.
    On dirait qu’ils préparent déjà la réalité virtuelle pour qu’un “Macron” bionumérique puisse y vivre^^

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    Les mises à jour de Plasma Mobile pour les mois de mars à avril 2022 sont publiées, dans le sillon de KDE Gear 22.04. Voici les principales nouveautés annoncées.

    C’est quoi Plasma Mobile ?

    Plasma Mobile est une plate-forme libre pour les appareils mobiles. Elle est fournie pour différentes distributions (postmarketOS, Manjaro, openSUSE) et peut fonctionner sur les appareils pris en charge par la distribution.

    Il tourne par exemple sur le PinePhone, avec le système Manjaro.

    Nouveautés de Plasma Mobile Gear 22.04

    Vous pouvez désormais changer d’écran d’accueil. L’objectif final est de permettre à des écrans d’accueil tiers d’être distribués sur la boutique KDE.

    Kalendar, dont nous vous parlions en février, fait maintenant partie du calendrier des versions de KDE Gear et se fonde aussi dans l’environnement mobile.

    Une nouvelle fonctionnalité permet de réorganiser les paramètres rapides dans le tiroir d’action dans le module de paramètres “Shell”. Des animations plus réactives de pression sur les paramètres rapides ont été ajoutées pour fournir plus de contraste que le simple changement de couleur.

    La double animation qui se produit lors de l’activation et de la réduction des applications a été corrigée. Le bogue qui empêchait parfois le panneau des tâches d’occuper toute la largeur de l’écran en raison de changements d’échelle a été corrigé.

    Le tiroir d’action peut désormais être ouvert à partir de l’écran de verrouillage avec des autorisations restreintes. Il se ferme désormais lorsque vous appuyez sur un espace vide qui ne fait pas partie du tiroir.

    Le lecteur multimédia prend désormais en charge les flux simultanés, de sorte que la lecture simultanée de plusieurs applications peut être contrôlée en même temps.

    Petite nouveauté : Tokodon est un client pour Mastodon, la plateforme de micro-blogging open source et décentralisée. Les développeurs ont travaillé notamment sur le visualisateur de profil d’utilisateur, qui affiche désormais toutes les informations disponibles dans l’API de Mastodon.

    Vous trouverez l’ensemble des nouveautés sur cette page.

    Télécharger Plasma Mobile Gear

    Plasma Mobile Gear est proposé en combinaison avec certaines distributions GNU/Linux, dont la liste se trouve sur cette page :
    - Manjaro ARM
    - postmarketOS, dont nous vous parlions dans notre édition du 22 janvier 2022
    - openSUSE

    Source : toolinux.com

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    J’aurais bien aimé voir la tête de l’agent d’assurances en recevant le constat à l’amiable :mouhaha:

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    La dernière version de Proton 7.0.2 va ravir ceux qui souhaitent utiliser des jeux Windows sur un système Linux. Aux côtés d’une série de corrections de bugs et de mises à niveau, une vingtaine de nouveaux titres font leur apparition dans la liste de compatibilité.

    Atelier Ayesha sous Linux avec le nouveau Proton

    Valve a libéré, ce 21 avril, Proton 7.0.2, une version de correction, permettant à de nouveaux titres d’être compatibles avec Linux via Steam Play.

    C’est quoi Proton de Valve ?

    Proton est un outil permettant au client Steam de faire tourner des jeux Windows depuis un système d’exploitation Linux. Il utilise Wine pour ce faire. En outre, il est gratuit et open source

    Quoi de neuf dans Proton ?

    La nouvelle version 7.0.2 apporte une série de mises à niveau, dont Wine Mono 7.2.0, vkd3d-proton v2.6 et dxvk-nvapi to v0.5.4. Resident Evil Revelations 2 peut désormais tourner correctement sur la Steam Deck.

    Quels sont les nouveaux jeux disponibles ?

    Proton 7.0.2 ajoute 19 nouveaux jeux à la liste de compatibilité :

    - Atelier Ayesha
    - Devil May Cry HD Collection
    - Dragon Quest Builders 2
    - A Way Out
    - Fall in Labyrinth
    - King of Fighters XIII
    - Montaro
    - ATRI -My Dear Moments-
    - Guilty Gear Isuka
    - INVERSUS Deluxe
    - Metal Slug 2 and 3 and X
    - One Shot and One Shot : Fading Memory
    - Call of Duty Black Ops 3
    - Saint Seiya : Soldiers’ Soul
    - Medieval Dynasty
    - Bright Memory : Infinite
    - Double Dragon Trilogy
    - Baseball Stars 2
    - Elden Ring

    Obtenir Proton de Valve

    Il est possible de télécharger les sources depuis le compte Github de Proton (Valve). Pour un paquetage prêt à l’emploi, il faut se reporter aux dépôts de votre distribution Linux. Les sources sont disponibles au format ZIP.

    Source : toolinux.com

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    j’espere que le mec a pas garder les copies des faux envoyer, sinon les gens ayant acheter chez lui risque des emmerdes

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    Le Groupement hospitalier Cœur Grand Est est victime d’une cyberattaque depuis mardi. Les centres hospitaliers de Saint-Dizier et Vitry-le-François sont concernés. Vingt-cinq gigas de données se retrouvent en vente sur le darkweb. Deux cellules de crise sont opérationnelles.

    Il y a déjà eu des problèmes informatiques qui peuvent toucher n’importe qui au quotidien, entre une mise à jour défectueuse, une restauration de données, des cartes graphiques endommagées… Mais pour la première fois, le système informatique du Groupement hospitalier de territoire (GHT Cœur Grand Est) a été victime d’une cyberattaque. « C’est le service cyber-veille du ministère de la Santé qui nous a alertés mardi 19 avril », explique Jérôme Goeminne, directeur général du GHT.

    Deux attaques qui concernent en particulier les centres hospitaliers (CH) de Saint-Dizier et Vitry-le-François.

    Le piratage

    Concrètement, 25 Go de données administratives du CH de Vitry ont été copiés par les pirates informatiques, dont leur origine « serait de l’Europe de l’Est ». Données que l’on retrouve depuis peu en vente sur le darkweb, un réseau Internet parallèle illicite. « Nous avons reçu une demande de rançon de 1,3 millions de dollars. Nous ne donnerons pas suite », évoque en toute transparence Jérôme Goeminne.

    En revanche, rien à signaler sur les dossiers médicaux des patients. Les concernant, les pirates n’ont mis la main que sur une centaine de courriers, de type Word, qui traînaient sur les bureaux (espace de travail de l’ordinateur) et leur avaient été envoyés.

    Concernant le CH de Saint-Dizier, les conséquences ne sont pas clairement établies. Pour l’heure, aucune donnée ne semble avoir été copiée.

    Les conséquences

    Depuis mardi 19 avril, « nous sommes en confinement numérique », ajoute le directeur général du GHT. Une décision prise pour l’ensemble des établissements du groupement, pour circonscrire au maximum le risque d’atteinte en dehors de Saint-Dizier et Vitry-le-François. De ce fait, tous les liens Internet – internes comme externes – ont été coupés pour une question de vigilance. Les échanges avec l’ensemble des établissements et des prestataires s’opèrent donc par fax, téléphone… « Les différents logiciels sont tous fonctionnels », ajoute Jean-Pascal Collinot, chef de pôle territorial.

    Sur le terrain, on s’adapte. Comme nous l’explique Céline Laroche, coordinatrice générale des soins : « Le personnel paramédical n’a pas de difficultés particulières grâce à leurs capacités d’adaptation. Il faut juste davantage de vigilance et une organisation physique différente pour ce retour aux méthodes anciennes, qui prend un peu plus de temps. »

    Jérôme Goeminne souligne que « la prise en charge des patients reste garantie et sécurisée ». Seule subtilité pour les suspicions d’AVC à Verdun.

    Les risques futurs

    Parmi les données copiées, on retrouve des codes d’accès, des numéros de Sécurité sociale, des adresses mails, des coordonnées bancaires (toutefois inexploitables). Les risques à l’extérieur sont modérés. « Nous allons alerter nos patients et nos prestataires sur les risques de phishing et d’hameçonnage. » Les seuls points sur lesquels les pirates ou acheteurs de ces données pourraient tirer profit.

    Une éventuelle perte de recettes est également envisagée. Mais comme le confiait le directeur général du GHT, « l’Etat et l’Agence de santé du Grand Est nous soutiendront ».

    La suite

    Soixante-douze heures après les alertes, les équipes mobilisées cherchent toujours à comprendre l’origine de la faille. Les investigations se poursuivent. « La durée de rétablissement peut varier entre quelques semaines et quelques mois, pour être certain du rétablissement total », estime Frédéric Lutz, directeur général adjoint. Jérôme Goeminne joue la carte de la prudence et parle « d’un trimestre ».

    Prochainement, au sein du Groupement hospitalier de territoire, les principaux enjeux organisationnels concernent le versement des payes du mois de mai, ainsi que les factures aux entreprises.

    Source : jhm.fr

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    Le navigateur Brave, déploie une nouvelle fonctionnalité appelée De-AMP, qui permet à ses utilisateurs de contourner les pages AMP hébergées par Google et de visiter directement la page conçue par un éditeur. DuckDuckGo fait aussi le ménage sur son moteur de recherche.

    AMP - Accelerated Mobile Pages - est une norme HTML non standardisée, développée et diffusée par Google. Il s’agit d’une structure de composants Web que vous pouvez utiliser, selon l’entreprise de Mountain View, pour “créer facilement des sites Web, des articles, des e-mails et des annonces axés sur l’utilisateur”.

    Faux, rétorque-t-on chez Brave ! " AMP porte atteinte à la vie privée des utilisateurs, à leur sécurité et à leur expérience de l’internet, et, tout aussi grave, AMP permet à Google de continuer à monopoliser et à contrôler l’orientation du Web."

    Brave introduit De-AMP

    Le navigateur entend mieux “protéger ses utilisateurs contre AMP”. Dans la mesure du possible, la nouvelle fonctionnalité De-AMP réécrira les liens et les URL pour empêcher les utilisateurs de visiter les pages AMP. Dans les cas où cela n’est pas possible, Brave va tout de même surveiller la récupération des pages et redirigera les utilisateurs, “empêchant le code AMP/Google d’être chargé et exécuté”.

    “Tout d’abord, Brave modifiera les pages recherchées qui renvoient fréquemment vers des pages AMP, afin que les liens pointent vers les versions natives des pages au lieu des versions AMP de ces mêmes pages. Un exemple : Google Search. Lorsque la fonction De-AMP est activée dans Brave, ces pages pourront interagir normalement avec ces pages, avec l’avantage de ne jamais être forcées (ou piégées) à visiter des pages AMP.”
    Quel est le problème ?

    Réponse dans l’article de blog “De-AMP : Cutting Out Google and Enhancing Privacy” :

    - AMP est “nuisible à la vie privée : (…) AMP encourage les développeurs à s’intégrer plus étroitement aux serveurs et systèmes de Google, et pénalise les éditeurs qui ne le font pas en réduisant leur classement dans les moteurs de recherche, ce qui permet à Google de suivre et de profiler les utilisateurs”
    - AMP est “mauvais pour la sécurité : les utilisateurs pensent qu’ils interagissent avec l’éditeur, alors qu’en réalité, l’utilisateur est toujours sous le contrôle de Google”
    - AMP favorise “la monopolisation du Web : AMP encourage une plus grande partie du Web à être servie par les serveurs de Google, sous le contrôle de Google et avec des normes arbitraires. Il permet également à Google d’exiger que les pages soient construites d’une manière qui profite aux systèmes publicitaires de Google”.
    - AMP est “un élément néfaste pour les performances et la convivialité : Google sait qu’ AMP n’améliore que la ‘médiane des performances’ et que les pages AMP peuvent se charger plus lentement que les autres techniques d’optimisation”.

    Activer De-AMP dans Brave

    De-AMP est déjà disponible dans nos versions Nightly et Beta du navigateur Brave. La fonction sera activée par défaut dans les prochaines versions 1.38 Desktop (Windows, macOS et Linux) et Android, et sera disponible sur iOS peu après.

    Les utilisateurs qui souhaitent continuer à consulter les versions AMP des pages peuvent continuer à le faire en se rendant sur brave ://settings/shields et en désactivant De-AMP.

    DuckDuckGo contre AMP également

    Même son de cloche pour le moteur de recherche DuckDuckGo qui, le même jour, annonce
    une protection contre le suivi des pages AMP par Google.

    text alternatif

    Source : toolinux.com