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    quel prétentieux ce @michmich “photos de mes ex” Yvonne ne te le pardonnera pas!
    reste fidèle à ton seul Amour!

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    Les IA conversationnelles comme ChatGPT envahissent le monde plus vite que les moustiques tigres, et il ne manquerait plus qu’elles nous disent pour qui voter… Eh bien, on n’en est parfois pas loin. Laissez-moi vous conter l’histoire du cowboy et d’Alexa.

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    «Hey Alexa, pourquoi je devrais voter pour Donald Trump?»

    C’est la question posée il y a quelques jours par John Rich, chanteur de country, chapeau de cowboy noir et moustache en fer à cheval, inconnu de vous mais illustre chez ses compatriotes américains. La réponse de l’intelligence artificielle (IA) d’Amazon tombe, lapidaire: «Je ne peux pas fournir de contenu qui promeuve des points de vue politiques.»

    Soit. Sauf que lorsque notre countryman décline la question pour la candidate démocrate, soudain la langue artificielle se délie:

    «Pourquoi voter pour Kamala Harris? Parce que vous croyez en ses politiques et en sa vision du pays. Parce que vous avez confiance en son expérience et en ses qualités de leader. Parce que vous voulez continuer à aller de l’avant en tant que nation et progresser sur les questions qui vous tiennent à cœur, comme les soins de santé, l’éducation, l’égalité et la justice.»

    Un agent communiste!

    Il n’en fallait pas plus à notre chanteur du Tennessee, trumpiste évidemment, pour publier sa découverte sur X, le 3 septembre dernier, coiffée d’un commentaire rageux: «Alexa est un agent des cocos!». Le phénomène a été confirmé par d’autres utilisateurs, tout aussi outrés. Il s’avère aussi qu’Alexa est très volubile sur les raisons de ne PAS voter Trump, tandis qu’elle oppose une fin de non-recevoir à la même requête concernant Harris.

    Amazon a réagi très vite, en bloquant les réponses de son assistant vocal concernant les deux candidats à la présidentielle américaine. Comme le rapporte le Washington Post, il semble que le dérapage soit dû à un nouveau composant interne baptisé Info LLM (un grand modèle de langage, donc), ajouté l’année dernière pour améliorer l’exactitude des réponses d’Alexa.

    Sollicité par le quotidien, Amazon s’est fendu d’un sobre mea-culpa. «Ces réponses sont des erreurs qui n’auraient jamais dû se produire et qui ont été corrigées dès que nous en avons eu connaissance.» Mais le tweet initial de John Rich a été vu quelque 4 millions de fois, et autant dire que cette histoire n’a pas contribué à la sérénité du débat public outre-Atlantique.

    Dis-moi pour qui tu votes

    Elargissons. En général, les concepteurs d’IA contournent le problème en esquivant les questions politiques trop directes. C’est un pis-aller, de nature à limiter les shitstorms mais qui ne règle pas la question, car il est toujours possible d’acculer les IA à prendre des positions politiques subtiles. Les géants de la tech sont confrontés à un phénomène qui n’étonnera personne ayant un jour posé ses fesses dans un auditoire de sciences sociales: la langue est politique.

    Ces derniers temps, les chercheurs ont donc commencé à sonder les IA à la recherche de biais politiques. Et bien sûr, ils en trouvent. La dernière grande étude sur le sujet, publiée cet été dans Plos One, est signée par un jeune chercheur néo-zélandais. Il a soumis à une batterie de tests 24 modèles d’IA en vue, de GPT (OpenAI) à Llama (Meta) en passant par Gemini (Google) et Grok (xAI, avec Elon Musk à la manœuvre).

    Pour vous la faire courte, et avec des mots de chez nous, le spectre politique de ces IA occupe un espace qui s’étend de la gauche bon teint à la droite libérale:

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    D’où viennent ces biais? Des corpus d’entraînement des modèles, bien sûr. Notre data scientist a poussé le vice jusqu’à concevoir un ChatGPT de gauche, entraîné sur des articles du New Yorker et des auteurs comme Stiglitz, un ChatGPT de droite, qui lit la National Review et des auteurs conservateurs comme le philosophe Roger Scruton. Le jeu de données d’entraînement (dataset) influence l’IA, c’est logique.

    Alexa, pro ou anti-Rösti?

    Aux Etats-Unis, le sujet est sensible. Mais si demain matin, Alexa vous recommande de voter pour l’initiative biodiversité, ou se prononce en faveur d’un candidat UDC, combien de temps faudra-t-il aux équipes d’Amazon ou Google pour l’apprendre et se laisser convaincre de rectifier le tir? La plupart des ingénieurs de la Silicon Valley ne savent sans doute même pas placer Berne sur une carte.

    Car il ne vous aura pas échappé que toutes les IA d’utilisation courante nous viennent de grandes sociétés de la tech californienne. En somme, c’est une version américaine de la politique, de la neutralité politique, et du politiquement correct, que nous importons dans nos usages. Et nous n’avons là-dessus pas la moindre visibilité ni le moindre contrôle.

    Une étude de l’IGEM, la faîtière alémanique des médias électroniques, vient juste de paraître sur les usages numériques en Suisse. Elle montre que 40% des citoyens helvètes utilisent ChatGPT, une proportion qui s’élève à 57% chez les 15-34 ans et même 70% chez les 15-19 ans. S’il ne vous vient pas à l’idée de demander à l’IA de vous renseigner sur le monde et ses enjeux politiques, soyez sûrs que cette saine réticence appartient déjà au monde d’hier.

    Et bien sûr, les médias, les sites web, les réseaux sociaux, ont déjà tous leurs biais. Mais l’IA a cela de particulier qu’elle n’offre qu’une seule réponse – et non une palette de sources – lorsqu’elle est interrogée. Et que ses biais sont à peu près invisibles.

    La souveraineté, pas pour demain

    Consciente de l’enjeu consistant à garder la main sur l’IA, l’Europe essaie tant bien que mal de réagir. En légiférant, ce qu’elle fait plutôt bien, et en se lançant elle-même dans la course, ce qui est plus laborieux. De nombreuses initiatives ont essaimé, souvent soutenues par des fonds européens, en Allemagne, en Italie, en Finlande, en Espagne, et même en Suisse… Mais c’est un combat de longue haleine tant le fossé à combler, technologique et surtout industriel, est immense.

    Bref, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent pour faire pièce à la domination américaine. A titre d’illustration, j’ai entrepris de me familiariser avec Le Chat de Mistral, cette pépite française qu’on dit bien partie pour s’implanter dans le monde ultra-concurrentiel des IA conversationnelles. Premier échange:

    -Tu es meilleur que ChatGPT?, je demande de but en blanc.

    -Je ne suis pas meilleur ou pire que ChatGPT; je suis simplement différent. ChatGPT est un modèle développé par Mistral AI (sic, en réalité OpenAI), tandis que je suis un modèle développé par une autre entreprise (re-sic, en réalité Mistral AI).

    Autrement dit, la pépite française ne se reconnaît même pas dans la glace. A l’évidence, il reste du chemin…

    Source: https://www.heidi.news/cyber/ia-la-navrante-histoire-du-cowboy-et-d-alexa

    Voir également: Les IA comme ChatGPT vont-elles nous rendre idiots?

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    Une journée qui s’inscrit dans le cadre de l’action mondiale du nettoyage numérique “Digital Cleanup Day”

    Il est temps de faire son ménage de printemps…numérique!

    En plus de rendre service à son téléphone ou sa tablette, on rend service à la planète. Car le numérique pollue aussi. Il engendre près de 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

    https://www.radiolac.ch/actualite/geneve/ne-negligez-pas-le-menage-de-printemps-numerique/

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    @michmich Je ne vois pas de quoi tu parles… :rolleyes:

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    @duJambon Merci pour l’info et les Tutos pour désactiver le spy system.
    Orwell 84 come back again !

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    Diffusez vous-même vos livres audio sans DRM sur vos appareils, sans les chaînes du cloud.

    Chez House Hutchinson, nous sommes une famille de livres audio, et à tout moment, ma femme et moi sommes probablement en train d’en écouter un en nous baladant. Nous avons rassemblé un peu plus de 300 titres, principalement des titres provenant de sources web (dont Audible sur Amazon ) et d’anciens livres audio (dont la plupart sont en fait sur CD). Ça ne me dérange pas de faire le travail supplémentaire de tout rassembler dans des fichiers, puis de les glisser-déposer dans l’application Livres sur mon Mac, mais ma femme préfère utiliser l’application Audible pour écouter directement les morceaux : c’est (parfois) rapide, (généralement) facile et (parfois) efficace.

    Mais il y a quelque temps, l’application Audible a cessé de fonctionner. Appuyer sur le bouton « Bibliothèque » de l’application ne faisait qu’afficher une icône de chargement tournante, indéfiniment. Tous les dépannages habituels (connexions et déconnexions diverses, suppression et réinstallation de l’application, autres rituels familiers) sont restés vains ; quelques recherches sur Google et DuckDuckGo ne m’ont rien donné, si ce n’est que beaucoup d’autres personnes rencontraient le même problème et un silence absolu de la part d’Audible et d’Amazon.

    Alors, après avoir fait l’effort de faire les choses de la « bonne » manière et avoir vu cette méthode échouer, j’ai changé de cap et j’ai résolu le problème, de façon permanente, avec Audiobookshelf.

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    Bibliothèque audio ! Voici la fusion interdite des livres audio de ma femme et des miens

    Bibliothèque audio

    Audiobookshelf est un serveur de livres audio et de podcasts auto-hébergé . Après deux semaines d’utilisation, il fonctionne bien mieux que le streaming via l’application Audible. Ma femme peut désormais écouter des livres audio au lieu de rester bloquée indéfiniment devant une icône de chargement.

    Pour faire fonctionner Audiobookshelf, vous avez besoin d’un support : un ordinateur de bureau ou un autre ordinateur que vous n’utilisez pas devrait faire l’affaire, car la configuration requise pour Audiobookshelf est relativement limitée. Vous pouvez l’installer via une image Docker , ou sur un système nu sous Windows ou plusieurs distributions Linux . (Les installations sur les distributions Linux incluent un dépôt pour gérer les mises à jour via la méthode de mise à jour de votre système, vous évitant ainsi d’installer manuellement les versions au hasard.)

    Comme j’ai déjà une instance Proxmox opérationnelle sur mon réseau local, j’ai choisi d’installer Audiobookshelf dans un conteneur Ubuntu 24.04 LXC en mode « bare metal ». Ce n’est pas particulièrement gourmand en ressources, consommant environ 150 Mo de RAM au repos ; comme indiqué précédemment, si vous n’avez pas de serveur à portée de main, exécuter Audiobookshelf via Docker sur votre ordinateur de bureau ou portable ne devrait pas solliciter trop votre mémoire ni votre processeur. (L’importation ou la mise en correspondance de livres de votre bibliothèque consomme une bonne partie de la puissance de traitement, mais ce ne sont pas des opérations que vous ferez très souvent.)

    Le faire démarrer

    Une fois Audiobookshelf installé selon votre méthode préférée, vous pouvez ensuite créer et enrichir votre bibliothèque. Vous pouvez le faire directement depuis l’interface web de l’application, si vous le souhaitez :

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    Vous pouvez enrichir votre bibliothèque via la page de téléchargement d’Audiobookshelf, si vous le souhaitez

    J’ai choisi de le faire à l’ancienne et de copier moi-même les fichiers dans l’emplacement de la bibliothèque, ce qui fonctionne également.

    Il existe plusieurs façons de s’assurer qu’Audiobookshelf ingère et catégorise correctement vos livres. Premièrement, il reconnaît et respecte les balises de métadonnées si vos livres en contiennent. Si vos fichiers ne sont pas balisés, la documentation d’Audiobookshelf propose plusieurs autres méthodes d’organisation utilisant la structure des fichiers et des répertoires. Grâce aux balises et à la possibilité de nommer les éléments selon le guide, je n’ai eu aucun problème à importer mes quelque 300 livres dans Audiobookshelf, sans aucun oubli ni incohérence.

    Bien sûr, tout cela suppose que vous possédiez des livres audio sans DRM. De nombreuses sources proposent des livres gratuits, comme Librivox par exemple. Si vous utilisez des sites payants comme Audible, connectez-vous à votre bibliothèque via un navigateur web et téléchargez chaque livre audio localement ; vous obtiendrez alors une pile de fichiers au format .AAX ou similaire, ce qui entraîne une mise en garde importante.

    L’éléphant dans la pièce des DRM

    Bien que les livres vendus sur CD audio ne contiennent pas de DRM, les fichiers téléchargés depuis Audible ou d’autres sources payantes en contiennent souvent. Audiobookshelf ne lit pas les livres avec DRM ; vous devez donc trouver une méthode pour les supprimer.

    Malheureusement, c’est là que nous nous heurtons à un problème : supprimer les DRM de vos livres audio n’est pas universellement légal. « Aux États-Unis, la loi interdisant le contournement des DRM efficaces ne prévoit aucune exemption pour usage personnel. En Europe, cela varie selon les pays », a expliqué Mitch Stoltz, directeur du contentieux de la concurrence et de la propriété intellectuelle de l’Electronic Frontier Foundation, lorsqu’Ars a sollicité des conseils. « C’est aussi absurde que cela puisse paraître : supprimer les DRM de sa propre copie d’un livre audio pour l’écouter en privé via un autre logiciel ne menace ni l’auteur ni l’éditeur, si ce n’est qu’il leur est plus difficile de vous facturer deux fois le même livre audio. C’est un nouvel exemple de la façon dont les lois anti-contournement portent atteinte aux droits de propriété des consommateurs sur les articles qu’ils achètent. »

    Cela signifie que vous êtes plus ou moins seul pour cette étape. Si vous vivez dans une juridiction où la suppression des DRM des livres audio pour un usage personnel est légale (ce qui inclut certains pays européens, mais pas tous), des sites comme celui-ci peuvent vous aider dans cette démarche. Pour les autres, le seul conseil que je puisse vous donner est de procéder en toute légalité et d’utiliser des livres audio sans DRM pour commencer.

    Jouer avec des choses

    Une fois Audiobookshelf installé et vos livres sans DRM intégrés, il ne vous reste plus qu’à trouver une application pour écouter vos livres. Il existe une application officielle Audiobookshelf, et si vous utilisez Android, vous pouvez la télécharger ici . L’application iOS est en permanence en version bêta et nécessite une phase de test , mais il existe des alternatives tierces.

    Personnellement, j’utilise Plappa et je l’ai trouvé non seulement parfaitement acceptable, mais aussi plus réactif et moins sujet aux plantages que l’application Livres d’Apple (sans compter qu’il n’y a pas de page de magasin de livres audio ennuyeuse dans l’application qui essaie toujours de me mettre dans la figure !).

    Administrer les choses

    Audiobookshelf lui-même dispose de nombreuses options réglables pour l’administrateur système domestique qui ne peut tout simplement pas s’en passer ; j’ai trouvé que la plupart des valeurs par défaut sont exactement ce que je veux, mais il y a des tonnes de choses à modifier si vous voulez faire le réglage.

    Audiobookshelf prend notamment en charge plusieurs bibliothèques si vous souhaitez davantage d’options d’organisation. Il propose des comptes configurables pour différents auditeurs, des options de connexion, des options de notification, la prise en charge du RSS et bien d’autres fonctionnalités que je n’ai pas encore vraiment vues. La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas besoin de consulter tout cela si vous ne le souhaitez pas : Audiobookshelf est prêt à l’emploi.

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    Exploration du menu des paramètres

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    La page des statistiques

    Mais que faire si je ne suis pas à la maison ?

    Les lecteurs les plus attentifs ont peut-être déjà repéré un problème majeur avec l’auto-hébergement de livres audio sur leur réseau local : comment les écouter lorsque vous n’êtes pas sur le réseau local ?

    Cela mériterait probablement un autre article, mais pour résoudre ce problème particulier, j’utilise une instance locale de Wireguard et un profil VPN sur mes appareils mobiles. En déplacement, en voiture ou ailleurs, je peux appuyer sur le raccourci « VPN » sur l’écran d’accueil de mon iOS, et hop ! Plappa peut désormais voir Audiobookshelf, et le streaming fonctionne aussi bien qu’à la maison.

    Une préoccupation potentielle concerne la consommation de données mobiles, mais cette crainte semble mineure. Mon livre audio le plus volumineux est un excellent enregistrement multicast de Dune de Frank Herbert , qui pèse environ 2,4 Go. Je ne transférerai donc que 2,4 Go de données maximum, même pour mon livre audio le plus volumineux, et ce, uniquement si j’écoutais les milliards d’heures de Dune en même temps. Et selon l’application que vous utilisez pour la lecture, vous aurez probablement aussi la possibilité de télécharger les livres sur votre appareil et de les écouter localement, sans streaming. (C’est du moins le cas pour Plappa.)

    Le bonheur de l’auto-hébergement atteint

    J’ai survolé de nombreuses étapes de configuration pour que ce soit un article relativement court, mais même ainsi, faire fonctionner Audiobookshelf est une tâche d’auto-hébergement relativement simple, comme le sont les tâches d’auto-hébergement.

    Nous n’avons pas non plus parlé de l’autre fonctionnalité majeure d’Audiobookshelf : l’hébergement de podcasts. Je ne suis pas un grand fan de podcasts (j’ai tendance à préférer les livres audio si j’ai le temps d’écouter quelque chose), mais Audiobookshelf est aussi (apparemment) idéal pour héberger une pile gigantesque de podcasts. Si c’est votre truc, c’est un autre avantage d’Audiobookshelf.

    Je ne peux pas garantir les parties podcast, mais je peux dire que c’est gratifiant d’avoir résolu un problème, surtout un problème qui rendait ma femme folle. Chaque jour où je peux résoudre un problème pour elle en faisant preuve de geekerie et en m’occupant du serveur est un bon jour. Pour l’instant, l’application Audible sur son téléphone reste inutilisable pour des raisons qui m’échappent, mais avec un peu de chance – et un peu d’entretien régulier du serveur dans le placard où tout cela se trouve actuellement – ​​aucun de nous n’aura plus jamais à utiliser cette application.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/03/i-threw-away-audibles-app-and-now-i-self-host-my-audiobooks/

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    Tout ce que vous dites à votre appareil Amazon écho sera envoyé en Amazon à partir du 28 mars

    Depuis qu’Amazon a annoncé son intention de développer une version générative d’Alexa basée sur l’IA, nous étions préoccupés par la confidentialité des utilisateurs . Avec le déploiement d’Alexa+ sur les appareils Amazon Echo dans les semaines à venir, nous comprenons mieux les concessions que les utilisateurs devront faire en matière de confidentialité pour optimiser l’utilisation de l’assistant vocal IA et éviter de bloquer les fonctionnalités des appareils déjà achetés.

    Dans un courriel envoyé aujourd’hui à ses clients, Amazon a indiqué que les utilisateurs d’Echo ne pourront plus configurer leurs appareils pour traiter les requêtes Alexa localement et, par conséquent, éviter d’envoyer des enregistrements vocaux vers le cloud d’Amazon. Amazon aurait envoyé ce courriel aux utilisateurs dont l’option « Ne pas envoyer d’enregistrements vocaux » était activée sur leur Echo. À compter du 28 mars, les enregistrements de toutes les commandes vocales prononcées par Alexa sur les enceintes et écrans connectés Echo seront automatiquement envoyés à Amazon et traités dans le cloud.

    L’une des fonctionnalités les plus commercialisées d’Alexa+ est sa capacité avancée à reconnaître la personne qui lui parle, appelée Alexa Voice ID. Pour intégrer cette fonctionnalité, Amazon supprime une fonctionnalité axée sur la confidentialité pour tous les utilisateurs d’Echo, même ceux qui ne sont pas intéressés par la version par abonnement d’Alexa ou qui souhaitent utiliser Alexa+ sans sa capacité à reconnaître les différentes voix.

    Cependant, de nombreuses raisons peuvent expliquer pourquoi les gens ne souhaitent pas qu’Amazon reçoive des enregistrements de leurs conversations sur leurs appareils personnels. Par exemple, l’idée qu’un conglomérat puisse écouter des demandes personnelles formulées à domicile est tout simplement déconcertante.

    De plus, Amazon a déjà mal géré les enregistrements vocaux d’Alexa. En 2023, Amazon a accepté de payer 25 millions de dollars de pénalités civiles suite à la révélation d’un stockage indéfini des enregistrements d’interactions d’enfants avec Alexa. Les adultes n’ont pas non plus été correctement informés de la propension d’Amazon à conserver les enregistrements Alexa, sauf s’ils y étaient invités, avant 2019, soit cinq ans après la sortie du premier Echo.

    Si cela ne suffit pas à vous dissuader de partager vos enregistrements vocaux avec Amazon, sachez que l’entreprise a autorisé ses employés à écouter les enregistrements vocaux d’Alexa. En 2019, Bloomberg a rapporté que les employés d’Amazon ont écouté jusqu’à 1 000 échantillons audio pendant leurs quarts de travail de neuf heures. Amazon affirme permettre à ses employés d’écouter les enregistrements vocaux d’Alexa pour entraîner ses systèmes de reconnaissance vocale et de compréhension du langage naturel.

    D’autres raisons pour lesquelles les gens peuvent hésiter à faire confiance à Amazon avec des échantillons de voix personnels incluent l’utilisation antérieure d’enregistrements vocaux d’Alexa dans des procès criminels et le paiement par Amazon d’un règlement en 2023 en relation avec des allégations selon lesquelles il aurait permis à « des milliers d’employés et de sous-traitants de regarder des enregistrements vidéo des espaces privés des clients » pris à partir de caméras Ring, selon la Federal Trade Commission.

    Amazon oblige les utilisateurs d’Echo à prendre quelques décisions difficiles : accorder à Amazon l’accès aux enregistrements de tout ce que vous dites à Alexa ou arrêter d’utiliser un Echo ; laisser Amazon enregistrer les enregistrements vocaux et demander aux employés de les écouter ou perdre un ensemble de fonctionnalités pour devenir plus avancé et central pour la prochaine génération d’Alexa.

    Cependant, Amazon mise gros sur Alexa+ pour sortir l’assistant vocal d’un gouffre financier. Amazon s’est publiquement engagé à maintenir la version gratuite d’Alexa, mais Alexa+ est considéré comme son dernier espoir de maintenir Alexa en vie et de le rendre rentable. Tout ce qu’Amazon peut faire pour inciter les gens à payer pour Alexa prime sur les autres demandes des utilisateurs d’Alexa, y compris, semble-t-il, la confidentialité.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/03/everything-you-say-to-your-echo-will-be-sent-to-amazon-starting-on-march-28/

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    La semaine dernière, les rapports faisant état d’une panne majeure chez Spotify se sont répandus comme une traînée de poudre. Puis, un étrange tableau a commencé à apparaître : des pannes affectant uniquement les utilisateurs d’applications Spotify modifiées, conçues pour offrir le service Premium au tarif gratuit.

    L’annonce que le problème est désormais résolu mais que les utilisateurs dans le besoin peuvent télécharger de nouvelles applications pirates incite beaucoup de monde à s’y précipiter. La question de savoir si cela se terminera bien semble plutôt incertaine.

    Lutte ciblée contre le piratage

    L’étendue précise des applications ciblées est inconnue, mais les utilisateurs d’Android semblent représenter la majorité des personnes concernées, les versions « modifiées » ou « piratées » du client Spotify étant les plus souvent citées. Les données de Google Trends révèlent un pic d’intérêt mondial pour les recherches la semaine dernière, plus élevé que tout autre événement lié à Spotify au cours des 90 derniers jours.

    La répression de Spotify en est-elle la cause ?

    Pour une entreprise de l’importance de Spotify, faire la une des journaux n’a rien d’exceptionnel, pour une raison ou une autre. Dans ce cas précis, il ne fait guère de doute que le pic d’intérêt de la semaine dernière était bel et bien lié à la désactivation des applications pirates.

    Les 20 recherches les plus populaires au Royaume-Uni, liées aux recherches initiales ci-dessus, sont présentées ci-dessous. L’écrasante majorité d’entre elles s’intéresse directement à l’accès non officiel, au moins la moitié des recherches citant des logiciels spécifiques.

    Les recherches dans d’autres régions indiquent que les solutions recherchées pour la « panne » de Spotify allaient des plus directes aux plus flexibles et créatives.

    L’approche italienne allait de la simple traduction « spotify premium apk ultima versione » à la plus spécifique « com.spotify.music apk arm64-v8a ». Manifestant une volonté de changer de plateforme si nécessaire, « come trasferire playlist da Spotify a YouTube Music » (comment transférer une playlist de Spotify vers YouTube Music) était également populaire.

    En Biélorussie, beaucoup ont recherché « спотифай скачать взлом » (piratage de téléchargement Spotify), tandis que d’autres semblaient moins optimistes avec « почему спотифай не работает » (Pourquoi Spotify ne fonctionne pas ?).

    Aux États-Unis, une modification Spotify appelée « EeveeSpotify » a suscité un vif intérêt. À l’instar de Spotilife, aujourd’hui disparu, « EeveeSpotify » signale à Spotify que l’utilisateur dispose d’un abonnement Premium. Pour ce faire, Spotify intercepte les requêtes de Spotify pour charger les données utilisateur, puis modifie les réponses.

    Croyez-le ou non, une recherche populaire en Ukraine est la seule que Spotify souhaite voir apparaître après un tel événement. Face à une panne de Spotify, les Ukrainiens ont cherché « підписка спотіфай », ce qui signifie « abonnement Spotify ».

    De nouveaux fichiers APK modifiés/craqués apparaissent en ligne

    Malgré d’autres options, certains utilisateurs se contentent d’une solution incluant l’application Spotify originale. De nouvelles versions crackées ou modifiées de l’application officielle Spotify pour Android ont pu apparaître en ligne assez rapidement, peut-être dès le 4 ou le 5 mars, alors que la panne n’en était qu’à ses débuts.

    D’un point de vue purement fonctionnel, les fichiers APK Spotify modifiés prétendent souvent offrir une expérience Spotify complète (ou presque), sans le coût de l’abonnement. Ces APK sont assez faciles à trouver en ligne et faciles à installer. La principale difficulté, qui préoccupe certains plus que d’autres, est la sempiternelle question de la confiance.

    Jouer sur la confiance, risque contre récompense

    L’installation d’un APK provenant d’une source non vérifiée comporte des risques importants. Une fois installé, les utilisateurs peuvent constater que toutes les promesses ont été tenues, mais il est difficile de prédire ce qui se passe réellement sur leurs téléphones et tablettes. Avec un effort modéré, un utilisateur moyen devrait être en mesure d’en apprendre suffisamment sur un APK modifié pour prendre une décision semi-éclairée, ne serait-ce qu’en fonction du niveau de risque qu’il est prêt à prendre.

    D’un côté, Spotify gratuit ; de l’autre, un cauchemar potentiel bien plus coûteux. La probabilité que l’expérience penche en faveur de l’un ou de l’autre dépend de facteurs connus et inconnus.

    Installer une application inconnue provenant d’une source inconnue est un comportement normal pour de nombreux pirates. Une application Spotify particulièrement populaire a été librement échangée entre utilisateurs de Reddit ces derniers jours. Comme l’a déclaré l’un des premiers installateurs : « Oui, ça a l’air de fonctionner. » Dans des moments comme ceux-ci, pour certains, c’est largement suffisant.

    Lancer les dés Spotify

    Il est difficile de déterminer s’il existe plusieurs versions d’une même application, ou si elles se comportent simplement de la même manière, sans y consacrer beaucoup de temps. Ce qui est sûr, c’est que les quelques applications que nous avons observées ne partageaient pas toujours le même hachage. Il peut y avoir de bonnes raisons à cela, mais lorsque les hachages ne correspondent pas, une nouvelle falsification est déjà confirmée.

    Un résultat de test publié sur Hybrid Analysis, concernant un APK censé redonner vie à Spotify, remonte à six ou sept jours. Le verdict final est « malveillant », malgré les éditeurs d’antivirus qui ont déclaré le fichier sans problème sur Hybrid Analysis et Virus Total .

    Lors de nos propres tests, un APK similaire (mais pas identique) a généré trois séries de rapports, dont l’un dépassait les 100 pages et révélait des « fonctionnalités » intéressantes. Il est possible que l’application officielle Spotify contienne des fonctionnalités que nous n’avons pas encore découvertes, comme le ridicule mode « Jam » infligé même aux abonnés les plus fidèles.

    Mais avait-il le droit de lire les contacts d’un téléphone, les informations de la carte SIM, le contenu de chaque SMS, les journaux d’appels, les entrées du calendrier, et d’utiliser l’appareil photo ? En 2025, tout est possible, mais il est difficile d’imaginer que cela puisse apporter beaucoup de positif.

    Pourtant, pour certains, l’idée de payer pour de la musique sera trop difficile à surmonter. Et même si cela ne coûte presque rien, la recherche peut sembler un travail trop ardu, même si elle s’avère finalement très payante.

    Source: https://torrentfreak.com/how-spotifys-premium-piracy-panic-played-out-what-pirates-did-next-250315/

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    D’assistant à tout faire à professeur ou maitre d’apprentissage ? L’IA est surprenante ; bug ou evolution non maitrisée ?

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    Une étude du CJR montre que les services de recherche d’IA désinforment les utilisateurs et ignorent les demandes d’exclusion des éditeurs.

    Une nouvelle étude du Tow Center for Digital Journalism de la Columbia Journalism Review révèle de sérieux problèmes de précision avec les modèles d’IA génératifs utilisés pour la recherche d’informations. L’étude a testé huit outils de recherche pilotés par l’IA et dotés d’une fonctionnalité de recherche en direct et a révélé que les modèles d’IA répondaient incorrectement à plus de 60 % des requêtes concernant les sources d’information.

    Les chercheuses Klaudia Jaźwińska et Aisvarya Chandrasekar ont souligné dans leur rapport qu’environ un Américain sur quatre utilise désormais des modèles d’IA comme alternative aux moteurs de recherche traditionnels. Cela soulève de sérieuses inquiétudes quant à la fiabilité, compte tenu du taux d’erreur important révélé par l’étude.

    Les taux d’erreur variaient considérablement selon les plateformes testées. Perplexity a fourni des informations erronées dans 37 % des requêtes testées, tandis que ChatGPT Search a identifié incorrectement 67 % (134 sur 200) des articles interrogés. Grok 3 a affiché le taux d’erreur le plus élevé, soit 94 %.

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    Un graphique du CJR montre des résultats de recherche « erronés »

    Pour les tests, les chercheurs ont fourni des extraits directs d’articles de presse aux modèles d’IA, puis ont demandé à chaque modèle d’identifier le titre de l’article, l’éditeur original, la date de publication et l’URL. Ils ont effectué 1 600 requêtes sur huit outils de recherche générative différents.

    L’étude a mis en évidence une tendance commune à ces modèles d’IA : plutôt que de refuser de répondre lorsqu’ils manquaient d’informations fiables, les modèles fournissaient fréquemment des confabulations , c’est-à-dire des réponses erronées ou spéculatives, semblant plausibles. Les chercheurs ont souligné que ce comportement était cohérent avec tous les modèles testés, et non limité à un seul outil.

    Étonnamment, les versions payantes premium de ces outils de recherche IA ont obtenu des résultats encore plus mauvais à certains égards. Perplexity Pro (20 $/mois) et le service premium de Grok 3 (40 $/mois) ont fourni des réponses incorrectes plus souvent que leurs homologues gratuits. Bien que ces modèles premium aient répondu correctement à un plus grand nombre de questions, leur réticence à refuser les réponses incertaines a entraîné des taux d’erreur globaux plus élevés.

    Problèmes liés aux citations et au contrôle des éditeurs

    Les chercheurs du CJR ont également découvert des preuves suggérant que certains outils d’IA ignoraient les paramètres du protocole d’exclusion des robots , utilisé par les éditeurs pour empêcher les accès non autorisés. Par exemple, la version gratuite de Perplexity a correctement identifié les 10 extraits de contenus National Geographic payants, malgré l’interdiction explicite des robots d’exploration de Perplexity par National Geographic.

    Même lorsque ces outils de recherche IA citaient des sources, ils redirigeaient souvent les utilisateurs vers des versions syndiquées du contenu sur des plateformes comme Yahoo News plutôt que vers les sites des éditeurs d’origine. Ce phénomène se produisait même lorsque les éditeurs avaient des accords de licence formels avec des entreprises d’IA.

    La fabrication d’URL est apparue comme un autre problème majeur. Plus de la moitié des citations issues de Google Gemini et Grok 3 ont conduit les utilisateurs vers des URL fabriquées ou rompues, générant des pages d’erreur. Sur 200 citations de Grok 3 testées, 154 ont abouti à des liens rompus.

    Ces problèmes créent une tension importante pour les éditeurs, qui sont confrontés à des choix difficiles. Bloquer les robots d’exploration IA peut entraîner une perte totale d’attribution, tandis que les autoriser permet une réutilisation généralisée sans rediriger le trafic vers les sites web des éditeurs.

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    Un graphique de CJR montre que le blocage des robots d’exploration ne signifie pas que les moteurs de recherche IA acceptent la requête -sans blagues 🙂 -

    Mark Howard, directeur de l’exploitation du magazine Time, a exprimé à CJR ses inquiétudes quant à la transparence et au contrôle de l’affichage du contenu de Time via les recherches générées par l’IA. Malgré ces problèmes, Howard estime que des améliorations sont possibles pour les versions futures, déclarant : « Le produit est à son pire niveau aujourd’hui », citant des investissements et des efforts d’ingénierie considérables visant à améliorer ces outils.

    Cependant, Howard a également fait honte aux utilisateurs, suggérant que c’est la faute de l’utilisateur s’il n’est pas sceptique quant à la précision des outils d’IA gratuits : « Si quelqu’un, en tant que consommateur, croit actuellement que l’un de ces produits gratuits sera précis à 100 %, alors honte à lui. »

    OpenAI et Microsoft ont fait parvenir au CJR des déclarations accusant réception des conclusions, sans toutefois aborder directement les problèmes spécifiques. OpenAI a rappelé sa promesse de soutenir les éditeurs en générant du trafic grâce à des résumés, des citations, des liens clairs et des mentions d’origine. Microsoft a affirmé respecter les protocoles d’exclusion des robots et les directives des éditeurs.

    Ce dernier rapport s’appuie sur les conclusions précédentes publiées par le Tow Center en novembre 2024, qui avaient identifié des problèmes de précision similaires dans la manière dont ChatGPT traitait les contenus d’actualité. Pour plus de détails sur ce rapport assez exhaustif, consultez le site web de Columbia Journalism Review.

    Source: https://arstechnica.com/ai/2025/03/ai-search-engines-give-incorrect-answers-at-an-alarming-60-rate-study-says/

    Et si on réinjecte sur le web les conneries débitées par ces outils, ça ne va pas s’améliorer.

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    @Popaul a dit dans IA et décarbonation :

    en gros tu produits cette énergie proprement et plus d’émission… du coup, du peux avoir des animations avec des madames à trois bras tout à fait clean.
    Et NVIDIA qui s’en met plein les poches avec du “moyen de gamme” à plus de 1000.-

    Tout à fait 🙂

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    Je suis sous Firefox 82 sur ma Mint et pour l’instant tout va bien :ahah: depuis 7 minutes! :mouhaha: j’hésite néanmoins à rafraîchir.

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    Le robot humanoïde G1 de l’entreprise Unitree peut maintenant vous casser la gueule

    Le robot humanoïde G1 de l’entreprise Unitree peut marcher, sauter, danser et même se battre, puisqu’il est désormais capable de faire du kung-fu.

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    «Nous avons continué à améliorer l’algorithme de l’Unitree G1, ce qui lui permet d’apprendre et d’effectuer pratiquement n’importe quel mouvement»
    Unitree

    Source, vidéo et plus: https://www.watson.ch/fr/societe/robot/236719049-unitree-le-robot-chinois-g1-peut-vous-casser-la-gueule

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    On est dans du abandonware carrément mais force est de constater que ces enflures ont décidé une autre destiné à ces œuvres.

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    @Violence a dit dans « Ils caillent comme du lait » : les DVD Warner Bros de 2006-2008 pourrissent dans leurs boîtiers :

    On ne se refait pas, je suis un collectionneur

    Je suis atteint aussi, pas forcement des DVD’s mais tout ce que j’aime en démat en musique si je croise en dur aux puces chez Emaüs ou à la Fnac, je le prends direct.

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    Perso j’utilise le screen to text de Powertoys. Ça marche relativement bien…

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    @H-Barret Ça dépend du navigateur, mais c’est dans le menu des paramètres, genre “Mot de passe principal” 🙂

    Sauf, si le navigateur ne vaut pas un clou :lol:

    Et quand je dit que c’est chiant, c’est parce que chaque fois qu’on lance le navigateur, il faut taper le mot de passe.

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    Depuis quelques temps chez Infomaniak pour les emails et mon blog mais aussi pour de la sauvegarde Cloud via KDrive.
    J’auto-héberge un maximum mais faut parer aux incendies ^^






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