Actualités High-Tech

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    Et hop c’est reparti

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    @Aurel a dit dans Attention au point lumineux dans le coin de l'écran de votre téléphone ! :

    Car anéfé, j’ai remarqué

    Tu sais que l’usage de “anéfé” est breveté et réservé à l’Occitanie. J’ose espérer qu’il n’y a pas tentative d’usurpation 😉

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    putain on courrait les cabines téléphoniques !!! et pour en trouver une qui fonctionne, des fois fallait prendre le métro lol

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    L’Avicca en mode vénère

    La semaine dernière, l’Arcep a mis en ligne son observatoire trimestriel sur les abonnements et le déploiement des marchés des communications électriques. L’occasion comme à chaque fois de faire un point d’étape sur le plan France THD. L’Avicca tire à boulets rouges : « les statistiques Arcep pour le deuxième trimestre confirment l’échec annoncé du 100 % FTTH en 2025 ». Ambiance.

    19,8 millions de clients en FTTH

    Au 30 juin 2023, le régulateur dénombre 32,1 millions d’abonnements internet haut et très haut débit sur le fixe, soit 65 000 de plus en trois mois seulement, contre 100 000 le trimestre précédent et 120 000 de mieux qu’il y a un an. Sur douze mois, ce sont seulement 357 000 abonnements supplémentaires, contre le double au deuxième trimestre 2022. « La croissance du nombre de ces abonnements continue de ralentir », conclu l’Arcep.

    Sur les 32,1 millions, 22,9 millions profitent du très haut débit et 19,8 millions de la fibre optique de bout en bout (FTTH), soit un peu moins de 800 000 de plus qu’au premier trimestre. Comme c’est le cas depuis des mois, les abonnements xDSL (ADSL, VDSL2), coaxial, 4G fixe, THD radio et satellite sont en baisse.

    Arcep déploiement 2e trimestre 2023Arcep déploiement 2e trimestre 2023

    36,16 millions de locaux raccordables

    Un autre indicateur intéressant concerne le nombre de locaux raccordables à la fibre optique. Ils sont 870 000 de plus en trois mois (de 2019 à 2022 on dépassait le million sur cette période), pour arriver à un total de 36,16 millions (+13 % en un an).

    On arrive donc à un total de 82,7 % de locaux éligibles au FTTH (sur les 43,751 millions de locaux recensés), soit 1,5 point de plus en trois mois. En plus du taux national, voici celui par zone (les calculs prennent évidemment en compte l’évolution du nombre de locaux de chaque zone dans le référentiel de l’Arcep) :

    Zones très denses : 91,7 % (+0,3 point) éligibles au FTTH Zones moins denses d’initiative privée : 88,3 % (-0,4 point) éligibles au FTTH AMEL : 59,1 % (+6,3 %) éligibles au FTTH Zones moins denses d’initiative publique : 74,7 % (+4 points) éligibles au FTTH Les zones très denses toujours au ralenti

    Trimestre après trimestre, l’Arcep fait un triste constat : « le rythme de déploiement dans les zones très denses demeure très insuffisant avec moins de 50 000 locaux rendus raccordables [47 000 pour être précis, ndlr], soit une baisse de près de moitié par rapport à la même période de l’année précédente ».

    Dans les zones moins denses d’initiative privée aussi la chute est réelle et persistante : seulement 130 000 locaux supplémentaires ont été rendus raccordables. Dans les zones AMEL (appels à manifestation d’engagements locaux), la hausse est de 90 000 locaux. Enfin, ce sont une nouvelle fois les Réseaux d’Initiative Publique (RIP) qui drainent le gros des déploiements avec 600 000 locaux raccordables supplémentaires.

    « Désintérêt total » des opérateurs en ZTD

    L’Avicca ne décolère pas de la situation : « Sourds aux alertes du régulateur, de l’État et des collectivités, les opérateurs privés manifestent toujours leur désintérêt total pour les 106 communes de la zone très dense ». Elle rappelle s’il en est besoin que « les grands opérateurs nationaux – et pas uniquement Orange – se sont battus à l’époque pour obtenir ce classement et ont tout fait pour en écarter l’action publique », laissant donc entendre qu’ils n’ont aucune excuse pour ne pas déployer de réseau.

    Orange en prend pour son grade. L’Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel reconnaît qu’il « reste encore et toujours le seul opérateur à y déployer un tout petit peu de FTTH » – sur les 47 000 locaux, 43 000 sont déployés par Orange, le reste par SFR – mais ajoute que « sa volonté d’y fermer le cuivre est proportionnellement inverse au rythme de complétude des déploiements ».

    | Enjeux et inquiétudes du FTTH face à la fermeture du réseau cuivre | 2G, 3G, cuivre (xDSL) : comment Orange va tirer un trait sur le passé

    L’Avicca cite en exemples deux villes choisies « depuis plus d’un an comme territoire d’expérimentation de la fermeture du cuivre en ZTD : à Rennes, en 1 an, la complétude est passée de 92 à 93 % de raccordables ; à Vanves, sur la même période, elle est passée de 95 … à 94 % ! ».

    Pour rappel, « la complétude est atteinte dès lors que l’ensemble des locaux sont raccordables ou, dans une faible proportion, « raccordables sur demande », sauf impossibilité dûment justifiée (par exemple, cas de refus des copropriétés ou propriétaires concernés) », explique l’Arcep.

    Arcep déploiement 2e trimestre 2023

    L’Avicca cible tout le monde

    « Je tiens à rappeler ici que le déploiement préalable et complet d’un réseau FTTH est un des critères principaux posés par le cadre de l’Arcep depuis décembre 2020 pour la fermeture du réseau cuivre », expliquait Laure de la Raudière (présidente de l’Arcep) fin 2022. À l’époque déjà, l’Arcep s’inquiétait d’une « baisse importante, voire inquiétante » des déploiements en zones denses… sans passer à l’action pour autant jusqu’à présent.

    Pour l’Avicca, « la situation en zone AMII est désormais aussi caricaturale qu’en ZTD : les déploiements y avancent aussi lentement que la prise des décisions de l’Arcep, d’Orange et de l’État ». Chez Orange, environ 89 % de ces locaux sont raccordables, contre 95 % pour SFR. Des chiffres identiques à ceux du trimestre précédent.

    Confirmation de « l’échec annoncé du 100 % FTTH en 2025 »

    Pour enfoncer le clou, l’association explique que ces statistiques « confirment l’échec annoncé du 100 % FTTH en 2025 », qui est pour rappel le dernier jalon du plan France THD. « En toute logique, l’État devrait désormais annoncer une fin des déploiements FTTH au mieux en 2028 pour la zone privée. À défaut d’être une annonce agréable à entendre, cela aurait au moins le mérite de la franchise… ». Pour l’Avicca, le coupable est évident : « Complétude à 100 % de la responsabilité des opérateurs privés dans la non-atteinte de l’objectif 2025 du gouvernement ».

    Un dernier mot enfin sur le 100 % FTTH : « Ne soyons pas plus bêtes que la moyenne : évidemment qu’on sait que le 100 % on ne l’atteindra jamais, mais on ne l’atteint avec aucun réseau. Déjà aujourd’hui, il y a des gens qui n’ont pas de filaire cuivre, ça existe. On ne va pas être plus malin avec la fibre, mais on ne doit pas être moins malin  […] il y aura toujours des exceptions ou on utilisera des technologies alternatives. […] Pour quelques exceptions, on en fait quelque chose de plus important qu’il ne pourrait y paraitre », expliquait Patrick Chaize, président de l’Avicca. Problème, les « exceptions » sont actuellement bien trop nombreuses…

    | Fibre optique, 5G, New Deal mobile : l’Arcep et l’Avicca reviennent sur les chantiers du numérique | Cédric O : service universel de la fibre en 2025, saturation de la 4G, plan d’aide au numérique

    Source : nextinpact.com

  • Un taxi autonome écrase une piétonne

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    @Psyckofox a dit dans Un taxi autonome écrase une piétonne :

    Total Recall Johnny Cab GIF

    Merci d’avoir pris un Taxi Vision 🙂

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    Malheureusement ça va se mettre en place partout, faut pas rêver

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    @duJambon a dit dans Ransomware : juillet, le mois de tous les records :

    Ils résident sur WS_FTP Server , une application de partage de fichiers créée par Progress Software.

    En même temps quel DSI digne de ce nom, ou même n’importe quel responsable informatique, est assez inconscient pour encore utiliser du FTP en entreprise ? Un protocole qui laisse passer les mots de passe en clair autant ne pas mettre de mot de passe, ça revient au même.

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    Éteindre 2G jusqu’à 5G ça marche aussi, et même mieux

    Est-ce rentable, du point de vue de l’impact carbone, de fermer les réseaux 2G et 3G en France ? Pour le Comité d’expert de l’Arcep, la réponse ne fait aucun doute : oui ! Le régulateur a étudié plusieurs scénarios en faisant bouger les variables pour s’assurer que tout va bien.

    En 2018, l’Arcep s’est doté d’un Comité d’experts technique dont le but est d’éclairer l’Autorité sur « les enjeux techniques liés aux réseaux mobiles ». Il comprend des experts des opérateurs de réseaux mobiles, des équipementiers, du monde académique et de l’ANFR (Agence nationale des fréquences). L’année dernière, le Comité a publié un rapport sur la consommation d’un réseau 4G vs 5G.

    | L’Arcep et la 5G : gains en efficacité énergétique et empreinte environnementale

    Le régulateur des télécoms précise que le rapport du jour ne concerne que l’impact carbone et laisse de côté les autres catégories d’impact environnemental. De plus, « d’autres enjeux peuvent être induits par l’extinction de la 2G/3G comme le coût pour les utilisateurs du changement de terminaux ou d’objets connectés. Ils ne font pas partie du champ de l’étude ».

    arcep impact carbone 2G 3G

    La fin de la 2G et de la 3G n’est qu’une question de temps

    Maintenant que les bases sont posées, entrons dans le vif du sujet… qui est d’autant plus d’actualité car, en France, trois des quatre opérateurs nationaux ont déjà annoncé leur plan pour arrêter la 2G et/ou la 3G ; seul Free manque à l’appel (pour le moment ?). Sur la 2G, c’est déjà plié. Cinq mois seulement après avoir mis en service ses premiers sites 2G, l’opérateur les a coupés et le compteur est toujours à 0 au dernier décompte. Il s’appuie donc uniquement sur le contrat d’itinérance signé (et prolongé plusieurs fois) avec Orange.

    | Cinq mois après avoir mis en service sa 2G, Free Mobile coupe l’ensemble de ses sites (nextinpact.com) | Itinérance 2G/3G Free et Orange jusqu’en 2025 : l’Arcep dit oui, les doléances de Bouygues et SFR

    Chez Orange, la 2G sera éteinte fin 2025 et la 3G fin 2028. SFR vise respectivement 2026 et 2028, tandis que Bouygues Telecom se laisse un peu plus de marge avec 2026 et 2029. La France est loin d’être un cas à part : « L’association GSA a ainsi identifié 142 opérateurs ayant annoncé la fermeture prochaine des réseaux 2G et/ou 3G, ou ayant déjà éteint ceux-ci ».

    Les usages en 2G et 3G en baisse constante…

    Trois ans séparent en moyenne l’arrêt de la 3G et de la 2G, mais l’Arcep préfère partir sur un scénario d’extinction des deux à la fois, et justifie son choix : « Étudier exclusivement l’extinction d’une technologie ou l’autre compliquerait l’étude et n’apporterait un éclairage que sur une fenêtre de quelques années. L’étude vise à fournir un éclairage sur une plus longue période ; il est donc pertinent d’étudier un scénario d’extinction de la 2G et de la 3G ».

    Pour l’Arcep, le sujet est d’actualité puisque le niveau de couverture en 4G est « en passe de rattraper ceux de la 2G et de la 3G », quand le nombre de terminaux compatibles 4G augmente de manière continue. Même sans tenir compte des aspects environnementaux, fermer la 2G et la 3G permettrait de réattribuer des ressources (fréquences) à la 4G et la 5G. En plus d’être plus récentes et performantes, ces deux technologies sont « spectralement plus efficaces ».

    S’il reste encore quelques irréductibles terminaux en 2G/3G seulement, ces réseaux « sont majoritairement utilisés pour les services voix et machine to machine s’appuyant sur l’Internet des Objets (M2M/IoT) ». Mais ces usages sont en décroissances « au profit de la 4G/5G comme le constatent les opérateurs membres du Comité d’experts dans leurs réseaux ».

    … la consommation ne suit pas la même courbe

    À moyen terme, il est prévu que seule la fréquence 900 MHz reste allumée pour le peu de trafic 2G-3G restant, « et consommerait de l’ordre de 17 % de la consommation des réseaux », contre 21 à 33 % actuellement. La consommation de la 2G-3G se rapproche donc d’un minimum en dessous duquel il sera difficile de descendre sans éteindre complétement ces technologies.

    Pour améliorer l’efficacité énergétique des réseaux, il faut donc passer en 4G/5G… ce qui implique de laisser sur le carreau des terminaux, qu’il faudra remplacer. L’empreinte qui en découle ne doit pas être prise à la légère car les terminaux représentent pour rappel 81 % de celle du numérique dans son ensemble, contre 14 % pour les centres de données et 5 % pour les réseaux (fixes et mobiles), selon un décompte de l’Arcep.

    | Empreinte écologique et durée de vie des smartphones, neufs ou reconditionnés Des gains dès la première année

    C’est bien beau tout cela, mais au final qui gagne ? La conclusion du comité de l’Arcep est sans appel : « Dès la première année après l’extinction 2G-3G, l’étude montre donc un gain récurrent sur les émissions carbone. Pour le réseau et les terminaux mobiles, ce gain est obtenu en moins de deux mois. Dans le cas où on prend en compte également M2M/IoT, le gain est obtenu en moins de six mois ».

    Les gains sur les réseaux sont récurrents chaque année une fois la 2G et la 3G éteintes, alors que l’impact des terminaux à renouveler n’est compté qu’une seule fois évidemment, au moment du changement. Pour le Comité d’expert, aucun doute  : il y a « un réel intérêt carbone à migrer la 2G-3G vers la 4G/5G ».

    arcep impact carbone 2G 3G

    Le Comité joue avec les variables et les curseurs…

    La méthodologie et les variables utilisées pour le calcul sont indiqués dans le rapport détaillé. Par défaut, les experts supposent qu’il y aurait environ 2 millions de feature phone (2G/3G).  Si un opérateur devait en avoir beaucoup plus – 4 millions par exemple –, il pourrait attendre entre 1 et 2 ans pour retrouver un impact voisin, voire plus faible. Par contre, « l’impact en absolu des smartphones est négligeable » car ils sont très peu nombreux à ne pas prendre en charge les appels en 4G (VoLTE). Le reliquat n’est pas suffisant pour faire bouger significativement les lignes.

    Même chose bien sûr avec les objets connectés. Avec 5,5 millions, on est à un point d’équilibre au bout de six mois, mais dans le cas où les ventes d’objets connectés continueraient après la date d’annonce de l’arrêt 2G-3G, le point d’équilibre se déplacerait un peu, mais pas bien loin avec 7 mois. Pour le Comité, cela « montre l’importance de l’anticipation de l’ensemble de l’écosystème afin de limiter ces ventes ».

    Autre point important, les paramètres sur la partie réseau n’ont que très peu d’influence sur les résultats, même si on multiplie par huit le trafic voix en 2G-3G et qu’on divise par deux la charge 4G-5G. « Cela vient du fait que le volume de trafic écoulé par les réseaux 2G-3G est très faible », explique le rapport.

    … mais cela ne change rien à la tendance

    Dans sa conclusion, l’Arcep rappelle quelques points importants, à commencer par la prudence sur les chiffres (vs la tendance) : « l’objet de l’étude n’est pas de retenir un chiffre absolu de l’impact carbone de l’arrêt 2G-3G, mais d’évaluer le bien-fondé ou non d’une migration sur le plan d’impact carbone ». Et l’intérêt ne fait aucun doute pour le Comité.

    L’analyse sert également à mettre en lumière des « points de vigilance pour éviter de dégrader l’impact carbone de l’arrêt 2G-3G ». Le plus évident est d’arrêter de vendre des terminaux 2G/3G aussi vite que possible, que ce soit pour les smartphones, les feature phones ou les objets connectés. Pour le Comité, « c’est l’ensemble de l’écosystème qui doit œuvrer à anticiper l’arrêt 2G-3G ».

    Source : nextinpact.com

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    @Raccoon a dit dans Quand les robots de livraison de nourriture deviennent des outils de surveillance : la police a reçu les images filmées par un robot :
    Êtes-vous surpris de voir la police utiliser des robots de livraison de nourriture pour effectuer de la surveillance sur les habitants de la ville ?
    Non, ils utilisent déjà bien les images des caméras de surveillances privées pour résoudre des affaires.
    Que pensez-vous de l’utilisation des robots de livraison de nourriture ?
    Je m’en fout.
    Avez-vous déjà commandé de la nourriture livrée par un robot ? Si oui, comment était votre expérience ? Si non, le feriez-vous ?
    Pourquoi pas, mais je vois mal ces caisses à savon monter les escaliers ou prendre l’ascenseur pour le moment.
    Pensez-vous que les robots de livraison de nourriture vont remplacer les livreurs humains à l’avenir ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
    Pour la raison ci-dessus.

    J’adore la bécasse qui fait du rodéo dans la vidéo 🙂

    Et le robot devrait se serrer d’un côté du trottoir au lieu de squatter le centre, on ne passe pas avec une poussette.

    Sinon, c’est un super jeu et une belle cible pour les gamins.

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    Ok, on est d’accord.

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    Reddit aussi veut se couler ?

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    Epic en appelle à la Cour Suprême et annonce une vague de licenciements

    Sale temps pour l’éditeur, dont le procès contre Apple s’éternise. L’entreprise est vent-debout contre la « taxe Apple », les fameux 30 % de commission sur les tous les achats réalisés sur l’App Store.

    | Commission de 30 % : Apple et Epic bientôt devant la Cour Suprême

    Comme le signale The Verge, Epic demande à la Cour Suprême d’intervenir dans la procédure d’appel en cours et que nous relations dans notre actualité du 11 août. Le studio souhaite notamment que la Cour vienne éclaircir des points sur les problèmes antitrust soulevés par le procès. Apple, de son côté, souhaite que les changements imposés à son App Store par les premières instances, soient jetés aux oubliettes.

    Signe de haute tension pour Epic, le studio annonce également licencier 16 % de sa force de travail, soit 900 personnes. Dans un billet, son président, Tim Sweeney, l’a reconnu : « Depuis un certain temps, nous dépensons beaucoup plus d’argent que nous n’en gagnons ».

    À ces 900 personnes, il faut en ajouter 250 via deux cessions : la revente du site de musique Bandcamp, ainsi que la scission de la société SuperAwesome, spécialisée dans le markéting.

    Source : nextinpact.com

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    Des milliers de serveurs exécutant l’agent de transfert de courrier Exim sont vulnérables aux attaques potentielles exploitant des vulnérabilités critiques, permettant l’exécution à distance de code malveillant avec peu ou pas d’interaction de l’utilisateur.

    Les vulnérabilités ont été signalées mercredi par Zero Day Initiative, mais elles ont largement échappé à l’attention jusqu’à vendredi, lorsqu’elles ont fait surface dans une liste de diffusion de sécurité. Quatre des six bogues permettent l’exécution de code à distance et portent des indices de gravité de 7,5 à 9,8 sur 10 possibles. Exim a déclaré avoir mis à disposition des correctifs pour trois des vulnérabilités dans un référentiel privé. L’état des correctifs pour les trois vulnérabilités restantes, dont deux autorisent le RCE, est inconnu. Exim est un agent de transfert de courrier open source utilisé par pas moins de 253 000 serveurs sur Internet.
    « Manipulation bâclée » des deux côtés

    ZDI n’a fourni aucune indication qu’Exim avait publié des correctifs pour l’une des vulnérabilités, et au moment où cet article a été mis en ligne sur Ars, le site Web d’Exim n’a fait aucune mention des vulnérabilités ou des correctifs. Vendredi, sur la liste de diffusion OSS-Sec , un membre de l’équipe du projet Exim a déclaré que les correctifs pour deux des vulnérabilités les plus graves et une troisième, moins grave, sont disponibles dans un « référentiel protégé et sont prêts à être appliqués par les responsables de la distribution. »

    Il n’y avait pas plus de détails sur les correctifs, ni précisément sur la manière dont les administrateurs les obtiennent, ni sur la possibilité de mesures d’atténuation disponibles pour ceux qui ne peuvent pas appliquer les correctifs immédiatement. Les membres de l’équipe du projet Exim n’ont pas répondu à un e-mail demandant des informations supplémentaires.

    La vulnérabilité la plus grave, identifiée comme CVE-2023-42115, fait partie de celles qui, selon le membre de l’équipe Exim, ont été corrigées. ZDI l’ a décrit comme une faille hors limites dans un composant Exim qui gère l’authentification.

    “Cette vulnérabilité permet à des attaquants distants d’exécuter du code arbitraire sur les installations affectées d’Exim”, indique l’avis de mercredi. “L’authentification n’est pas requise pour exploiter cette vulnérabilité.”

    Une autre vulnérabilité corrigée, identifiée comme CVE-2023-42116 , est un débordement basé sur la pile dans le composant de défi Exim. Son indice de gravité est de 8,1 et permet également le RCE.

    “La faille spécifique existe dans le traitement des demandes de défi NTLM”, a déclaré ZDI. « Le problème résulte du manque de validation appropriée de la longueur des données fournies par l’utilisateur avant de les copier dans un tampon basé sur une pile de longueur fixe. Un attaquant peut exploiter cette vulnérabilité pour exécuter du code dans le contexte du compte de service.

    La troisième vulnérabilité corrigée est identifiée comme CVE-2023-42114 , qui permet la divulgation d’informations sensibles. Il porte une note de 3,7.

    Certains critiques ont critiqué le projet Exim pour ne pas avoir divulgué les vulnérabilités de manière transparente. Pour alimenter les critiques, les divulgations de ZDI ont fourni un calendrier indiquant que les représentants de l’entreprise ont informé les membres du projet Exim des vulnérabilités en juin 2022. Une poignée d’interactions de va-et-vient ont eu lieu au cours des mois qui ont suivi jusqu’à ce que ZDI les divulgue mercredi.

    Dans un message publié vendredi sur la liste de diffusion OSS-Sec, Heiko Schlittermann, membre de l’équipe du projet Exim, a déclaré qu’après avoir reçu le rapport privé ZDI en juin 2022, les membres de l’équipe ont demandé des détails supplémentaires « mais n’ont pas obtenu de réponses avec lesquelles nous avons pu travailler. .» Le prochain contact n’a eu lieu qu’en mai 2023. « Juste après ce contact, nous avons créé un système de suivi des bogues du projet pour 3 des 6 problèmes », a déclaré Schlittermann. “Les problèmes restants sont discutables ou manquent d’informations dont nous avons besoin pour les résoudre.”

    Certaines personnes participant à la discussion ont critiqué les deux côtés.

    “Cela ressemble à une gestion bâclée de ces problèmes jusqu’à présent par ZDI et Exim - aucune des équipes n’a envoyé de requête ping à l’autre pendant 10 mois, puis Exim a mis 4 mois pour résoudre même les 2 problèmes les plus notés sur lesquels il disposait de suffisamment d’informations”, a déclaré le distingué. un chercheur en sécurité connu sous le nom de Solar Designer a écrit . « Que faites-vous pour améliorer la maniabilité à partir de ce point ? »

    Le critique a également demandé à Schlittermann quand les distributions de système d’exploitation seraient autorisées à rendre publiques les mises à jour d’Exim puisque les correctifs se trouvent actuellement dans un référentiel protégé. “Je vous suggère de définir une date/heure spécifique, par exemple dans 2 jours, à laquelle le projet Exim fera le dépôt et les entrées de bogues corrigés… les distributions publiques et publieront des mises à jour.”

    Personne d’Exim n’a répondu à ces questions ni, comme mentionné précédemment, aux questions envoyées par Ars par courrier électronique peu de temps après.

    Avec seulement un nombre limité de détails disponibles si tard un vendredi, les correctifs et les atténuations potentielles peuvent ne pas être aussi simples que certains administrateurs pourraient l’espérer. Malgré les difficultés potentielles, les vulnérabilités semblent sérieuses. En 2020, la National Security Agency a signalé que les pirates informatiques de Sandworm, un acteur menaçant d’élite soutenu par le Kremlin, avaient exploité une vulnérabilité critique d’Exim pour compromettre les réseaux appartenant au gouvernement américain et à ses partenaires. Maintenant que de nouvelles vulnérabilités Exim ont été découvertes, il ne serait pas surprenant que les acteurs malveillants espèrent en tirer parti.

    Source: https://arstechnica.com/security/2023/09/critical-vulnerabilities-in-exim-threaten-over-250k-email-servers-worldwide/

    Cachez la merde, il en dépassera toujours un bout qui dépasse 🙂

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    Après avoir réalisé l’exploit de produire à gros volumes des puces de 7 nanomètres sans passer par la lithographie EUV, la Chine travaille sur l’étape d’après de 5 nanomètres. Selon des experts interrogés par le site spécialisé EETimes, elle aurait la capacité d’y arriver dans moins de trois ans. De quoi renforcer les craintes des Etats-Unis.

    Rien ne semble arrêter la marche de la Chine vers la maîtrise des technologies avancées de puces. Ni le manque d’écosystème local au niveau requis. Ni les restrictions américaines qui l’empêchent d’accéder aux équipements de production occidentaux nécessaires. Selon des experts interrogés par le site spécialisé EETimes, elle serait sur la bonne voie pour réussir la fabrication de puces de 5 nanomètres dans moins de trois ans, peut-être dans deux ans, l’intervalle typique entre générations de puces.

    Source pour abonnés: https://www.usinenouvelle.com/article/la-chine-en-bonne-voie-pour-fabriquer-des-puces-de-5-nanometres.N2174847

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    Le programme d’IA Midjourney permet ainsi aux artistes de tous poils de créer d’incroyables illustrations en entrant quelques requêtes bien senties. De quoi manifester les idées les plus folles, et même remporter des concours d’art !

    Harry, Hagrid, Hermione, Ron, Voldemort, Dumbledore, Rogue et les autres deviennent donc japonais, et tirent tous la tronche dans une atmosphère bien grisou. Une association a priori pas évidente mais pourtant réussie.

    La version Bollywood est pas mal non plus…

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    @Violence J’en ai vu une bonne partie sur des chaînes infos, et c’est vrai qu’ils ne manquent pas d’humour.

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    Ce qui fait leur force c’est de proposer gratuitement des services simples à utiliser et très efficaces. C’est entre autres grâce à ça que le web est devenu accessible à monsieur et madame tout le monde.

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    Faut il rappeler que le lithium est assez rare et qu’il est déjà utilisé dans de nombreux domaines. A trop s’en servir, il va finir par manquer quelque part.

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    Ils sont malins ont peut pas leur enlever ça

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    Il s’agit de la première aide à la conduite qui vous permet de quitter la route des yeux.

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    Le panneau avant d’un EQS équipé de Drive Pilot cache son lidar et d’autres capteurs.

    LOS ANGELES—Mercedes-Benz n’a jamais hésité à se tourner vers les nouvelles technologies. Historiquement, le constructeur automobile a été l’un des premiers à adopter et à développer des systèmes tels que les freins antiblocage, le contrôle de stabilité, les airbags et le régulateur de vitesse adaptatif. Avec sa gamme de véhicules 100 % électriques EQ bien avancée, Mercedes-Benz s’oriente désormais vers la conduite automatisée.

    Nous avons testé le nouveau système Drive Pilot, qui sera disponible sur les berlines Mercedes-Benz Classe S et EQS 2024, sur certaines des autoroutes les plus encombrées de Los Angeles. Il s’agit du premier système de conduite automatisée de niveau 3 approuvé pour une utilisation aux États-Unis, mais il ne sera initialement disponible et actif qu’en Californie et au Nevada. Drive Pilot permet une conduite mains libres sur autoroute similaire à d’autres systèmes, tels que Super Cruise de GM , BlueCruise de Ford ou Highway Assistant de BMW , mais va plus loin en permettant au conducteur de quitter également la route des yeux.
    Un domaine de conception opérationnelle défini

    Certaines conditions doivent être remplies avant de pouvoir activer Drive Pilot, un concept important de la conduite autonome connu sous le nom de « domaine de conception opérationnelle ».

    Pour que Drive Pilot s’active, le véhicule ne doit pas rouler à plus de 40 mph (65 km/h), il doit y avoir un véhicule devant lui pour le suivre, les conditions routières doivent être sèches et dégagées, les marquages ​​au sol doivent être détectables et le l’itinéraire doit être pré-cartographié par le système. Ces limitations signifient que Drive Pilot est destiné à être utilisé dans un trafic intense avec arrêts et départs, adapté à la congestion pare-chocs à pare-chocs de l’autoroute I-10 de Los Angeles, mais pas aux autoroutes à circulation libre. Il est toutefois prévu d’augmenter le limiteur de vitesse à l’avenir.

    Lorsque les voyants du volant sont verts, le système est prêt à fonctionner.

    Nous sommes partis de Santa Monica dans un trafic inhabituellement léger qui circulait bien au-dessus de 40 mph, nous avons donc activé le régulateur de vitesse adaptatif pratique (niveau 2) de Mercedes associé au centrage de voie en guise d’amorce. Cela nous a permis de découvrir la nouvelle fonctionnalité de changement automatique de voie de Mercedes. Alors que nous nous approchions bien derrière un véhicule plus lent, le système a sonné et a affiché une illustration de manœuvre de dépassement sur le tableau de bord. Une seconde plus tard, le clignotant s’est activé et la grosse berline s’est glissée en douceur dans la voie de gauche pour dépasser. Ce système est disponible entre 40 et 85 mph (136 km/h) et évidemment seulement lorsque les conditions sont sécuritaires.

    À peine quelques kilomètres après le début de notre trajet, la circulation a commencé à ralentir suffisamment pour Drive Pilot. Une fois que le compteur de vitesse est tombé à 40 mph, une bande blanche lumineuse est apparue aux positions 10 et 2 heures des boutons Drive Pilot du volant, nous indiquant que le système était prêt. Une pression rapide sur l’un de ces boutons et ils deviennent verts et vous pouvez retirer vos mains du volant.

    Le trafic à Los Angeles devient un peu plus supportable

    Dans une circulation dense, le système maintenait parfaitement une distance de sécurité et maintenait le véhicule au point mort dans sa voie. Il ralentit jusqu’à un arrêt gracieux et accéléra tout aussi doucement. De nombreux véhicules peuvent le faire avec leurs propres fonctions d’aide à la conduite sur autoroute, mais la différence avec Drive Pilot réside dans notre capacité à détourner le regard de la route. Vous pouvez admirer le paysage par les fenêtres latérales, ouvrir un navigateur sur l’écran d’infodivertissement et surfer sur le Web, regarder une vidéo sur YouTube ou jouer à un jeu avec votre passager. Oui, nous pouvons également supposer que certains ressentiraient même le besoin d’être productifs au travail en cette nouvelle période.

    Cependant, le conducteur ne peut pas s’assoupir, ni s’incliner ou passer trop de temps à parler aux passagers arrière. Une caméra suit les yeux et les mouvements de la tête du conducteur pour garantir qu’il sera prêt à prendre en charge les tâches de conduite à tout moment.

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    La différence entre les niveaux 2 et 3 est qu’au niveau 3, le conducteur est autorisé à cesser de se concentrer sur la route et la voiture doit pouvoir l’avertir de reprendre le contrôle dans un délai approprié.

    Alors que la circulation recommençait à circuler, la voiture que nous suivions a accéléré au loin et un carillon a accompagné les voyants rouges Drive Pilot sur le volant. C’est notre avis que nous devons remettre les mains sur le volant et reprendre la conduite alors que nous avons dépassé 40 mph pour suivre le flux de la circulation. Le transfert nous a donné suffisamment de temps pour réagir, et il n’y avait pas de réelle urgence.

    Au fur et à mesure que les embouteillages allaient et venaient, nous avons vécu cette transition vers et hors de Drive Pilot à plusieurs reprises, et chacune a été aussi facile et fluide que la précédente. Le système se désactivera également lorsque d’autres conditions requises ne sont pas remplies, ainsi que lorsqu’un véhicule d’urgence est détecté, à l’approche de routes à péage, dans des zones de construction ou à réglementation spéciale, ou si un piéton ou un cycliste est détecté. Le système reçoit également un avertissement préalable des dangers provenant d’autres véhicules compatibles Drive Pilot qui pourraient se trouver devant vous.

    Alors, comment ça marche ? En plus du radar longue portée utilisé pour le régulateur de vitesse adaptatif et des caméras stéréo montées au sommet du pare-brise pour l’identification des voies, Drive Pilot ajoute des scanners lidar dans la calandre, une antenne GPS plus précise à l’arrière du toit et plusieurs capteurs invisibles placés tout autour du véhicule. Du point de vue de l’apparence, l’équipement ajouté est subtil. Vous n’avez pas de cylindre en rotation sur le dessus de la voiture, ni de découpes disgracieuses ou de cloques dans la carrosserie pour accueillir des capteurs.
    Mercedes assume sa responsabilité

    Cependant, Drive Pilot ne peut pas être installé sur les berlines EQS ou Classe S existantes. Le système doit être commandé au moment de l’achat, mais le coût est une surprise. Plutôt que de facturer tout l’équipement à l’avance, Drive Pilot sera initialement déployé sous la forme d’un abonnement annuel de 2 500 $.

    La confiance dans Drive Pilot est élevée chez Mercedes-Benz, car le système est actif en Allemagne depuis plus d’un an sans incident. Cette confiance est démontrée par la décision de Mercedes d’assumer la responsabilité du véhicule pendant l’utilisation du Drive Pilot. Il s’agit d’une décision particulièrement audacieuse puisqu’aucun autre fabricant n’offre ce genre d’assurance. Il y a bien sûr certaines conditions.

    Les propriétaires et les conducteurs doivent se familiariser avec le système, aidés par une formation et une familiarisation chez le concessionnaire ou en ligne. Pour activer initialement le système, il est également nécessaire de visionner une vidéo pédagogique de sept minutes. Les opérateurs sont également responsables de maintenir leur véhicule en bon état. Les capteurs doivent être propres, les pneus doivent être en bon état et le véhicule doit également être correctement entretenu et entretenu.

    Étant donné que Drive Pilot n’est actuellement certifié que pour une utilisation en Californie et au Nevada, les ventes sont limitées à ces États. À mesure que davantage de données cartographiques sont collectées, nous nous attendons à ce que la couverture s’élargisse et que les vitesses de fonctionnement augmentent, mais il n’y a pas de calendrier pour cela. Il existe également une autre fonctionnalité en cours de développement qui identifie quand Drive Pilot est actif, avec un éclairage extérieur turquoise unique.

    Le projet audacieux de Mercedes-Benz pour Drive Pilot est tempéré par son approche raisonnablement prudente. Le déploiement progressif renforcera la confiance des consommateurs ainsi que sa prise en charge de responsabilité. Malgré ses limites conditionnelles, il s’agit d’une exécution impressionnante avec un grand potentiel pour l’avenir.

    Source: https://arstechnica.com/cars/2023/09/mercedes-benzs-level-3-autonomous-driving-system-takes-over-in-heavy-traffic/