IPTV : les chiffres fous du piratage en France
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@Ashura Ils veulent tous en croquer, ne réalisant pas que les gens n’ont pas des moyens illimités.
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@Ashura oui mais ils tentent.
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+1 sur ce qui a été dit déjà.
C’est bien évident que c’est complètement idiot de dire que le volume “piraté” correspond à l’exact équivalent en perte pour les plateformes légales.
Perso, j’ai un abo prime pour un peu les vidéos, un peu les livraison, un peu le prix plus raisonnable que les autres. Je vais au ciné. J’achète des bouquins. Je suis abonné à qqs magazines. J’en lis aussi “piratés” en ebook, je regarde aussi des séries/films “piratées” mais … s’il n’étais pas possible de les “pirater” je ne les achèterais pas pour autant, ni ne m’abonnerais à netflix, disney+ ou autre pour autant. -
C’est une longue habitude des éditeurs, il s’agit bien évidement d’un nombre “potentiel” de manque à gagner.
À la limite, les pirates qui ne font pas d’argent avec le piratage commettent un crime uniquement “potentiel” et devraient être jugés sur cette base (c’est à dire zéro ou tout au moins juste la valeur de chaque titre qu’ils ont piraté).
Quant à ceux qui réalisent des bénéfices, ils devraient être jugés sur celui-ci et pas sur la base d’un potentiel quelconque.
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@duJambon oui c’est de la contrefaçon à la base ( et pas du vol comme les ayants-droits le disent souvent , cf les pubs, “le piratage c’est du vol!” et si ça va plus loin, si les mecs vendent l’accès à leur contenu, c’est du recel…
Mais il n’y a pas de vol, juridiquement parlant.