[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Pas vraiment de l’actualité, vu que la sortie du film est prévue pour le 30 juin, voici la bande annonce (pas un simple teaser) d’Indiana Jones 5
Et ça promet. Après quinze ans d’absence, l’archéologue va à nouveau faire claquer son fouet et botter les fesses des nazis. Le nom de cet épisode est dévoilé: après «Les aventuriers de l’Arche perdue», «Indiana Jones et le temple maudit», «Indiana Jones et la Dernière croisade» et «Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal», voici «Indiana Jones et le Cadran de la destinée»!
A la vue de ce trailer, on peut constater qu’Harrison Ford semble en très bonne forme (et même numériquement rajeuni dans la scène d’ouverture du film dont on peut voir, ici, des images) et que le film enchaine les moments épiques. Dont une scène à New York, en pleine parade en l’honneur des astronautes d’Apollo 11, le 13 août 1969.
Le film se déroule douze ans après le dernier épisode, en pleine course à l’espace, alors que l’archéologue au chapeau recherche un objet bien spécifique. Voller, campé par Mads Mikkelsen, est aussi à la recherche de cette chose. Ce personnage est inspiré de l’ingénieur nazi Wernher von Braun qui travaillait pour la NASA.
Dans ce film, on retrouve également Sallah, le grand ami d’Indy joué par John Rhys-Davies. Phoebe Waller-Bridge incarne Helena, qui semble beaucoup participer à l’action. Antonio Banderas, Thomas Kretschmann et Toby Jones sont aussi de cette cinquième aventure qui sortira le 28 juin 2023 dans les salles romandes.
Il s’agira ici du premier long-métrage de la franchise non réalisé par Steven Spielberg qui laisse sa place à James Mangold.
Il ne reste plus qu’à patienter…
Source: https://www.lematin.ch/story/decouvrez-le-premier-trailer-et-le-nom-dindiana-jones-5-944531943459
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La dernière création de Makato Shinkai (Your name) - voir ici et ici - Suzume sortira en france au printemps 2023 sous l’égide de Crunchyroll, le 12 avril 2023 pour être plus précis !
Gros gros au succès au japon depuis sa sortie en novembre.
L’attente va être loonnngguuuue les amis (on aura surement une fantrad avant)
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@Violence La bande-annonce de Suzume donne l’eau à la bouche.
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je kiff les séries HBO en général c’est souvent de bonnes séries !
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@Violence alors la pour le coup le trailer me hype pas du tout, ca fait cheap je trouve
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En parlant de HBO si vous n’avez pas vu la mini-série " The night of " je recommande !
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Etonné en bien par L’année du requin, malgré une note spectateur catastrophique
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=293047.html
Peut-être une explication, hormis le trio de tête, les autres personnages n’ont pas l’air d’être des acteurs… et ce n’est pas du tout une comédie, plutôt une caricature.
Je l’ai lancé en me disant j’arrête dès que ça deviens nul et je l’ai vu jusqu’à la fin
Techniquement splendide et la musique est fouillée.
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C’est l’après Parasite pour Bong Joon Ho: Mickey 17. L’adaptation du roman de science-fiction d’Edward Ashton où un individu (Robert Pattinson) est envoyé pour coloniser une planète gelée. À chaque fois qu’il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend.
Mark Ruffalo, Toni Collette et Naomi Ackie également au casting. une date de sortie annoncée aux Etats-Unis: le 29 mars 2024! Il va falloir patienter
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2024 c’est pas pour de suite
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Doublon supprimé
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@Violence C’est pas mon jour… J’ai encore la tête dans le sac depuis ce matin.
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Premières images pour Infinity pool » de Brandon Cronenberg
Alexander Skarsgård, Cleopatra Coleman et Mia Gath figurent au casting de Infinity Pool, le nouveau film de Brandon Cronenberg (le fils de David bien sur ) , qui racontera les vacances confortables d’un couple bouleversées lorsqu’un accident fatal survient et révèle l’horreur qui les entoure. (ouai ça dit pas grand chose mais c’est peut être pas plus mal non plus)
Le nouveau long métrage du réalisateur de Antiviral et Possessor (que j’avais trouvé très intrigant et bien meilleur que son premier essai) fera sa première mondiale au Festival de Sundance, dans la section Midnight dédiée aux films de genre.
Hâte de voir la progression du fils de David en tout cas
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#Confess Fletch
Pas de bande-annonce en Français pour le moment.A la suite d’un enchaînement malchanceux, Fletch se retrouve impliqué sur de multiples meurtres - dont l’un le place comme le suspect numéro 1. Alors qu’il cherche à prouver son innocence, Fletch est chargé de retrouver la collection d’art volée de sa fiancée, le seul héritage dont elle a hérité après la disparition et la mort présumée de son père…
Ce film fait partie de la même veine que Fletch (1985), ou Fletch au trousses selon le pays, mais c’est une autre aventure totalement de notre époque.
Mon avis: Pas un instant l’on se doute dans quelle direction le film va aller, il y a bien un meurtre, il y a forcément un coupable, il y a bien une enquête de police, mais rien ne se passe normalement à cause de l’interaction des différents protagonistes et de Fletch.
Vous resterez sur votre faim, jusqu’à la fin.
Bonus supplémentaire, pas mal d’humour pour un film à la base purement policier.
Un seul bémol, le thème musical de l’époque, architubesque, n’a pas été repris. -
« Pinocchio » par Guillermo del Toro : la meilleure adaptation depuis des lustres ?
Voilà prêt de dix ans que Guillermo del Toro tente de monter son Pinocchio, projet audacieux s’il en est, et irrémédiablement chaos au vu des nombreux refus rencontrés. On le sait depuis: Netflix, très fier, a récupéré le bébé, donnant au cinéaste l’occasion de livrer enfin sa vision des choses. Hasard des calendriers, d’autres Pinoc se sont invités à la fête, comme celui de Matteo Garrone, sacrifié sur l’autel du covid (mais oui, rappelez-vous…) et la version live made in Disney emballée par un Zemeckis complètement au bout du rouleau. Aussi en retard que le lapin d’Alice, le réalisateur du Labyrinthe de Pan envoie sa version au casse-pipe pile pour Noël 2022…
S’il fallait jouer au jeu des comparaisons, cette nouvelle monture surplombe tout ce qui a pu être fait ces vingt ou trente dernières années, y compris le bidule de Steve Barron ou l’horreur de Benigni. Seule excepton et pas des moindres: le A.l de Spielberg, transposition moins officielle bien sûr, mais qui portait en son sein l’approche la plus novatrice du conte d’origine. De son côté, Guillermo del Toro tire en guise de cartes quelques audaces aiguisées: dès le début, la mort y est abordée frontalement (Gepetto ne s’est jamais remis de la mort de son fils, tué dans un bombardement) et tout le récit est recontextualisé dans l’Italie de Mussolini!
Et pas d’allusions qui tiennent: un général fasciste y joue un rôle clef, et on envoie même le pantin de bois chez les jeunesses mussoliniennes. Évidemment impensable chez Disney ou Dreamworks. À cela s’ajoute une dimension christique troublante et très littérale, avec un pinoc’ fasciné par ce bout d’homme en bois accroché au bout d’une croix, ressuscitant à n’en plus finir, et finissant bien entendu placardé comme ce doux Jésus. Ce mariage incongru entre l’univers de Collodi et les exubérances gothiques et baroques de Del Toro forment, avouons-le, ce que le film comporte de plus excitant et de plus neuf. Mais pas assez probablement pour justifier cette énième adaptation d’un mythe qui n’intéresse plus personne.
Tout cela a beau être animé au cordeau tout en s’accordant des libertés bienvenues (les fées d’usage deviennent d’étranges divinités venues du monde des morts), le spectacle reste curieusement académique, saccadé de chansons moyennes et dispensables. une grosse et belle machinerie à l’image d’un auteur sympathique, mais dont le moteur ne cesse de ronronner depuis des années. L’émotion, forcée, dissimulée sous une couche de miel (malgré la noirceur du paysage historique), n’arrive pas à bon port.
Une seule note de la musique de Fiorenzo Carpi ou la première apparition de Gina Lollobrigida dans le film de Luigi Comencini (Les Aventures de Pinocchio, 1972) provoquent plus de frémissements qu’une heure de ce fabliau pour enfants pas sages. Ou ne serait-ce que la terreur sourde et grimaçante du classique Disney. Des comparaisons peut-être déloyales sauf que voilà: on ne sait que faire de ce putain de pantin, et il est grand temps de passer à autre chose (ou d’écouter en boucle l’infernal Pin-Occhio tant qu’à faire).