La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant»
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@Pollux a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
Il est totalement idiot de penser qu’elle pourrait s’en servir en Ukraine.
Pas tout a fait faux, mais beaucoup de monde pensait il y a 2 ans, qu’il serait totalement idiot de croire que la Russie tenterait d’envahir l’Ukraine!
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@michmich a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
@Pollux a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
Il est totalement idiot de penser qu’elle pourrait s’en servir en Ukraine.
Pas tout a fait faux, mais beaucoup de monde pensait il y a 2 ans, qu’il serait totalement idiot de croire que la Russie tenterait d’envahir l’Ukraine!
Ni que l’armée russe pouvait laisser ses propres soldats creuser des trous a chernobyl pour se planquer dedans
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D’après Wikipédia, et selon les observations occidentales, le développement du Burevestnik a commencé en 2011. Sur les 13 vols d’essai qui ont eu lieu entre 2016 et fin 2019, seuls deux ont réussi, selon les services de renseignement occidentaux. Selon le communiqué américain, aucun vol n’a dépassé une distance de 22 miles (35,4 km).
Un système est probablement tombé à la mer lors d’un test en octobre 2018. À cette époque, des zones d’exclusion aérienne ( NOTAM ) étaient publiées. L’ accident nucléaire de Njonoksa du 8 août 2019, avec sept morts et des fuites de radioactivité non négligeables, est majoritairement associé au projet Burevestnik. Une explication plausible de l’incident, basée sur ces informations, était une tentative de récupération du missile, qui pourrait être tombé à la mer en octobre 2018.
Dans un discours diffusé le 22 novembre 2019, Poutine a déclaré l’achèvement et le perfectionnement d’un nouveau type d’arme lié à l’accident. Les posséder garantirait « la souveraineté et la sécurité de la Russie pour les décennies à venir ». La veille, il avait remis à titre posthume aux veuves des 7 tués des médailles de bravoure pour leurs maris.
Les experts américains ont qualifié d’invraisemblable la faisabilité technique d’un missile de croisière à moteur nucléaire en raison de ses inconvénients, mais n’ont pas exclu cette possibilité.
Les experts occidentaux en armement supposent que Burevestnik est aussi un transporteur d’armes nucléaires.
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@Violence Ce qui démontre le peu de respect qu’a le Kremlin pour sa propre armée.
Quant à ce nouveau gadget il est surtout là à l’intention du peuple russe.
A propos des nouvelles armes révolutionnaires russes, on a des nouvelles du T14 Armata?
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@michmich a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
Pas tout a fait faux, mais beaucoup de monde pensait il y a 2 ans, qu’il serait totalement idiot de croire que la Russie tenterait d’envahir l’Ukraine!
À écouter A. Merkel et F. hollande, l’Ukraine préparait cette guerre depuis 2014.
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Problème là. Burewestnik veut dire pétrel en russe.
Il s’agit d’un programme qui date des années 2018. L’accident c’est produit sur la base militaire en août 2019 lors d’essais du système de propulsion du missile. D’après mes infos, l’essai se déroulait au sol sur un rail. Evidemment il y a eu dispersion d’éléments radioactifs et aussi des victimes dû à l’explosion.
Hormis le système de propulsion nucléaire il s’agit d’un missile de croisière tout à fait classique que l’on peut retrouver dans d’autres armées. Par exemple en France, largué d’un avion, l’ASMP A, (missile de croisière nucléaire ) entre 3600 km/h et 2400 km/h dans sa configuration de collage au terrain. Le Burewestnik, lui, possède un booster largué en vol pour permettre le démarrage du réacteur nucléaire en toute sécurité. Un peu comme le missile antiaérien et antibalistique l’Aster 15 ou 30.
Le Burewestnik est un missile de croisière subsonique (en dessous de la vitesse du son) relativement “pépère”. Son efficacité tient surtout à son collage au terrain, çad : une aptitude de voler à quelques dizaine de mètres au dessus du sol.
Je pense perso, que dans ses outils de navigation qu’il possède un auto-directeur, une cartographie embarquée avec une centrale inertielle, un GPS (Système GLONASS pour la Russie) bref, rien de bien nouveau dans le monde de la destruction.
L’intérêt du collage au terrain c’est que les radars ne peuvent pas analyser les signatures en dessous d’un certain seuil car ils sont dans le bruit blanc (la friture ou l’herbe pour les experts) donc invisible aux radars de veille. Quant aux radars de poursuite il est bien trop tard quand ils font l’acquisition du missile. Même à 800 km/h il est déjà loin.
Tout ce baratin pour conclure que ce missile ne modifiera en rien le cours de la guerre en Ukraine. Sa seule différence est qu’il utilise une propulsion nucléaire. Mais il n’est pas le seul à utiliser ce type de propulsion il me semble. -
@Pollux a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
l’Ukraine préparait cette guerre depuis 2014.
Je dirais plus “se” préparait "à"cette guerre depuis 2014.
Edit: ortho
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@Memorex91 a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
Sa seule différence est qu’il utilise une propulsion nucléaire. Mais il n’est pas le seul à utiliser ce type de propulsion il me semble.
Sur terre, il n’y a en principe que les sous-marins (avec une centrale) et des brise-glace, dans l’espace, il y a eu des sondes et même des satellites, mais avec des radio-éléments (pas de centrale), la désorbitation ou l’accident de mise en orbite en foutrait partout, l’usage en est surement bien encadré dans les pays “civilisés”.
A priori, c’est le premier missile avec ce type de propulsion, il devrait être d’ailleurs interdit au même titre que les bombes sales et la munition à uranium appauvri.
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On attends tjrs les Satan 2
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@michmich a dit dans La Russie a testé avec succès son «Tchernobyl volant» :
Ce qui démontre le peu de respect qu’a le Kremlin pour sa propre armée.
Ce serait quoi un président respectueux ?
Ce serait un président qui dirait à ses soldats, allez vous faire tuer sous les bombes ou les balles, mais surtout ne creusez pas de tranchées dans des endroits où vous pourriez potentiellement vous rendre malade -
On ne parle pas de président mais du dictateur sanguinaire Poutine. Grosse nuance
On ne parles pas non plus de n’importe quel endroit, on parle de Tchernobyl 🤪
Déjà que les nouvelles recrues de cette “opération spéciale” (si je reprends le bon terme ha ha) se font tirer dessus si ils battent en retraite, on n’est pas à une absurdité supplémentaire. Mais ils auraient du y rester plus longtemps dans leur trous, il n’y as pas de problèmes qu’ils disaient
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@Ashura Et la torpille à tsunami Poseïdon!
Elle a même sa page Wikipédia: