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    les gens n’ont toujours pas compris qu’il ne fait pas faire confiance en ces pourris d’influenceurs

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    Les autorités des Bahamas confirment l’arrestation de SBF

    Le procureur général des Bahamas a confirmé l’arrestation du fondateur de l’échange FTX, Sam Bankman-Fried “SBF”, effectuée lundi après-midi (12) par la police royale des Bahamas, à la demande des États-Unis sur des accusations criminelles.

    L’annonce intervient un jour avant la prétendue apparition de SBF au Congrès des États-Unis, où l’ancien PDG a même indiqué qu’il « réfléchissait » à y assister, tandis que des membres du Congrès l’exhortaient à présenter sa version, tandis que Bankman effectuait une tournée de presse.

    Selon le procureur général des Bahamas, SBF restera sous la garde des autorités jusqu’à son extradition vers les États-Unis et ils ont réaffirmé leur intention de “satisfaire” la demande formelle “dès que possible”, c’est-à-dire qu’ils sont attend juste, avant que Washington soumette la demande.

    En réponse à l’arrestation du SBF, le Premier ministre Davis a déclaré :

    « Les Bahamas et les États-Unis ont un intérêt commun à tenir pour responsables toutes les personnes associées à FTX qui pourraient avoir trahi la confiance du public et violé la loi. Alors que les États-Unis poursuivent individuellement les poursuites pénales contre le SBF, les Bahamas poursuivront leurs propres enquêtes réglementaires et pénales sur l’effondrement du FTX, avec la coopération continue de ses partenaires réglementaires et chargés de l’application de la loi aux États-Unis et ailleurs.

    La tournée médiatique américaine de la SBF a suscité un déluge de critiques, notamment de la part de Michael Saylor, qui a exposé dans une récente interview le réseau complexe de prêts de la FTX qui avait été adossé à ses propres titres non enregistrés, que Bankman-Fried aurait manipulé. .

    Selon Saylor, un célèbre maximaliste de Bitcoin et responsable de la stratégie d’acquisition de Bitcoin chez MicroStrategy, Bankman-Fried s’est essentiellement emprunté de l’argent, car aucune banque traditionnelle ne prêterait de l’argent au ratio prêt-valeur autorisé par la loi américaine sur le Bitcoin. Uni.

    Les Bahamas se disent prêts à extrader SBF.

    Source: https://fr.trenddetail.com/euro/234758.html

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    @Ashura le même, mais avec répétiteurs wifi plaqués or, ça n’a plus rien avoir niveau réseau!

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    C’est un gouffre a énergie ce truc donc oui il faut faire quelque chose, de plus les états n’ont aucuns intérêt à laisser faire, car ils ne contrôlent rien.

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    Perso jamais kiffé la cryptomonnaie et maintenant que tous le monde s’y s’est mis (et que des start-up se sont mis sur le coup), c’est juste du walou comme dirait mon voisin que cette “monnaie” virtuel (tiens elle porte bien son nom)

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    Il se murmure que ces Cryptobanques ont recruté des anciens de Lehman Brothers, des spécialistes de la dégringolade :hihi:

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    Affaire Binance-FTX : Changpeng Zhao, prince d’un royaume crypto en ruine

    Analyse fleuve du marché:

    Le patron de Binance a mis à terre l’un de ses concurrents en quelques jours seulement, renforçant sa position de leader dans un monde crypto toutefois très fragilisé.

    Il n’est plus si rare, de nos jours, d’observer de puissantes entreprises vaciller à cause d’un simple tweet. On savait ce pouvoir dans les mains de l’excentrique Elon Musk. Changpeng Zhao, alias “CZ”, en dispose lui aussi. Le 6 novembre, le patron de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Binance, la plus importante au monde, annonce sur le réseau social “liquider” ses jetons FTT émis par son concurrent FTX. Les conséquences ne se font pas attendre : de nombreux internautes l’imitent immédiatement et vendent leurs propres FTT. La cryptomonnaie s’effondre, passant de 22 dollars à seulement 4 en quelques heures. FTX, dont la valorisation approchait les 32 milliards de dollars en début d’année, se trouve vite en manque de liquidités et appelle à l’aide. Mercredi 9 novembre, Binance, qui s’était un temps positionnée pour racheter son concurrent aux 5 millions d’utilisateurs, jette l’éponge. FTX cherche en panique des capitaux, mais la perspective d’une faillite pure et simple n’a jamais semblé aussi proche.

    Voilà l’affaire résumée dans ses grandes lignes. Elle met depuis à feu et à sang l’intégralité du monde crypto. Sa valeur star, le bitcoin, navigue autour des 17 000 dollars, à son plus bas depuis deux ans. Le patron de Binance, Changpeng Zhao, ne voulait pas que ça se passe ainsi, a-t-il affirmé. Il est permis d’en penser autrement.

    Ce retournement de situation intervient en effet après plusieurs mois de conflit entre “CZ” et le patron de FTX, Sam Bankman-Fried, une étoile montante du milieu. Les deux étaient en désaccord sur la question de la régulation du secteur, notamment aux Etats-Unis, où CZ a déjà connu quelques déboires. Il est assez probable que Bankman-Fried ait tenté d’inciter le gouvernement américain à apposer des règles plus strictes sur les échanges de cryptomonnaies, au détriment de Binance. Ce qui pourrait justifier cette phrase du fameux tweet de Changpeng Zhao envoyé le 6 novembre : “Nous ne soutiendrons pas les personnes qui font pression sur d’autres acteurs du secteur dans leur dos.” Cela expliquerait également pourquoi CZ n’a pas hésité à exécuter FTX aussi facilement qu’un empereur romain baissant le pouce dans l’arène. Sam Bankman-Fried, lui, a perdu 94% de sa fortune personnelle en quelques petites heures d’après Bloomberg. Une dégringolade quasi-inédite dans le monde des affaires. “J’ai merdé, et j’aurais dû faire mieux”, a-t-il à son tour tweeté ce jeudi après-midi.

    Zhao, 45 ans, n’a pourtant pas le profil d’un autocrate sanguinaire. L’entrepreneur au visage poupon, apprécié dans le milieu crypto, a plusieurs fois assuré vouloir transmettre l’intégralité de sa fortune personnelle actuellement estimée à plus de 17 milliards de dollars. Il communique souvent sur son mode de vie simple, donne des conférences en short et en tong, cultive l’image du simple passionné d’informatique ayant joué la bonne carte en misant dès 2013 sur un bitcoin auquel peu croyaient. Le Canadien d’origine chinoise - sa famille a quitté le pays lorsqu’il était adolescent - n’en reste pas moins un stratège aux immenses ambitions. Binance est devenu numéro 1 en seulement huit mois et contrôle plus de la moitié du trading des cryptomonnaies sur la planète. Selon une enquête de Reuters, CZ aurait déjà confié à ses équipes vouloir “prendre le contrôle de l’ensemble du marché [des cryptomonnaies]” et devenir à terme, “plus grand que Google”.

    Pour ce faire, le Canadien avance habilement ses pions. Il ne lésine pas sur la publicité dans des marchés émergents, en témoigne son sponsoring de la Coupe d’Afrique des Nations de football. CZ investit aussi dans l’économie traditionnelle. Récemment, l’entrepreneur a renfloué Twitter à hauteur de 500 millions de dollars, son nouveau boss Elon Musk ayant indiqué à maintes reprises sa volonté de faire du réseau social un des futurs géants du Web3 et du paiement en cryptomonnaies.

    Binance a également monté plus de 70 entités à travers le globe afin de booster sa croissance. Celles-ci lui permettent de jongler entre les différentes législations en vigueur, pas toujours favorables aux cryptomonnaies. Toujours selon l’agence de presse américaine, CZ a ainsi méthodiquement esquivé aux Etats-Unis et au Royaume-Uni des enquêtes concernant du blanchiment d’argent. L’affaire avec FTX est une illustration criante de ce manque global de régulation dont profite Binance. “Imaginez un instant si cette affaire avec FTX s’était passée dans l’économie classique. C’est comme si BNP provoquait un bank run, un retrait de dépôts massifs, chez Société générale pour l’affaiblir…”, commente Vincent Boy, analyste chez IG France. D’un autre côté, CZ sait habilement se positionner en Europe désireuse de mettre un terme à ce Far West. Binance a annoncé un investissement de 100 millions de dollars en France tout en acquérant le statut contraignant de prestataire de services sur actifs numériques (PSAN). Zhao a par ailleurs déclaré que les nouvelles normes apportées par la réglementation européenne MiCA sur le marché étaient “fantastiques” et devraient être “copiées partout dans le monde”.

    FTX, récent challenger, avait pour objectif clair de concurrencer Binance. La plateforme était en pleine expansion dans le monde, notamment grâce à plusieurs rachats d’envergure (BlockFI, Voyager Digital…) à la suite du récent coup de froid sur le marché, provoqué par le contexte géopolitique, l’inflation et la fin du Covid. “L’énorme expansion des cryptomonnaies, lors de la crise sanitaire, a été nourrie par les excès de liquidités dans l’économie. Depuis le début de l’année, on assiste donc à l’élimination des projets les moins solides”, analyse Nathalie Janson, professeur d’économie à NEOMA Business School.

    Sam Bankman-Fried et FTX ne semblaient pas faire partie de ces brebis galeuses. Bien au contraire, le jeune trentenaire, se positionnait comme un des moteurs de la “structuration” du secteur autour de ces acteurs les plus puissants. Un “sauveur”, même, développant une forte notoriété dans un milieu comptant pour l’heure peu de figures en vue, hormis Satoshi Nakamoto, inventeur du bitcoin, une personnalité fictive qui n’a plus donné signe de vie depuis près de 10 ans, et Vitalik Butherin, créateur de l’ethereum au profil atypique, inventeur de génie plus que véritable businessman. “La plateforme de trading de Bankman-Fried était jugée comme l’une des plus performantes et intuitives par les professionnels”, indique Nathalie Janson. Cette ombre était-elle devenue trop importante pour Binance et CZ ? Possible. Le leader du marché avait retiré des parts qu’il détenait chez FTX. La séparation était actée entre les deux acteurs forts, avec l’Américain Coinbase, de ce marché de l’échange de cryptos.

    Mais elle s’est confirmée, au tout début du mois, lorsqu’un article du site CoinDesk a révélé le talon d’Achille de FTX : sa grande dépendance d’investissement en cryptomonnaies Alameda Research, également fondé par Sam Bankman-Fried, et garantie… par les FTT. Changpeng Zhao avait alors un levier conséquent, qu’il a immédiatement actionné en vendant ses propres FTT. La suite est connue. Les dominos ont chuté un à un. La situation rappelle à de nombreux égards le premier cryptocrash survenu au printemps, provoqué par la chute d’un actif censé être “stable”, le TerraUSD, à cause de la faiblesse de son actif de réserve, le Luna. Les deux appartenaient au même entrepreneur sud-coréen, Do Kwon. CZ, en bon prince, faisait la leçon sur Twitter ce mercredi : “N’utilisez jamais un jeton que vous avez créé en garantie. Ayez une large réserve”.

    Les semaines à venir s’annoncent toutefois nuageuses pour les acteurs crypto, y compris Binance. “Le risque est fort de voir la valorisation des cryptomonnaies continuer de baisser dans les prochains mois alors que de l’autre côté la technologie blockchain s’ancre dans notre monde économique”, souligne Vincent Boy. Le patron de Binance ne se réjouit d’ailleurs pas. “La confiance des utilisateurs est gravement ébranlée. Les régulateurs vont examiner les exchanges crypto encore plus attentivement. Les licences d’activités de cryptomonnaies dans le monde entier seront plus difficiles à obtenir. Et les gens pensent maintenant que nous sommes les plus grands, et nous attaqueront davantage”, a-t-il commenté auprès de ses employés dans une lettre rendue publique cette semaine. Bien assis sur son trône, et alors que des centaines de milliers de petits porteurs risquent de perdre leur capital, CZ a laconiquement tweeté : “Jour triste. J’aurais essayé, mais…”, conclut d’un smiley en larmes. De crocodiles ?

    Source: https://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/affaire-binance-ftx-changpeng-zhao-prince-d-un-royaume-crypto-en-ruine_2183274.html

    La plateforme de cryptomonnaies FTX en faillite aux États-Unis, son patron qui a perdu près de 16 milliards en une journée démissionne

    https://www.7sur7.be/economie/la-plateforme-de-cryptomonnaies-ftx-en-faillite-aux-etats-unis-son-patron-qui-a-perdu-pres-de-16-milliards-en-une-journee-demissionne~a82a198b/

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    Qui peut désormais suivre les transactions effectuées en Bitcoin, Ether et Tether entre autres

    Coinbase, la plus grande plateforme d’échange de crypto-monnaie aux États-Unis, vend à l’Immigrations and Customs Enforcement (ICE, une agence de police douanière et de contrôle des frontières du département de la Sécurité intérieure des États-Unis) une suite de fonctionnalités utilisées pour suivre et identifier les utilisateurs de crypto-monnaie, selon les documents contractuels.

    En août 2021, Coinbase a vendu une licence de logiciel d’analyse unique à ICE pour 29 000 $, suivie d’un achat de logiciel d’une valeur potentielle de 1,36 million de dollars le mois suivant, mais les détails exacts sur les capacités qui seraient offertes à la division controversée des enquêtes sur la sécurité intérieure de l’agence n’étaient pas clairs. Un nouveau document contractuel obtenu par Jack Poulson, directeur du groupe de surveillance Tech Inquiry, montre qu’ICE a désormais accès à une variété de fonctionnalités d’analyses numériques fournies par Coinbase Tracer, l’outil de collecte de renseignements de la société (anciennement connu sous le nom de Coinbase Analytics).

    Coinbase Tracer permet aux clients, tant du gouvernement que du secteur privé, de suivre les transactions via la blockchain, un registre distribué des transactions faisant partie intégrante de l’utilisation de la crypto-monnaie. Alors que les registres de blockchain sont généralement publics, l’énorme volume de données qui y sont stockées peut rendre difficile, voire impossible, le suivi de l’argent du dépensier au destinataire sans l’aide d’outils logiciels. Coinbase commercialise Tracer pour une utilisation à la fois dans les enquêtes de conformité des entreprises et d’application de la loi, vantant sa capacité à « enquêter sur les activités illicites, y compris le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme » et à « connecter les adresses [de crypto-monnaie] à des entités du monde réel ».

    Selon le document, publié via une demande de Freedom of Information Act (FOIA), ICE est désormais en mesure de suivre les transactions effectuées via près d’une douzaine de devises numériques différentes, notamment Bitcoin, Ether et Tether. Les fonctionnalités analytiques incluent « l’analyse de liens multi-sauts pour les fonds entrants et sortants », donnant à ICE un aperçu des transferts de ces devises, ainsi que « la démixtion des transactions et l’analyse des transactions protégées » visant à contrecarrer les méthodes plébiscitées par certains utilisateurs de crypto pour blanchir leurs fonds ou camoufler leurs opérations. Le contrat fournit également, de manière provocante, des « historiques de données de suivi géographique », bien qu’il ne soit pas clair en quoi consistent exactement ces données ou d’où elles proviennent. Un e-mail publié via la demande FOIA montre que Coinbase n’exigeait pas qu’ICE accepte un contrat de licence utilisateur final, un jargon juridique standard qui impose des limites à ce qu’un client peut faire avec un logiciel.

    Interrogée sur le contrat ICE et les données impliquées, la porte-parole de Coinbase, Natasha LaBranche, a pointé vers une clause de non-responsabilité sur son site Web indiquant que « Coinbase Tracer tire ses informations de sources publiques et n’utilise pas les données des utilisateurs de Coinbase ». LaBranche n’a pas répondu aux questions sur la façon dont ICE utilise Coinbase Tracer, ni si la société a imposé des limites à cette utilisation.

    Coinbase a déployé ces dernières années un effort concerté pour présenter ses fonctionnalités de renseignement aux agences gouvernementales, notamment l’IRS, les services secrets et la Drug Enforcement Administration. Le mois dernier, le vice-président du renseignement mondial de Coinbase, John Kothanek, a déclaré devant un panel du Congrès que son entreprise était désireuse d’aider la cause de la sécurité intérieure. « Si vous êtes un cybercriminel et que vous utilisez la crypto, vous allez passer une mauvaise journée(…). Nous allons vous retrouver et nous allons trouver ce financement et nous allons, espérons-le, aider le gouvernement à saisir cette crypto ». Le travail de Coinbase en partenariat avec le gouvernement s’est avéré très controversé pour de nombreux fans de crypto, en raison peut-être à la fois de la tendance libertaire de longue date dans cette communauté et du fait que ces devises sont si fréquemment utilisées pour faciliter diverses formes de fraude.

    L’outil Coinbase Tracer lui-même est né de la controverse. En 2019, il a été rapporté que Neutrino, une société d’analyse de blockchain que la société a acquise afin de créer Coinbase Tracer, « a été fondée par trois anciens employés de Hacking Team, un fournisseur de surveillance italien controversé qui a été surpris à plusieurs reprises en train de vendre des logiciels espions aux gouvernements avec des antécédents douteux en matière de droits de l’homme, comme l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et le Soudan*». À la suite d’un tollé public, Coinbase a annoncé que ces employés « quitteraient » l’entreprise.

    Homeland Security Investigations, la division d’ICE qui a acheté l’outil Coinbase, est chargée non seulement des questions liées à l’immigration, de l’aide aux raids de migrants et des opérations d’expulsion, mais également des crimes transnationaux plus larges, y compris diverses formes d’infractions financières. On ne sait pas à quelle fin ICE utilisera Coinbase.

    Une entreprise touchée de plein fouet par « l’hiver crypto »

    Le mois dernier, Coinbase a entrepris de licencier près d’un cinquième de ses effectifs dans un contexte d’effondrement de ses cours crypto mais aussi en bourse. La plateforme d’échange de cryptomonnaie a annoncé la suppression de 18 % de ses effectifs à temps plein, selon un courriel envoyé aux employés. Coinbase compte environ 5 000 employés à temps plein, ce qui se traduit par une réduction du nombre d’employés d’environ 1 100 personnes.

    Coinbase avait initialement annoncé qu’il suspendait l’embauche. Deux semaines plus tard, l’entreprise a annoncé qu’elle prolongeait le gel dans un « avenir prévisible ». Plus tôt cette année, Coinbase a déclaré qu’il prévoyait de créer 2 000 emplois dans les domaines des produits, de l’ingénierie et de la conception :

    « Chez Coinbase, nous avons une mission ambitieuse pour accroître la liberté économique dans le monde. Si nous voulons saisir l’opportunité qui s’offre à nous, nous aurons besoin de plus d’aide pour faire évoluer nos produits existants et en créer de nouveaux. En 2022, nous prévoyons d’ajouter jusqu’à 2 000 employés dans nos équipes de produits, d’ingénierie et de conception.

    « Nous voyons d’énormes opportunités de produits à venir pour l’avenir du Web3. Nous pensons que notre industrie en est à ses balbutiements et qu’il est essentiel de créer des passerelles pour que les individus participent à la conduite du cas d’utilisation de la prochaine génération de crypto. Nous nous étendons également pour inclure des produits qui hébergent du contenu généré par les utilisateurs comme les NFT, et nous sommes ravis de nos plans ambitieux pour l’avenir de Coinbase Wallet, améliorant la sécurité, la facilité d’utilisation et l’accessibilité.

    « Nous sommes inébranlables dans notre objectif de construire sur le long terme, à travers chaque cycle de cryptographie. Cela a été l’un des plus grands moteurs de notre succès à ce jour. À travers les sommets, nous nous concentrons sur la mise à l’échelle et de nombreuses nouvelles personnes se familiarisent avec la cryptographie. Pendant les creux, nous nous concentrons sur l’innovation des produits. Que le marché soit en hausse ou en baisse, nous voyons une opportunité évidente, faisant de Coinbase l’un des endroits les plus excitants où travailler en ce moment.

    « Il y a quelques éléments que nous recherchons dans toutes les embauches que nous effectuons chez Coinbase, quel que soit le rôle ou l’équipe. Tout d’abord, nous recherchons des signaux indiquant qu’un candidat s’épanouira dans une culture comme la nôtre, où nous privilégions une communication claire, une exécution efficace et un apprentissage continu, entre autres qualités. Nous recherchons des personnes qui choisissent d’adopter une approche axée sur la mission dans leur travail. Et nous recherchons des personnes ayant le désir et la capacité de #LiveCrypto, construisant et partageant activement leur expertise en cryptographie avec ceux qui les entourent.

    « En retour, nous offrons une opportunité de carrière unique, avec une rémunération compétitive et transparente ; des avantages uniques comme plusieurs semaines de recharge à l’échelle de l’entreprise ; et un environnement remote-first où vous travaillerez dans une équipe de championnat avec certaines des personnes les plus talentueuses de notre industrie ».

    Mais c’était sans compter sur la déroute profonde de ses actions : les actions de Coinbase sont en baisse de 79 % cette année et de 85 % par rapport au niveau record. Pendant ce temps, le bitcoin a chuté à près de 22 000 dollars et a perdu 53 % de sa valeur cette année.

    Coinbase, basé à San Francisco, a signalé une baisse du nombre d’utilisateurs au cours de son dernier trimestre et une baisse de 27 % de ses revenus par rapport à ce qu’ils étaient il y a un an. La société tire la majorité de son chiffre d’affaires des frais de transaction, qui sont étroitement liés à l’activité de négociation.

    La présidente et chef de l’exploitation Emilie Choi a qualifié cette décision de « décision très difficile pour Coinbase », mais compte tenu du contexte économique, elle a déclaré que cela « ressemblait à la chose la plus prudente à faire en ce moment ».

    Les employés concernés ont reçu une notification des ressources humaines. Si tel est le cas, le mémo a été envoyé à un e-mail personnel, car Coinbase a coupé l’accès aux systèmes de l’entreprise. Armstrong l’a qualifié de « seul choix pratique » compte tenu du nombre d’employés ayant accès aux informations sur les clients et d’un moyen de « s’assurer que personne ne prend de décision irréfléchie qui nuirait à l’entreprise ou à elle-même ».

    Les employés de Coinbase auront accès à un hub de talents pour trouver de nouveaux emplois dans l’industrie, y compris les sociétés du portefeuille de Coinbase Ventures. Choi a déclaré que Coinbase continuerait de s’investir dans des domaines tels que la sécurité et la conformité et pourrait « réorienter » les employés vers des sources de revenus à court terme.

    Sources : contrat entre Coinbase et l’ICECoinbase, developpez.com

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    Nvidia accepte de payer l’amende de 5,5 Ms $ sans admettre ni nier les conclusions de la SEC

    Le principal organisme de surveillance financier américain – la Securities and Exchange Commission – a réglé avec Nvidia des accusations selon lesquelles la société aurait sous-estimé l’impact de l’activité de minage de cryptomonnaie sur son activité de jeu. NVIDIA a accepté de payer 5,5 millions de dollars à titre de pénalité sans admettre ni nier les conclusions de la SEC.

    Selon le communiqué de presse de la SEC, la grande enseigne de fabrication de puces n’a pas divulgué toutes les informations concernant l’activité de minage de cryptomonnaie en tant que source importante de revenus pour son activité de jeux. Depuis que la demande et l’intérêt pour les cryptomonnaies ont augmenté en 2017, la société a été un acteur majeur dans la fourniture de GPU avancés aux installations de cryptominage.

    Le communiqué indique que NVIDIA a inclus ses revenus provenant des ventes de GPU aux crypto-mineurs dans le cadre de son activité de jeux, mais la société n’a pas révélé que son « augmentation des ventes de jeux était en grande partie due au cryptominage » dans ses formulaires 10-Q, comme requis par la SEC.

    De plus, l’autorité a constaté que NVIDIA n’avait pas précisé comment la demande de crypto avait affecté l’autre partie de son activité, ce qui donnait l’impression que ses opérations de jeu n’étaient pas étroitement corrélées à son implication dans le minage. La Commission considère que ces omissions d’informations critiques ont empêché les investisseurs d’évaluer correctement les performances futures de l’entreprise.

    « La Securities and Exchange Commission a annoncé aujourd’hui des accusations réglées contre la société de technologie NVIDIA Corporation pour des divulgations inadéquates concernant l’impact du minage de cryptomonnaies sur les activités de jeu de la société.

    « L’ordonnance de la SEC constate qu’au cours des trimestres consécutifs de l’exercice 2018 de NVIDIA, la société n’a pas divulgué que le cryptominage était un élément important de la croissance de ses revenus matériels provenant de la vente de ses unités de traitement graphique (GPU) conçues et commercialisées pour les jeux. Le cryptomining est le processus d’obtention de récompenses cryptographiques en échange de la vérification de transactions cryptographiques sur des registres distribués. Alors que la demande et l’intérêt pour les cryptomonnaies augmentaient en 2017, les clients de NVIDIA utilisaient de plus en plus ses GPU de jeu pour le minage de cryptomonnaies.

    « Dans deux de ses formulaires 10-Q pour son exercice 2018, NVIDIA a signalé une croissance importante des revenus de son activité de jeux. NVIDIA disposait cependant d’informations selon lesquelles cette augmentation des ventes de jeux était due en grande partie au cryptominage. Malgré cela, NVIDIA n’a pas divulgué dans ses formulaires 10-Q, comme elle était tenue de le faire, ces fluctuations importantes des bénéfices et des flux de trésorerie liées à une activité volatile pour que les investisseurs puissent déterminer la probabilité que les performances passées soient indicatives des performances futures. L’ordonnance de la SEC constate également que les omissions d’informations importantes de NVIDIA sur la croissance de son activité de jeu étaient trompeuses étant donné que NVIDIA a fait des déclarations sur la façon dont d’autres parties de l’activité de l’entreprise étaient motivées par la demande de crypto, donnant l’impression que l’activité de jeu de l’entreprise était pas significativement affecté par le cryptomining ».

    Kristina Littman, chef de la division Crypto Assets and Cyber ​​Unit de la SEC Enforcement Division, a fait valoir que le défaut de NVIDIA de divulguer des informations critiques avait privé les investisseurs de la possibilité d’évaluer équitablement ses performances. Elle a déclaré : « Tous les émetteurs, y compris ceux qui recherchent des opportunités impliquant des technologies émergentes, doivent s’assurer que leurs informations sont fournies en temps opportun, complètes et exactes ».

    Le limiteur Nvidia LHR officiellement craqué

    En réponse à l’immense demande sur le marché des cartes graphiques, qui provenait non seulement des joueurs, mais aussi des mineurs, NVIDIA avait décidé de brider ses cartes graphiques RTX 3000 l’année dernière pour les rendre moins intéressantes auprès des mineurs. Une mesure extrême liée à la pénurie chronique de cartes NVIDIA depuis leur lancement. Pénurie empirée par l’énorme demande, la pénurie mondiale de puces, et maintenant par la guerre en Ukraine qui s’accompagne de lourdes sanctions contre la Russie (sachant que la Russie et l’Ukraine délivrent à l’industrie des semiconducteurs l’écrasante majorité du gaz néon ultra-pur nécessaire aux lasers EUV, et du palladium utilisé dans de nombreux composants).

    Les modèles LHR résultants (abréviation de Lite hashrate) étaient beaucoup moins attrayants pour les mineurs en raison des performances de minage réduites.

    En réponse au nouveau limiteur, plusieurs sociétés de cryptographie ont commencé à travailler sur une solution de contournement. Dans le passé, il y a déjà eu des rapports sur les moyens de restaurer au moins une partie de la performance de minage. La société Nicehash a apparemment réussi pour la première fois à débloquer toutes les performances de minage.

    Plus d’un an après l’introduction des cartes graphiques LHR, le logiciel de cryptominage est désormais en mesure de bénéficier de tout le potentiel de la GPU NVIDIA RTX 30 LHR. C’est une annonce qui a été faite par les développeurs de NiceHash.

    Les cartes graphiques LHR étaient destinées à réduire jusqu’à 50 % les performances des cartes NVIDIA RTX 30 pour Ethereum et d’autres cryptomonnaies alternatives avec des GPU. Fait intéressant, l’algorithme NVIDIA LHR a été déverrouillé pour la première fois à la suite d’un incident impliquant NVIDIA lui-même, après que la société a accidentellement publié le code du pilote non-LHR. NVIDIA a rapidement patché l’algorithme LHR et publié une deuxième version de sa GPU RTX 3060. Depuis lors, toutes les cartes RTX 30 sont passées aux variantes LHR, à l’exception de la série RTX 3090.


    Les développeurs de NiceHash ont été parmi les premiers à débloquer 70 % de l’algorithme LHR. Cet objectif a été atteint en août de l’année dernière. Par conséquent, il a fallu 9 mois supplémentaires pour découvrir le mécanisme de verrouillage LHR et le désactiver pour la plupart des SKU. Aujourd’hui, le logiciel déverrouille à 100 % toutes les cartes RTX 30 avec LHR, à l’exception des RTX 3050 et RTX 3080 12 Go, qui pourraient comporter un nouveau type d’algorithme LHR qui n’a pas encore été craqué.

    Le nouveau déverrouillage LHR ne fonctionne que sur le système d’exploitation Windows et ne prend en charge que l’algorithme DaggerHashimoto (Etash).

    Pour le moment, seul NiceHash Quickminer prend en charge le déverrouillage secret de l’entreprise, mais plusieurs mineurs de renom tels que Son of a Tech de YouTube ont publié des vidéos montrant le logiciel à la hauteur de ses prétentions.

    Dans un billet de blog, NiceHash a confirmé la situation :

    « Nous sommes très heureux de vous dire que NiceHash QuickMiner (Excavator) est le premier logiciel de minage à DÉVERROUILLER ENTIÈREMENT (100 %) les cartes LHR ! Maintenant, vous pouvez gagner plus de profits que n’importe quel autre logiciel de minage sur le marché si vous utilisez des cartes graphiques LHR avec NiceHash QuickMiner. La prise en charge de NiceHash Miner arrive bientôt. Cela le rend également plus avantageux que miner directement vers un pool, puisque d’autres logiciels ne sont pas capables de libérer la pleine capacité de votre matériel. Inscrivez-vous sur NiceHash, téléchargez notre QuickMiner et soyez payé en Bitcoin toutes les 4 heures ! »

    QuickMiner est un mineur en un clic conçu pour une utilisation facile avec un mode de jeu pour les joueurs et un overclocking automatique (OCTune). Il utilise Excavator (maintenant avec 100 % LHR Unlock !) Pour miner d’Ethereum et XMRig pour minage de CPU.

    Dans son billet de blog, NiceHash précise qu’il n’y a pas encore de prise en charge de Linux : « Le déverrouillage 100 % LHR ne fonctionne que sous Windows ». Mais l’équipe NBMiner (NebuMiner) a également développé son logiciel qui déverrouille 100 % des performances de minage sur les GPU GeForce RTX 30 sur Linux.

    Des yeux rivés sur le métavers

    Outre les efforts de plusieurs années en tant que fabricant de puces prédominant pour les installations de minage de Bitcoin, NVIDIA lorgne également sur le métavers en devenir. Plus tôt cette année, la société a annoncé qu’elle avait lancé un programme pour soutenir les artistes et les créateurs de contenu qui se concentrent sur la création de mondes virtuels et de produits pour le métavers.

    Lors du Consumer Electronics Show (CES) organisé le 4 janvier à Las Vegas, Nvidia a déclaré avoir conclu des accords technologiques avec plusieurs marketplaces sur le métavers. Dans le cadre de ces nouveaux partenariats, Nvidia s’engage à distribuer une version gratuite de son logiciel Omniverse aux artistes et aux créateurs de contenu qui travaillent sur des projets liés au métavers.

    Contrairement à d’autres grandes entreprises de l’industrie, Nvidia n’envisage pas de lancer son propre métavers. Cependant, elle souhaite faciliter le développement des mondes virtuels et contribuer à la fois aux volets matériels et logiciels.

    Omniverse est une plateforme qui intègre divers outils permettant aux ingénieurs de créer des animations, que la société appelle un « métavers » pour les ingénieurs. En mai 2020, Jensen Huang a montré une démo d’Omniverse, où les ingénieurs peuvent travailler sur des conceptions dans un environnement virtuel, dans le cadre du discours d’ouverture de la GPU Technology Conference de Nvidia, un événement virtuel organisé en ligne ce mois-là. Plus de 30 000 personnes du monde entier s’étaient inscrites pour participer.

    Omniverse est un outil virtuel qui permet aux ingénieurs de collaborer. Il s’inspire du concept de science-fiction du Métavers, un monde virtuel fictif décrit dans le roman Snow Crash, paru en 1992, de Neal Stephenson. Ce monde virtuel, créé artificiellement par un programme informatique, héberge une communauté d’utilisateurs présents sous forme d’avatars pouvant s’y déplacer, y interagir socialement et parfois économiquement.

    « L’analogie avec le Métavers est excellente », a déclaré le directeur général des médias et du divertissement de Nvidia, Richard Kerris, lors d’un point de presse. « C’est en fait une analogie que nous utilisons beaucoup en interne. Vous pourrez collaborer n’importe où dans le monde dans cet environnement virtuel. Et votre flux de travail est essentiel, que vous soyez un utilisateur final ou un développeur. Nous sommes donc vraiment enthousiasmés par cette plateforme ».

    Nvidia a travaillé sur la technologie pendant un certain temps, avec un accès anticipé d’une durée de 18 mois. L’Omniverse, qui n’était auparavant disponible qu’en mode d’accès anticipé, permet une simulation et une collaboration 3D photoréalistes. Il est destiné à des dizaines de millions de designers, ingénieurs, architectes et autres créateurs.

    Ces évolutions rejoignent d’autres travaux de l’entreprise, sur l’animation de modèle 3D à partir d’un flux audio à travers Audio2Face, de réduction du poids des visioconférences, avec la possibilité de retravailler l’angle ou les gestuelles d’un visage en temps réel via vid2vid.

    La société se propose d’utiliser une simple photo d’un intervenant et de l’utiliser pour créer un avatar numérique, qui serait animé selon les propos tenus, avec des mouvements du visage devant donner l’impression qu’il s’agit d’une prise de vue via une caméra, alors que ce n’est pas le cas. L’intérêt est évident en termes de bande passante puisque seul le flux audio est trannsféré, tout le travail d’animation étant traité localement par la GPU.

    Sources : SECNvidia, developpez.com

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    En raison des critiques sur leur plus-value sociale et leur impact environnemental

    La communauté Wikipédia annonce de façon officielle qu’elle arrête d’accepter les dons en monnaies cryptographiques. Le positionnement fait suite à un vote en interne dont le verdict est tombé le 12 avril dernier : 232 votants pour l’arrêt de l’acceptation de dons en cryptomonnaies et 94 contre. La communauté Wikipédia vient allonger une liste d’organisations qui s’interdisent d’assumer les monnaies cryptographiques en raison de critiques récurrentes sur leur plus-value sociale et leur impact sur l’environnement.

    « La Fondation Wikimedia a décidé de ne plus accepter directement les cryptomonnaies comme moyen de faire des dons. Nous avons commencé notre acceptation directe des cryptomonnaies en 2014 sur la base des demandes de nos bénévoles et de nos communautés de donateurs. Nous prenons cette décision sur la base des commentaires récents de ces mêmes communautés. Plus précisément, nous allons fermer notre compte Bitpay, ce qui supprimera notre capacité à accepter directement les cryptomonnaies comme méthode de don.
    Nous continuerons à surveiller cette question et nous apprécions les commentaires et la considération accordés à cette question en constante évolution par les personnes du mouvement Wikimedia. Nous resterons flexibles et réactifs aux besoins des bénévoles et des donateurs. Merci encore à tous ceux qui ont fourni des informations précieuses sur ce sujet de plus en plus complexe et changeant », précise-t-elle.

    Mozilla, l’organisation à but non lucratif qui édite le navigateur web Firefox, avait de la même façon annoncé qu’elle n’accepte plus les dons en cryptomonnaies suite à une réaction négative importante provoquée en partie par l’initiateur principal du projet Mozilla, Jamie Zawinski.

    « La semaine dernière, nous avons rappelé sur Twitter que Mozilla accepte les dons en cryptomonnaies. Cela a conduit à une discussion importante sur l’impact environnemental des cryptomonnaies », avait indiqué l’organisation qui avait ajouté qu’elle « examinerait en quoi sa politique actuelle sur les dons en cryptomonnaies correspond à ses objectifs climatiques. » Elle a donc mis une pause sur les paiements depuis lors.

    Réaction de Zawinski dans un billet de blog où il avait maintenu ses critiques acerbes : « Je suis heureux du rôle que j’ai pu jouer pour qu’ils annulent cette terrible décision. Les cryptomonnaies ne sont pas seulement un désastre écologique apocalyptique et un système pyramidal encore plus fou, mais elles sont aussi incroyablement toxiques pour le web ouvert, un autre idéal que Mozilla avait l’habitude de soutenir. »

    La décision de Mozilla faisait suite à celle de Tesla d’arrêter d’accepter le bitcoin comme moyen de paiement pour l’achat des véhicules. Le motif : lutter contre le réchauffement climatique. En effet, le bitcoin figure dans la liste des potentielles causes de coupures d’électricité en Iran. Si l’on considère le réseau Bitcoin comme un pays, alors ce dernier consomme plus d’énergie électrique par an que l’Argentine tout entière. C’est l’une des plus grosses tares que le réseau sous-jacent à la célèbre monnaie cryptographique traîne.

    La consommation d’énergie du réseau Bitcoin n’est pas un bogue. Elle est liée au mécanisme d’émission des jetons. Dans le jargon de la cryptomonnaie, le processus prend le nom de minage. Le principal problème qui découle de cette méthode de validation des transactions est sa lourdeur de fonctionnement. La preuve de travail, qui demande un consensus global de chaque nœud sur la blockchain, requiert une quantité d’énergie considérable. Cet algorithme demande à chaque nœud de résoudre un puzzle cryptographique.

    Ce puzzle est résolu par les mineurs qui entrent dans une sorte de compétition de laquelle le gagnant ressort avec une récompense en bitcoins. Cette récompense est accordée à un mineur lorsqu’il trouve le hash qui permettra la création d’un nouveau bloc. Mais trouver ce hash devient de plus en plus compliqué et nécessite l’usage d’un nombre chaque fois plus élevé de machines. C’est la raison pour laquelle certains construisent des fermes de minage, d’où les publications qui s’enchaînent et qui font état d’importantes consommations du « pays Bitcoin ». À ce jour, il consomme 121,36 TWh par an, selon l’analyse de l’université de Cambridge. Cette consommation devrait être revue à la hausse à l’avenir quand on prend en compte le fait qu’une augmentation du prix de la cryptomonnaie entraîne une augmentation de l’énergie nécessaire pour le minage. De même, les émissions de gaz à effet de serre dues au fonctionnement du réseau Bitcoin iront croissant. C’est en raison de l’importance de cette consommation que ses détracteurs sont d’avis que « le bitcoin ne rend pas de réel service à l’humanité. »

    Source : Wikimedia, developpez.com

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    C’estt une horreur !

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    “Audiogalaxy”

    Oulala, là tu m’as carrément mis en mode nostalgie là Tristan lol.

    En tous cas content de te lire de temps à autre l’ami 😉

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    Des hackers ont dérobé pour une fortune aux utilisateurs du jeu mobile «Axie Infinity». L’éditeur vietnamien a promis de récupérer les fonds perdus.

    Les investigations se poursuivent pour retrouver la trace des sommes évaporées sur le jeu vidéo «Axie Infinity», dans un piratage d’ampleur inédite, qui vient alimenter la réputation parfois sulfureuse des cryptomonnaies.

    Ce jeu vidéo très prisé en Asie s’appuie sur la blockchain (chaine de blocs) ethereum, la plus connue après celle du bitcoin, pour créer une sorte de monde virtuel, où les joueurs élèvent et échangent des petites créatures, les Axies.

    L’éditeur du jeu, le groupe vietnamien Sky Mavis, utilise une blockchain dite «latérale» à ethereum, qui lui permet de gérer son propre système de transactions internes, sans recourir à ethereum pour chacune d’entre elles. Mais ce système latéral a été piraté, permettant aux pirates de s’approprier les montants amassés par les joueurs.

    Le piratage, découvert seulement après six jours par Sky Mavis, est l’une des plus grosses attaques informatiques impliquant des cryptomonnaies. Elle survient quelques semaines après un précédent piratage de la plateforme Wormhole, également liée aux cryptomonnaies, qui a vu 320 millions de dollars disparaître dans la nature.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/600-millions-de-dollars-envoles-des-joueurs-sont-fous-furieux-530614452585

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    Tout d’abord, il faut aussi savoir qu’au Japon, La tradition exige que les noms soit inversés en plaçant le nom de famille avant le “prénom”…

    Dans cette interprétation, sato veut dire communauté (petite) et Shi est un guerrier.
    Je ne connais pas les caractères utilisés pour Satoshi, mais Nakamoto est généralement…
    Naka, le caractère est un rectangle traversé par une ligne.
    Il signifie diversement le milieu ou l’intérieur de quelque chose.
    C’est le premier caractère que la Chine utilise dans son nom, c’est pourquoi elle se nomme elle-même le milieu…

    il est à noter que “Satoshi Nakamoto” est le pseudonyme utilisé par la ou les personnes ayant développé la cryptomonnaie Bitcoin…

    La crypto-monnaie Bitcoin a été développée par “les agences de renseignement américaines”, avait déclaré Natalya Kaspersky, l’entrepreneure informatique russe et PDG du groupe de sociétés InfoWatch et spécialiste des systèmes de cybersécurité, lors de sa présentation à l’université ITMO de Saint-Pétersbourg.

    Kaspersky a déjà donné une explication plausible de l’utilisation du bitcoin, à savoir lefinancement
    d’opérations secrètes dans le monde entier.

    D’autres articles font état de rumeurs selon lesquelles le cryptographe “Satoshi Nakamoto” serait toujours en
    possession de plusieurs milliards de dollars en pièces de monnaie, dont la vente pourrait provoquer une onde de choc dans le système financier.

    C’est particulièrement intéressant, car si cela s’avère vrai, avec l’adoption croissante et massive des
    crypto-monnaies, des gens ordinaires aux grandes banques et tout ce qui se trouve entre les deux (le Salvador a récemment installé des distributeurs automatiques de bitcoins), cela pourrait effectivement conduire à une perturbation de l’ensemble du système, peut-être même sous la forme d’un interrupteur d’effondrement…

    Dans une révélation qui ne devrait surprendre personne, le grand patron de la CIA a confirmé que l’agence
    de renseignement a de multiples projets liés aux crypto-monnaies.

    Habituer les peuples à une certaine technologie qui semble “démocratiser” les choses et/ou l’acclimater à
    l’utilisation généralisée de quelque chose pour ensuite couper l’herbe sous le pied de tout le monde lorsque son
    véritable objectif est prêt à être mis en œuvre.

    L’implication de l’agence centrale de renseignement américaine explique également pourquoi la Chine et la Russie ne sont pas très enthousiastes à l’égard des cryptos en général.

    Ce sont également les deux pays qui tentent de mettre en place leur propre système financier, d’établir leur propre bloc commercial et d’amasser de grandes quantités d’or.

    Mais au moins, nous pourrions avoir quelques indices sur ce à quoi pourrait ressembler un plan à plus long terme.
    Si le plan consiste à déplacer le centre du pouvoir mondial vers l’est…

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    euro numérique pour septembre 2022 ???

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    Les deux suspects promis au Panthéon des criminels déchus pour avoir joué avec le butin du piratage de Bitfinex offrent à leur insu une superbe démonstration technique. Cryptos, mixeurs, marchés du darknet : aussi sophistiquées soient les technologies employées pour anonymiser et blanchir de l’argent, la blockchain permet à la justice de mettre le grappin sur les auteurs.

    « Les criminels laissent toujours des traces, et cette affaire nous rappelle que nous disposons des outils nécessaires pour suivre la piste numérique, où qu’elle puisse mener », s’est félicité le directeur adjoint du FBI, Paul Abbate, lors de l’annonce d’un coup de filet magistral dans le dossier Bitfinex.

    Pour mémoire, en 2016, un pirate informatique s’était introduit dans les systèmes de cette plateforme d’échange de cryptomonnaies. Le cyberattaquant, dont l’identité reste inconnue à ce jour, avait orchestré plus de 2 000 transactions non autorisées, dérobant 119 754 bitcoins.

    C’est sur la majeure partie de ce butin, valant 3,6 milliards de dollars au prix du marché actuel, que le ministère de la Justice américain a mis la main 6 ans plus tard, arrêtant au passage deux receleurs qui tentaient de blanchir l’argent.

    Seulement voilà, « nous sommes prêts à faire face à ces menaces en utilisant des techniques d’enquête du 21e siècle pour récupérer les fonds volés et tenir les auteurs responsables », a commenté le procureur américain, Matthew Graves. Penchons-nous sur la mécanique d’enquête et à ces fameuses nouvelles méthodes forensiques.

    Passer les fonds volés à l’éplucheur

    Le mandat d’arrêt émis par la juge vaut le détour à ce propos. Ce document d’une vingtaine de pages montre comment les fédéraux ont pisté des milliers d’adresses Bitcoin, des wallets et progressivement identifié les suspects. Il ressort qu’une partie des bitcoins volés avait été transférée via Alphabay, l’un des plus grands marchés du darknet.

    Réseau superposé à Internet aux protocoles d’anonymisation, le darknet constitue littéralement le côté obscur du web. Un endroit où se négocient des biens et services illégaux, où des plateformes comme Alphabay permettent de créer des comptes de cryptomonnaies afin de financer ces activités criminelles.

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    L’objectif dans le cadre du cambriolage de Bitfinex était de brouiller les pistes, masquer les points d’entrée et de sortie avec cette fameuse blockchain Bitcoin enregistrant toutes les transactions. Alphabay servait ici de « mixeur » et les deux suspects ont mené une technique frauduleuse de stratification surnommée « peel chain ».

    On prend une grosse quantité de bitcoins déposée sur une adresse et on « l’épluche » en une série de petites transactions de quelques BTC qu’on envoie sur de nouvelles adresses à chaque fois. Une vieille technique de dissimulation de l’argent sale passée au 2.0. Seule Alphabay pouvait ainsi relier l’ensemble des transactions. Toutes ces connexions seraient impossibles à déchiffrer et à relier à la blockchain, a reconnu la juge fédérale Robin Meriweather dans son affidavit.

    Le brouilleur devenu décodeur

    Les forces de l’ordre sont malgré tout parvenues à remonter jusqu’au réseau Bitcoin et aux adresses permettant d’identifier les présumés criminels financiers. Cela veut dire que le FBI et les agents spéciaux du fisc américain ont réussi à isoler certains échanges pertinents et suffisants afin que la juge établisse la cause probable, la norme en droit pénal américain requise pour autoriser arrestation ou fouille.

    « En juillet 2017, Alphabay a été saisi et fermé », a épinglé Tom Robison, fondateur et directeur des recherches scientifiques d’Elliptic, une société experte en investigation sur la blockchain.

    « Dans un effort futile pour garder l’anonymat numérique, les accusés ont blanchi des fonds volés à travers un labyrinthe de transactions en cryptomonnaies »

    Lisa Monaco, Procureure générale adjointe

    « Cela a probablement permis aux forces de l’ordre d’accéder au journal des transactions (la liste des modifications informatiques exécutées dans une base de données, ndla). Ce qui leur permettait de retracer les fonds volés sur Bitfinex ». Comble de l’ironie, la solution pour brouiller les pistes aurait finalement servi de décodeur.

    Une semaine avant l’annonce par le ministère de la Justice, Tom Robison avait repéré sur la blockchain un mouvement colossal des bitcoins volés sur Bitfinex. L’équivalent de 3,55 milliards de dollars bougeait pour la première fois depuis août 2016. Nous savons désormais qu’il s’agissait de la saisie du magot par les fédéraux.

    « Cela démontre que même lorsque des techniques sophistiquées de blanchiment d’argent sont utilisées, les enregistrements de la blockchain permettent toujours aux forces de l’ordre de relier les activités criminelles aux individus et de les traduire en justice », a jugé le fondateur d’Elliptic.

    Source : numerama.com

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    @violence a dit dans Crypto.com: Un casse à 31 millions de dollars :

    D’après le communiqué, ce sont des comptes utilisateurs non protégés par l’authentification à deux facteurs (2FA) qui ont été touchés par les retraits illicites.

    C’est la base, quand même, pour sécuriser en ligne les comptes bancaires et autres services financiers !

    Pour en savoir plus sur l’authentification à deux facteurs (2FA), j’ai trouvé cette page web qui explique bien ce que c’est, je trouve : https://www.varonis.com/fr/blog/authentification-a-deux-facteurs

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    Si le peuple comprenait le système bancaire, il y aurait une revolution avant demain matin

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    Ledger va lancer une carte Visa pour payer en cryptomonnaies

    Le fabricant français de portefeuilles de cryptomonnaies physiques annonce le lancement début 2022 d’une carte de débit, permettant de régler des achats dans les commerces en convertissant automatiquement les actifs numériques en euros.

    RAPHAËLE KARAYAN | PUBLIÉ LE 10 DÉCEMBRE 2021
    source : https://www.usine-digitale.fr/article/ledger-va-lancer-une-carte-visa-pour-payer-en-cryptomonnaies.N1168042

    La licorne Ledger lève 380 millions de dollars pour devenir le portefeuille de référence des cryptoactifs

    Ledger, une société française qui propose un propose un portefeuille physique de cryptomonnaies, a annoncé le 9 décembre son intention de lancer au premier trimestre 2022 une carte de débit pour permettre à ses clients de payer en cryptomonnaies dans les commerces physiques et web.

    LA CARTE GÈRERA NEUF CRYPTOMONNAIES

    Pour créditer le compte lié à la carte, les utilisateurs devront utiliser l’application Ledger Live, qui permet de gérer son compte de crypto logé dans le portefeuille physique. Au moment du paiement, la carte convertit la cryptomonnaie en euros. Le quotidien Les Echos précise que cette opération ne sera pas génératrice d’impôt sur le revenu, grâce à une astuce financière. En effet, en France, les plus values et moins values liées à la détention de cryptomonnaies sont fiscalisées au moment où les actifs numériques sont convertis en euros.

    La carte de Ledger, baptisée Crypto Life et conçue avec la plateforme de banking as a service Baanx et Visa, sera dans un premier disponible en France, au Royaume-Uni et en Allemagne, puis aux Etats-Unis au deuxième trimestre 2022. Elle permettra de payer avec neuf cryptomonnaies, dont le bitcoin, l’ether, et le tether.

    DÉMOCRATISER L’USAGE DES CRYPTO

    L’objectif est de démocratiser leur usage, bien que les crypto ne soient pas des monnaies officielles. C’est ce qui a également conduit la bourse de cryptomonnaies allemande Bitpanda à lancer une carte en partenariat avec Visa, en janvier 2021, qui contient en plus un mécanisme de cashback en bitcoin. Coinbase et Binance ont fait de même.

    Ledger, qui a levé 380 millions de dollars en juin en série C, est valorisée 1,5 milliard de dollars. Elle revendique 4 millions de clients dans le monde. La société a par ailleurs annoncé le lancement d’un nouveau portefeuille de crypto, Nano S+, et l’arrivée prochaine de la gestion de NFT sur l’application Ledger Live.