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    [IPTV] Danemark, le VPN, To be or not to be ?
  • duJambonundefined duJambon

    Début décembre, le ministère danois de la Culture a déposé un projet de loi visant à lutter contre le visionnage de contenus piratés sur les plateformes IPTV illégales. Le débat public s’est davantage concentré sur les restrictions proposées concernant les VPN, certains en concluant que le gouvernement souhaitait une interdiction totale. Dans une déclaration cette semaine, le ministre danois de la Culture a affirmé que les VPN ne seraient pas interdits et, pour lever toute ambiguïté, toute référence à ces derniers sera supprimée. Il est fort peu probable que cela change quoi que ce soit.

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    L’émergence de nouvelles technologies qui semblent remettre en cause les dispositions de la législation existante peut poser problème à ceux qui espèrent protéger leur contenu.

    Au Danemark, le gouvernement estime que les lois conçues pour protéger contre les technologies anciennes sont désormais trop spécifiques pour relever les défis actuels. Les projets de loi déposés au début du mois visent à moderniser la législation, mais suscitent déjà la controverse.

    Le besoin déclaré d’amendements

    Les propositions préliminaires soumises par le ministère de la Culture début décembre comprennent des mesures visant à lutter contre le visionnage de contenus sur des « services IPTV illégaux » et « l’utilisation illégale de connexions VPN ».

    La légalité de ces pratiques au regard du droit en vigueur ne semble pas être remise en question, les deux étant clairement qualifiées d’« illégales ». Pourtant, en l’état actuel des choses, elles sont considérées comme « inadaptées à une répression », le droit existant étant conçu pour des technologies de diffusion plus anciennes.

    « Ces règles visent principalement les décodeurs illégaux et autres équipements de décodage. Les décodeurs et cartes pirates sont obsolètes, et il est donc nécessaire de mettre à jour les règles afin qu’elles puissent lutter contre les activités de piratage actuelles », indiquent les propositions.

    Ces propositions vont bien au-delà d’une simple mise à jour de la législation actuelle sur le piratage. L’objectif est de pérenniser la loi afin qu’elle puisse s’adapter à un environnement technique en constante et rapide évolution.

    Plus précisément, l’objectif est de garantir que « l’interdiction du piratage en ligne devienne technologiquement neutre et puisse ainsi tenir compte de l’évolution technologique. Il est en outre précisé que l’interdiction du piratage en ligne, conformément à la législation en vigueur, s’applique aussi bien aux fins commerciales qu’à l’usage privé. »

    Amendements proposés

    Entre autres, les dispositions introduites en 1997 visaient les « décodeurs et cartes de décodage piratés » utilisés pour contourner le cryptage du signal et éviter de payer un abonnement aux diffuseurs. La publicité et la promotion de ces appareils et d’équipements similaires étaient également interdites.

    En 2000, l’interdiction du piratage commercial a été étendue à la sphère privée ; la possession d’un décodeur pirate est devenue illégale, afin de dissuader les ménages d’en acquérir un. Aujourd’hui, interdire ces appareils ne suffit plus ; les amendements prévoient donc les mesures suivantes :

    « Il est interdit de fabriquer, d’importer ou de vendre des équipements, des logiciels ou d’autres solutions techniques destinés à permettre un accès non autorisé au contenu d’une émission de radio ou de télévision cryptée ou au contenu de tout autre service de contenu dont l’accès est restreint par des mesures ou des dispositifs techniques. Il est également interdit d’acquérir, de posséder, d’installer ou d’utiliser des équipements, des logiciels ou d’autres solutions techniques dans le but d’obtenir un accès non autorisé. »

    Cela représente un changement fondamental. Plutôt que de se concentrer sur l’interdiction de la vente et de la possession d’appareils physiques, on observe un changement de cap visant à cibler le contournement des restrictions d’accès de toutes sortes et à fournir les moyens de le faire.

    L’attention se déplace des dispositifs vers le contournement

    De toute évidence, cette mesure interdit l’accès illégal à des contenus uniquement disponibles via des services légitimes moyennant paiement ; en l’occurrence, un paiement que l’utilisateur espère éviter. Prise isolément, cette modification n’a rien de révolutionnaire, mais sa portée est bien plus large.

    Les mêmes restrictions s’appliquent également lorsqu’un utilisateur accède à un contenu pour lequel il a déjà payé les frais correspondants, mais que des restrictions géographiques imposent que ce contenu ne soit généralement pas disponible dans la région de l’utilisateur.

    En d’autres termes, l’accès à des contenus géobloqués deviendra illégal, que l’utilisateur ait payé pour ces contenus ou non. C’est ce qu’indiquent clairement les propositions, qui révèlent également qu’aucune restriction n’est imposée quant au type de contenu.

    La notion de « contenu provenant d’un autre service de contenu, dont l’accès est restreint par des mesures ou des dispositifs techniques » doit être interprétée au sens large. Il convient de noter que le piratage en ligne ne se limite plus aux émissions de radio et de télévision. La modification proposée permettra à tous les contenus audiovisuels, y compris les films, les séries télévisées, la musique, les livres (numériques), les articles, etc., dont l’accès peut être limité par une obligation d’abonnement ou de paiement, de bénéficier de la protection de l’article 91. Les retransmissions télévisées ou en streaming d’événements en direct, tels que les événements sportifs et les concerts, seront également couvertes par cette disposition.

    Et les infractions légales potentielles liées à l’accès à du contenu piraté et/ou géobloqué – payant ou non – ne s’arrêtent pas là.

    Étant donné que les propositions interdisent également l’acquisition, la possession, l’installation ou l’utilisation d’équipements, de logiciels ou d’autres solutions techniques, l’achat et l’utilisation d’un VPN pour accéder à du contenu piraté – ou même à du contenu géobloqué que l’utilisateur a payé – constitueraient une infraction.

    Il en va de même pour l’utilisation de tout moyen technique visant à contourner les mesures de blocage de sites existantes au Danemark.

    Le ministre de la Culture « n’a jamais proposé » d’interdiction des VPN

    Les débats publics autour de ces propositions ont inévitablement conduit certains à conclure que le gouvernement souhaite en réalité une interdiction totale des VPN au Danemark. Bien que cette affirmation ne soit pas étayée par le texte actuel, elle est suffisamment extrême pour justifier un démenti sur les détails, ce qui, selon l’utilisateur, pourrait néanmoins produire cet effet.

    « L’objectif de ce projet de loi était, entre autres, de lutter contre la diffusion illégale de matchs de football. Depuis, un débat s’est instauré quant à savoir si le gouvernement souhaite une interdiction totale des connexions VPN, ce qui n’est pas le cas », a indiqué le ministère de la Culture dans un communiqué cette semaine.

    Le ministre de la Culture, Jakob Engel-Schmidt, a ajouté ce qui suit :

    « Je ne suis pas favorable à l’interdiction des VPN et je ne l’ai jamais proposé. Mais je dois admettre que le projet de loi manque de précision, tant sa formulation actuelle laisse entrevoir des ambiguïtés. C’est pourquoi je supprime la partie concernant les VPN, afin qu’il n’y ait plus aucun doute : je ne souhaite en aucun cas interdire leur utilisation. »

    Supprimer le terme « VPN » des propositions pérennes ne change rien

    Compte tenu de l’intention qui sous-tend ces propositions et des lacunes de la législation actuelle qu’elles visent à corriger, la suppression du terme « VPN » semble peu susceptible d’avoir un quelconque effet. En effet, la force des amendements proposés réside dans leur formulation neutre sur le plan technologique. De fait, supprimer toute référence aux VPN est inutile puisque les propositions stipulent ce qui suit :

    « La notion de « solution technique alternative » doit être comprise au sens large. Cette formulation générale vise à signifier que la modification proposée couvrira toute solution technique utilisée pour permettre un accès non autorisé à un contenu médiatique. »

    Dans un message publié sur X , le ministre de la Culture a qualifié de « fausses informations » les affirmations concernant une interdiction totale des VPN.

    « Je ne suis pas favorable à la criminalisation des VPN et je ne la proposerai certainement pas. Franchement, cela ressemble à une interprétation erronée et délibérée d’un projet de loi assez modeste, qui stipule simplement qu’il est illégal de regarder des événements sportifs en streaming sans payer. »

    En 2024, une bataille juridique au Danemark opposant LaLiga et Rojadirecta a déjà conclu que les retransmissions sportives en direct sont des œuvres protégées par le droit d’auteur.

    Selon ces propositions, la publicité ou la promotion de VPN permettant de débloquer des contenus géo-protégés constituerait également une infraction. Il ne s’agirait pas nécessairement de VPN, mais de tout dispositif capable d’obtenir le même résultat.

    La Cour suprême du Danemark a confirmé en 2020 que le fait de fournir des informations sur la façon d’utiliser Popcorn Time constituait une infraction pénale.

    Source: https://torrentfreak.com/govt-denies-iptv-piracy-law-bans-vpns-because-it-never-did-didnt-need-to-251218/

    Il semblerait qu’il n’y ait pas encore quelque chose de pourri au Danemark…


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • duJambonundefined duJambon

    @michmich Si tu parles de Pagnol, tu peux tous les regarder, il n’y a pas un navet, y compris Le cuisinier qui ne fait pas la cuisine (Cigalon). 🙂


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • duJambonundefined duJambon

    À peine google a-t-il sorti Gemini 3 Pro qu’il présente Gemini 3 Flash

    Ne partez pas pisser, le monde change très vite et vous allez rater des trucs 🙂

    Gemini 3 Flash accélère considérablement ce déploiement. Ce nouveau modèle Gemini 3, plus rapide, est désormais disponible pour l’application et la recherche Gemini, et les développeurs pourront y accéder immédiatement via l’API Gemini, Vertex AI, AI Studio et Antigravity. Le modèle d’IA de nouvelle génération de Google gagne également du terrain, avec l’intégration croissante de Gemini 3 Pro et de son composant image (Nano Banana Pro) dans la recherche.

    Source et plus: https://arstechnica.com/google/2025/12/google-releases-gemini-3-flash-promising-improved-intelligence-and-efficiency/

    Gemini 3 coincoin est surement déjà dans les tuyaux à moins que claude le vieux ou chatgpapt ne soit prêt avant. 🙂


  • Le nouveau générateur d'images ChatGPT d'OpenAI simplifie la falsification de photos
  • duJambonundefined duJambon

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    Une génération d’image GPT 1.5 créée avec l’invite classique : « un barbare musclé avec des armes à côté d’un téléviseur à tube cathodique, style cinématographique, 8K, éclairage studio »

    Pendant la majeure partie des quelque 200 ans d’histoire de la photographie, retoucher une photo de manière convaincante nécessitait soit une chambre noire, soit une certaine maîtrise de Photoshop, soit, au minimum, une main sûre avec des ciseaux et de la colle. Mardi, OpenAI a publié un outil qui simplifie le processus en le réduisant à la simple saisie d’une phrase.

    Ce n’est pas la première entreprise à s’y essayer. Si OpenAI travaillait sur un modèle de retouche d’images conversationnel depuis GPT-40 en 2024, Google l’a devancé en commercialisant un prototype public en mars , avant de le perfectionner pour en faire un modèle populaire appelé Nano Banana (et Nano Banana Pro ). L’accueil enthousiaste réservé au modèle de retouche d’images de Google au sein de la communauté de l’IA a attiré l’attention d’OpenAI .

    d’OpenAI Le nouveau GPT Image 1.5 est un modèle de synthèse d’images par IA qui, selon les informations disponibles, génère des images jusqu’à quatre fois plus rapidement que son prédécesseur et coûte environ 20 % moins cher via l’API. Ce modèle a été déployé auprès de tous les utilisateurs de ChatGPT mardi et représente une nouvelle avancée vers une manipulation d’images photoréalistes accessible à tous, même sans compétences visuelles particulières.

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    Original

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    Ajoute une reine galactique dans l’image originale

    GPT Image 1.5 est remarquable car il s’agit d’un modèle d’image « multimodal natif », ce qui signifie que la génération d’images a lieu au sein du même réseau neuronal qui traite les invites linguistiques. (À l’inverse, DALL-E 3 , un générateur d’images OpenAI antérieur intégré à ChatGPT, utilisait une technique différente appelée diffusion pour générer les images.)

    Ce nouveau type de modèle, que nous avons présenté plus en détail en mars, traite les images et le texte comme des éléments identiques : des blocs de données appelés « tokens » à prédire, des motifs à compléter. Si vous téléchargez une photo de votre père et tapez « le mettre en smoking à un mariage », le modèle traite vos mots et les pixels de l’image dans un espace unifié, puis génère de nouveaux pixels de la même manière qu’il générerait le mot suivant dans une phrase.

    Grâce à cette technique, GPT Image 1.5 peut modifier la réalité visuelle plus facilement que les modèles d’IA précédents, en changeant la pose ou la position d’une personne, ou en restituant une scène sous un angle légèrement différent, avec plus ou moins de succès. Il peut également supprimer des objets, modifier les styles visuels, ajuster les vêtements et affiner des zones spécifiques tout en préservant la ressemblance du visage lors de modifications successives. Vous pouvez dialoguer avec le modèle d’IA au sujet d’une photographie, l’affiner et la corriger, de la même manière que vous réviseriez un brouillon d’e-mail dans ChatGPT.

    Fidji Simo, PDG des applications chez OpenAI, a expliqué dans un article de blog que l’interface de chat de ChatGPT n’avait jamais été conçue pour le travail visuel. « Créer et retoucher des images est une tâche différente qui mérite un espace dédié au visuel », a-t-il écrit. C’est pourquoi OpenAI a intégré un espace de création d’images dans la barre latérale de ChatGPT, avec des filtres prédéfinis et des suggestions populaires.

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    Original: Harrelson Hall, un célèbre bâtiment circulaire du campus de l’Université d’État de Caroline du Nord (aujourd’hui démoli), a toujours semblé prêt à décoller

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    Transforme ce bâtiment en ovni en train de décoller

    Le lancement de cette fonctionnalité semble être une réponse directe aux avancées technologiques de Google en matière d’IA, notamment la forte croissance du nombre d’utilisateurs de chatbots. En particulier, le modèle d’image Nano Banana de Google (et Nano Banana Pro ) a connu un grand succès sur les réseaux sociaux après sa sortie en août, grâce à sa capacité à afficher du texte avec une relative netteté et à préserver les visages de manière constante malgré les modifications.

    Le modèle de synthèse d’images par jetons d’OpenAI permettait auparavant d’effectuer des modifications ciblées à partir d’invites conversationnelles, mais il modifiait souvent les détails du visage et d’autres éléments que les utilisateurs auraient souhaité conserver. GPT Image 1.5 semble conçu pour offrir les mêmes fonctionnalités d’édition que celles déjà proposées par Google. Toutefois, si vous préférez l’ancien générateur d’images ChatGPT, OpenAI précise que la version précédente restera disponible (pour le moment) en tant que GPT personnalisé.

    La friction continue de diminuer

    GPT Image 1.5 n’est pas parfait. Lors de nos tests, il n’a pas toujours suivi les instructions à la lettre. Cependant, lorsqu’il fonctionne correctement, les résultats semblent plus convaincants et détaillés que le précédent modèle d’image multimodal d’OpenAI. Pour une comparaison plus approfondie, le consultant en logiciels Shaun Pedicini a créé un site web instructif (« GenAI Image Editing Showdown ») qui propose des tests A/B de différents modèles d’images basés sur l’IA.

    Bien que nous ayons beaucoup écrit sur ce sujet ces dernières années, il est sans doute utile de rappeler que les obstacles à la retouche et à la manipulation réalistes de photos ne cessent de s’estomper. Ce type de manipulation d’images par IA, fluide, réaliste et sans effort, pourrait entraîner (le jeu de mots est voulu) une réévaluation culturelle de la signification des images pour la société. Pour quelqu’un ayant grandi à une autre époque médiatique, se voir mis en scène dans des situations fictives peut aussi s’avérer quelque peu déstabilisant.

    Pendant la majeure partie de l’histoire de la photographie, la réalisation d’un faux convaincant exigeait savoir-faire, temps et ressources. Ces obstacles rendaient la falsification suffisamment rare pour que l’on puisse considérer de nombreuses photographies comme un indicateur raisonnable de la vérité, même si elles pouvaient être manipulées (et l’étaient souvent ). Cette époque est révolue grâce à l’IA, mais GPT Image 1.5 semble lever encore davantage les derniers obstacles.

    La possibilité de préserver la ressemblance du visage lors de retouches présente une utilité évidente pour la retouche photo légitime, mais aussi un risque tout aussi évident d’utilisation abusive. Des générateurs d’images ont déjà été utilisés pour créer des images intimes sans consentement et usurper l’identité de personnes réelles.

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    La reine galactique et le barbare dans l’environnement précédent

    Compte tenu de ces risques, les générateurs d’images d’OpenAI ont toujours intégré un filtre bloquant généralement les contenus à caractère sexuel ou violent. Cependant, il reste possible de créer des images compromettantes de personnes sans leur consentement (même si cela enfreint les conditions d’utilisation d’OpenAI) tout en évitant ces sujets. L’entreprise indique que les images générées contiennent des métadonnées C2PA les identifiant comme étant créées par une IA, mais que ces données peuvent être supprimées en réenregistrant le fichier.

    En parlant de contrefaçons, le rendu du texte a longtemps constitué une faiblesse des générateurs d’images, qui s’est lentement améliorée . Lorsqu’on demande à certains anciens modèles de synthèse d’images de créer une affiche ou un panneau avec des mots spécifiques, les résultats sont souvent illisibles ou mal orthographiés.

    OpenAI affirme que GPT Image 1.5 peut traiter des textes plus denses et plus petits. L’article de blog de l’entreprise présente une démonstration où le modèle a généré l’image d’un journal contenant un article de plusieurs paragraphes, avec titres, signature, tableaux de référence et un corps de texte restant lisible au niveau du paragraphe. Des tests plus approfondis seront nécessaires pour vérifier la fiabilité de ces performances avec des sujets variés.

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    Un exemple du nouveau modèle GPT Image 1.5 affichant un texte complexe et dense sur un journal simulé

    Bien que le journal de l’exemple semble aujourd’hui falsifié, il s’agit d’une étape supplémentaire vers l’ érosion potentielle de la perception qu’a le public des archives historiques pré-Internet, à mesure que la synthèse d’images devient plus réaliste.

    OpenAI a reconnu dans un article de blog que le nouveau modèle présente encore des problèmes, notamment une prise en charge limitée de certains styles de dessin et des erreurs lors de la génération d’images exigeant une précision scientifique. L’entreprise estime cependant que le modèle s’améliorera avec le temps. « Nous pensons que nous n’en sommes qu’aux prémices du potentiel de la génération d’images », a-t-elle écrit. Et si l’ on en juge par les progrès réalisés ces trois dernières années en synthèse d’images, il se pourrait bien qu’elle ait raison.

    Source: https://arstechnica.com/ai/2025/12/openais-new-chatgpt-image-generator-makes-faking-photos-easy/


  • Galileo : Téléphone, montre, secours… Tout le monde utilise le « GPS européen » sans le savoir (même vous)
  • duJambonundefined duJambon

    L’auteur voulait surement dire que gps était devenu un nom commun.

    Mais pour Galileo, ça ne doit pas encore casser la baraque avec une trentaine de satellites, combien sont visibles en même temps au maximum ? Va falloir que Trump n’y pense pas trop si on ne veut pas finir dans la mer… 🙂


  • L’IA bouleverse l’industrie du porno
  • duJambonundefined duJambon

    Le pire reste quand même à venir, trompe d’éléphant (avec ou sans oreilles), puit sans fond et je n’ose même pas imaginer le reste…


  • Un peu d'humour en vidéo
  • duJambonundefined duJambon

    Bon, c’est quand même facile de dégommer tik tok et la faune décervelée qu’elle abrite.

    Je serais recruteur, j’écarterais d’office tous ceux qui sont aussi sur ce truc.


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • duJambonundefined duJambon

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  • Galileo : Téléphone, montre, secours… Tout le monde utilise le « GPS européen » sans le savoir (même vous)
  • duJambonundefined duJambon

    À l’heure actuelle, 33 satellites Galileo sont en orbite

    L’essentiel

    • Un nouveau lancement a été effectué mercredi via Ariane 6 pour Galileo. Galileo ? C’est le système de positionnement par satellites de la Commission européenne, destiné à un usage civil. Il opère en parallèle du GPS américain, du Glonass russe et du Beidou chinois.
    • La majorité des smartphones récents peuvent recevoir les signaux de Galileo, qu’ils utilisent de manière interchangeable en fonction des constellations disponibles.
    • En dehors des smartphones, le « GPS européen » est utilisé, entre autres, par de nombreuses montres connectées, pour la navigation maritime, ferroviaire ou aérienne, pour les secours et par de nombreux véhicules.

    ous ne le voyez pas, mais il est partout. Le système de positionnement par satellite Galileo, l’équivalent européen du GPS américain, est en service depuis 2016, bien qu’il n’ait atteint sa capacité opérationnelle maximale qu’en septembre 2024. Cette constellation, qui vise à rendre l’Europe indépendante dans le domaine du positionnement par satellites, ne cesse de s’agrandir et se renforcer. En témoignent les deux nouveaux objets lancés mercredi par Ariane 6 depuis le Centre spatial guyanais, à Kourou.

    Désormais, 33 satellites Galileo – pas tous actifs – orbitent au-dessus de nos têtes à 23.222 km d’altitude, permettant à ses utilisateurs d’être localisés à 1 mètre près. Des utilisateurs qui sont bien plus nombreux qu’on ne le pense (et il y a de fortes chances pour que vous en fassiez partie).

    Si l’on utilise par défaut le terme « GPS » pour parler de géolocalisation au sens large, ce n’est donc qu’un des systèmes globaux de positionnement par satellites (GNSS) que nous utilisons tous les jours. On retrouve, en parallèle du système américain disponible librement depuis 1994, le système russe Glonass, le système chinois Beidou et, bien sûr, le système européen Galileo, géré et financé par la Commission européenne.

    A partir du moment où un appareil est équipé pour recevoir les signaux de ces différents systèmes, « les récepteurs calculent une seule position en utilisant les [différentes] constellations disponibles », explique le Cnes sur son site. Votre smartphone n’utilise donc pas un seul des systèmes, mais les quatre.

    De nombreux appareils connectés compatibles

    Conséquence : vous utilisez forcément Galileo, que vous le sachiez ou non. En janvier 2024, plus de 4 milliards d’appareils étaient équipés d’un récepteur et pouvaient donc l’utiliser en parallèle des trois autres systèmes. Cela comprend tous les smartphones vendus sur le marché unique européen, qui sont désormais garantis compatibles avec le « GPS européen ».

    A ce jour, 2.476 modèles de téléphones et tablettes sont équipés pour recevoir Galileo, selon le site officiel qui répertorie les différentes utilisations du système européen, que vous pouvez consulter pour savoir si votre smartphone est compatible. Si votre téléphone l’est, vous pouvez utiliser l’application GPSTest pour savoir quelle constellation de satellites il « capte » au moment où vous l’utilisez.

    Et votre smartphone n’est pas le seul appareil compatible avec Galileo que vous utilisez tous les jours. Près de 400 modèles de « dispositifs portables et sportifs », principalement des montres connectées, des Apple Watch aux montres GPS prisées des coureurs et des randonneurs, peuvent utiliser le système européen.

    Permettre la navigation en tout genre

    Les systèmes de positionnement par satellites sont aussi présents dans les voitures. Aujourd’hui, 59 marques automobiles, dont les plus communes en France, ont équipé « presque tous leurs modèles » de récepteurs Galileo. De nombreux GPS portables en sont aussi dotés, tout comme certains dispositifs embarqués permettant de payer aux péages. Sur la route, Galileo peut aussi être utilisé dans la gestion des parcs de véhicules ou des péages et contribuera, dans un avenir proche, à la mise en place de la conduite autonome et des véhicules connectés, liste le site qui répertorie tous les usages de Galileo, UseGalileo.

    Hors routes, le système de positionnement par satellites européen sert à la navigation et la sécurité de tous types de bateaux, pour la circulation et la signalisation ferroviaires, pour la navigation et la sécurité aériennes, les drones, les machines agricoles… Il est aussi intégré, logiquement, à de nombreuses puces fournissant un service de géolocalisation.

    Une aide dans la recherche et le sauvetage

    Comme tout système de positionnement par satellites, Galileo intègre un service de recherche et de sauvetage de personnes disparues en mer ou en montagne. Au total, 36 modèles de balises de détresse, qu’elles soient individuelles, sur des bateaux ou dans des avions, sont compatibles avec le « GPS européen », réduisant le temps de localisation après activation de la balise de trois heures à dix minutes, d’après UseGalileo.

    Galileo est également automatiquement activé dans la plupart des pays de l’Union européenne (UE) lorsque vous composez le 112, le numéro d’urgence européen, depuis un téléphone portable, indique l’Agence spatiale européenne (ESA). Même principe en voiture : si vous avez acheté un véhicule neuf dans l’Union européenne après mars 2018, vous avez sûrement remarqué qu’il était équipé d’un système d’appel d’urgence qui se déclenche tout seul en cas d’accident grave. Directement relié aux services de secours, ce dispositif - appelé eCall -leur transmet votre position via les GNSS, Galileo inclus. Dans l’UE, 34 marques de voitures ont équipé tous leurs modèles de ce dispositif.

    Vous l’aurez compris, Galileo, qui est destiné à un usage civil – contrairement au GPS développé pour l’armée, est présent dans tous les pans de notre vie quotidienne, au-delà de ces quelques exemples. Est-il alors condamné à opérer dans l’ombre de son cousin américain ?

    Source: https://www.20minutes.fr/high-tech/sciences/4191926-20251218-galileo-telephone-montre-secours-tout-monde-utilise-gps-europeen-savoir


  • Trump Make America Great Again, again
  • duJambonundefined duJambon

    Trump sera encore plus dangereux en 2026

    Un an comme un siècle. Aucun jour de répit. Douze mois étouffants, harassants, souvent ahurissants, rythmés par les sautes d’humeur d’un président qui a choisi de piétiner sa population pour mieux voir le monde avant de le bouleverser. Un terrain de jeu à la hauteur de son égo, quotidiennement piqué au vif, mais encore loin de s’avouer vaincu.

    De la Chine à l’Union européenne, de l’Ukraine au Moyen-Orient et jusqu’à la Suisse, Donald Trump s’est donné pour ambition de sculpter la Terre à son image, de la soumettre à ses désirs les plus fous, tutoyant l’ingérence à chacun de ses coups de lame dans la diplomatie.

    Un président qui ne s’est finalement soucié des frontières que lorsqu’elles permettent de juguler par la force l’immigration au départ des «pays de merde». Un président qui pensait que distribuer des taxes douanières comme des gifles allait forcément séduire ses électeurs. Un président persuadé que le culte voué à sa personnalité jusqu’en novembre 2024 suffirait à assoupir les Américains.

    Lucide sous l’épaisse couche de folie, la tornade de 79 ans savait très bien qu’elle ne disposerait que d’une seule petite année pour savourer sa victoire, saccager l’ordre établi, taper du pied, engranger du pouvoir, semer le chaos, avant que son influence ne se mette à décroître. Certes, le clan MAGA se crêpe le chignon et l’économie américaine boitille, mais le pire est à venir: Donald Trump réalise à quel point son aura est en grand danger.

    Mais si le président des Etats-Unis est bel et bien en difficulté, Donald Trump ne va doucement courber l’échine jusqu’en 2028. Avec cette influence qui chancelle aux yeux du monde, ses réflexes narcissiques risquent de le rendre encore plus agressif qu’il ne l’est aujourd’hui.

    Une situation fragile qui pourrait faire basculer Trump dans une surenchère de violence politique et administrative, surtout si les midterms venaient à échapper au camp républicain l’an prochain. Un Trump plus dangereux en 2026? Rappelons tout de même que l’assaut du Capitole, dont il rêve de gracier la totalité des protagonistes, hante encore l’esprit de beaucoup de citoyens américains.

    «Il a échoué dans tout. Il a fait faillite six fois. La seule chose qu’il n’a pas ratée, c’est de convaincre les gens qu’il n’est pas un raté»

    Source et plus: https://www.watson.ch/fr/international/commentaire/950633995-donald-trump-sera-encore-plus-dangereux-en-2026


  • L’IA bouleverse l’industrie du porno
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    Les contenus sexuels synthétiques vont bientôt inonder internet, apportant de nouvelles opportunités et de nouveaux dangers.

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    Le porno a longtemps été un terrain d’essai pour les nouvelles technologies. Lorsque Johannes Gutenberg a inventé l’imprimerie au XVe siècle, elle a été rapidement utilisée pour imprimer des pamphlets grivois. Les films pornographiques ont été mis sur cassette vidéo en 1977, un an avant les films hollywoodiens mainstream, et ont dominé les ventes pendant un certain temps. Lorsque le Minitel, un précurseur français d’internet, a été lancé au début des années 1980, les services érotiques représentaient initialement entre un tiers et la moitié du trafic. L’histoire est similaire avec les caméras 8 mm, la télévision par câble – et maintenant l’intelligence artificielle (IA), aussi.

    Alors que de nombreuses entreprises hésitent encore à déployer l’IA, la technologie est déjà utilisée pour produire du porno. Les sites pornographiques regorgent de vidéos et d’images générées par IA. Les grandes entreprises d’IA, qui peinent à gagner de l’argent avec leurs modèles ultraperformants et à justifier leurs valorisations astronomiques, entrent dans la danse. Grok, de xAI, propose déjà un mode «spicy» capable de générer des images et des vidéos explicites. OpenAI proposera de l’érotisme sur ChatGPT à partir de décembre (mais uniquement aux adultes vérifiés). Le marché du contenu adulte généré par IA vaudra 2,5 milliards de dollars cette année, selon Global Commerce Media, un groupe de recherche, et il devrait croître à un rythme constant de 27% par an jusqu’en 2028.

    Les acteurs bientôt évincés par des algorithmes?

    La rapidité avec laquelle l’IA est adoptée soulève des questions existentielles pour l’industrie du porno, et pour la société. Les acteurs seront-ils évincés par des algorithmes? Si le porno synthétique devient omniprésent, les spectateurs paieront-ils encore pour du contenu réel? Et qu’en est-il des studios et plateformes pornographiques qui ont dominé l’industrie si longtemps? Les réponses donnent un aperçu de la façon dont l’IA pourrait transformer ensuite des secteurs plus guindés. Plus préoccupantes encore sont les questions liées aux nouveaux dangers posés par les outils d’IA, déjà utilisés pour contourner les interdictions d’images montrant des abus sexuels sur enfants ou pour produire des deepfakes pornographiques utilisés dans des arnaques.

    Pour les entreprises d’IA, l’attrait de l’industrie pornographique est évident: le sexe fait vendre. En Grande-Bretagne, les trois quarts des hommes et la moitié des femmes reconnaissent avoir vu du contenu pornographique, selon YouGov, un institut de sondage (et comme beaucoup de gens ont trop honte pour l’avouer à un inconnu, le chiffre réel est sûrement plus élevé). Dans le monde, l’industrie porno encaisse près de 100 milliards de dollars de revenus chaque année, soit deux fois plus que l’IA. Cinq des 50 sites les plus visités au monde sont des sites pornographiques, selon Similarweb, un fournisseur de données. L’industrie a longtemps été dominée par les «tube sites», comme Pornhub et xHamster, qui proposent des vidéos gratuites et gagnent de l’argent via la publicité. Des plateformes d’abonnement plus lucratives ont émergé, facturant l’accès au contenu, avec des frais supplémentaires pour du contenu personnalisé et des discussions individuelles. OnlyFans, probablement le plus connu, a réalisé plus de 1,4 milliard de dollars de revenus et 520 millions de dollars de profits au cours de l’année fiscale 2024.

    Créer un partenaire idéal

    Par le passé, chaque nouvelle technologie, des vidéos au streaming sur internet, a généralement gagné du terrain parce qu’elle réduisait le coût de distribution du porno. Mais l’IA est plus révolutionnaire qu’évolutive, car elle peut produire du porno personnalisé à la demande. La gamme d’utilisations possibles dépend surtout de l’imagination (et des restrictions que les entreprises d’IA accepteront d’intégrer à leurs modèles). Certains générateurs de porno IA permettent à un utilisateur de créer un partenaire idéal — jusqu’à la couleur de peau, la morphologie, la personnalité et même la relation avec l’utilisateur — et de les faire jouer des fantasmes ou offrir de la compagnie. (Vous voulez des nus d’une personne de 92 ans avec une silhouette athlétique, qui aime lire et a un fétichisme des pieds? L’IA peut les fournir.) Pour ceux qui préfèrent laisser un peu de place à l’imagination, il existe des sexbots qui produisent des textes et de l’audio érotiques à partir de quelques instructions.

    Certains dans l’industrie évoquent des objectifs plus élevés. Arman Chaudhry, le fondateur d’Unstable Diffusion, un générateur d’images non censuré, compare les développeurs entraînant l’IA à créer du porno à des professeurs d’art commençant par le dessin de nus. «C’est un excellent test de la façon dont les modèles comprennent le monde et l’anatomie», explique-t-il. Mais cela semble difficilement être le but des applications «nudify», qui prennent des images de personnes habillées et produisent des nus plausibles, et qui sont dangereusement populaires parmi les harceleurs dans les écoles.

    La révolte des machines

    Bien que l’industrie adulte soit mal suivie, tous les signes suggèrent que le porno généré par IA explose. Les recherches Google pour «AI porn generators» et «nudify apps» ont augmenté ces dernières années. Indicator, une publication spécialisée dans la manipulation numérique, a suivi 85 sites «nudify» pendant six mois, jusqu’en mai, et a constaté qu’ils recevaient environ 18,5 millions de visites par mois et généraient jusqu’à 36 millions de dollars sur l’année. Les dix sites les plus populaires offrant des compagnons IA axés sur «l’accouplement» ont attiré 78,5 millions de visites au premier trimestre 2025, selon une étude menée par des chercheurs des Universités d’Oxford et de Cambridge. Les calculs de The Economist suggèrent qu’ils ont reçu trois fois plus de trafic dans les trois mois jusqu’en octobre.

    Les outils d’IA conçus pour des usages plus sages sont également entraînés pour des contenus olé olé. Lauren Kunze, directrice de Pandorabots, un développeur de chatbots qui bloque le contenu obscène, observe que les deux groupes les plus susceptibles de passer des heures à parler avec des machines sont les enfants qui s’ennuient et les personnes cherchant du sexe. Un personnage féminin hébergé par Pandorabots, Kuki, est sollicité sexuellement par un tiers des utilisateurs et s’est vu dire «je t’aime» 90 millions de fois en 15 ans. Parmi toutes les utilisations de l’IA, Mme Kunze explique que «le sexe par chat en ligne a le mandat consommateur le plus fort, est le plus facile à activer et est le plus monétisable.»

    «Excités par des modèles virtuels»

    Comme dans de nombreuses industries confrontées à la disruption technologique, les effets du changement se font sentir immédiatement pour les travailleurs et les entreprises traditionnelles. La demande pour faire passer des humains à l’écran ne disparaîtra probablement pas totalement. Dans une étude publiée l’an dernier dans Cognition and Emotion, une revue scientifique, des chercheurs ont montré à des participants des images de personnes peu vêtues et leur ont demandé de dire lesquelles, selon eux, étaient faites par IA (spoiler: aucune ne l’était), puis d’évaluer leur excitation. L’étude a révélé que les participants étaient excités par ce qu’ils pensaient être des images générées par IA, mais moins que par celles qu’ils pensaient montrer de vraies personnes. «Tout comme les gens ressentent de l’empathie pour Anna Karénine ou Ned Stark en sachant qu’ils sont fictifs, ils peuvent aussi être excités par des modèles virtuels», écrivent les chercheurs.

    Cependant, concurrencer le porno fabriqué par machine devient plus difficile à mesure que la technologie avance. Une autre étude, publiée dans iScience en 2022, a découvert que des visages synthétiques étaient plus souvent perçus comme réels que ceux de vraies personnes. Une autre étude, publiée dans Psychological Science, a trouvé qu’il était particulièrement difficile pour les participants d’identifier les images fausses parmi celles montrant des visages blancs, qui sont surreprésentés dans les données d’entraînement de l’IA et dans le porno. Leo Saros, fondateur de Flirtflow, un service de chat automatisé pour les créateurs d’OnlyFans, affirme que l’IA s’est tellement améliorée ces derniers mois que les utilisateurs ne réalisent presque jamais qu’ils parlent à une machine. «C’est un peu comme la matrice», dit M. Saros. «Tant que vous ne savez pas que vous êtes dedans, vous n’avez pas de doutes et vous appréciez.»

    Interaction avec les fans

    Les stars pornos les plus connues ont le plus à perdre. Les fans utiliseront inévitablement la technologie de deepfake pour greffer leur visage sur des vidéos pornographiques ou utiliser leurs productions pour entraîner des outils d’IA sans leur consentement. Quelques stars, résignées à l’inévitable, choisissent de surfer sur la vague en accordant une licence de leur image à des entreprises d’IA et en créant des avatars qui reçoivent des pourboires des fans. Pour Vicky Vette, qui a 60 ans et a lancé plus tôt cette année un double numérique sur l’application de compagnon Eva AI (depuis transféré à l’application Joi AI de l’entreprise), l’IA pourrait prolonger sa carrière dans une industrie âgiste. Bonnie Blue, qui a fait la Une des journaux en couchant avec plus de 1000 hommes en une journée, estime que son travail est pérenne car elle interagit avec ses fans en ligne et hors ligne. «Une grande partie se fait avec des inconnus et une grande partie avec le public», dit-elle. «Comment remplacer cela?»

    Parmi les acteurs et modèles amateurs, l’IA est un outil utile pour se préserver des tâches ingrates. Plutôt que de travailler pour de grands studios pornographiques, la plupart gagnent désormais de l’argent directement auprès des fans sur des plateformes d’abonnement. Ils sont à la fois acteurs pornos, cameramans, monteurs et assistants administratifs. Les générateurs vidéo IA réduisent le temps nécessaire pour produire un clip finalisé de deux minutes, passant de plusieurs jours à quelques heures. Les chatbots effectuent le travail lucratif de messagerie privée. Flirtflow, par exemple, prend 8% des revenus issus des chats personnalisés, ce qui est bien moins que ce qu’il en coûte aux créateurs pour embaucher de vraies personnes pour répondre aux fans et utilisateurs. «L’IA leur permet de développer leur activité sans s’épuiser», explique Alison Boden, directrice exécutive de la Free Speech Coalition, une association de l’industrie du divertissement pour adultes, et ancienne patronne de Kink.com, un site qui propose ce que son nom suggère (sexualité).

    Robo-school

    Les intermédiaires qui contrôlent la distribution du porno depuis des générations sont également touchés. Les studios, après avoir perdu du terrain face aux sites d’abonnement, font face à un nouveau risque: que les vidéos pour lesquelles ils ont dépensé des sommes considérables soient discrètement utilisées pour entraîner des robots. En juillet, Strike 3 Holdings, un producteur américain de films érotiques, a poursuivi Meta, propriétaire de Facebook, pour avoir prétendument enfreint les règles de copyright en entraînant des modèles IA à partir de ses films. (Meta nie l’accusation.) Lawrence Walters, avocat, constate une augmentation du nombre d’acteurs pornographiques exigeant des clauses dans leurs contrats empêchant les studios d’utiliser leur travail passé pour entraîner un modèle. «L’IA devient seulement plus omniprésente», ajoute M. Walters, «donc les studios doivent se demander: veulent-ils abandonner ces droits ?»

    Les plateformes qui hébergent du contenu adulte doivent prendre une grande décision: autoriser ou non le contenu généré par IA? Selon l’évolution de la technologie, cela pourrait faire la différence entre croître rapidement ou disparaître. OnlyFans autorise le contenu modifié par machine, mais celui pas entièrement créé artificiellement. La plateforme parie que le porno réel attirera les utilisateurs lorsque internet sera saturé de contenus pornographiques IA. D’autres sites, comme Fanvue, communiquent largement sur le fait qu’ils hébergent du porno généré par IA. Amrapali Gan, ancienne directrice générale d’OnlyFans, lance en décembre une plateforme sociale réservée aux adultes appelée Vylit, sur laquelle le contenu généré par IA sera clairement signalé. «La transparence fait vraiment une différence», dit Mme Gan.

    Dans l’ensemble, l’IA promet d’augmenter considérablement la productivité de l’industrie. Bien que cela se fasse probablement au prix de pertes d’emplois, l’IA pourrait également libérer les acteurs de certaines demandes farfelues des spectateurs, comme effectuer des actes violents ou extrêmes, ou avoir des rapports sexuels non protégés au risque d’attraper des infections sexuellement transmissibles. Cependant, la technologie pourrait aussi créer les mêmes risques chez les acteurs devant la caméra que pour une personne lambda, que ce soit via la création d’un porno violent et illégal, ou à travers la diffusion de deepfakes sexuels.

    Un risque de normalisation des abus

    Les régulateurs s’inquiètent surtout de l’utilisation de l’IA pour produire des contenus qui seraient illégaux s’ils étaient réalisés avec des humains. L’Internet Watch Foundation (IWF), une association caritative, a trouvé des milliers d’images générées par IA montrant des abus sexuels sur enfants circulant en ligne. Les signalements de ces images ont plus que doublé dans les dix premiers mois de cette année par rapport à toute l’année 2024. Elles semblent devenir de plus en plus réalistes et abusives. Bien que la plupart des outils d’IA tentent d’empêcher les utilisateurs de créer ce genre de contenu illégal, de nombreuses images trouvées par l’IWF ont été réalisées par des personnes ayant téléchargé des modèles IA open source sur leurs propres ordinateurs, où ils peuvent contourner les protections via des instructions codées.

    Les défenseurs de la liberté d’expression pourraient faire valoir que, puisqu’aucun enfant n’est blessé dans la création de ces images, elles ne devraient pas être interdites. Mais affaiblir ce tabou pourrait mettre en danger de vrais enfants si cela normalisait de tels abus. Il existe certainement des preuves solides que des personnes imitent d’autres formes d’actes sexuels agressifs devenus courants en ligne. Eran Shor, de l’Université McGill au Canada, et ses coauteurs ont constaté une augmentation frappante de la prévalence de l’étranglement, des coups et du bâillonnement forcé dans les vidéos pornographiques les plus vues (voir graphique 1). Trop de personnes sont étranglées lors de rapports sexuels sans leur consentement.

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    L’essor inquiétant de l’étranglement

    Debby Herbenick, de l’Université de l’Indiana, et ses collègues ont également trouvé une augmentation inquiétante de la proportion de jeunes femmes affirmant avoir été étranglées consensuellement durant des rapports sexuels. Fait frappant, plus de 40% des femmes âgées de 25 à 29 ans ont déclaré avoir été étranglées par leurs partenaires (voir graphique 2). Bien que cela se fasse avec leur accord, c’est également préoccupant. Les experts de santé avertissent qu’il n’existe aucun moyen de pratiquer l’étranglement en toute sécurité; une personne peut perdre connaissance en quelques secondes lorsqu’elle est étranglée. Plus tôt cette année, le gouvernement britannique a introduit une nouvelle législation visant à interdire les contenus pornographiques montrant des étranglements. «L’essor des pratiques d’étranglement dans la pornographie mainstream et dans le discours sur la sexualité peut encourager les jeunes à ajouter ces pratiques à leur répertoire sexuel régulier simplement parce qu’ils croient qu’elles sont devenues une partie normale du script sexuel», notait le professeur Shor, avec ironie.

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    Un deuxième sujet de préoccupation est la technologie des deepfakes, qui peut transformer l’image de n’importe qui en contenu pornographique. Home Security Heroes, un groupe qui tente de prévenir le vol d’identité, estime qu’il faut désormais moins de 25 minutes pour produire un deepfake à partir d’une seule photo de visage claire. Cette technologie a fait la Une des journaux l’année dernière lorsque des images explicites générées par machine de Taylor Swift sont devenues virales. De plus en plus, les victimes sont des gens ordinaires. Une enquête de l’Alan Turing Institute, l’institut national britannique pour l’IA, a révélé qu’environ un tiers des femmes et un cinquième des hommes craignent d’être ciblés.

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    «Un espace tellement vulnérable»

    Les escrocs en ligne utilisent de plus en plus le porno deepfake pour faire chanter les gens ou gagner leur confiance. Reed Amber, travailleuse du sexe et animatrice du podcast ComeCurious, soupçonne que le matériel qu’elle publie en ligne est récupéré pour produire des images et clips convaincants à son nom. Elle reçoit plusieurs messages par semaine de followers ayant été dupés par des malfaiteurs se faisant passer pour elle sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie. «La sexualité et le sexe sont un espace tellement vulnérable pour les gens qu’ils suspendent leur propre incrédulité pour croire que quelqu’un les désire», dit-elle. «C’est exploiter les vulnérables.»

    Les régulateurs tentent différentes approches. L’AI Act de l’Union européenne exige que tout contenu synthétique ayant l’air authentique soit étiqueté. Le «Take It Down Act» américain, soutenu par la première dame Melania Trump, interdit aux gens de publier sciemment des images pornographiques d’enfants ou d’adultes en ligne sans leur consentement, qu’elles soient réelles ou générées par machine. Le Danemark prévoit de donner aux individus un droit d’auteur sur leur propre image. La Grande-Bretagne donnera aux développeurs d’IA et aux groupes de protection de l’enfance le pouvoir de tester les modèles pour s’assurer qu’ils ne peuvent pas être utilisés pour simuler des abus sexuels sur enfants. Gabrielle Bertin, une Britannique membre de la Chambre des lords qui a dirigé une récente revue sur l’industrie pornographique, demande au gouvernement d’interdire purement et simplement les applications nudify. «Pourquoi quelqu’un a-t-il besoin d’une application nudify?», demande baronne Bertin. «C’est pour abuser et humilier, généralement des femmes.»

    La surveillance sur internet

    Pourtant, le porno a réussi à se faufiler à travers les filets réglementaires pendant des générations. Et l’IA progresse plus vite que n’importe quel législateur. Cela laisse à l’industrie la tâche de s’autoréguler. La manière dont OpenAI surveillera le contenu érotique sur ChatGPT reste floue. Sam Altman, son directeur général, a seulement dit qu’il traiterait «les adultes comme des adultes». La plupart des sites populaires embauchent des armées de modérateurs pour repérer le contenu illégal avant que les annonceurs et les prestataires de paiement ne se retournent contre eux. La décision de Mastercard et Visa de bloquer les paiements vers Pornhub en 2020 a fait des géants de la carte de crédit les policiers officieux du porno.

    Valérie Lapointe, de l’Université du Québec à Montréal, estime que de nombreux utilisateurs maîtrisent eux-mêmes leurs instincts les plus obscènes. Le public se méfie des chatbots modernes qui collectent des données sur leurs interactions, données qui peuvent être vendues ou utilisées pour cibler de la publicité. Comme le dit Mme Lapointe: «Si vous êtes le directeur général d’une grande entreprise, voulez-vous vraiment risquer que vos données fuitent lorsque vous parlez à un chatbot dominateur?»

    La pornographie a longtemps testé les limites et repoussé les frontières de la sexualité. Bien avant l’IA, le porno «anime» (un style d’animation japonais) tordait les corps au-delà de la biologie. Une grande partie du matériel mettant en scène de vrais acteurs et circulant sur le web n’est guère sage. Pourtant, parce que l’IA peut produire des images si facilement, et permettre des scénarios toujours plus extravagants, le web sera bientôt inondé de porno synthétique de plus en plus extrême. Et comme un nombre croissant de jeunes utilisateurs voient leurs perceptions déformées par les générateurs de porno IA, il devient d’autant plus important d’encourager les gens à préserver la connexion humaine qui, pour beaucoup, est ce qui rend le sexe spécial. Comme aime le rappeler Cindy Gallop, fondatrice de MakeLoveNotPorn (un site permettant aux gens ordinaires de partager leurs propres vidéos sexuelles): «Le sexe dans la vraie vie est plus surprenant et innovant que le porno ne le sera jamais.»

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/international-l-ia-bouleverse-l-industrie-du-porno-103462259


  • Google banana l'I.A. qui tue Photoshop
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  • Un peu d'humour en image
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    Les capybaras ne craignent pas les crocodiles 🙂

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  • Le Texas poursuit les principaux fabricants de téléviseurs, les accusant d'espionner les utilisateurs sans leur consentement avec leurs téléviseurs intelligents.
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    @Aurel Idem avec une Panasonic, plus d’une demi-heure de lutte pour ne pas avoir à configurer des trucs (ou tenter de les supprimer après), et pour trouver l’interrupteur d’Alexa qui écoutait tout en permanence.

    Et sans internet pour faire la config, impossible de configurer/sauter et d’avoir une image de la TNT.


  • On ne se moque pas de ces choses là.
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    On a volé 500 bouteilles de Chartreuse

    Si le père Gaucher (les lettres de mon moulin) pouvait reprendre le collier, ça arrangerait bien les moines… 🙂

    En attendant de trouver une bouteille, je vais me refaire le film.


  • On pirate même les Ferries maintenant
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    Laurent Nunez accuse la Russie d’ingérence sans la nommer

    Boitier espion sur un ferry: Nunez évoque la piste de l’ingérence étrangère
    Après la découverte d’un système permettant de prendre le contrôle à distance d’un ferry, le ministre français de l’Intérieur évoque clairement une ingérence étrangère. Sans le nommer, Laurent Nuñez pointe un pays régulièrement impliqué.

    Un Letton a été mis en examen et incarcéré après la découverte d’un système informatique sur un ferry accosté à Sète (Hérault), susceptible de permettre d’en prendre le contrôle à distance. Selon un renseignement transmis par les autorités italiennes, le système informatique du navire aurait pu être infecté par un dispositif malveillant de type «RAT» (remote access tool).

    Deux membres de l’équipage, un Letton et un Bulgare, identifiés par les autorités italiennes, ont été interpellés et placés en garde à vue la semaine dernière. L’enquête a été confiée à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), notamment spécialisée dans le contre-espionnage. Le navire, baptisé Fantastic, appartient à la compagnie italienne GNV et peut embarquer un peu plus de 2.000 passagers pour des croisières en Méditerranée.

    Source: https://www.blick.ch/fr/monde/france/un-ministre-francais-accuse-la-russie-sans-la-nommer-boitier-espion-sur-un-ferry-nunez-evoque-la-piste-de-lingerence-etrangere-id21525817.html

    Après tout envoyer un bateau en percuter d’autres, ça peut aider quand on est en guerre. 🙂 Les avions sont bien envoyés sur des tours.


  • On ne se moque pas de ces choses là.
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    Genève sauvée de la Tourista

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    Les coquillages provenant de l’île d’Oléron étaient transportés à même le coffre, sans aucun dispositif de réfrigération. La température de surface mesurée était comprise entre 10 et 12 degrés.


  • Un peu d'humour en image
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  • Microsoft va enfin abandonner un chiffrement obsolète qui a semé le chaos pendant des décennies.
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    Les gros dinosaures ne sont pas rapides, c’est bien connu 🙂


  • Le comble: L'interdiction par l'UE de la propagande de guerre russe échoue : elle bloque les géants des réseaux sociaux et la télévision IP pirate.
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    Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, l’Union européenne a imposé des sanctions interdisant notamment les médias d’État russes comme RT et Sputnik. Faute de liste noire officielle publiée par l’UE, les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) peinent à savoir précisément quels sites bloquer pour rester en conformité.

    Pour aider ses membres, l’association néerlandaise des FAI, NLconnect, a compilé une liste de référence “non officielle” en fusionnant les listes de blocage établies par plusieurs autorités de régulation européennes. Cette liste, désormais publique, comprend près de 800 domaines et est déjà utilisée par certains FAI néerlandais, comme Ziggo.

    Cependant, la liste suscite de vives critiques en raison de nombreux surblocages. Elle inclut des plateformes majeures sans lien direct avec la propagande russe, telles que ShareChat (Inde), Weibo (Chine) ou encore des agrégateurs de radios et même des services IPTV pirates. Ces blocages semblent provenir notamment d’une interprétation très large des sanctions par l’autorité lituanienne (LRTK).

    NLconnect reconnaît ne pas avoir vérifié individuellement les domaines et renvoie la responsabilité des erreurs aux autorités étrangères sources. Certains FAI, comme Freedom Internet, refusent d’appliquer cette liste jugée arbitraire et préfèrent suivre des listes nationales plus strictement encadrées juridiquement.

    Résultat : des millions d’internautes néerlandais subissent des blocages discutables, tandis que les FAI d’un même pays appliquent des listes différentes pour une même législation européenne, révélant un manque de coordination et de clarté dans l’application des sanctions de l’UE.

    ShareChat compte des centaines de millions d’utilisateurs actifs en Inde, et l’accuser de « propagande russe » est factuellement inexact. Le site peut héberger certains comptes de propagande, mais la plateforme elle-même est une réussite technologique indienne, et non un outil du Kremlin.

    Le service de microblogage chinois Weibo.com, compte des centaines de millions d’utilisateurs quotidiens, ainsi que son équivalent indien Kooapp.com. Ces deux services sont totalement bloqués en vertu (d’une interprétation des) sanctions de l’UE.

    La liste noire comprend également des regroupements de stations de radio en ligne, tels que le portail Streema.com , exploité par la société américaine Streema Inc, ainsi que l’agrégateur de médias américain Viaway.com.

    Aucun de ces services ne diffuse ouvertement de propagande russe. Ils répertorient certes certaines stations de radio ou chaînes russes interdites, mais au lieu de cibler spécifiquement ces URL, ce sont leurs domaines entiers qui ont été bloqués.

    Source: https://torrentfreak.com/eu-ban-on-russian-war-propaganda-misfires-blocks-social-media-giants-pirate-iptv/

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