[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Et encore rien avoir mais y’aura le jeu vidéo aussi :
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Kalki 2898-AD : teaser de la fresque indienne qui va humilier Dune (parait-il)
Plus gros budget jamais mis en oeuvre pour un blockbuster indien, présentation en grande pompe au Comic-Con de San Diego, Kalki 2898-AD, un temps attendu sous le titre Project K, a dévoilé ses premières images et elles sont tout simplement impressionnantes.
A l’heure où le cinéma indien se fait de plus en plus spectaculaire et dépasse enfin largement les frontières du pays, il était temps d’y voir une énorme production de science-fiction. Et c’est exactement ce que propose Kalki 2898-AD, du moins à travers ce généreux teaser.
Il s’agit du nouveau film de Nag Ashwin, qui avait notamment réalisé Mahanati, biopic de l’actrice Savitri, en 2018, ainsi qu’un des segments de l’anthologie Histoires équivoques pour Netflix il y a 2 ans. Doté d’un budget colossal de 600 crores de roupies, soit l’équivalent de 73 millions de dollars, Kalki 2898-AD bénéficie du plus gros budget jamais alloué à un film indien, dépassant ainsi le précédent record détenu par le chef d’oeuvre RRR.
Bien évidemment, cela implique un casting de superstars, avec dans le rôle principal Prabhas, la star de La légende de Baahubali, entouré du légendaire Amitabh Bachchan, Kamal Haasan, Deepika Padukone ou encore Disha Patani. La bande originale est signée Santhosh Narayanan et c’est le serbe Djordje Stojiljkovic qui s’est occupé de la photographie.
On est là face à un énorme blockbuster qui, sous ses airs clairement futuristes, va mélanger science-fiction et éléments de la mythologie hindoue, le « Kalki » du titre faisant référence au 10ème et dernier avatar du dieu Vishnou censé arriver pour purifier le monde après l’ère des ténèbres. Et il semble assez évident que Kalki 2898-AD va venir plus que chatouiller celui qui est bizarrement considéré comme le nouveau pape de la SF à Hollywood, Denis Villeneuve, et en particulier son Dune.
Kalki 2898-AD doit sortir le 12 janvier 2024, mais pourrait être repoussé au mois de mai comme l’a laissé entendre le producteur C. Aswani Dutt, notamment pour donner plus de temps aux équipes d’effets spéciaux.
–> L’attente va être longue.
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Moi et le cinéma indien ça fait 2 (contrairement à mes voisins et des potos, moi j’arrive pas du tout à rentrer dans le truc).
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Ils se sont bien améliorer, notamment dans les films de genre et la SF. Franchement, ils ont quelques bonnes productions.
Celles-ci en tout cas me botte pas mal du tout
Mais je comprends tout à fait @Psyckofox
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C’est superbe d’esthétique, mais ça craint du point de vue crédibilité, ça me rappelle ce chef-d’œuvre du grotesque:
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@duBoudin le trailer m’a fait rire, ça sera mon 1er film indien.
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@michmich Tu n’a pas vu le pire c’est hallucinant.
Il y avait un montage d’un quart d’heure avec toutes les scènes de folies mises bout à bout, mais je ne l’ai pas retrouvé, quand ils ont ressorti le film en 4K, ils ont dû tout supprimer du web.
Attention de ne pas te pisser dessus de rire.
Ah encore un truc, ça va crescendo dans l’outrance, au début le film peut paraître normal pour du Bollywood, mais déjà au milieu, ça devient dingue et il n’existe aucun qualificatif pour ce qui suit.
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@duBoudin parrait même qu’il y a une suite:
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@michmich Super ! Merci du tuyau, il faut absolument que je voie ça, j’espère ne pas mourir en le visionnant…
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The Moon : trailer du film catastrophe lunaire de Kim Yong-hwa
Après 5 ans d’absence, le faiseur de succès Kim Yong-hwa est de retour avec The Moon, un film catastrophe dont l’action se déroule au cours d’une mission sur la Lune. On sent bien que Gravity est passé par là et ça s’annonce très spectaculaire.
C’est en 2012, après quelques comédies, que Kim Yong-hwa s’est imposé en Corée et sur la scène internationale avec l’excellent Mr. Go et son gorille qui jouait au baseball. Une position qu’il a plus que conforté avec son diptyque Along With the Gods: The Two Worlds et Along With the Gods: The Last 49 Days, des blockbusters extrêmement attachants et spectaculaires. Et puis plus rien. Il a produit Ashfall et Escape from Mogadishu, écrit Project Silence présenté à Cannes cette année, et on le retrouve enfin à la réalisation avec The Moon.
Un film au budget conséquent et qu’il a également écrit. Il y dirige notamment Sol Kyung-gu, Do Kyung-soo et Kim Hee-ae. Kim Young-ho s’est occupé de la photographie et les nombreux effets spéciaux du film ont été supervisés par Jin Jong-hyun, qui a notamment travaillé sur Alienoid, Fabricated City ou bien sur les deux Along With the Gods.
The Moon est sorti le 2 août 2023, en Corée.
Synopsis
Un homme est laissé dans l’espace à cause d’un malheureux accident tandis qu’un autre homme sur Terre se bat pour le ramener sain et sauf.
–> ça pique ma curiosité ce truc !
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Yes mais c’est de la SF, ça n’a jamais été crédible. La Hard SF par contre…
Tu semble avoir une très mauvaise opinion de la SF.
Ça, c’est pas de la SF, c’est du délire (ou du fun), la SF high school (et malheureusement old school), ça essaye quand même de respecter les lois de la physique, exemple moderne pas trop pourri: Gravity, plus prospectif mais encore crédible: Interstellar.
Et je ne parle même pas d’Asimov ou d’Arthur C. Clarke.
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@duBoudin a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Tu semble avoir une très mauvaise opinion de la SF.
Non du tout j’adore la SF
Après je suis d’accord avec toi, c’est du gros délire mais ça reste de la SF tout de même.
Comme il existe de la SF de genre.Selon Wikipedia :
La hard science-fiction (dite aussi hard science, hard SF, SF dure) est un genre de science-fiction dans lequel les technologies, les sociétés et leurs évolutions, telles qu’elles sont décrites dans le roman, peuvent être considérées comme vraisemblables au regard de l’état des connaissances scientifiques
Mais bon après, on s’en carre même si j’adore aussi bien la hard SF
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Beaten to Death
Vous aimez le cinéma violent ? (bon je sais qu’ici oui pour certains et pas mal d’autres non, mais c’est pas grave) Les décharges d’adrénaline à faire pleurer les amateurs de comédies gentilles du type Camping ? Alors, le bien nommé Beaten to Death est pour vous !
Dans ce film australien réalisé par Sam Curtain, un homme appelé Jack est battu à mort. Abandonné et épuisé, il croise ensuite la route de plusieurs locaux qui vont eux aussi tester ses limites…
Voilà pour le pitch simplissime de ce survival qui semble lorgner sur les shockers et les video nasties les plus hargneux des années 70/80. Ames sensibles s’abstenir, donc !
–> Hmm j’attends de voir même si la BA donne envie.
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Tueurs nés: L’ un des meilleurs Oliver Stone en 4K
La firme US Shout! Factory a dévoilé les détails complets de son édition 4K de Tueurs nés à paraitre fin septembre et, le moins que l’on puisse dire, c’est que ça va être du lourd ! La satire cinglante et sanglante d’Oliver Stone sera proposée dans sa version director’s cut sous la forme d’un transfert 2160p fraichement remasterisé par le realisateur (la version salle bénéficiera également de cette remasteriation, mais devra se contenter d’un Blu-ray) et enfin pourvue sur la BO du morceau « Burn » de Nine Inch Nails absent des éditions vidéos depuis le DVD.
Les bonus s’annoncent tout aussi massifs puisque la plupart des modules produits pour les collectors précédents ont été conservés (commentaires audio, making of, scènes coupées…) et que de nouveaux entretiens viendront s’ajouter à la liste de ce combo indispensable.
Special Features and Technical Specs:
DISC ONE - 4K BLU-RAY: DIRECTOR’S CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- DOLBY VISION/HDR PRESENTATION OF THE FILM
- Audio: 5.1 Surround DTS-HD Master Audio, 2.0 Stereo DTS-HD Master Audio
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Optional English subtitles for the main feature
DISC TWO - BLU-RAY: DIRECTOR’S CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- NEW On Dawn’s Highway Bleeding - Editor Hank Corwin On Natural Born Killers
- NEW The Scream of the Butterfly - Producer Clayton Townsend On Natural Born Killers
- NEW A Bloody Pail Of Nitro - Special Makeup Effects Artist Gordon J. Smith On Natural Born Killers
- NEW Wilderness Of Pain - Cinematographer Robert Richardson On Natural Born Killers
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Introduction By Oliver Stone
- Optional English subtitles for the main feature
DISC THREE - BLU-RAY: THEATRICAL CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Natural Born Killers: Method in the Madness
- Natural Born Killers Evolution: How Would It All Go Down Now? Documentary
- Chaos Rising: The Storm Around Natural Born Killers Documentary
- Deleted Scenes With Introductions By Oliver Stone
- Alternate Ending With Introduction By Oliver Stone
- Theatrical Trailer
- Optional English subtitles for the main feature
*Both cuts of the film contain the song “Burn” by Nine Inch Nails.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
un homme appelé Jack est battu à mort. Abandonné et épuisé, il croise ensuite la route de plusieurs locaux qui vont eux aussi tester ses limites…
Le pitch donne envie en tous cas (il a pas de moule en tous cas )
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Moi et le cinéma indien ça fait 2 (contrairement à mes voisins et des potos, moi j’arrive pas du tout à rentrer dans le truc).
Pareil ça passe vraiment pas, entre le jeu d’acteur, les musiques, les trucs incensés sorti de nul part
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Beaten to Death
Celui là pourquoi pas, on verra ce que ça donne
Et tueurs nés en 4k
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The Killer (2023) : Fincher is back, baby
Après ou avoir laissés un peu perplexes avec un Monk en demi-teinte, David Fincher revient au genre pour les besoins de The Killer (aucun lien avec le classique de John Woo), polar noir dont la sortie est prévue en novembre sur Netflix.
Dans cette adaptation de la bande dessinée Le Tueur d’Alexis « Matz » Nolent et Luc Jacamon, le réalisateur de Fight Club s’intéresse aux mésaventures d’un assassin trahi par ses employeurs. Un protagoniste ambigu campé par un Michael Fassbender (Cartel) visiblement très en forme. Autre bon point : Andrew Kevin Walker (Se7en) se charge de l’adaptation de ce Killer au teaser cryptique et diablement séduisant.
–> Fincher is back, baby
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Creepy Crawly : Film de monstre à la sauce Thaï
Généralement associé au film de fantômes, le cinéma de genre asiatique sait pourtant varier les plaisirs comme le démontre Creepy Crawly (ex The One Hundred), un « creature feature » en provenance de Thaïlande. Dans ce film signé Chalit Krileadmongkon et Pakphum Wongjinda, un groupe de jeunes gens est contraint de rester assigné en quarantaine dans un hôtel tout spécialement préparé. Mais l’apparition de petites bébêtes capables de posséder l’esprit de leurs victimes vient vite mettre le boxon…
Voilà qui ressemble fort à Frissons, le classique fauché de David Cronenberg même si la bande-annonce laisse penser que les auteurs de Creepy Crawly privilégieront l’action à la satire sociale. Pourquoi pas tant que c’est bien fichu.
–> Gloubi-boulga ?