On ne se moque pas de ces choses là.
-
-
On dirait du goudron enfin pas le goût
mais l aspect. -
Plus près de nous, la Marmite en Angleterre. C’est pareil, Vegemite, Cenovis, Marmite (prononcez à l’anglaise, Marmaïte)
-
-
@El-Bbz et n’oublions l’excellent Viandox (français je crois) pour les viandards.
Edit: ah bin non c’est allemand à la base le Viandox.
-
-
@michmich
Le Viandox de maintenant, avant les années 70 il y avait des extraits de jus de viande et c’était limite consommable.
Aujourd’hui toutes ces mardes sont fabriquées si je ne me trompe par Unilever… Vous voyez ? Les lessives. -
@El-Bbz a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@michmich
Le Viandox de maintenant, avant les années 70 il y avait des extraits de jus de viande et c’était limite consommable.
Aujourd’hui toutes ces mardes sont fabriquées si je ne me trompe par Unilever… Vous voyez ? Les lessives.Tu as raison. Puis c’est bien trop salé de toute manière.
-
@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Edit: ah bin non c’est allemand à la base le Viandox.
Non non, c’est français le Viandox et copié des british, il me semble… et bien meilleurs que le Cenovis, il n’y a pas photo.
Edit: Équivalent de l’extrait de viande soluble OXO inventé en 1899 pour le marché britannique, le Viandox est lancé au début des années 1920 en France par la filiale française de la LEMCO, la Compagnie française des produits Liebig (Aubervilliers-La Courneuve).
-
@Pluton9
Oui, mais Liebig, l’inventeur est allemand. -
@El-Bbz a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Oui, mais Liebig, l’inventeur est allemand
Et alors?
-
La police pourra préciser la couleur de peau des fugitifs
Critiqué, le Conseil fédéral renonce à supprimer les références au teint dans les avis de recherche. Deux catégories jugées obsolètes disparaissent toutefois.
La tentative de l’Office fédérale de la police (Fedpol) de moderniser le système de recherche Ripol aura tenu à peine quelques semaines. Début septembre, l’office avait supprimé les catégories «blanc», «noir», «brun», «jaune» et «rouge» comme critère standard dans les avis de recherche. Cette décision a immédiatement déclenché une levée de boucliers dans les rangs de la droite. Pour l’UDC, priver la police d’un élément d’identification allait rendre le travail des forces de l’ordre plus difficile.
Dans sa réponse officielle, le gouvernement rappelle que l’utilité de ces classifications simplifiées est discutée depuis longtemps au sein de la police. Notamment les catégories «jaune» et «rouge» n’étaient utilisées que dans environ 1% des cas. Pour décrire l’apparence d’une personne recherchée, les agents disposent déjà de typologies plus précises, comme «Asiatique», «Maghrebin» ou «Slave».
«Rouge» et «jaune» restent supprimés
Le Conseil fédéral souligne en outre que d’autres éléments sont bien plus déterminants pour identifier quelqu’un: la taille, l’âge, la corpulence, les vêtements ou des signes particuliers comme des cicatrices ou des tatouages. La police peut aussi ajouter librement des remarques sous «autres caractéristiques», y compris des indications sur la couleur de peau.
Selon le gouvernement, la suppression initiale répondait avant tout à des considérations pratiques. Mais face au débat politique, Berne a finalement choisi de maintenir une partie des anciennes catégories. Les déscriptions «rouge» et «jaune» restent supprimées.
La palette reste quand même un peu limitée, il manque des nuances, genre blanc malade, marron clair ou blanc foncé
-
