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    @Violence Et encore c’est rien comparé à Apple et Google/Alphabet.

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    Font pas que des conneries en France!

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    A mon avis ca va être dur à changer tout ca, quand tu vois que certaines écoles sont équipées full Apple des le plus jeune age

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    J’ai testé et tout va bien 🙂

    Edit: Et ce n’est pas sur une machine avec SSD :lol:

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    @violence le problème c’est qu’il y a dessus des applicatifs qui coûtent plusieurs dizaines de milliers d’euros. Donc comme d’hab’ les financiers repoussent au max les dépenses.

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    L’association Anticor a annoncé avoir saisi le parquet national financier sur des soupçons de favoritisme concernant le contrat passé entre Microsoft et l’Education nationale. La suite d’un feuilleton ancien.

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    Le contrat entre Microsoft et le ministère de l’Education nationale continue à faire des vagues avec la procédure lancée par Anticor auprès du PNF. (Crédit Photo: Gouvernement.fr)

    Rebondissement dans l’affaire du contrat passé entre Microsoft et l’Education nationale. L’association Anticor a annoncé le dépôt d’une plainte auprès du parquet national financier pour soupçons de favoritisme dans l’attribution de ce marché public. Pour comprendre cette action, il faut revenir en 2020 et la publication d’un article du Canard Enchaîné concernant ce contrat.

    Concrètement, un appel d’offres a été conclu d’un montant de 8,3 millions d’euros entre Microsoft et le ministère de l’Education nationale. Ce dernier porte sur la « concession de droits d’usage à titre non exclusif, en mode perpétuel ou en mode locatif, de solutions Microsoft et services associés couvrant les usages des agents des services centraux et déconcentrés des ministères chargés de l’éducation nationale, de la jeunesse, de l’enseignement supérieur, des sports, de la recherche et de l’innovation ainsi que des établissements de formation, d’enseignement et de recherche. » Selon cet accord, une centaine de logiciels Microsoft couvrant aussi bien les postes de travail, serveurs, bureautique, collaboratif, ERP, CRM, gestion de contenu, systèmes d’exploitation, etc. devraient être ainsi achetés par le ministère. Dans sa plainte, Anticor parle de l’équipement de 800 000 postes avec des licences Microsoft.

    Le CNLL était déjà monté au créneau en 2020 et 2016

    A l’époque, le CNLL (Conseil National du Logiciel Libre) avait dénoncé ce contrat. « En privilégiant (au mépris des règles les plus élémentaires des marchés publics) un acteur non-européen, multirécidiviste condamné pour abus de position dominante et pratiques anticoncurrentielles, le CNLL constate une fois de plus l’écart entre les discours actuels sur la souveraineté numérique et la réalité des marchés publics dans le domaine du numérique. » Pour mémoire, un contrat similaire  passé en 2016 avait fait l’objet d’un contentieux, mais le CNLL avait été débouté.

    Dans son argumentaire Anticor estime que la procédure d’appel d’offres «  semble avoir été construite aux bénéfices exclusifs de la société américaine, alors même que des entreprises françaises de logiciels libres proposent des solutions aux fonctionnalités et performances équivalentes ». Interrogé sur cette action, Microsoft n’a pas répondu à notre demande de commentaires au moment de la publication de l’article.

    Source : lemondeinformatique.fr

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    En meme temps y’a personne dans L’ISS, donc des hologrammes ou pas ca change rien text alternatif

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    Décidé à unifier les expériences entre « Windows 11 » et son PC dans le Cloud « Windows 365 », l’éditeur annonce des fonctionnalités radicalement nouvelles qui transfigurent l’utilisation du DaaS (Desktop as a Service).

    Version « cloudisée » du VDI, le DaaS (Desktop as a Service) est perçu comme l’un des services du cloud les plus prometteurs à l’heure du télétravail, du travail hybride et de l’ultra-mobilité des collaborateurs. L’idée consiste à héberger tout son univers de travail dans le cloud, sous forme d’un PC virtualisé, et d’en afficher le bureau et les applications sur n’importe quel appareil passif, que ce soit une tablette, un terminal passif, un vieil ordinateur ou même un ordinateur personnel sans risque que l’environnement professionnel ne soit compromis par les défaillances de sécurité de ce dernier.

    Il existe une pléthore d’offres DaaS sur le marché certaines très connues (AWS Workspaces, Citrix, Nutanix Frame, VMware Horizon Cloud, …), d’autres plus confidentielles (dinCloudCloudalizeNoMachineflexVDI).

    Lancée à l’été dernier, l’offre DaaS de Microsoft, dénommée « Windows 365 », permet à tout un chacun d’obtenir en un clic un PC sous Windows 11 hébergé dans le cloud. Pour autant l’offre n’était jusqu’à présent ni très intéressante financièrement parlant, ni très originale en termes d’expérience. Mais cela devrait bientôt changer.

    Microsoft a en effet présenté cette semaine l’évolution de sa vision Windows 365. Et les nouveautés introduites transfigurent considérablement l’expérience utilisateur tout autant que les usages de ces offres DaaS. L’éditeur cherche à fondre les expériences et fluidifier le passage entre l’environnement « local et physique » et l’environnement « cloud et virtuel », autrement dit entre le PC physique et le Cloud PC.

    Windows 365 Boot : Pour booter directement sur le cloud

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    Première innovation marquante, l’arrivée d’une fonctionnalité « Windows 365 Boot » va permettre de démarrer une machine physique de sorte qu’elle affiche directement le desktop du cloud PC sans avoir à lancer préalablement de navigateur Web ou de client Remote Desktop.

    L’idée est de procurer comme expérience primaire, sur un PC (vieux ou récent) ou un terminal passif, le bureau Windows 365. Microsoft précise que « la fonction permet à différents utilisateurs de s’authentifier directement sur leur cloud PC Windows 365 personnel et sécurisé avec leur login ».

    Windows 365 Switch : Faire du bureau cloud un bureau virtuel Windows 11

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    Deuxième innovation, Windows 365 Switch intègre le bureau du cloud PC comme un bureau virtuel de Windows 11.

    Depuis Windows 10, Windows intègre une gestion des bureaux virtuels. En temps normal, on bascule ainsi d’un bureau virtuel à l’autre en passant par « Windows + Tab » ou par « CTRL + Windows + Flèche Gauche/Droite ».

    Désormais, le bureau Windows 365 de votre Cloud PC apparaîtra dans la liste des bureaux virtuels et se comportera comme s’il était l’un d’eux. C’est très pratique pour basculer de son environnement personnel sous Windows 11 vers son environnement professionnel Windows 365 sur un ordinateur personnel par exemple. Ou pour basculer d’un environnement avec des Apps locales d’un côté et des Apps sur le cloud PC de l’autre.

    Windows 365 en mode déconnecté

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    Dernière nouveauté et peut être la plus surprenante, Windows 365 Offline. Comme son nom le suggère, la fonction permet de continuer à travailler sur son environnement Cloud PC même lorsque le terminal utilisé se retrouve déconnecter d’Internet ! Dès que la connectivité est restaurée les environnements sont resynchronisés sans perte de fichiers et données.

    Microsoft n’est pas rentré dans les détails de fonctionnement de ce Windows 365 Offline. Apparemment la technologie utilise un autre mécanisme que le streaming d’écran traditionnellement utilisé dans toutes les offres DaaS. Elle s’appuie probablement sur un environnement Windows 11 local 100% synchronisé avec l’environnement distant.

    Malheureusement on ignore encore quand ces étonnantes innovations seront rendues réellement disponibles. On sait en revanche que Microsoft devrait également proposer sur le Windows Store une nouvelle App « Windows 365 » simplifiant l’expérience de connexion au cloud PC et permettant de se passer de l’actuel client Remote Desktop pour accéder au bureau dans le cloud.

    Source : informatiquenews.fr

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    Dans ses recherches en informatique quantique, Microsoft vient d’annoncer une percée scientifique qu’il qualifie de majeure. L’éditeur démontre la physique sous-jacente nécessaire à la création d’un nouveau type de qubit pour parvenir à une informatique quantique topologique capable de passer à l’échelle.

    En informatique quantique, Microsoft explore depuis plus de deux décennies l’approche de calcul quantique topologique. Hier, l’éditeur américain basé à Redmond a annoncé avoir franchi une étape historique le confortant sur cette voie.

    Microsoft a adopté depuis bientôt 25 ans une approche plus difficile, mais finalement plus prometteuse, d’une informatique quantique capable de passer à l’échelle avec des qubits topologiques qui sont théorisés pour être intrinsèquement plus stables que les qubits produits avec les méthodes existantes sans pour autant sacrifier la taille ou la vitesse

    rappelle à cette occasion Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, dans un billet publié le 15 mars 2022 sur Linkedin.

    En novembre 2017, le docteur en mathématiques qu’il est, régulièrement sollicité pour apporter un éclairage didactique sur l’informatique quantique, avait détaillé l’approche topologique suivie par Microsoft pour tenter de simplifier la résolution du phénomène de décohérence quantique. Il expliquait alors que la mise en œuvre de quasi-particules anyons au sein d’un ordinateur quantique topologique avait été envisagée autour d’une particule « étrange », le fermion de Majorana.

    Un peu plus de 4 ans plus tard, le directeur technique expose l’avancée réalisée par Microsoft :

    Nous avons découvert que nous pouvions produire la phase supraconductrice topologique avec ses modes zéro de Majorana concomitants, éliminant ainsi un obstacle important à la construction d’une machine quantique à l’échelle

    annonce Bernard Ourghanlian dans son billet sur LinkedIn en expliquant que « les qubits topologiques sont contrôlés par une propriété fondamentale appelée gap topologique ».

    Un écart topologique de 30 μeV

    Dans un billet et une vidéo, le Dr Chetan Nayak, éminent ingénieur de Microsoft Quantum, relate comment son équipe a démontré la physique sous-jacente nécessaire à la création d’un nouveau type de qubit. Le calcul quantique topologique ouvre une voie vers la tolérance aux pannes au niveau du matériel.

    La fidélité, la vitesse et la taille d’un qubit topologique sont contrôlées par une énergie caractéristique, le gap topologique.

    Cette voie n’est ouverte que si l’on peut produire de manière fiable une phase topologique de la matière et vérifier expérimentalement que les sous-composants d’un qubit sont dans une phase topologique et prêts pour le traitement de l’information quantique.

    Cela n’est pas trivial, souligne-t-il.

    Au cours de ses dernières recherches, l’équipe de Microsoft Quantum a « observé un écart topologique de 30 μeV dans des hétérostructures d’arséniure d’indium-aluminium ». Il s’agit, explique le Dr Chetan Nayak,

    à la fois d’une avancée scientifique majeure et d’une étape cruciale sur la voie de l’informatique quantique topologique qui repose sur la fusion et le tressage des anyons, les deux opérations primitives sur les quasi-particules topologiques.

    L’écart topologique contrôle la tolérance aux pannes que l’état de la matière sous-jacente offre à ces opérations. La physique sous-jacente ayant été démontrée, l’étape suivante est un qubit topologique grâce auquel une machine quantique pourra, dans le futur, passer à l’échelle pour réaliser les promesses du quantique et résoudre les défis les plus complexes et les plus urgents auxquels notre société est confrontée, conclut le Dr Chetan Nayak.

    Article rédigé par Maryse GROS (Journaliste, chef de rubrique LMI)

    Source: Le monde informatique

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    80 % des menaces liées aux brevets proviendrait des trolls

    Les trolls des brevets, ou entités d’affirmation des brevets (PAE), sont depuis longtemps un fléau pour les logiciels libres. Cependant, au fil des ans, d’autres groupes se sont levés pour les empêcher de voler les entreprises et les organisations qui utilisent réellement la propriété intellectuelle (PI) des brevets. L’un de ces groupes, Unified Patents, une organisation internationale regroupant plus de 200 entreprises, a remporté la victoire au cours des deux dernières années. Voici leur histoire à ce jour.

    Les Brevets Unifiés apportent le combat aux trolls. Il dissuade les trolls de brevets d’attaquer ses membres en rendant la victoire trop coûteuse pour le troll. Pour ce faire, le groupe examine les brevets des trolls et leurs activités dans divers secteurs technologiques (zones). La zone OSS est la plus récente de ces zones.

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    Notons que selon l’acception la plus courante, le terme troll désigne une entreprise qui ne fabrique aucun produit et dont la seule activité consiste à acquérir des brevets dans le but de les opposer à des tiers. Il semble toutefois qu’il existe autant de variantes de cette formulation de base qu’il existe d’entreprises. Que dire des grandes entreprises manufacturières qui ont des divisions spécialisées dans la constitution de portefeuilles de brevets dans le but de les faire valoir contre des tiers.

    Que dire des entreprises qui transfèrent leur portefeuille de brevets non exploités à des filiales partielles ou à part entière chargées de les opposer ensuite aux tiers ? Que dire des entreprises qui rachètent des portefeuilles de brevets à des fins défensives en obligeant du même coup d’autres sociétés à se joindre à elles pour se protéger ? Que dire des universités ? Elles ne produisent rien.

    On répondra que les universités ne sont pas concernées parce qu’elles accordent des licences à des entreprises pour fabriquer les produits couverts par leurs brevets. Mais que se passe-t-il si une université vend ses brevets à une NPE avec laquelle elle signe un accord de partage de bénéfices ?

    Comme on peut le voir, la notion de troll est très difficile à définir. Certains prétendront même que Thomas Edison, l’un des inventeurs les plus prolifiques des États-Unis d’Amérique, était un troll avant la lettre, puisqu’il cherchait à acquérir des licences sur des inventions qu’il n’avait pas l’intention de fabriquer.

    La plupart des menaces liées aux brevets, 80 % selon Unified Patents, proviennent des trolls. « Les attaques ne cessent de se multiplier. « La raison en est simple. C’est rentable. En plus de s’en prendre aux grandes entreprises, les patents trolls s’en prennent maintenant aux petites entreprises qui n’ont pas les ressources nécessaires pour les combattre ». Il serait moins coûteux pour elles de payer un chantage à la propriété intellectuelle que de les combattre en justice.

    Les litiges des trolls à l’égard des programmes open source ont atteint un niveau record de 721 cas en 2021. Il s’agit d’une augmentation de près de 22 % par rapport à 2020. Ces PAE sont notamment Sound View, Sockeye Licensing, St. Luke, MicroPairing, Level 3, Finjan, WSOU Investments et Unilco 2017.

    Les noms changent mais le jeu est toujours le même. Acheter des brevets, attendre que quelqu’un utilise ses idées pour créer un programme rentable, puis intenter un procès. Avant même le lancement officiel d’OSS Zone, Unified Patents et l’Open Invention Network (OIN), le plus grand groupe de non-agression en matière de brevets au monde, ont lancé des actions en justice contre des brevets de mauvaise qualité appartenant à PAE. La Fondation Linux et Microsoft ont fait équipe avec OIN pour soutenir OSS Zone et lutter contre ces mauvais brevets.

    Microsoft a récemment rejoint l’Open Invention Network (OIN). « Depuis sa fondation en 2005, l’OIN a été à l’avant-garde pour aider les entreprises à gérer les risques liés aux brevets et nous sommes honorés d’en faire partie.

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    La réaction des membres de la communauté open source à cette nouvelle a été formidable, y compris les bonnes questions qui nous ont été posées sur ce que notre adhésion signifie pour les développeurs. Nous nous sommes entretenus avec Erich Andersen, de Microsoft, pour obtenir plus de détails sur certaines des questions les plus fréquemment posées.

    Microsoft s’engage à apporter son aide à la protection de Linux et l’open source

    « Microsoft s’est engagé en faveur de l’open source et continue d’investir et de collaborer dans le vaste paysage de l’open source. En tant que bénéficiaire et participant actif de l’écosystème open-source, Microsoft s’engage à faire sa part, avec la communauté open source au sens large, pour protéger cette ressource précieuse contre les risques liés aux brevets et autres défis », David Dennis, chef de produit principal chez Microsoft.

    En outre, a poursuivi Burton Davis, vice-président et conseiller général adjoint de Microsoft. Les patent trolls et leurs « brevets de mauvaise qualité continuent de freiner l’innovation dans l’industrie du logiciel et de menacer les logiciels libres. Microsoft s’engage à faire tout ce qui est en son pouvoir pour protéger les logiciels libres des menaces liées aux brevets et pour empêcher les brevets de faible qualité de nuire à l’innovation. » Les trolls de brevets nuisent à tous ceux qui fabriquent des logiciels, pas seulement aux développeurs de logiciels libres.

    Il ne s’agit pas seulement d’un combat pour les grandes entreprises. Brevets unifiés encourage également les développeurs et les chercheurs à rechercher l’art antérieur afin de briser les mauvais brevets. Les recherches réussies rapportent à leurs gagnants 2 000 dollars. J’ai le plaisir d’annoncer que Microsoft rejoint l’OIN, une communauté dédiée à la protection de Linux et d’autres logiciels libres contre les risques liés aux brevets.

    C’est un travail très utile. Comme l’explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Fondation Linux, « c’est une voie utile lorsque l’invention revendiquée se trouvait déjà dans l’art antérieur, comme en témoignent les brevets existants, le code mis à la disposition du public dans des dépôts de logiciels libres ou les publications imprimées qui étaient disponibles au moment où un brevet était en cours de traitement. Il s’agit essentiellement de vérifier si un élément important a échappé à l’examinateur qui a autorisé la délivrance du brevet en tant que nouvelle invention. »

    Sources : Unified Patents, Microsoft, OIN, droit.developpez.com

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    On va bien confier nos données médicale a microsoft on est plus a ca près

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    @violence a dit dans Microsoft veut racheter Activision :

    Surement parce que Call Off ça rapporte même si c’est de la daube et Blizzard est bourré de talents.

    était bourré de talent

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    @dujambon
    Et si tu as une contrainte de ton employeur, normalement, c’est à lui de te fournir la licence.