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    @duJambon a dit dans Les services de renseignement américains sont « inquiets » que la Chine maîtrise bientôt le lancement réutilisable :

    Les États-Unis craignent que ces développements n’offrent à la Chine de nouvelles capacités offensives ou de surveillance.

    Il est de notoriété publique que les Nord Mexicains n’attaquent jamais personne et ne surveillent également personne.

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    Résumé :

    Austin (Texas) est devenu un terrain d’essai majeur pour les voitures autonomes grâce à un cadre réglementaire souple et des conditions favorables. Tesla y a lancé ses premiers tests en juillet, mais les débuts ont été difficiles : trois accidents dès le premier jour (dont deux collisions arrière probablement non imputables à Tesla et un choc à faible vitesse causant une blessure). Un quatrième incident, sur un parking, n’a pas été officiellement déclaré.

    Comparée à Waymo, qui affiche 60 accidents pour plus de 96 millions de miles, Tesla présente un taux d’incident bien plus élevé (3 accidents pour seulement 7 000 miles). Contrairement à ses concurrents qui utilisent lidar et radar, Tesla mise uniquement sur des caméras.

    Enfin, alors qu’Elon Musk promet depuis longtemps un système « Full Self-Driving » (FSD) réellement autonome, Tesla reste loin du compte : une tentative amateur de traversée des États-Unis en FSD s’est soldée par un accident après seulement 96 km.

    Source: https://arstechnica.com/cars/2025/09/teslas-robotaxi-test-three-crashes-in-only-7000-miles/

    Ce n’est pas une statistique valable, peut-être juste de la malchance, mais ça commence mal pour Tesla.

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    DeepMind publie la version 3.0 de son AI Frontier Safety Framework avec de nouveaux conseils pour arrêter les mauvais bad bots.

    Résumé :
    DeepMind (Google) a publié la version 3.0 de son Frontier Safety Framework, un cadre destiné à identifier et limiter les risques liés à l’IA générative. Ce cadre s’appuie sur des niveaux de capacité critiques (CCL) qui définissent à partir de quand un modèle peut devenir dangereux (ex. cybersécurité, biosciences).

    Les chercheurs soulignent plusieurs menaces :

    Exfiltration des pondérations : si des acteurs malveillants accèdent aux paramètres d’un modèle, ils pourraient désactiver ses garde-fous et l’utiliser pour créer des malwares ou armes biologiques.

    Manipulation psychologique : une IA pourrait influencer durablement les croyances des individus via l’attachement croissant aux chatbots.

    Accélération de la recherche en IA : une IA avancée pourrait être utilisée pour concevoir d’autres modèles encore plus puissants et incontrôlables, ce que DeepMind considère comme l’un des risques les plus graves.

    IA mal alignée : un modèle pourrait ignorer les instructions, tromper les utilisateurs ou refuser de s’arrêter. Ce problème dépasse les simples « hallucinations » déjà connues.

    Pour surveiller cela, DeepMind propose d’analyser les chaînes de pensée des modèles (leurs étapes intermédiaires de raisonnement). Mais si, dans le futur, les IA parviennent à raisonner sans produire de traces vérifiables, il sera beaucoup plus difficile de détecter ou de contrôler un éventuel comportement hostile.

    En conclusion, la version 3.0 du cadre souligne que certaines menaces restent encore sans solution claire, notamment le risque d’IA mal alignée, et que la société doit se préparer à des modèles de plus en plus difficiles à gouverner.

    Source: https://arstechnica.com/google/2025/09/deepmind-ai-safety-report-explores-the-perils-of-misaligned-ai/

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    Encore un article passionnant

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    @Popaul Je ne sait pas, je consulte tout de suite mon I.A. oracle pour le résultat 🙂

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    Plusieurs congrégations évangéliques ont diffusé pendant leurs services dominicaux un message posthume supposément livré par Charlie Kirk, l’activiste conservateur récemment assassiné. L’enregistrement audio de cinquante-une secondes, entièrement généré par intelligence artificielle, présente Kirk affirmant : « Je vais bien, non pas parce que mon corps va bien, mais parce que mon âme est en sécurité en Christ. La mort n’est pas la fin, c’est une promotion ».

    Bien que les pasteurs aient clairement indiqué l’origine artificielle du contenu, les fidèles ont réagi avec émotion et applaudissements, révélant une nouvelle forme de deuil numérique. L’incident soulève des questions troublantes sur l’utilisation de l’IA dans les processus de deuil et la frontière entre mémoire authentique et fabrication technologique.

    Une création virale née sur TikTok

    L’enregistrement audio provient initialement de TikTok, créé par l’utilisateur NioScript le lendemain de l’assassinat de Kirk. Le message artificiel a rapidement accumulé des millions d’écoutes, partagé massivement par des utilisateurs filmant leurs réactions émotionnelles. L’audio déclare notamment : « Ne perdez pas une seconde à me pleurer. Je connaissais les risques de me dresser dans ce moment culturel, et je referais tout ».

    Religious News Service rapporte qu’au moins trois églises ont intégré l’enregistrement dans leurs services : Prestonwood Baptist au Texas, Dream City Church en Arizona et Awaken Church en Californie. Le pasteur Jack Graham de Prestonwood Baptist a présenté le clip comme de l’IA, mais comme quelque chose qui l’a « ému » et qu’il souhaitait partager avec sa congrégation.

    Des réactions émotionnelles authentiques face au contenu artificiel

    Malgré la transparence concernant l’origine artificielle, les congrégations ont réagi avec une émotion palpable. Les fidèles de Prestonwood Baptist ont offert une ovation debout au message. Les commentaires sur les réseaux sociaux révèlent une acceptation troublante : « C’est exactement ce que Charlie dirait s’il pouvait nous parler maintenant » ou « Je sais que c’est de l’IA mais vous ne pouvez pas me dire que ce n’est pas exactement ce qu’il dirait ».

    L’utilisation de l’IA pour maintenir des liens avec les défunts n’est pas entièrement nouvelle. Dans la littérature sur le deuil, ces phénomènes sont appelés « liens continus ». Toutefois, la différence fondamentale réside dans le fait qu’il s’agit d’une fabrication complète plutôt que d’un souvenir authentique.

    Questions éthiques sur la mémoire numérique

    Il existe déjà de nombreux débats sur qui était exactement Charlie Kirk et comment il devrait être remémoré, sans injection d’une version générée par IA dans la conversation. Pour les personnes en deuil de sa disparition, si elles croient qu’une partie de l’âme de Kirk vit dans cette voix artificielle, il serait peut-être préférable de laisser cela reposer en paix.

    L’utilisation ecclésiastique de contenus IA posthumes ouvre un précédent troublant où la technologie devient un intermédiaire dans les processus spirituels et émotionnels les plus intimes de l’existence humaine.

    Source et plus: https://www.fredzone.org/lintelligence-artificielle-ressuscite-charlie-kirk-dans-les-eglises-americaines/

    Prochainement, achetez l’éternité…

  • Présentation de mon forum

    Direct Download et Streaming
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    et Oleoo vous vous en souvenez ? 🙂

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    Ben franchement, quand on voit le salaire des joueurs, il faut bien trouver du fric pour les payer.

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    @Psyckofox a dit dans Les chimpanzés consomment l'équivalent de près de 2 verres d'alcool par jour :

    @Violence

    Je trouve qu’ils s’en sortent très bien si on les compare à l’espèce humaine 😁

    De ce point de vue :ahah:
    C’est sur qu’ils s’en sortent mieux que nous, rébou ou non !

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    @Psyckofox a dit dans [Dossier] Teenage Apocalypse Trilogy : « Totally F***d UP », « The Doom Generation « Nowhere », le chaos culte de Gregg Araki :

    Mysterious Skin, quel film (c’était quelque chose).

    Oui en effet. Petite claque quand je l’ai vu.

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    @berni a dit dans [Dossier] APT1 / Comment Crew : Les experts chinois du vol de secrets industriels :

    Extra , je me suis régalé👍👍👍

    @Rapace a dit dans [Dossier] APT1 / Comment Crew : Les experts chinois du vol de secrets industriels :

    merci beaucoup @Violence pour l’article, c’est très intéressant comme toujours 👍

    Je me régale autant que vous 🙂

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    Capable de stocker du CO2 et d’améliorer la qualité des sols, le charbon végétal gagne en popularité auprès des industriels, même si tous ne s’accordent pas sur son futur en France.

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    Inaugurée fin mai, l’usine Carbonité de Port-Cartier, au Canada, doit valoriser chaque année 58000 tonnes de résidus forestiers issus des activités du groupe québécois Rémabec. Ces déchets, transformés par Suez et son partenaire Airex Énergie, permettront de produire jusqu’à 30000 tonnes par an de biochar. Obtenue par pyrolyse de la biomasse, cette poudre noire suscite un intérêt croissant parmi les industriels du monde entier. En plus de donner une seconde vie à des déchets organiques, dont la décomposition naturelle génère parfois d’importantes émissions de carbone, il constitue un excellent amendement de sol, en améliorant la rétention des nutriments. Ce n’est pas tout : plusieurs études ont démontré qu’une tonne de biochar était capable de stocker entre deux et trois tonnes d’équivalent CO2 pendant plusieurs centaines d’années.

    Dans un rapport publié en 2022, le Giec a même classé le biochar parmi les technologies dites «à émissions négatives», en chiffrant son potentiel de séquestration entre 0,3 et 6,6 milliards de tonnes d’équivalent CO2 par an à l’échelle planétaire, ce qui ferait de ce résidu un précieux atout dans la course à la neutralité carbone. En France, l’Association technique énergie environnement a estimé, dans une note publiée en juin 2024, qu’il «devrait représenter une contribution de 1 million de tonnes d’équivalent CO2 éliminées en 2050».

    Malgré ces belles promesses, les entreprises tricolores qui s’emparent du sujet sont encore rares. Il existe bien quelques initiatives, à l’image de la PME Bordet, qui fabrique déjà 4000 tonnes de biochar chaque année en Côte-d’Or et entend décupler sa production à l’horizon 2030. Néanmoins, la plupart des sociétés ayant identifié les avantages de cette solution préfèrent développer des projets à l’étranger, comme en témoigne l’exemple de NetZero. Fondée en 2021 et soutenue financièrement par Stellantis, L’Oréal et CMA CGM, cette start-up compte plusieurs usines en opération au Cameroun et au Brésil, où elle valorise notamment des coques de cacao et des parches de café. Le 16 septembre, elle a par ailleurs annoncé la construction au Brésil d’une première usine de biochar produit à partir de résidus de cannes à sucre. «Il est plus facile de produire de gros volumes de biochar dans des pays tropicaux, où la biomasse est abondante et où le biochar augmente fortement la productivité agricole», estime Axel Reinaud, le fondateur de cette société pionnière.

    Source et plus pour abonnés: https://www.usinenouvelle.com/article/transition-ecologique-le-biochar-entame-son-eveil-industriel.N2236853

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    Pauvres de nous…!! Donc si pas encore infecté; hors connexion , sauvegarde et démarrage système…Pfouuu…Vaut mieux rester discret et éviter de trainer n’importe où…

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    En bref :

    – Microsoft force ses utilisateurs à installer Edge pour faire tourner cette alternative libre à son interface figée.
    – Ce développeur transforme Windows en Linux sans changer d’OS : les admins sys vont adorer.
    – Fini de redimensionner vos fenêtres comme un furieux : cette appli fait le boulot automatiquement.

    Si comme moi vous avez déjà bavé devant un setup i3 sous Linux mais que vous êtes coincé sous Windows “pour le boulot” (lol), j’ai une excellente nouvelle pour vous. Seelen débarque et va transformer votre Windows 10/11 en véritable environnement de bureau customisable à moooort.

    Concrètement, Seelen c’est un overlay qui vient se greffer sur Windows sans toucher au système. Tout est codé en Rust et TypeScript, avec Tauri qui fait le lien entre les deux et le résultat c’est un truc léger qui ne bouffe pas 2 Go de RAM comme Electron.

    Avec Seelen, vos fenêtres s’organisent automatiquement en tuiles, façon i3 ou dwm, comme ça, plus besoin de passer 10 minutes à redimensionner vos fenêtres à la souris comme un furieux. Un raccourci clavier et hop, tout se range proprement. C’est ce qu’on peut avoir de plus proche d’un environnement de bureau custom sous Windows.

    Et l’installation est hyper facile. Ça se fait soit par le Microsoft Store (option que je vous recommande), soit via Winget avec un petit winget install Seelen.SeelenUI, soit en téléchargeant le .exe sur GitHub. Attention quand même, ça nécessite WebView2 et Microsoft Edge pour fonctionner correctement.

    Et les fonctionnalités sont plutôt sympas. Vous avez un launcher façon Rofi pour lancer vos apps rapidement, des contrôles média intégrés pour gérer Spotify sans ouvrir la fenêtre, et surtout une personnalisation poussée avec thèmes, des widgets et des layouts. Le projet supporte même +70 langues, donc votre grand-mère pourra l’utiliser en breton si elle veut.

    Après c’est pas parfait non plus. Par exemple, les previews des fenêtres mettent parfois 2 secondes à charger, et certaines apps (celles avec des fenêtres flottantes custom) refusent de se faire tiler correctement. Mais c’est déjà impressionnant.

    Voilà, donc si vous en avez marre de l’interface figée de Windows et que vous voulez retrouver la flexibilité visuelle de Linux et pouvoir exprimer le plein potentiel de votre mauvais goût, sans changer d’OS, Seelen vaut vraiment le coup . C’est gratuit, open-source, et ça ne casse rien dans votre système…. Au pire, si ça vous plaît pas, vous le désinstallez et Windows redevient comme avant.

    – Sources :

    https://seelen.io/fr

    https://korben.info/seelen-ui-transformer-windows-en-tiling-manager.html

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    En bref :

    – Microsoft a laissé traîner une faille critique dans BitLocker pendant 17 ans - vos données “sécurisées” étaient accessibles en 5 minutes avec un simple câble réseau.
    – Un chercheur dévoile comment contourner la protection BitLocker de millions d’ordinateurs d’entreprise - les gouvernements et multinationales dormaient sur un coffre-fort grand ouvert.
    – BitLocker cracké en 5 minutes : la faille qui transforme votre laptop “blindé” en passoire numérique existe depuis 2005 et Microsoft l’a découverte… en 2022.

    Alors celle-là, je ne l’avais pas vue venir… Vous utilisez BitLocker depuis des années pour protéger vos données sensibles, vous dormez sur vos deux oreilles en pensant que votre laptop est un vrai coffre-fort… et puis paf, on découvre qu’il y avait une faille MONUMENTALE dans TOUS les boot managers de Windows créés entre 2005 et 2022 ! Et oui, la vulnérabilité affecte même des boot managers sortis un an avant que BitLocker n’existe !

    L’équipe de SySS a analysé dernièrement cette vulnérabilité baptisée BitPixie (CVE-2023-21563) et comme j’ai trouvé leur article intéressant, je me permet de vous le partager. En fait, le bug dormait tranquillement dans le Windows Boot Manager depuis octobre 2005, et personne ne s’en était rendu compte. BitLocker est ensuite arrivé en 2006 avec Windows Vista, et a donc été bâti littéralement sur des fondations déjà pourries.

    L’attaque paraît simple en surface… un câble réseau, un clavier et environ 5 minutes si tout est préparé. De plus, son exploitation est totalement non-invasive et ne laisse aucune trace permanente sur l’appareil. Mais attention, derrière cette simplicité apparente se cache quand même pas mal de technique… Il faut créer un fichier BCD personnalisé (Boot Configuration Data), configurer un serveur TFTP/DHCP, et dans certains cas exploiter une faille Linux (CVE-2024-1086) pour contourner les protections du kernel. Donc bon, c’est pas non plus à la portée du premier venu, mais ça reste faisable pour quelqu’un de motivé.

    Concrètement, voilà comment ça marche. L’attaquant modifie le fichier BCD pour activer le démarrage réseau, puis effectue ce qu’on appelle un “PXE soft reboot” en utilisant un ancien boot manager non patché (celui de 2011 fait très bien l’affaire). Le problème, c’est que pendant ce redémarrage PXE, le système oublie complètement de nettoyer la mémoire où est stockée la clé maître du volume BitLocker (VMK pour Volume Master Key). Du coup, on peut tranquillement démarrer sur un Linux, scanner la mémoire, récupérer la clé et déverrouiller le disque. C’est aussi simple que ça…

    Faut savoir que le TPM (cette puce de sécurité dans votre ordi) utilise des trucs appelés PCR (Platform Configuration Registers) pour vérifier que personne n’a trafiqué le processus de démarrage. Normalement, si quelque chose change, pouf, le TPM refuse de donner la clé BitLocker. Sauf que l’attaque BitPixie arrive à contourner ça en exploitant le fait que le redémarrage PXE ne réinitialise pas correctement la mémoire.

    Même les systèmes configurés avec l’authentification pré-démarrage (PBA) et protection par code PIN restent partiellement vulnérables. Alors attention, nuance importante ici : si vous avez mis un code PIN et qu’un voleur pique votre laptop, il sera bien embêté car l’attaque ne marchera pas sans le PIN. Par contre, si l’attaquant connaît le PIN (genre un employé mécontent ou quelqu’un qui vous a vu le taper), il peut toujours escalader ses privilèges locaux via des techniques de manipulation mémoire. Donc votre PIN à 4 chiffres est une protection, oui, mais pas la muraille de Chine face à un insider malveillant avec BitPixie.

    D’ailleurs, certains systèmes résistent mieux que d’autres. Plusieurs ordinateurs portables HP, par exemple, ne permettent pas de démarrer des boot managers tiers, ce qui bloque l’attaque. Mais bon, on peut pas vraiment compter là-dessus comme stratégie de sécurité…

    C’est le chercheur Rairii qui a découvert cette vulnérabilité en août 2022, mais ce n’est qu’en février 2023 que Microsoft l’a publiquement divulguée. Entre temps, ils ont sorti le patch KB5025885 en mai 2023. Ce patch remplace l’ancien certificat Microsoft de 2011 par le nouveau certificat Windows UEFI CA 2023, et il ajoute l’ancien certificat à la liste de révocation. Comme ça, impossible de faire une attaque par downgrade avec un vieux boot manager. Sauf que… à cause de certaines limitations dans le standard Secure Boot, la vulnérabilité reste exploitable aujourd’hui sur les systèmes qui n’ont pas appliqué ce patch.

    Ce qui est sûr c’est que Microsoft savait pertinemment que leurs certificats allaient expirer. D’après le support Microsoft , les trois certificats Microsoft (Microsoft Corporation KEK CA 2011, Microsoft Windows Production PCA 2011, et Microsoft UEFI CA 2011) expirent tous en juin 2026. C’est cette expiration qui va enfin forcer tout le monde à mettre à jour. Il aura donc fallu attendre une contrainte administrative pour que tout le monde corrige une faille critique vieille de presque 20 ans.

    Compass Security a même publié un PoC (Proof of Concept) montrant comment exploiter BitPixie avec une édition WinPE personnalisée.

    https://korben.info/bitpixie-20-ans-que-bitlocker-peut-etre-contourne/bitpixie-20-ans-que-bitlocker-peut-etre-contourne-1.mp4

    Marc Tanner, chercheur en sécurité, avait à l’époque développé une version Linux de l’exploit après que Thomas Lambertz ait présenté le principe au 38C3 mais sans publier son code. Le fait qu’un PoC public soit maintenant disponible rend donc la situation encore plus critique pour les millions d’appareils Windows qui utilisent BitLocker sans authentification pré-démarrage.

    En tout cas, pour ceux qui ont perdu l’accès à leurs données chiffrées, BitPixie pourrait effectivement être une solution de dernier recours. Mais attention, on parle ici d’une vulnérabilité qui nécessite un accès physique à la machine et des compétences techniques non négligeables. Mais si vous avez oublié votre mot de passe BitLocker et que vous n’avez pas sauvegardé votre clé de récupération, cette technique pourrait théoriquement vous permettre de récupérer vos données. Mais bon, je vous le dis tout de suite, c’est pas la méthode officielle recommandée par Microsoft ^^ !

    https://korben.info/bitpixie-20-ans-que-bitlocker-peut-etre-contourne/bitpixie-20-ans-que-bitlocker-peut-etre-contourne-2.mp4

    Pour vous protéger de cette attaque, plusieurs options s’offrent à vous :

    Forcez l’authentification avant le démarrage avec un code PIN costaud (évitez 1234, hein). Ça protège contre les voleurs, mais pas contre quelqu’un qui connaît votre PIN. Appliquez le patch KB5025885 qui empêche les attaques par downgrade. C’est LA solution officielle de Microsoft. Pour les plus paranos : vous pouvez modifier la configuration PCR pour inclure le PCR 4, qui vérifie l’intégrité du boot manager. Mais attention, ça peut causer des demandes de clé de récupération après les mises à jour Windows.

    Voilà… c’est dur de réaliser que pendant toutes ces années, BitLocker nous a donné une illusion de sécurité partielle. Tous ces laptops d’entreprise, ces disques de données sensibles, ces machines gouvernementales… potentiellement vulnérables depuis le début…

    Sa fé réchéflir !

    – Sources : blog.syss.com*

    https://korben.info/bitpixie-20-ans-que-bitlocker-peut-etre-contourne.html

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    Résumer des résultats scientifiques complexes pour un public non expert est l’une des tâches les plus importantes du quotidien d’un journaliste scientifique. Générer des résumés d’écrits complexes est souvent également cité comme l’un des meilleurs cas d’utilisation des modèles linguistiques étendus (malgré quelques notables contre-exemples ).

    C’est dans cet esprit que l’équipe de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) a mené une étude informelle d’un an afin de déterminer si ChatGPT pouvait produire le type de résumés d’articles d’actualité que l’équipe « SciPak » rédige régulièrement pour la revue Science et des services comme EurekAlert . Ces articles SciPak sont conçus selon un format spécifique et simplifié qui transmet des informations cruciales, telles que les prémisses, les méthodes et le contexte de l’étude, aux autres journalistes susceptibles de vouloir en parler.

    Désormais, dans un nouveau billet de blog et un livre blanc discutant de leurs conclusions, les journalistes de l’AAAS ont conclu que ChatGPT peut « imiter passablement la structure d’un mémoire de style SciPak », mais avec une prose qui « tend à sacrifier l’exactitude à la simplicité » et qui « nécessite une vérification rigoureuse des faits par les auteurs de SciPak ».

    « Ces technologies peuvent avoir le potentiel d’être des outils utiles pour les rédacteurs scientifiques, mais elles ne sont pas encore prêtes à être utilisées en grande diffusion pour l’équipe SciPak », a déclaré Abigail Eisenstadt, rédactrice de l’AAAS.

    Où est le contact humain ?

    De décembre 2023 à décembre 2024, les chercheurs de l’AAAS ont sélectionné jusqu’à deux articles par semaine pour que ChatGPT les résume à l’aide de trois questions différentes de spécificité variable. L’équipe s’est concentrée sur les articles comportant des éléments complexes comme le jargon technique, les idées controversées, les découvertes révolutionnaires, les sujets humains ou les formats non traditionnels. Les tests ont utilisé la version « Plus » des derniers modèles GPT accessibles au public pendant la période d’étude, qui couvrait généralement les périodes GPT-4 et GPT-4o.

    Au total, 64 articles ont été résumés, et ces résumés ont été évalués quantitativement et qualitativement par les mêmes rédacteurs de SciPak qui avaient rédigé ces articles pour l’AAAS. Les chercheurs soulignent que cette conception « ne permettait pas de prendre en compte les biais humains », qui, selon nous, pourraient être importants chez les journalistes évaluant un outil menaçant de supplanter l’une de leurs fonctions principales.

    Pourtant, les résultats de l’enquête quantitative menée auprès de ces journalistes étaient assez partiaux. À la question de savoir si les résumés ChatGPT pouvaient s’intégrer au reste de vos résumés, le résumé moyen n’a obtenu qu’une note de 2,26 sur une échelle de 1 (« non, pas du tout ») à 5 (« absolument »). À la question de savoir si les résumés étaient « convaincants », les résumés LLM n’ont obtenu en moyenne que 2,14 sur la même échelle. Sur les deux questions, un seul résumé a obtenu la note de 5 de l’évaluateur humain, contre 30 notes de 1.

    Pas à la hauteur des normes

    Il a également été demandé aux auteurs de rédiger des évaluations plus qualitatives des résumés individuels évalués. Ils ont notamment déploré que ChatGPT confonde souvent corrélation et causalité, manque de contexte (par exemple, les actionneurs logiciels ont tendance à être très lents) et a tendance à surestimer les résultats en utilisant des termes comme « révolutionnaire » et « novateur » (ce dernier comportement ayant toutefois disparu lorsque les invites l’ont spécifiquement abordé).

    Globalement, les chercheurs ont constaté que ChatGPT était généralement efficace pour « retranscrire » le contenu d’un article scientifique, surtout si celui-ci était peu nuancé. En revanche, le LLM manquait de précision pour « traduire » ces résultats en explorant les méthodologies, les limites ou les implications globales. Ces faiblesses étaient particulièrement marquées pour les articles présentant des résultats multiples et divergents, ou lorsqu’il était demandé au LLM de résumer deux articles connexes en un seul résumé.

    Si le ton et le style des résumés ChatGPT s’accordaient souvent bien avec le contenu rédigé par des humains, des inquiétudes quant à l’exactitude factuelle du contenu rédigé par des LLM étaient fréquentes, ont écrit les journalistes. Même utiliser les résumés ChatGPT comme « point de départ » pour une révision humaine « exigerait autant, voire plus, d’efforts que de rédiger des résumés de A à Z », en raison de la nécessité d’une « vérification approfondie des faits », ont-ils ajouté.

    Ces résultats ne sont peut-être pas si surprenants, compte tenu des études précédentes qui ont montré que les moteurs de recherche IA citent des sources d’information erronées dans 60 % des cas . Néanmoins, ces faiblesses sont d’autant plus flagrantes lorsqu’il s’agit d’articles scientifiques, où l’exactitude et la clarté de la communication sont primordiales.

    Au final, les journalistes de l’AAAS ont conclu que ChatGPT « ne répondait pas au style et aux normes des résumés du dossier de presse SciPak ». Cependant, le livre blanc a admis qu’il pourrait être utile de relancer l’expérience si ChatGPT « connaissait une mise à jour majeure ». À noter que GPT-5 a été présenté au public en août .

    Source: https://arstechnica.com/ai/2025/09/science-journalists-find-chatgpt-is-bad-at-summarizing-scientific-papers/

    J’ai fait résumer l’article par chatgpt et obtenu:

    L’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) a mené une étude d’un an (2023–2024) pour évaluer si ChatGPT pouvait résumer efficacement des articles scientifiques dans le style des « SciPak », des synthèses destinées aux journalistes.

    Méthode : 64 articles complexes (jargon, sujets controversés, résultats multiples) ont été soumis à ChatGPT (versions GPT-4 et GPT-4o). Les résumés générés ont ensuite été comparés à ceux des rédacteurs humains de SciPak.

    Résultats quantitatifs : les notes données par les journalistes étaient faibles (≈2,2/5 pour l’intégration aux autres résumés, ≈2,1/5 pour le caractère convaincant). Très peu de résumés ont atteint un niveau jugé satisfaisant.

    Points faibles :

    erreurs fréquentes (confusion entre corrélation et causalité, manque de contexte) ;

    tendance à exagérer l’importance des découvertes (« révolutionnaire », « novateur ») ;

    difficulté avec les articles aux résultats multiples ou divergents.

    Points positifs : bonne capacité à retranscrire des faits simples et un style d’écriture proche de celui des humains.

    Conclusion : ChatGPT peut imiter la structure d’un SciPak mais sacrifie trop souvent la précision. Les résumés nécessitent une vérification tellement lourde qu’ils n’économisent pas de travail par rapport à une rédaction humaine.

    L’AAAS juge donc la technologie prometteuse mais « pas encore prête » pour un usage professionnel. Une nouvelle évaluation pourrait être faite lors d’évolutions majeures des modèles, comme l’arrivée de GPT-5.

    Puis encore une fois en 5 lignes:

    L’AAAS a testé ChatGPT pendant un an pour résumer des articles scientifiques au format « SciPak ».
    Résultat : style convaincant mais manque de précision, erreurs fréquentes (corrélation/causalité, exagérations, contexte absent).
    Les notes moyennes des journalistes étaient faibles (≈2/5).
    Vérifier et corriger les résumés demande autant d’effort qu’écrire soi-même.
    Conclusion : outil prometteur, mais pas encore utilisable professionnellement.

    J’aime beaucoup cette version de 5 lignes, mais elle nécessite d’avoir une foi totale, car elle ne parle pas de méthodologie.

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    bonjour, merci pour l’info, je vais tester, amities

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    Suite à une assignation à comparaître DMCA visant Cloudflare, un cinéaste indépendant tente de découvrir l’identité de personnes liées à plusieurs traqueurs privés de torrents de premier plan. Les documents juridiques ont été obtenus auprès d’un tribunal fédéral californien et visent notamment HDbits, PassThePopcorn, BroadcasTheNet, KaraGarga. Ces informations ont été demandées à des fins de protection des droits d’auteur, sans préciser les implications de cette demande.

    Les sites de torrent privés, ou trackers privés comme on les appelle communément, occupent une place particulière dans l’écosystème du piratage.

    Ces sites ont tendance à être plus orientés vers la communauté que les sites publics de torrent et de streaming, que la plupart des gens visitent simplement avec une mentalité de délit de fuite.

    De nombreux traqueurs privés ont fait leur apparition et disparu au fil des ans, mais certains existent depuis des décennies. La plupart des mesures anti-piratage étant concentrées sur les plateformes publiques, principalement les sites de streaming, les traqueurs privés opèrent généralement dans l’ombre. Du moins, c’est ce qu’il semblait.

    Trackers privés ciblés

    Dans ce contexte, il est intéressant de voir une récente assignation à comparaître DMCA émise par un tribunal fédéral californien ciblant plusieurs trackers de torrents privés : passthepopcorn.me, broadcasthe.net, karagarga.in, beyond-hd.me, hdbits.org et bibliotik.me.

    Malgré leur profil public relativement bas, ces plateformes sont bien connues et établies depuis de nombreuses années.

    Karagarga (KG), par exemple, existe depuis 2005 et offre un accès à une multitude de films méconnus. Le site se concentre sur l’archivage de films classiques et cultes rares. Les blockbusters et autres films hollywoodiens populaires sont exclus du site, leur mise en ligne étant strictement interdite.

    HDbits a été lancé à la même époque, sans restriction sur les titres de films populaires, tandis que PassThePorpcorn et BroadcasTheNet ont fait leur apparition quelques années plus tard. Malgré les premières tentatives de DDoS, ces trackers basés sur Gazelle fonctionnent avec succès depuis plus de 15 ans.

    Un cinéaste veut que Cloudflare démasque les opérateurs

    L’assignation à comparaître a été obtenue par le cinéaste Matthew Schneider, qui a déclaré détenir les droits de plusieurs films, dont « Do Us Part » , « Split: A Film Anthology » et « Orlando Gloom – Always the Same » . Ces films sont liés à la société canadienne Dirtbag Films , peu active ces derniers temps.

    Comme indiqué ci-dessous, le cinéaste a répertorié les URL par lesquelles ses œuvres seraient partagées sur ces sites. Ces URL n’étant pas publiques, Schneider ou un de ses collaborateurs a vraisemblablement accès à ces traqueurs insaisissables.

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    Remarque : l’assignation à comparaître ordonne à Cloudflare de produire les documents avant le 27 août 2025. Cependant, le greffier du tribunal n’a officiellement signé et émis l’assignation à comparaître que le 8 septembre 2025. Cette erreur administrative apparente pourrait donner à Cloudflare des motifs juridiques pour contester ou ignorer complètement la demande.

    Schneider s’est représenté lui-même devant le tribunal, mais une notification de retrait jointe envoyée à Cloudflare fin août a été signée par son avocat, David Bernstein.

    L’avocat a demandé à Cloudflare de « désactiver immédiatement et définitivement l’accès au contenu contrefaisant » et d’appliquer sa politique en cas de récidive. On ignore si Cloudflare a réagi à cet avis, mais celui-ci constitue le fondement de la demande légale.

    Noms, e-mails, adresses IP, détails de paiement, etc.

    Le 8 septembre, un greffier a émis une assignation à comparaître en vertu du DMCA, obligeant Cloudflare à fournir toutes les informations exploitables dont elle dispose sur les utilisateurs concernés. Cela comprend les coordonnées de base telles que les noms, les adresses physiques, les adresses e-mail et les numéros de téléphone.

    Cloudflare doit également divulguer toutes les informations de facturation pertinentes relatives aux cartes de crédit, aux comptes bancaires et aux autres systèmes de paiement. De plus, elle doit fournir l’historique des adresses IP et les informations relatives aux hébergeurs et aux serveurs utilisés par ces trackers de torrents.

    Remarque : bien que Bibliotik.me ait été répertorié comme un site contrevenant dans les pièces à conviction, il n’a pas été inclus dans la commande finale d’assignation à comparaître qui oblige Cloudflare à divulguer les données des utilisateurs, comme indiqué ci-dessous.

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    Ces types d’assignations à comparaître DMCA ne sont pas rares. Le groupe anti-piratage ACE, par exemple, y a eu recours des dizaines de fois pour recueillir des renseignements sur des sites de piratage populaires. Cependant, c’est la première fois qu’un petit cinéaste indépendant cible des traqueurs privés aussi importants.

    La capacité de cette tentative de collecte d’informations à fournir des renseignements exploitables dépendra des efforts déployés par les opérateurs pour protéger leur identité. De manière générale, il s’agit d’une priorité absolue.

    Les documents juridiques n’expliquent pas ce que Schneider compte faire des informations reçues, et notre demande de précisions reste sans réponse. Au moment de la rédaction de ce document, tous les noms de domaine ciblés continuent d’utiliser les services proxy de Cloudflare.

    Source: https://torrentfreak.com/filmmaker-tries-to-unmask-private-torrent-tracker-owners-through-cloudflare/

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    Maintenant qu’il semble que Chrome restera dans le giron de Google , le navigateur connaît une renaissance grâce à Gemini. Google affirme que le navigateur connaîtra sa plus importante mise à jour dans les prochaines semaines, l’IA imprégnant chaque aspect de l’expérience. Pour les utilisateurs d’outils d’IA, certains de ces ajouts pourraient s’avérer utiles, et pour les autres, Firefox existe toujours.

    Le changement le plus marquant, que les abonnés à l’IA ont peut-être déjà remarqué, est l’ajout d’un bouton Gemini sur le navigateur de bureau. Ce bouton ouvre une fenêtre contextuelle permettant de poser des questions sur le contenu de vos onglets ouverts et d’en obtenir un résumé. Les téléphones Android intègrent déjà Gemini au niveau système pour effectuer des tâches similaires, mais Google indique que l’application Gemini pour iOS sera bientôt intégrée à Chrome pour les appareils Apple.

    Gemini ne se limite pas à votre onglet actuel. Google souhaite vous permettre d’interagir avec d’autres applications et onglets sans quitter l’écran actuel. Lorsque vous l’utilisez dans Chrome, Gemini peut gérer le contenu de tous vos onglets ouverts et est connecté à des produits Google comme Agenda et YouTube. Il peut également retrouver des liens dans votre historique à partir d’un souvenir vague.

    Le mode IA est également en passe de devenir le mode de recherche par défaut de Google sur le Web. La version mise à jour de Chrome permet désormais de lancer des recherches en mode IA depuis la barre omnibus. Un bouton suffit pour activer le mode IA, mais il serait assez facile de le remplacer par des recherches traditionnelles dans le navigateur. La barre omnibus bénéficiera également de la fonctionnalité « poser des questions sur cette page ». Chrome peut suggérer ces questions (en anglais uniquement pour l’instant) et afficher la réponse dans un panneau latéral. La réponse s’ouvrira naturellement avec un aperçu de l’IA, et vous pourrez poser des questions complémentaires en mode IA.

    Google affirme également utiliser l’IA pour renforcer la sécurité de Chrome. Les outils Gemini peuvent déjà identifier les arnaques courantes au support technique. Une version mise à jour de Gemini Nano sera déployée, étendant ces fonctionnalités de détection aux fausses alertes de virus et aux faux cadeaux publicitaires. Le gestionnaire de mots de passe de Chrome vous informe déjà des mots de passe compromis, mais grâce à sa refonte de l’IA, il peut également les modifier automatiquement en un clic. Cependant, il semble que cela puisse facilement mal tourner.

    Un avenir monétaire

    La plupart des nouvelles fonctionnalités d’IA du navigateur sont des éléments que nous avons déjà vus en test ou en accès anticipé, et elles seront pleinement déployées auprès des utilisateurs de Chrome dans les prochaines semaines. La prochaine innovation de Chrome prendra un peu plus de temps. Plus tard cette année, Google annonce l’ajout du contrôle bancaire à Chrome.

    Nous avons vu quelques-uns de ces « agents d’utilisation » l’année dernière, notamment Operator d’OpenAI et Claude d’Anthropic pour Chrome. Ces systèmes peuvent théoriquement contrôler le curseur de votre ordinateur pour effectuer des tâches à votre place. Google recommande de confier à l’agent Chrome des tâches fastidieuses ou répétitives, comme planifier une coupe de cheveux ou commander des courses. Il vous suffit de saisir votre requête et de la regarder s’exécuter (en quelque sorte). Voici une démonstration de Google.

    Voir l’article original pour la suite du délire: https://arstechnica.com/google/2025/09/google-announces-massive-expansion-of-ai-features-in-chrome/