La fondue, c’est suisse ou bien?
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Je ne sais pas si la fondue est d’origine Suisse, mais ce qui est sûr c’est que seuls les Suisses ont le bon fromage helvétique, font et apprécient une véritable fondue Suisse
Tout le reste est futile.
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@duJambon je n’en sait rien non plus, mais ce dont je suis sûr c’est quelle est généralement la mieux maîtrisée en Helvétie. c’était mon moment chauviniste.
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J’en ai jamais mangé, cela dit si on regarde bien nous avons tous des spécialités qui traversent les frontières, le but étant se savoir où, dans ce cas là, on peut trouver le meilleur fromage pour la meilleure fondue
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@Hinomura la vraie, l’unique!
https://madame.lefigaro.fr/recettes/fondue-moitie-moitie-060212-213927
https://vacherin-fribourgeois-aop.ch/fr/recettes/fondues/fondue-moitie-moitie/
pour les équivalences en fromages français, je l’essayerais bien celle-ci:
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@michmich je me la mets de côté pour cet hiver, j’espère que mon estomac supportera tout ce fromage , je pense que les gosses vont adorer par contre et avec le riesling je devrais être tranquille toute la nuit
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La lecture de ce topic m’a ouvert l’appétit !
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@Hinomura a dit dans La fondue, c’est suisse ou bien? :
avec le riesling
ça va couler tout seul, bon appétit, tu nous feras un retour, le truc fun, tu mouds un peu de poivre dans l’assiette, et tu y tournes ton carré de pain imbibé de fondue, tu enfournes en bouche, une petite gorgée de riesling et c’est la fête.
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Bonjour, mais vous n’y connaissez rien, la vrai, la bonne, celle d’origine, du pays des fromages, c’est la fondue Auvergnate: cantal, tome fraîche, Saint-nectaire, quelques cêpes, n’oubliez pas un peu de vin blanc et d’ail (rose de Billom), des pointes de pain grillé et vous ferez une bonne sieste, bon, j’y retourne…
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Et bien entendu celui qui perd son morceau de pain se voit infligé d’un gage
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@H-Barret ça finit généralement à poil dans le lac gelé.
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@tanjerine vive l’Auvergne, et le Saint-Nectaire.
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«En France, on fait bien mieux la fondue!»
Mondial à Tartegnin (VD - Suisse)
Avec plus de 10’000 visiteurs, le 4e Mondial de fondue a connu en cette mi-novembre un succès fracassant. Du côté des participants comme du public, on se rit des clichés dans une folle ambiance. Finalement, c’est une locale qui est devenue Championne du monde amatrice.
Vidéo (que de la bonne humeur): https://www.20min.ch/fr/video/mondial-a-tartegnin-vd-en-france-on-fait-bien-mieux-la-fondue-138645498430
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Le fromage « The Minger » pourrait être le plus odorant du monde, prévient son créateur
« Ça sent comme si quelque chose avait mal tourné, explique-t-il à Sky News. Les gens le mettent dans leur voiture, vont faire des courses pendant une demi-heure et ne veulent plus y retourner. Pour certaines personnes, c’est tout simplement trop, ça sent trop mauvais et elles ne veulent pas en avoir à la maison. »
Un fromage « brutal au nez » dont l’odeur « envahit la pièce en moins d’une demi-heure ». Le Roquefort et le Camembert n’ont qu’a bien se tenir : le fabricant de fromage Rory Stones a créé un monstre tout droit venu d’outre-manche.
Source et plus: https://www.huffingtonpost.fr/life/article/le-fromage-the-minger-pourrait-etre-le-plus-odorant-du-monde-previent-son-createur_226600.html
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Mieux vaut tard que jamais (c’était hier) Pourquoi certains détestent la raclette (voire le fromage tout court)
C’est la Journée mondiale de la raclette et pourtant tout le monde ne va pas célébrer ce mercredi à la gloire du fromage fondu. Pourquoi ? Parce qu’il existe des gens qui ne supportent pas le fromage. Quel qu’il soit. Loin de nous l’idée de les juger. Nous tairons ici les noms de membres de la rédaction de 20 Minutes concernés, mais sachez qu’il existe même des gens pour qui le fromage est synonyme d’enfer et de damnation. Ils sont tyrophobes.
« Entre l’odeur et l’aspect des fils du fromage fondu, c’est l’horreur », admet Pauline, 34 ans. Alors quand vient la saison de la raclette, que notre lectrice juge « de plus en plus longue », c’est un combat de tous les jours. « Notre communauté lutte pendant cette période très difficile, c’est un cauchemar », souffle celle qui a répondu à notre appel à témoignages.
« C’est une saison épouvantable »
Même si près d’un kilo de fromage à raclette est ingurgité en France par an et par personne, selon Les Echos, pour Pauline « c’est une saison épouvantable ». Et la trentenaire est loin d’être la seule à fuir les dîners entre amis pendant l’hiver. « Je déteste le fromage à raclette, à l’odeur je ne supporte pas et le goût du fromage fondu je ne peux pas », lâche Nat, 36 ans. « C’est un moment compliqué parce que les Français en font une obsession », abonde Maxime, 34 ans, particulièrement dégoûté par « le fromage fondu dégoulinant, l’odeur nauséabonde qui se dégage et la lubie de se réunir, finalement, autour d’un repas pas très sexy et gargantuesque durant lequel on se bourre le ventre ».
Le jeune parisien parvient tout de même à prendre sur lui pour ne plus rater ces soirées conviviales entre amis. Maxime a ainsi ses petites techniques pour survivre : ouvrir la fenêtre et manger de tout, sauf du fromage. Pour celui qui est « incapable de manger un bout de n’importe quel fromage », il y a deux communautés de Français bien distinctes : ceux qui adorent le fromage, tous les fromages, « un peu comme le bon vin » et ceux qui le détestent. Mais c’est donc compter sans nos tyrophobes, comme Karen : « ce n’est pas vraiment quelque chose qui m’est désagréable, mais j’ai une peur bleue du fromage. »
Le pire des fromages : le reblochon
« Le côté coulant, la texture, l’odeur. L’ensemble me terrifie au plus haut point. Je redoute plus particulièrement ceux avec du pourri (fourme d’Ambert, roquefort etc.) », poursuit notre internaute de 33 ans pour qui « l’emmental et la raclette fondue sont acceptables, une fois fondus correctement et sans croûte. » L’odeur du fromage fondu, si douce pour certains, est aussi le premier repoussoir de Pauline : « c’est infâme, ça sent la vieille chaussette trouée. » Le pire des fromages selon elle : le reblochon, « chaud comme froid ». Pour Maxime qui a le chèvre en horreur, c’est davantage le processus de fabrication du fromage qui le « dégoûte », « cette extension du lait en solide, la manière dont c’est fait, la transformation d’un produit brut par une technique d’affinage et de fermentation… »
Pauline est persuadée que ces détracteurs du fromage « sont bien plus nombreux qu’on ne le pense », et une étude vient mettre des chiffres sur ce ressenti. Quelque 6 % de personnes interrogées par des chercheurs du Centre de recherche en neurosciences de Lyon affirment avoir une aversion pour le fromage contre 2,7 % pour le poisson et 2,4 % concernant la charcuterie.
Un stimulus aversif
Pour le bien de cette étude scientifique publiée en 2016, des experts se sont en effet penchés sur cette curiosité culinaire : la haine du fromage. Ils ont observé sur 30 volontaires divisés en deux groupes égaux qu’une partie du cerveau qui réagi à la faim était « totalement inactive lors de la présentation d’une odeur et d’une image de fromage chez les personnes aversives », explique le site du CNRS.
Plus encore, il semblerait que les aires cérébrales de la récompense s’activent également chez les personnes qui détestent le fromage lorsqu’on leur en présente, mais en réponse à un stimulus aversif. Ainsi, cette étude permet de penser que « le circuit de la récompense peut aussi encoder le dégoût », conclut le CNRS. Texture, goût ou odeur, qu’importe d’où vient le dégoût il mène Pauline à l’aversion et lui rend, dans tous les cas, la raclette « insupportable ».
Bande d’immondes mangeurs de boules puantes !!!
Voir aussi: On a percé le mystère du câble de l’appareil à raclette qui est toujours trop court
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Si t’as l’occaz @duJambon, pour tout comprendre, il faudrait savoir pourquoi tous les témoins de 20minutes ont plus ou moins 35 ans. Y a t’il une cause ethnologique/sociologique ou n’est ce qu’un hasard?
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@Pluton9 Des jeunes stagiaires qui ne comptent plus les vieux comme vivants ?
Il ne doit plus y avoir beaucoup de vrais journalistes, pour autant qu’il y en ait eu dans un canard gratuit.
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Ce n’est pas Cnews @duJambon. Des fois, on espère qu’il y ait une certaine déontologie dans l’information.