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On parle de tout le reste

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    Surtout que statistiquement, on à plus de chance de mourrir en voiture à cause de nous meme qu’à cause de l’IA mais c’est trop pour le cerveau humain…

    https://planete-warez.net/topic/6751/waymo-prouve-que-son-ia-est-plus-sûre-que-les-conducteurs-humains

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    Prédire les crimes, et appréhender voire punir à l’avance les futurs meurtriers: c’est un sujet classique de la science-fiction, mais les progrès des algorythmes et des moyens de surveillance le rendent d’autant plus crédible. Malgré le risque, déjà démontré, de constituer des biais envers certaine populations. Un risque que n’a pas hésité à prendre le gouvernement britannique avec un projet pilote lancé en 2015.

    En 2002 sortait Minority Report, une adaptation de la nouvelle éponyme de Philip K. Dick mise en scène par Steven Spielberg. Un film de science-fiction décrivant un monde dans lequel les homicides n’existent plus car ils peuvent être prédits, et où une brigade spéciale de la police dirigée par Tom Cruise arrête en amont les futurs supposés meurtriers.

    Algorythmes et prédiction des meurtres

    Une dystopie qui ne parait plus si délirante, une vingtaine d’années plus tard, alors que les algorythmes et la suveillance généralisée sont devenus notre quotidien. Mais si c’est en Chine qui se cristallisaient ces inquiétudes, avec le système de “score social” mis en place dans le pays, l’Occident n’est certainement pas à l’abri des dérives. Selon The Guardian, le gouvernement britannique cherche activement à développer un véritable outil de prédiction des meurtres en identifiant les personnes susceptibles de les commettre.

    Selon le quotidien britannique, le programme était à l’origine baptisé “homicide prediction project”, avant d’être renommé en “sharing data to improve risk assessment”, et il reste assez opaque. Il a été révélé par Statewatch, un groupe de soutien aux liberté civiles et de promotion du journalisme d’investigation. Le projet collecterait les données de personnes connues des autorités. Car déjà condamnées, mais aussi, selon Statewatch, parce qu’elles ont elles-même été victimes, qu’elles ont témoigné à la police, ou qu’elles sont considérées comme “vulnérables” pour des raison de santé. Ces informations personnelles sont ensuite analysées par un algorythmes qui détermine qui est le plus susceptible de commettre un crime violent dans un futur indéterminé.

    Données de santé et profilage racial

    Les données partagées inclueraient les noms, dates de naissance, sexe et origine ethnique, ainsi qu’un numéro identifiant les individus dans le fichier informatique national de la police. Certaines personnes seraient considérées comme “à risque” en raison de détails supposés avoir un “fort pouvoir prédictif”, en général liés à leur état de santé de santé mentale, à des addictions ou à des vulnérabilités particulières, ou encore des antécédents suicidaires ou d’automutilations.

    “Les recherches ont montré à maintes reprises que les systèmes algorithmiques de ‘prédiction’ de la criminalité sont intrinsèquement défectueux”, insiste Sofia Lyall, chercheuse au sein de Statewatch. “Pourtant, le gouvernement poursuit ses efforts pour mettre au point des systèmes d’intelligence artificielle qui permettront de cataloguer des personnes comme criminelles avant même qu’elles n’aient fait quoi que ce soit.”

    Car l’affaire n’a rien d’une obscure expérience des services secrets qui serait allée trop loin. L’initiative a été lancée en 2015 par le gouvernement précédent du conservateur Rishi Sunak, et dépend d’une collaboration entre le ministère de la Justice et celui de l’Intérieur. Les données utilisées pour développer l’outil de prédiction proviennent de la police du Grand Manchester et de la police métropolitaine de Londres.

    Les données personnelles de 100 à 500.000 personnes auraient ainsi été partagées en tout discrétion pour “entrainer” une intelligence artificielle supposée capable de détecter de futurs criminels.
    Jusqu’à 500.000 personnes dans le registre

    “[Ce modèle] renforcera et amplifiera la discrimination structurelle qui sous-tend le système juridique pénal”, insiste Sofia Lyall. “Comme d’autres systèmes de ce type, il codera les préjugés à l’égard des communautés racialisées et à faibles revenus. Construire un outil automatisé pour profiler les gens comme des criminels violents est profondément répréhensible, et utiliser des données aussi sensibles sur la santé mentale, la toxicomanie et le handicap est extrêmement intrusif et alarmant.”

    De son côté, le gouvernement ne nie pas, mais tempère. “Ce projet est mené uniquement à des fins de recherche”, a déclaré un porte-parole du ministère de la Justice. “Il a été conçu à partir de données existantes détenues par les services pénitentiaires et de probation ainsi que par les forces de police concernant des délinquants condamnés, afin de mieux comprendre le risque que des personnes en probation commettent des actes de violence grave. Un rapport sera publié en temps voulu.”

    Un concept banni dans l’UE

    Le ministère élude au passage les accusations de collecte de données de personnes ayant eu un contact avec la police sans avoir été condamnées.

    On notera au passage que l’année dernière, l’Union européenne avait de son côté légiféré pour interdire précisément ce genre de pratique. Le règlement européen sur l’IA, approuvé par l’ensemble des pays-membres en août 2024, interdit formellement les systèmes de “scoring social” qui classent les citoyens en fonction de l’agrégation et de l’analyse de leurs données. Mais aussi de la police “prédictive” qui tenterait d’estimer la probabilité que quelqu’un commette un crime. Mais bien sûr, la réglementation européenne ne s’applique pas au Royaume-Uni.

    Source: https://www.7sur7.be/tech/le-gouvernement-britannique-accuse-de-mettre-au-point-un-systeme-secret-de-prediction-des-meurtres-par-ia~a5230397/

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    Des publicités incitant les Chinois à rejoindre l’armée russe circulent massivement sur les réseaux sociaux de l’Empire du Milieu, alors que Pékin nie prendre part au conflit.

    Des Chinois servent-ils dans l’armée russe? Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a jeté un pavé dans la mare ce mardi en affirmant que c’est visiblement le cas. Preuve en serait des deux mercenaires capturés par Kiev qui ne parlaient ni russe ni coréen et qui transportaient des passeports chinois. Des affirmations fermement niées par Pékin, qui tient à son statut officiel de pays neutre.

    Pourtant, il s’avère que dans l’Empire du Milieu circulent bel et bien des campagnes de recrutement pour rejoindre l’armée russe, notamment sur les réseaux sociaux, constate le journal britannique The Guardian.

    Des vidéos en russe ou en chinois, qui valorisent la virilité

    Ces campagnes prennent en l’occurence la forme de publicités russes sous-titrées en mandarin qui insistent souvent sur les valeurs de virilité pour séduire les jeunes garçons. L’une d’entre elles présente ainsi des personnes du quotidien (chauffeur de taxi, gardien de sécurité, coach sportif) devenir “de vrais hommes” en s’engageant sur le front. “Voulez-vous faire preuve de votre force? Est-ce la voie que vous souhaitez? Vous êtes un homme fort, soyez comme eux!”, clame la vidéo qui dure près de 45 secondes.

    Manifestement, il s’agit souvent d’une simple exportation de vidéos de recrutement qui existent déjà en Russie, les acteurs étant tous d’origine caucasienne et non asiatique. Mais parfois, la vidéo est réellement tournée en mandarin. C’est le cas d’une influenceuse russe bilingue qui s’adresse aux Chinois dans leur langue pour inciter à rejoindre l’armée russe.

    Attirer les volontaires avec de gros salaires

    Quoi qu’il en soit, le plus important n’est pas là. Car ce que ces publicités n’oublient pas de mettre en évidence, c’est la rémunération proposée. Cela va de 60 000 à 200 000 yuans (7.350 à 24.500 euros) à la signature puis 2.200 euros mensuels, cite The Guardian.

    De quoi séduire de nombreux Chinois, le salaire mensuel moyen en Chine étant, selon les autorités, de seulement 1.160 euros en milieu urbain, et encore moins élevé dans les immenses zones rurales du pays. Il faut de plus ajouter à cela d’autres avantages qui sont parfois proposés comme des allocations de logement et des soins médicaux.
    Pas de censure pour les pubs russes?

    Selon The Guardian, tous les internautes chinois ne sont pas séduits, les commentaires faisant régulièrement remarquer qu’ils ne veulent pas devenir de la “chair à canon”. Mais certains ne se montrent tout de même intéressés.

    Et même si Pékin n’approuve officiellement pas ces recrutements, ces publicités arrivent à se propager à grande échelle sur l’Internet chinois. Comme si l’implacable censure des autorités ne s’appliquait pas pour ces campagnes russes.

    Source: https://www.7sur7.be/monde/soyez-un-homme-fort-des-videos-incitent-les-chinois-a-rejoindre-larmee-russe~a2427117/

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    Un petit garçon de 2 ans a disparu dans des circonstances inconnues de son domicile de Blackman Township, dans le Michigan, le 5 avril. La police a déployé un hélicoptère équipé d’une caméra thermique, une technologie normalement utilisée pour traquer les criminels en fuite dans des conditions de faible visibilité.

    Voir la vidéo sur le site:

    https://www.7sur7.be/video/production/un-enfant-porte-disparu-retrouve-avec-une-camera-thermique-1315083

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    @duJambon Plus qu’à brancher le courant.

  • Savate : Finales élites A 2025

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    Ha la boxe française, ça me rappelle la jeunesse 😁

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    @duJambon Ouille la bourde, juste C c’est pour chimique, qu’est ce qu’on a pu rire avec ces conneries.

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    Prospective•Centrale nucléaire à l’arrêt, dégâts modérés, risque Seveso, arrêts cardiaques et ondes ressenties dans tout le pays… On a demandé à un sismologue ce que donnerait un tremblement de terre de magnitude équivalent à celui survenu en Birmanie

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    L’essentiel

    Un séisme de magnitude 7,7 a frappé la Birmanie ce vendredi, avec des secousses ressenties jusqu’en Thaïlande et en Chine. La France aussi est un pays à risques sismiques et de nombreux petits tremblements de terre sont régulièrement enregistrés. On a demandé à un sismologue quels dégâts seraient provoqués par un séisme équivalent à celui de la Birmanie s’il venait à se produire en France.

    Près de 150 morts et 800 blessés en Birmanie, selon un bilan encore très très provisoire (plus de 1000 morts ce matin), après le tremblement de terre de magnitude 7,7 survenu ce vendredi matin. Une catastrophe qui n’a pas d’équivalent en France, mais qui amène 20 Minutes à se poser la question des conséquences que subirait le pays si un tel événement venait à se produire.

    En gardant en mémoire le séisme de 1909 de magnitude 6,6, qui s’était produit en Provence et avait tué 47 personnes et détruit de nombreux villages dont un ne fut jamais reconstruit, 20 Minutes a demandé au sismologue du CNRS Christophe Voisin ce qu’il se produirait si un tremblement de terre de magnitude 7,7 frappait la France.

    Commençons peut-être avec une rapide explication de ce que signifie l’échelle de magnitude ?

    Actuellement les plus gros séismes jamais enregistrés sont de 9,6-9,5. Le dernier en date c’est le Japon, en 2011, qui avait provoqué le tsunami qu’on connaît. Il y a également eu Sumatra en 2004 et avant ça le Chili en 1964. Ce sont des très très gros tremblements de terre.

    La magnitude donne une estimation à la fois de la taille, du glissement et de l’énergie libérée. La magnitude de 7,7, ça fait un séisme qui va se développer sur une longueur d’environ 200 km, qui va casser la croûte terrestre sur une vingtaine de kilomètres et le glissement estimé pour l’heure est de 5 mètres au maximum, avec une moyenne d’1,5 mètre. Le tout en 80 secondes. C’est très brutal. Ça fait une vitesse de propagation de 2,5 km/s, soit 9,000 km/h, (un peu moins de huit fois la vitesse du son).

    Et qu’est-ce que ça donnerait en France ?

    D’abord, il faut comprendre que plus un séisme est puissant, plus les ondes qu’il propage sont de basses fréquences, ce qui impacte davantage les plus grands bâtiments et moins les petits. Car les bâtiments grands ont une fréquence de résonance qui est plutôt basse, qui dépend de son nombre d’étages.

    Et donc, il y a des cas malheureux ou les fréquences de résonance des bâtiments sont celles du tremblement de terre. Les petits séismes libèrent de l’énergie à haute fréquence, comme dans le cas du Teil, en Ardèche, en 2019, qui avec une faible magnitude, de l’ordre de 5,4, mais qui avait fait des dégâts considérables. Cela parce que la fréquence des ondes était plutôt haute et les bâtiments bas et surtout parce qu’il avait atteint la surface.

    Donc un gros séisme dans une zone aux bâtiments bas ferait peu de dégâts ?

    Une magnitude de 7,7 fait quand même 200 km, soit 1/5 de la France. L’impact sur le pays serait colossal. Tout le pays le ressentirait, c’est très clair. Si l’épicentre est une zone rurale, il n’y aura en effet pas trop de destructions. Mais si la rupture survient à proximité, admettons dans le sud de la France qui extrêmement peuplé et urbanisé, avec des bâtiments de toutes tailles, on aura des ondes de haute fréquence qui vont impacter tous les bâtiments, mais aussi des basses fréquences qui elles vont se propager sur de très grandes distances.

    Et donc on aura un problème : tous les hauts bâtiments vont se faire secouer. Après, ils sont bien construits et il n’y aura pas je pense trop de dégâts. Ils se feront secouer, oui, mais sans tomber comme on a pu le voir sur les immeubles avec les piscines sur le toit en Thaïlande dans des vidéos aujourd’hui.

    Aussi, nous avons des normes sismiques et une culture du risque sismique en France développées, notamment parce que nous avons des sites nucléaires. Les mises en sécurité des sites sensibles se calent sur un niveau d’accélération de 10 % de l’apesanteur, soit 0,1 g (soit une accélération de 3,5 km/h par seconde). En magnitude 7,7, je pense qu’on les dépasse. Les alarmes se seraient déclenchées et a minima un état des lieux et des inspections, avec des mises à l’arrêt des centrales, seraient nécessaires.

    Et niveau bilan humain ? Une vieille simulation du musée de sismologie qui étudiait en 1983 l’impact d’un séisme identique à celui de 1909 tablait sur 500 à 1.000 morts ? Cela vous semble-t-il raisonnable ?

    Il faudrait actualiser tout ça. Si ça reste un ordre de grandeur, autour de 1.000 décès, oui pourquoi pas. J’ai un chiffre en tête qui m’avait choqué : lors du tremblement de terre de Northridge, en Californie, en 1994, de magnitude 6,7, il y avait eu une cinquantaine de morts, et que des arrêts cardiaques de personnes fragilisées, âgées ou en surpoids. Je crois que cela est un impensé des simulations.

    Et puis, nous avons aussi les sites Seveso, dont pour certains on n’imagine pas très très bien l’impact d’un tremblement de terre.

    Quelle serait la magnitude maximum à laquelle on peut s’attendre en France ?

    On sait qu’en France, on a des tranchées qui vont faire des décalages d’un mètre, et en se basant sur la longueur de la faille, on imagine qu’on devrait atteindre une magnitude de 6,5. C’est probablement ce qu’on peut craindre de plus gros actuellement pour la France.

    Source: https://www.20minutes.fr/high-tech/sciences/4145918-20250328-impact-colossal-donnerait-seisme-magnitude-7-7-france

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    @duJambon a dit dans Quelle est la capacité de ChatGPT à planifier des vacances ? Test avec un séjour à Tallinn :

    k**g jong-un

    C’est moi ou tu viens de le monarchiser. :ahah:

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    La Russie peut toujours proposer, ce n’est pas demain la veille que Musk fera poser les pieds d’un humain sur le sol martien et vu comment le duo font chuter les bourses à chacune de leurs esclandres, leurs partenaires financiers finiront par aller voir ailleurs.

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  • L’Ecolo pour tous

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    @Pluton9 a dit dans L’Ecolo pour tous :

    Le problème, c’est Hervé Kempf

    Effectivement, y a de quoi s’interroger…:blase:

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    @duJambon le plus drôle est qu’il semble que ça soit les attaques dont il a fait les frais après la 1ère publication, qui l’ont amené à dévoiler le reste.

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    @duJambon a dit :

    @patricelg Merci, si je gagne, je disparais :lol:

    Bon ben t’es toujours là :lol:

    @Raccoon a dit :

    Vu que ces tirages suivent des lois de proba aucune IA ne pourra aider à décrocher le jackpot.

    Je confirme 😉

  • Le sommet SOS Océan

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    @Kom a dit dans Le sommet SOS Océan :

    Et qui sont les vrais coupables ? Oh, pas vous, pas moi

    Si si, vous, moi, tout le monde. Déjà, personnellement, je fais un acte qui pourrait avoir un impact si tout les majeurs le faisaient, je vote… Là, le politique n’a pas peur puisque la plèbe hurle que le politique l’enfile à sec, alors que pour la majorité qui dorénavant ne vote plus, par désintérêt, elle s’enfile elle-même ses doigts dans l’cul.

    Celui qui me dit “je ne vote, ça ne sert à rien”, je lui offre un gourdin avec vaseline… à force, il va se dilater!

    Au lieu de parler “Révolution”, commencez donc par agir dans ce monde ci.

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    La Chine a développé un appareil permettant de couper les câbles de communication en haute mer. Le dispositif a été mis au point par un centre de recherche scientifique maritime et un institut s’occupant de navires sous-marins habités ou non, rapporte entre autres le journal anglophone South China Morning Post (SCMP).

    L’appareil pourrait mettre hors service des câbles de communication hautement sécurisés jusqu’à une profondeur de quatre kilomètres. C’est-à-dire la quasi-totalité des câbles existants dans les fonds marins.

    L’outil a été initialement conçu pour le renflouage ou l’exploitation minière au fond de la mer, mais il peut être utilisé pour couper toutes sortes de câbles. Selon le SCMP, c’est la première fois qu’un pays déclare ouvertement qu’il a développé cet équipement. Le coupe-câble peut être déployé à l’aide de sous-marins avec ou sans équipage.

    L’utilisation d’un tel coupe-câble pourrait “déstabiliser les communications mondiales lors d’une crise géopolitique”. À titre d’exemple, le journal cite les câbles autour de “nœuds stratégiques tels que l’île américaine de Guam” dans l’océan Pacifique.

    Source: https://www.7sur7.be/monde/la-chine-a-developpe-un-appareil-capable-de-couper-les-cables-sous-marins-en-haute-mer~a6fa4da6/

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    elle a des couilles la gonzesse, respect total !

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    Le scénario d’horreur, engendré par une solution Cloud totalement externalisée, pourrait bien consister en un gel de l’ensemble du fonctionnement opérationnel des principales Institutions de l’UE, qui sont en tout état de cause totalement dépendantes du fonctionnement des applications informatiques : une fois que leurs systèmes informatiques sous-traités puissent simplement être mis à l’arrêt par ordre présidentiel direct venant de Washington.

    3. RISQUES STRATÉGIQUE PAR LE CLOUD INFORMATIQUE

    le 23 janvier, le Président de la SFPE-SEPS a adressé une demande administrative à la Président de la Commission européenne, pour mettre en exergue les substantiels risques opérationnels exposant les Institutions et Organes de l’Union européenne découlant du choix politique de faire migrer l’ensemble des systèmes institutionnels vers une technologie Cloud qui est sans précédent.

    Cette demande visait à obtenir, respectivement, l’arrêt total de la migration déjà en cours vers le ServiceNow selon des Solutions Cloud confiées à des sous-traitants privés ; et, de ne plus sous-diviser les groupes ciblés par des outils de communication communs.

    Pour rappel, le concept du Cloud n’est pas abstrait, mais il consiste en l’hébergement à distance de données clés, sur des géants serveurs opérés à l’extérieur. Dans le cas de la Commission européenne, il apparais que les Solutions Cloud ont été confiés à la Microsoft Corporation et à la ServiceNow Corporation, ce qui sont des compagnies légalement basées au États Unis, ainsi toutes assujetties aux lois fédérales américaines.

    Ce sont deux compagnies distinctes qui se sont étroitement réunies dans une alliance stratégique, ce qui signifie que les clients choisissant des solutions software de ServiceNow sont automatiquement des clients de Microsoft hardware, et vice-versa.

    Des énormes changements au sommet politique des États Unis se trament. Il y a à peine un an, personne ne se serait attendu à la mise en cause de la souveraineté du Canal de Panama ou celle du Groenland. A ce jour, nous sommes témoins d’un tout nouveau jeu.

    Lorsque les plus hautes autorités fédérales des États Unis devraient décider d’arrêter totalement les activités informa-tiques au sein des Institutions de l’Union européenne, en éteignant physiquement les serveurs et les applications Cloud gérés par Microsoft, ils auraient les moyens de le faire, en contraignant la compagnie de respecter la loi des USA.

    Il est encore toujours possible de lever ce danger en mettant en route un Cloud local, qui est exdusivement géré par du personnel interne à l’UE, sous des contrats permanents, tel que cela s’est avéré possible pendant les demiers 60 ans au Centre de Calcul de la Commission au Luxembourg. La sous-traitance de systèmes informatiques vers de parties privées étrangères à l’Union n’est pas vraiment une solution optimale. La pleine conscience de ce problème est déjà surgie en Suisse. En 2024, les autorités fédérales suisses ont obtenu de leur parlement national l’autorisation d’engager la somme de quelque € 318 Million au développement d’un Cloud spécifique suisse, pour héberger et gérer toute l’information commune gouvemementale, d’une manière domestique et bien contrôlée. Dans un premier temps pour les ministères à Bern, ensuite extension vers les cantons et les municipalités. L’Union européenne pourrait en tirer exemple, et toujours encore changer le cap de son chemin actuel, droit vers le désastre.

    En ce moment, il n’est pas encore généralement connu que le familier MylntraComm va disparaitre dans sa totalité, dans le courant de 2025, pour être remplacé par un flambant neuf outil de communication selon l’architecture de ServiceNow. Ce nouvel outil de communication centrale s’appellera “Intranet”, dont l’accès au contenu sera limité au seul personnel en activité au sein de la Commission européenne.

    Il en résulte, que les utilisateurs aux autres Institutions, Organes et Agences de l’UE ne sont plus tenu au courant de l’information Générale et non-confidentielle, et que ses personnels ne seront autorisés qu’à recevoir des échantillons d’information présélectionnée, qui a été considérée, d’une manière très paternaliste, de digne “pour leurs yeux”. l’information disponible dans l’actuelle déjà tronquée et mi-cuite MylntraComm pour Retraités sera ainsi réduite davantage, et de manière drastique.

    Cependant, il n’y a aucune raison justifiant la rétention de parties dInformations générales disponible sur les grieurs institutionnels aux pensionnés intéressés. Honnêtement, le contenu riche de MylntraComm n’englobe pas la moindre secret institutionnel secrets, pour lesquels la dissémination des parties non-identifiées à l’extérieur, pourrait consister en quelconque risque, du tout. Le personnel retraité fait partie, tel que personnel actif, du vraiment la meilleure bande que vous pouvez trouver partout. Un minimum de respect par les services adminis-tratifs de discrétion ne serait vraiment pas du luxe. M. Durao Barroso s’écriait jadis que la Commission européenne est “Presque la meilleure administration du Monde.” Il avait raison, et c’est toujours le cas. Ses paroles motivantes rendaient fiers d’en faire partie.

    Les Institutions de l’UE sont de plus en plus dépendantes de contributions volontaires fournis par de l’ancien personnel. La DG HR reste discrète sur les nombres exacts, mais un chiffre non-confirmé de 1.053 Active Seniors recensés partout dans l’Institution circule, ce qui est sans compter les milliers d’autres, comme moi, qui sont volontaires à donner informellement un coup de mains …

    Cela couvre du support par beaucoup de ressources non-payées, tel que l’assistance (AIACE), la préparation aux séminaires à la retraite, Ilnformation sur des assurances maladie, le dialogue social, les membres aux jurys de concours EPSO, des taches de conseil dans toutes les Directions générales et Services, et, sans ne l’oublier du tout, être des véritables ambassadeurs pour l’Union européenne dans le monde extérieur.

    Comment peut-on crédiblement imaginer que tous ces volontaires puissent fournir leur contributions utiles et effectives, sans disposer du plein accès à l’information inteme pertinente (bien accessible au personnel en activité), étant ainsi privé des informations essentielles de tout ce qui se passe à l’intérieur de l’Institution ? Quel est le bien fondé de saper les capacités potentielles toujours existantes auprès de tant de personnes dévouées qui ne cessent que de servir l’Institution de manière productive, au-delà de leur retraite formelle du service actif ? Ça ne fait aucun sens !

    Dans ce vaste contexte, les 9 mesures suivantes ont été demandées à la Commission :

    Arrêt immédiat au développement et à la mise en route de toute application informatique assujettie à l’hébergement externe de données internes, par la migration vers des sous-traitants qui ne relèvent pas de la propriété exclusive de compagnies ou instances établis au sein de l’Union européenne.

    Réversion des données communes et des applications informatiques déjà migrées, y compris celles détenues par des Directions générales et Services individuels, en réactivant temporairement la technologie exploitée aux alentours de l’an 2020.

    Abandon total du déploiement désespéré de la totalité de l’architecture ServiceNow et des applications SharePoint, qui ont comme objectif d’assurer la future communication interne avec le personnel actif et avec les retraités.

    Implication des représentants des Associations de personnel à la retraite, dès la phase de concept de nouveaux développements informatiques d’intérêt commun.

    Maintien de rentière opérabilité du toujours existent Centre de Calcul de la Commission au Luxembourg, et investir dans la qualité de ses actuelles ressources, and si nécessaire augmenter le nombre de personnel actif et à temps plein.

    Mise à fin aux efforts persistants d’exdure le personnel retraité de l’accès sans restriction à l’ensemble des informations internes communes, sans devoir y accéder via en recourant aux réseaux sociaux ou via Google. Abandon pour toujours de la logique de MyintraCornm Retired, qui s’est avéré onéreuse dans la gestion, sans offrir de la valeur ajoutée aux Institutions : un seul MylntraComm pour tous !

    Le même s’applique quant aux accès non-restreints du personnel relevant des autres Institutions, Organes et Agences de l’UE. L’approche complémentaire de mettre des cloisonnements entre les distinctes DG et Services (concernant le personnel en activité) doit être abandonné même avant encore d’y commencer, pour du bon.

    Assurer la disponibilité ininterrompue des adresses de courriel uniques à l’ensemble du personnel post-actif à savoir celles initialement octroyées aux personnels en activité. Ces adresses ne devraient même pas apparaître au monde extérieur, quelles que soit les Institutions dont proviennent ces détenteurs ou quil soit à la retraite ou consultants.

    Application, en analogie, d’un numéro de personnel à vie pour tout le personnel, qui est indépendant de leur position administrative (actif, retraité, en congé, ou autre), et qui ne change plus automatiquement au moment méme de leur départ du Service. Restauration de la logique du vieux NUP … et ainsi beaucoup économiser sur la gestion des utilisateurs.

    SFPE | SEPS • BULLETIN MARS 2025

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    Enfin de l’écologie de fond et non de forme, pardon pour ce jeu de mot un peu foireux mais pas dénué de bon sens.