[Topic Unique] Quelle musique écoutez-vous ?
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Petit live des Dropkick Murphys qui est un groupe de punk celtique américain, originaire de Quincy, à côté de South Boston, dans le Massachusetts.
C’est vraiment très sympa, un groupe que j’apprécie beaucoup ^^ Ils ont même fait des première partie de Bruce Springsteen
Pour ceux qui ne connaissent pas ^^
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Allez hop c’est toujours d’actualités malheureusement
– Manu dans l’cul
financières financent les médias
médias font élire le politique
et le politique encule son peuplehey Manu rent’ chez toi et remballe tes cent balles
t’as mal compris je crois sur la place de l’Étoile
les mots qu’j’avais tagués oui comme un idéal
allez chiale pas Manu ça t’a coûté que dalle– Camarade président
Quand ils t’ont bien baisé, quand nos gouvernements
Ne sont ici que pour protéger les puissants
Tu la sens, la pilule a le goût du cyanure
Quand on attend de ceux-là qui poussent un ballon
De porter le drapeau, de porter la nation
Quand on laisse parler ceux qui savent pas lire
Quand le peuple a besoin d’un Iphone pour écrire
Quand la littérature vaut moins que débilla
Quand le goût du cyanure, ouais c’est la fin du mois
Enter peuple lecteur et peuple follower
Si la France a choisi, putain j’ai mal au cœur
Camarade président des tentes pour sans-abris
Des actionnaires du monde, des cimetières à crédit
Camarade président de la finance ordure
Des usines fermées, sûr pour des pourritures
Camarade président des tours de la misère
Dis t’as vu les loyers de la France populaire
Camarade président du pétrole à la pompe
Des comptes à l’étranger, des actions qui montent
Camarade président des gamins fusillés
Camarade président des milices à Calais
Camarade président du peuple fatigué
Camarade président de se faire enculer
Camarade président du peuple de sans dents
A la solde du MEDEF, des kapos, des p’tits chefs
Camarade président du peuple impôt facture
Non me dis pas que ça va pour la sécu c’est sûr
Camarade président 5 millions de chômeurs
Camarade président, tu crois pas qu’il est l’heure
Camarade président, ouais camarade twitter
De changer quelque chose à la France qui meurt
Camarade président putain ça va péter
Camarade président ta bourse va cramer
Camarade président du démocrate progrès
Qui veut qu’on aille vote, sûr en bouchant son nez
Pour le prof tabassé, pour la pornocratie
Pour l’esclave salarié par la mort à crédit
Pour le peuple échoué sous les tentes à Paris
Pour l’accent circonflexe, les chapeaux sur les i
C’est la lutte et je crois, mes amis, mes frangins
Qu’il est l’heure de brandir le drapeau de l’humain
Qu’il est l’heure, cœur serré, de sauver la récolte
Qu’il est l’heure, poing levé, de sonner la révolte
– EDIT
– J’ajoute Lettre à politique (inédit car n’existe qu’en live) + Marianne + Peuple manifestant
Vous ne comprenez rien à rien.
Vous êtes la chienlit de ce pays.
L’horreur de l’homme s’est incarnée en vous.
Depuis une moitié de siècle que vous nous mentez, vous manigancez, vous assassinez.
Vous êtes la honte de mon pays.
La honte à la solde des plus puissants, à la solde de nos réels dirigeants, les maîtres des actions et du pognon.
Vous avez laissé pour compte tous vos enfants, de nos quartiers populaires ou de nos classes moyennes
Vous nous avez roulé dans la suie.
Vous avez piétiné votre propre drapeau comme on marche sur des fleurs.
Vous êtes devenus les marionnettes d’une Real-TV politique qui ne fait que baver et puis gaver la populace de ce théâtre pathétique mis en scène par la dictature médiatique.
Vous avez laissé le pouvoir du peuple aux mains de ces marionnettistes qui vous font tourner la tête où le vent souffle.
Vous entretenez le racisme des classes, vous entretenez le racisme des races.
Pour vous les noirs ne sont bons qu’à danser, les arabes bons qu’à terroriser et puis les blancs bons qu’à raquer.
Bravo vous avez réussi. Le racisme n’a jamais été aussi grand dans ce triste monde.
Vous avez rendu gratuite notre culture pour vendre des téléphones.
Vous avez laissé la culture devenir la pute de fournisseurs d’accès.
Vous avez fait de l’art un produit dérivé pour vendre des couches-culottes.
Vous avez laissé faire le viol de notre culture, des arts ou bien des tomates.
Tout ça n’est bon qu’à enrichir l’intermédiaire puis votre grand-grand-maître l’actionnaire.
Vous envoyez des matraques pour lutter contre des manifs d’ouvriers
Vous écrivez en anglais sur la Tour Eiffel et vous parlez d’identité.
Vous ne savez plus ni écrire ni parler la langue de votre pays.
Vous bafouez l’origine de la France, vous amputez son orthographe, vous ne votez aucune loi en phase avec les modernes que vous nous vendez.
Vous laissez l’impunité des Start-Up devenues Internet-réalité, la société vire à la dictature des violences et vous ne votez rien que l’immobilisme, toujours plus paralysant de notre société.
Vous n’êtes devenus qu’un trésorier qui rackette son petit peuple.
Vous n’êtes descendants de personne.
Vous êtes juste descendants d’émissions de télé pour atrophiés du cerveau.
Vous n’êtes plus qu’un compte Tweeter.
Pour vous un présentateur télé vaut plus qu’un éducateur, un Tweet est plus important qu’une lettre d’un ancien combattant.
Vous êtes la corruption incarnée qui prêche l’impôt pour payer vos femmes et vos enfants « A ta santé Filllon ! ».
Le sentiment patriote pour vous c’est apprendre à trahir son pays.
Vous êtes la maladie qui fait raquer le médicament.
Vous êtes la moisissure sur l’arbre démocratie.
Vous êtes l’infiniment nocif des pathologies chroniques.
Vous êtes pourquoi des peuples par milliers sous des tentes et meurent de froid chaque hiver.
Vous n’avez que le mot démocratie à la bouche, quand vous n’incarnez que le crachat sur son étendard.
Vous êtes médiocratie.
Vous êtes pornocratie.
Vous êtes les pions de ceux qui parient sur les dettes de vos pays voisins de vos pays frères.
Vous êtes tristes esclaves de vos pourritures d’amitiés financières « A ta santé Ma&cron! « A ta santé Bolloré ! »…
Vous êtes des comptes en Suisse ou Panama.
Vous parlez de combat quand vous ne savez que fuir.
Vous parlez de victoire quand vous puez la défaite.
Vous parlez d’union quand vous n’êtes qu’ambition individuelle.
Vous êtes la fin des idéaux.
Vous êtes la cause des montées des fascismes.
Vous êtes la cause des peuples suicide, agriculteurs, profs, chômeurs.
Vous n’êtes plus rien que les porte-valises des maîtres de la bourses.
Vous êtes drapeau des Tartuffières.
Vous êtes faiseurs de soufrière, qui bientôt prendront feu.
Vous aurez sur les mains le sang de la mort de la démocratie un jour, au profit de l’esclavagisme de l’Homme par le cours des actions.
Démocratie a enfanté du pire.
Que continue le fascisme anonyme de la grande toile boursière.
Que continue la fange satellitaire.
Que continuent les flux d’argent.
Que continuent les guerres.
Que continue l’enfant, sous les bombardements.
Que continue la mort, de la classe populaire.
Que continue chimique qui vient violer ta terre.
Bien triste politiques marionnettes aux pantalons baissésLe financier encule les compagnies. Les compagnies enculent les pays. Les compagnies financent les médias. les médias font élire le politique.
Et le politique encule son peuple !– Peuple manifestant
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Bonne nuit
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salutation , un bon vieux morceau de Trust
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Pigalle - François Hadji-Lazaro
Dans la salle du bar-tabac de la rue des Martyrs -
Une superbe voix pour un superbe texte, toujours d’actualité.
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Leonard Cohen - The Partisan
Quelle voix ! -
Starmania (1978)
De Michel Berger et Luc Plamondon -
Joan Baez - Le déserteur
Paris 1980 -
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Ce message a été supprimé !
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Voilà ce que je voulais partager avec vous :
Vous souhaitant un agréable fin de week-end !!
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C’est le bon timing camarade
“Un jour j’irai brûler la bourse ami un premier mai”
Saez : Premier mai
J’ai rêvé d’un pays mon frère, un pays qui n’aurait
De lois oui que le solidaire oui de se partager
Un horizon pour l’éphémère, pour une éternité
Nous serons la lutteS’il faut faire du peuple béton des peuples de muguet
Crâmer leur pognon pour en faire un feu pour réchauffer
Le sans-abri quand vient l’hiver, le cœur du sans-papier
Nous serons la lutteToujours aux manifestations, ami, le premier mai
Pour dessiner un horizon, pour nos humanités
Toujours le cœur contre le front, ouais lâche-moi ton briquet
Toujours le cœur contre le front, moi j’ai le poing levéSur les réseaux, la fachosphère vient toujours gangrèner
Le cœur de mes humanitaires, envies de tout casser
Contre les barbares de la Terre, ami faut pas lâcher
Nous serons la lutteContre les croix des religions, les enfers du progrès
Contre les maquerelles du pognon, contre les croix gammées
Ami s’il faut planter des fleurs ou lancer des pavés
Nous serons la lutteEntre les trous noirs et les guerres, nos univers écartelés
Entre nos salaires de misère et l’odeur des charniers
Si c’est toujours, toi populaire, contre la société
Nous serons la lutteContre les marchands du malheur, des bonheurs bon marché
Les réseaux d’amputés du cœur, violeurs d’humanité
L’oiseau liberté dans la toile, le peuple est prisonnier
Nous serons la lutteUn jour j’irai brûler la bourse, ami, un premier Mai
S’il faut crâmer la financière, ouais lâche moi ton briquet
Ouais pour aller pisser nos bières sur la gueule du banquier
Si l’horizon, c’est la galère, ouais pour l’éternité
Un jour j’irai brûler la bourse, ami, un premier Mai
Ami si pour sauver la Terre, faut pendre le banquierAvec toi le peuple des tours, toi peuple des forêts
Avec le peuple enfant des plaines ou celui des quartiers
Avec tous les peuples printemps, les peuples d’écoliers
Avec le peuple camarade quand vient le premier Mai
S’il faut monter la résistance contre les enculés
Ami, s’il faut sauver la France, s’il faut la libérer
Des sourires des politicards, des sourires de banquiers
S’il faut garder le cœur anar, garder le point serré
Un jour j’irai brûler la bourse, ouais lâche-moi ton briquet
Avec les potes manifestants, s’il faut la lutte armée
Ami, s’il faut refaire la Terre, s’il faut l’imaginer
Un peu comme une égalitaire, oui fleur d’humanité
Pour faire des jardins de nos cœurs, des amours en bouquet
Dans les yeux du peuple labeur, un rêve, une liberté
Dans les yeux du peuple labeur, un rêve, une liberté -
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Un moment rare…
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Sympa
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Un peu de Flamenco pour commencer cette journée de dimanche, un peu de chaleur après les Saints de Glace.
Vicente Amigo me fait rêver avec cet album (2000): “Ciudad de las Ideas”
Et notamment cette chanson ma préférée de l’album: “Tres Notas Para Decir Te Quiero”. En espérant que cela vous plaise!!
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