On ne se moque pas de ces choses là.
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L’air de rien, le départ d’Attal, Macron va s’en souvenir!
(Article du Canard Enchainé 11/09/24)
Avant de passer, non sans regrets, les clés de Matignon à Michel Barnier, Gabriel Attal a pris une ultime décision: le renouvellement de l’agrément à l’association anticorruption Anticor. Un coup de pied de l’âne à Emmanuel Macron, qui, en découvrant cette décision, a “piqué une énorme colère”, selon plusieurs proches. Sa consigne, qu’Elisabeth Borne avait d’ailleurs suivie à la lettre, était pourtant claire: prendre son temps, reculer les échéances malgré les injonctions administratives.
Macron l’a mauvaise depuis qu’Anticor a obtenu la mise en examen d’Alexis Kohler pour prise illégale d’intérêts. Le secrétaire général de l’Elysée a été blanchi depuis, mais le ressentiment du Président s’était manifesté lors d’un " Complément d’enquête", sur France 2, consacré à l’affaire: "Demain, je peux vous faire une procédure. Anticor, ils ne font que ça. Et, les procédures, ils les font durer, durer, durer. Même si les gens, à la fin, ne sont pas condamnés, vous les foutez en l’air. "
Un avis que ne partage donc pas Attal. “En désobéissant, précise l’un de ses amis, Gabriel a non seulement voulu prendre ses distances avec Macron, mais il a aussi adressé un petit signe à la gauche.”
De son côté, Macron avait pris soin d’écarter celui qui était encore son Premier ministre des longues concertations qu’il avait menées pour lui trouver un successeur. “Attal a un rapport étroit avec les journalistes, et je ne voulais pas que ça fuite”, s’est-il épanché devant quelques proches. La confiance règne… Surtout, a poursuivi le Président, “il a critiqué la dissolution, il s’est fait élire à la tête du groupe alors que j’étais pour le maintien de Maillard jusqu’à la rentrée. Maintenant, il veut le parti, mais il n’est pas sain qu’un homme cumule tout, le parti et le groupe”. Résultat: Macron soutient en sous-main la candidature d’Elisabeth Borne à la direction de Renaissance. La cohabitation avec Attal s’annonce au moins aussi compliquée qu’avec Barnier… -
Quand les constructeurs s’acharnent à vous faire acheter leurs produits jusqu’à la fin du monde
Nissan est en train de développer une peinture qui abaisse la température de la carrosserie et de l’habitacle des voitures quand le thermomètre s’affole. Elle vient d’être testée avec succès au Japon.
Face au réchauffement climatique, les industriels rivalisent d’imagination. Dans le bâtiment, les toits peints en blanc («cool roof») sont en vogue. Dans l’automobile, c’est aussi la peinture qui a suscité l’attention de Nissan. Le constructeur japonais a expérimenté un revêtement destiné à faire baisser la température dans les habitacles des voitures par fortes chaleurs.
Lors des premières expérimentations, menées sur un véhicule de service de l’aéroport international de Tokyo-Haneda, la baisse a atteint 12 degrés sur la carrosserie et 5 degrés à l’intérieur comparé à un véhicule classique. Signe qu’il ne s’agissait pas d’un simple test, Nissan a prévu, avec ses partenaires, une étude de faisabilité s’étalant sur douze mois. Si le confort des passagers est en jeu, l’innovation pourrait aussi permettre de réduire la consommation d’énergie en faisant baisser l’usage de la climatisation et de facto celle du moteur et de la batterie.
Des particules qui réagissent à la lumière
Nissan a collaboré avec l’entreprise spécialisée Radi-Cool, basée en Malaisie. Dans la peinture, un métamatériau (un matériau composite non naturel) intègre des particules microstructurées réagissant à la lumière. La première particule réfléchit les rayons proches de l’infrarouge de la lumière du soleil. Ces rayons peuvent engendrer des vibrations dans la résine de la peinture traditionnelle et, de fait, produire de la chaleur.
La deuxième particule «crée des ondes électromagnétiques qui s’opposent aux rayons du soleil, redirigeant l’énergie du véhicule vers l’atmosphère», explique le constructeur, qui indique que les particules de sa nouvelle peinture limitent le transfert de chaleur vers les panneaux de carrosserie, les portes, le capot ou le toit.
Le projet a été engagé en 2021, avec plus de 100 échantillons testés. Le revêtement actuellement testé à une épaisseur de 120 microns, soit près de six fois plus que la peinture automobile classique. «Mon rêve est de créer des voitures plus fraîches sans consommer d’énergie. C’est particulièrement important à l’ère des véhicules électriques, où la charge liée au fonctionnement de la climatisation en été peut avoir un impact considérable sur l’état de charge», explique Susumu Miura, manager au laboratoire des matériaux de Nissan. L’ingénieur envisage maintenant de décliner cette peinture magique sur plusieurs types de véhicules, avec des couleurs autres que le blanc.
Ne vous leurrez pas, la chaleur ira moins sous la peinture, mais elle ira toujours quelque part, préparez-vous déjà à repeindre votre maison si vous voulez survivre.
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@duJambon Deux chars Abrams et il est réglé le problème!
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@michmich Vote Trump alors mais il voudra rentabiliser ses chars à d’autres choses, plus ou moins aléatoires.
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@duJambon trop à gauche
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@duJambon J’aime pas grand chose chez Trump, sauf ce côté “aléatoir” totalement hors sol.
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Les USA sont en pleine décadence, s’il y a encore besoin de preuve:
Les fans de Trump propagent un débat sur les boucles d’oreilles avec microphone
Après la performance incohérente de Donald Trump lors du débat présidentiel, au cours duquel il a crié sur les gens (immigrés dans la version non édulcorée) qui mangeaient des animaux domestiques, ses fans se sont concentrés sur les boucles d’oreilles de Kamala Harris.
Le sort du monde se partage entre deux guignols. Mais la France ne va pas beaucoup mieux
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De CatéGPT à la statue de Jésus animée par IA, les Eglises sautent dans le bain de l’intelligence artificielle
ARTICLE À ÉCOUTER. Le milieu ecclésial romand n’a pas attendu pour se mettre à ChatGPT, de nombreuses initiatives émergeant tant du côté catholique que protestant. Une soirée de réflexion est organisée ce 12 septembre autour de ces pratiques
«Peut-on être chrétien et regarder des films pornos?», «Qu’y a-t-il après la mort?», ou encore: «Que dit la Bible des mariages mixtes?» Telles sont les questions que peuvent désormais poser, dans le plus grand anonymat, les internautes romands en quête de réponses bibliques. En effet, tant du côté catholique que protestant, des initiatives personnelles ont émergé, ces derniers mois, afin de mettre sur pied des robots conversationnels (chatbots) sur la base de contenus théologiques.
Ecoutez cet article lu par notre journaliste Célia Héron: https://www.letemps.ch/societe/de-categpt-a-la-statue-de-jesus-animee-par-ia-comment-les-eglises-sautent-dans-le-bain-de-l-intelligence-artificielle
ChatGPT vas en devenir zinzin
Et bonne chance pour remplacer les imams: Peut-ôn se gratter la couille droite avec la main gauche le samedi ?
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El Mordjene, la pâte à tartiner algérienne qui concurrence Nutella en France
C’est bon comme là-bas ! saupiquet
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C’est déjà Noël:
Melun : Alors que des policiers posent des portes anti-squat, des sacs de drogues sont jetés d’une fenêtre de l’immeuble
Un homme de 23 ans, domicilié à Livry-sur-Seine, a été interpellé ce dimanche 8 septembre au 9 rue Claude-Bernard, à Melun. Connu pour être un lieu fréquenté par les trafiquants de drogue, cet immeuble a une nouvelle fois fait parler de lui après une intervention inattendue des forces de l’ordre.
Une intervention pour sécuriser les lieux vire à la saisie de drogueLes policiers étaient initialement présents pour installer des portes Sitex à l’entrée des logements vides, un dispositif destiné à empêcher les squatteurs de s’y installer. Comme le relate Actu.fr, leur intervention a pris une autre tournure lorsqu’ils ont intercepté des sacs jetés par la fenêtre. À l’intérieur, ils ont découvert 1,67 kilos de résine de cannabis, 238 grammes d’herbe et 7 grammes de cocaïne.
Rapidement, les forces de l’ordre sont montées jusqu’au 5e étage de l’immeuble, où elles ont fait face à une barricade dressée par les occupants pour empêcher leur entrée. De plus, une porte avait été remplacée sans l’accord du bailleur social, Habitat 77, ce qui a encore compliqué la situation.
Un homme aux explications peu convaincantesÀ l’intérieur du logement, un homme de 23 ans a été découvert. Lors de son interpellation, il a prétendu être venu utiliser les toilettes, une explication que les policiers ont jugée peu crédible compte tenu des circonstances. Le suspect, considéré comme le dealer présumé, a été immédiatement placé en garde à vue.
Détention provisoire en attendant le jugementPrésenté au parquet de Melun le dimanche 8 septembre, le jeune homme a été placé en détention provisoire. Il sera jugé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Melun ce lundi, où il devra répondre des faits qui lui sont reprochés.
La rue Claude-Bernard reste tristement célèbre pour être un point névralgique du trafic de drogue à Melun, et cette nouvelle arrestation ne fait que confirmer son statut comme zone de vigilance pour les forces de l’ordre.
Et en plus, on vous donne les bonnes adresses (à vos risques et périls).
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Complotistes, à vos claviers (mais pas ici):
Un radar chinois repère des bulles de plasma au-dessus des pyramides de Gizeh
Source: https://www.iflscience.com/chinese-radar-spots-plasma-bubbles-over-the-pyramids-of-giza-75896
C’est surement parce qu’elles ont l’électricité…
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Nouvelle-Calédonie : Des CRS rapatriés pour des cas de chaude-pisse
Selon une enquête menée par Le Canard enchaîné et publiée ce mercredi, plusieurs dizaines de membres des Compagnies Républicaines de Sécurité (CRS), déployés en Nouvelle-Calédonie, auraient été rapatriés en métropole après avoir contracté la gonorrhée.
Cette infection sexuellement transmissible (IST), aussi communément appelée « chaude-pisse », aurait été contractée dans un établissement nocturne « hot » situé à proximité de leur hôtel à Nouméa.
Alerte dans l’hôtelD’après les informations relayées par l’hebdomadaire, l’afflux de visiteuses nocturnes dans cet hôtel aurait poussé la direction de l’établissement à alerter le ministère de l’Intérieur. Une situation qui aurait conduit à des mesures discrètes de rapatriement de ces CRS, issus de trois compagnies différentes, « dans le plus grand secret », toujours selon Le Canard enchaîné.
L’hebdomadaire ajoute qu’un CRS surpris en tenue légère dans les couloirs de l’hôtel aurait été sanctionné par sa hiérarchie dans l’espoir de calmer les troupes.
La direction des CRS dément
Malgré ces révélations, la direction centrale des CRS a catégoriquement nié ces accusations, démentant en bloc l’ensemble des faits rapportés. Interrogée sur ces informations, elle a affirmé qu’aucune évacuation sanitaire de ce type n’avait été organisée, ajoutant que ces allégations portaient atteinte à l’image des forces de l’ordre déployées sur le territoire.
Une infection sérieuse
La gonorrhée, qui se transmet lors de rapports sexuels non-protégés (oraux, génitaux ou anaux), est une infection dont les symptômes incluent, chez les hommes, des écoulements urétraux, et chez les femmes, des pertes vaginales. Si elle n’est pas traitée, elle peut entraîner des complications graves, notamment l’infertilité.
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@duJambon La lutte pour l’indépendance prend des formes diverses…
Imagine la tronche de leurs femmes, y a du divorce en masse dans l’air… -
pfeeeee mais qu’on leur foute la paix, une chaude pisse ça fait bobo quand tu fais pipi
c’est pas drôle !
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Un radar chinois repère des bulles de plasma au-dessus des pyramides de Gizeh
Trop bien! tout donne raison à Gims
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Les athlètes de la délégation paralympique du Congo ont mystérieusement disparu
Le procureur de Bobigny, en Seine-et-Marne, a ouvert une enquête pour disparition inquiétante concernant les athlètes de la délégation paralympique du Congo-Brazzaville, la lanceuse de javelot et de poids Mireille Nganga, le sprinteur malvoyant Emmanuel Grace Mouambako et le guide de ce dernier, Sharon Victor Loussanga. Ils n’ont plus donné signe de vie depuis le 5 septembre dernier, rapporte Le Parisien.
La brigade de répression de la délinquance contre la personne a également été saisie. Selon les enquêteurs, qui n’excluent à ce stade aucune piste, le trio pourrait avoir fugué après avoir participé aux épreuves. Leurs valises ont disparu, tandis que la fédération congolaise aurait toujours en sa possession leurs passeports. Le Comité paralympique du Congo n’a pas encore souhaité commenter les faits.
Mireille Nganga, 48 ans et porte-drapeau de la délégation, souffre d’un handicap au niveau des jambes. Les 2 et 4 septembre, elle a échoué à passer les qualifications au lancer du javelot et au lancer du poids (catégorie F56/F57). Le 4 septembre, Emmanuel Grace Mouambako, 35 ans, a terminé quatrième et dernier de sa série aux 100 mètres malvoyants (catégorie T11) en compagnie de son guide.
Ces trois athlètes congolais ne sont pas les seuls à avoir disparu lors de ces Jeux. Le 20 août dernier, soit avant le début de la compétition, la joueuse rwandaise de volley assis Claudine Bazubagira, a, elle aussi, disparu, à Courbevoie, où était logée sa délégation.
Une tradition olympique
Lors des Jeux Olympiques de Paris, trois athlètes de République démocratique du Congo ont aussi profité de leur séjour à Paris pour prendre la poudre d’escampette. La délégation congolaise n’était plus que trois à défiler le 11 août, lors de la cérémonie de clôture, alors qu’ils étaient six le 26 juillet. Des défections qui s’expliquent sans doute par la situation actuelle du pays et les affrontements entre les rebelles du M23 et l’armée congolaise, note Le Courrier international. Enfin, Dayle Ojeda, membre de l’encadrement de l’équipe cubaine de judo, a demandé l’asile politique en Espagne après avoir disparu pendant plusieurs semaines.
De telles défections font partie de l’histoire des Jeux Olympiques. La plus célèbre reste sans nul doute celle de quarante athlètes hongrois lors des Jeux de Melbourne en 1956. Ceux-ci avaient décidé de rester en Australie alors que l’Union soviétique réprimait violemment l’insurrection hongroise.
C’est si horrible que ça le congo ? En tout cas, bonne chance les gars !
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Qui arrive à terminer un truc pareil ?
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Tardinghen (62) : Trois chasseurs aux canards et un enfant de 3 ans à l’affût dans leur hutte violemment agressés par une soixantaine de migrants
Ils ont aussi décapité un canard (allah akbar !), cassé leurs voitures et volé leurs affaires.
C’est une nuit de cauchemar qu’ont vécu 3 chasseurs du domaine maritime public, cette nuit de samedi 14 au dimanche 15 septembre 2024. Alors qu’ils s’étaient positionnés dans leur hutte du marais de Tardinghen, sur la Côte d’Opale, en présence d’un enfant de 3 ans, ils ont dû faire face à l’assaut extrêmement violent d’une soixantaine de migrants.
“Je crains qu’un véritable drame ne se produise bientôt”, joint au téléphone le président de la fédération nationale des chasseurs ne cache pas ses craintes.
Il était environ 4 heures du matin, lorsqu’au cours de cette nuit du samedi 14 au dimanche 15 septembre 2024, trois chasseurs aux canards à l’affût dans leur hutte, ont vu surgir plusieurs dizaines d’hommes visiblement déchaînés et venus pour en découdre.
Des migrants, visiblement fous de rage d’avoir été empêchés par les forces de l’ordre dans leur tentative de traversée de la Manche pour rejoindre l’Angleterre. Comprenant que l’alerte a été donnée par les chasseurs, une soixantaine d’hommes se sont alors rués sur la hutte après avoir détruit les pare-brises des véhicules et volé les effets de leurs victimes, barricadées dans leur abri de fortune.
Réussissant à saisir un des canards appelants à l’intérieur du refuge, après en avoir brisé les fenêtres, l’un des hommes n’a pas hésité à le décapiter. Les autres, menaçant ceux qui avaient déclenché leur furie à grand renfort de barres de fer et d’une machette.
La porte de la hutte a résisté à l’expédition punitive, jusqu’à l’arrivée des gendarmes au petit matin. Les militaires ont pu extraire les 3 chasseurs, qu’accompagnait le fils de l’un d’entre eux. Un petit garçon de trois ans, qui apparemment n’a pas réalisé la gravité de la situation.
Une nuit d’horreur dont Willy Schraen se félicite qu’elle n’ait pas tourné au drame : “Je suis fier de mes chasseurs. Ils doivent faire face à des migrants très violents qui explosent leurs voitures, saccagent les huttes et décapitent leurs canards. Ils subissent une énorme pression et heureusement ne surréagissent pas, alors qu’ils ont une arme dans la main.”
Et le président nordiste de la fédération nationale des chasseurs d’assumer le rôle de surveillance et d’alerte des chasseurs. " Lorsque nous voyons des femmes, des enfants, des bébés, qu’on envoie à l’abattoir dans ces zodiacs, c’est notre rôle d’avertir les forces de l’ordre. Forcément lorsqu’on les empêche de prendre le large les migrants s’en prennent à nous. Depuis cet été nous avons connu une dizaine de situations similaires entre Calais et le Touquet."
Willy Schraen martelant enfin : “l’urgence de trouver des solutions de maîtrise des flux migratoires, avant que n’intervienne un drame avec des chasseurs ou d’autres personnes.”
Qui va à la chasse, prends des risques (et on ne parle même pas du pauvre canard)