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    Protocole intéressant …Merci pour ces infos ; je vais marquer cette page pour plus tard…

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    De ce que j’ai compris, après avoir vu un reportage il y a plusieurs semaines, en fait il ne s’agirait pas réellement d’enceintes bidouillées (genre par un remplacement du firmware) mais juste de dispositifs planqués dans des enceintes pour des questions de discrétion. Ils auraient tout aussi bien pu mettre ça dans un pot de rillettes mais le câble USB aurait suscité des questions ! 😁

    Et sinon, ça n’a rien à voir non plus avec le sujet mais puisque tu parles de “fautes”, @Pluton9, sauf erreur de ma part on écrit plutôt “d’aucuns me diraient” ! 😜

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    Waymo s’apprête à étendre son service de taxis autonomes aux autoroutes de trois villes américaines ce mercredi, une avancée pour cette entreprise appartenant à la société mère de Google qui renforce les enjeux de sécurité.

    L’entreprise a annoncé qu’elle ajouterait ces routes à grande vitesse à ses itinéraires à Los Angeles, Phoenix et San Francisco, permettant ainsi aux véhicules Waymo de transporter des passagers vers davantage de destinations, notamment l’aéroport international de San Jose.

    Le déploiement des robotaxis de Waymo sur les autoroutes représente une étape importante pour l’opérateur, qui vise à encourager l’adoption massive des véhicules autonomes. C’est la première fois qu’une entreprise propose des services payants de transport sans conducteur sur autoroute.

    « Parvenir à une exploitation entièrement autonome des autoroutes est un exploit d’ingénierie considérable, facile à concevoir, mais difficile à maîtriser véritablement », a déclaré Dmitri Dolgov, co-directeur général de Waymo.

    Waymo, filiale d’Alphabet, a commencé ses tests sur les autoroutes l’année dernière, mais avait limité son service de covoiturage payant aux rues de zones définies dans cinq villes américaines.

    Les autoroutes présentent des défis supplémentaires pour Waymo, notamment en matière de sécurité des passagers. Ses véhicules atteindront désormais des vitesses allant jusqu’à 105 km/h, ce qui accroît le risque de collisions mortelles.

    Lors du sommet Disrupt de TechCrunch le mois dernier, Tekedra Mawakana, l’autre co-PDG de Waymo, a été interrogée sur la possibilité que le public accepte les accidents mortels impliquant des robotaxis. « Je pense que la société l’acceptera », a-t-elle répondu.

    Mawakana a ajouté que son entreprise ne raisonnait pas en termes de « nombre d’incidents autorisés » et que le défi consistait à garantir que le « niveau de sécurité » soit suffisamment élevé.

    Les itinéraires autoroutiers seront initialement disponibles pour les utilisateurs ayant opté pour l’accès anticipé aux nouvelles fonctionnalités, avant d’être déployés plus largement.

    Les passagers pourront voyager à destination et en provenance de l’aéroport de San Jose, dans la baie de San Francisco. La compagnie dessert déjà l’aéroport de Phoenix, mais pourra désormais y accéder par l’autoroute.

    Waymo, qui a lancé ses services de taxis autonomes payants en 2020, effectue plus de 250 000 courses par semaine. Sa flotte compte plus de 2 000 véhicules répartis sur ses cinq marchés américains, principalement des Jaguar Land Rover I-Pace électriques équipées de capteurs et d’un système informatique spécifiques.

    Tesla, son principal concurrent américain, a étendu en septembre ses services au public dans le cadre de son projet pilote de robotaxis à Austin, au Texas, tandis que Zoox, propriété d’Amazon, a récemment lancé ses services à Las Vegas.

    Waymo a indiqué que ses véhicules quitteraient les autoroutes en cas de problème technique. L’entreprise a également précisé avoir établi un partenariat avec la police autoroutière afin de se préparer aux situations où un véhicule devrait s’arrêter.

    Depuis 2021, l’entreprise a déclaré plus de 1 250 collisions impliquant ses véhicules, selon la National Highway Traffic Safety Administration. Ces accidents ont touché des voitures particulières, des camions et d’autres objets, notamment une barrière qui se refermait. (mais combien d’accidents dans le même temps et avec le même nombre de véhicules conduits par un être humain ?)

    Source: https://arstechnica.com/cars/2025/11/waymo-to-roll-out-driverless-taxis-on-highways-in-three-us-cities/

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    @duJambon a dit dans Suisse: Ces robots «patrouilleurs» introduits en douce inquiètent :

    Juste l’aspect moche de ce caisson sur roue qui heurte mon sens esthétique et qui allume des désirs de coup de pied au “cul” de la chose (par [censored] (p u r e) curiosité).

    Pareil… juste pour voir sa capacité à ne pas perdre où retrouver l’équilibre.

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    La Cour des comptes vient de publier un rapport sur la souveraineté numérique. Dressant un tableau relativement sombre de la situation française, elle pointe les dangers de la dépendance actuelle et dresse une liste de recommandations.

    Alors que l’on assiste à un nombre croissant de projets de migration vers des logiciels libres en Europe et que même la Cour pénale internationale va se débarrasser en grande partie de Microsoft, la Cour des comptes publie un rapport sur la souveraineté numérique. Sa définition en est claire : l’État doit maitriser les technologies qui lui permettent de rester autonome en toute circonstance, ce qui comprend le matériel, le logiciel et les données.

    Cette définition implique ainsi de ne pas se faire dicter des choix technologiques structurants par un tiers et que soient protégées les données d’une sensibilité particulière des systèmes d’information de l’État. Dans ce domaine, la Cour note que la France a des « ambitions », mais elles sont jugées « encore insatisfaites », avec un décalage important entre la volonté affichée et la pratique.

    Synthèse douloureuse

    Le rapport de la Cour des comptes dresse un bilan de nombreux sujets ayant un lien avec la souveraineté. D’abord, celle-ci est directement confrontée à la position des États-Unis et d’autres puissances.

    La Cour rappelle ainsi que la portée extraterritoriale de certaines lois étrangères est une grosse épine dans le pied de la souveraineté. Trois textes américains sont mis en avant, sans surprise : la section 702 du Foreign Intelligence Surveillance Act qui autorise la collecte de données sur des personnes ou entités non américaines à l’étranger à des fins de sécurité nationale, l’Executive Order 12333 qui définit les objectifs des agences de renseignement et permet notamment la collecte de masse, et le Cloud Act de 2018 qui autorise la justice à délivrer des mandats pour récupérer des données dans les clouds des entreprises américaines, dans le cadre d’enquêtes.

    Selon le rapport, le risque réel est difficile à évaluer. Les procédures américaines, dans le cadre de ces trois textes, sont décrites comme « très opaques » : « Les seuls chiffres disponibles, ceux de la FISC au titre du Fisa, montrent un nombre de rejets très faible des demandes émises par les agences fédérales de renseignement ». Même chose pour le Cloud Act : « Les dernières publications en la matière (2024) de quatre grandes entreprises américaines, en l’occurrence Microsoft, Google, AWS et Salesforce, restent vagues ».

    Synthèse problématique également pour les « décisions d’adéquation » européennes, à savoir le Safe Harbour de 2000, le Privacy Shield de 2016 et finalement le Data Privacy Framework de 2023. Les deux premiers sont tombés sous les coups de Maximilien Schrems de l’ONG noyb. Ces accords sont cruciaux : ils établissent une adéquation entre le niveau de protection des données personnelles entre l’Union européenne et les États-Unis. Le Data Privacy Framework est lui aussi la cible d’attaques. En France, le député Philippe Latombe a déjà tenté de le faire tomber, la CJUE ayant rejeté son recours début septembre.

    Loi SREN trop timide, isolement de la France sur EUCS

    La Cour des comptes continue de renverser les quilles en listant tout ce qui cloche, dont une loi SREN jugée trop « prudente sur les enjeux de souveraineté ». Le décret d’application n’a été envoyé qu’en début d’année à la Commission européenne et limite les cas où le référentiel SecNumCloud serait utilisé aux seules données sensibles, dont la violation serait « susceptible d’engendrer une atteinte à l’ordre public, à la sécurité publique, à la santé ou à la vie des personnes ou à la protection de la propriété intellectuelle ».

    Le rapport illustre dans son point 1.2.2 le lien complexe entre la France et la Commission européenne sur ce sujet. La qualification SecNumCloud serait ainsi souhaitable pour de nombreux services de l’État, mais elle n’est pas reconnue au niveau européen. Elle serait donc « susceptible d’écarter d’appels d’offres publics des entreprises basées dans d’autres États membres ». La position française n’a pas été suivie à ce jour, « comme en témoignent les discussions en cours autour du schéma de certification EUCS ». La Cour des comptes les décrit comme « en cours », mais elles semblent au point mort, la France et l’Allemagne ayant des positions diamétralement opposées.

    Pourquoi mettre en avant SecNumCloud ? Car il aurait constitué le socle du niveau High+ dans EUCS. Il aurait été alors possible, pour les entreprises, agences étatiques et autres administrations de lancer des appels d’offres dans ce niveau. Or, SecNumCloud, dans sa version 3.2, impose la sélection de services n’étant soumis à aucun cadre juridique extraterritorial. Ce qui aurait court-circuité automatiquement tous les clouds américains.

    Nombreuses limitations dans les actions françaises

    Le rapport dresse un constat sombre de l’état de souveraineté en France, très loin d’être atteint. C’est particulièrement vrai sur le matériel, très peu d’industries étant présentes en Europe de manière générale. La production de semi-conducteurs se fait ainsi principalement en Asie et aux États-Unis. Même chose pour les ordinateurs, les équipements réseau, les smartphones et de nombreux composants électroniques.

    Mais c’est bien dans le logiciel que les problèmes de souveraineté s’illustrent le plus clairement. La Cour des comptes note que différentes approches se heurtent, sans vraiment de cohérence. Certaines administrations et entités préfèrent ainsi développer en interne les applications dont elles ont besoin, avec des problèmes de respect des budgets alloués et de délais de réalisation. D’autres préfèrent recourir à des logiciels du marché, avec l’avantage des fonctions déjà éprouvées et de la rapidité de déploiement, mais avec un contrôle moindre sur la souveraineté.

    Le risque de revirement des politiques techniques et commerciales est prégnant et est illustré, selon le rapport, par le cas Microsoft : quand l’entreprise a annoncé déporter de nombreuses applications vers le cloud, la Dinum a demandé aux ministères de ne pas souscrire à ces offres. Même au sein d’une même entité, le manque de coordination est criant, pointe la Cour. Dans l’Éducation nationale par exemple, les produits Microsoft sont très nombreux, quand des académies préfèrent migrer vers du logiciel libre.

    En dépit de certains points positifs mis en avant, notamment le réseau interministériel de l’État (RIE) qui garantit la résilience des communications gouvernementales même en cas de défaillances majeures d’internet, les autres initiatives sont sujettes à critiques. C’est le cas de FranceConnect, pensé pour se prémunir contre les services d’authentification des grandes sociétés américaines. Mais s’il est aujourd’hui largement utilisé, il était assorti de problèmes de sécurité que la Dinum a pris tardivement en compte, selon la Cour, dont la dépendance aux prestataires et les risques liés aux sous-traitants.

    La Cour pointe en outre les limites de la doctrine « Cloud au centre », ralentie par certains impératifs du marché unique européen (comme dans le cas de SecNumCloud), ou encore le succès limité des clouds interministériels. Pour ces derniers, elle cite Nubo (ministère des Finances) et Pi (ministère de l’Intérieur), mis à disposition des autres administrations. Cependant, à cause d’un manque de services (disponibilité, expérience utilisateur et même manque d’IA) et d’une tarification jugée « inadaptée », ces deux clouds sont « sous-utilisés ».

    Et, bien sûr, le rapport de la Cour des comptes illustre les problématiques par les exemples complexes du Health Data Hub et de Virtuo. Le premier illustre toute la difficulté des questions liées à la souveraineté en ayant choisi Microsoft pour héberger des données de santé, par définition sensibles. Le second est le système d’information des ressources humaines du ministère de l’Éducation nationale, dont l’appel d’offres a finalement été remporté par une société américaine. Dans les deux cas, la qualification SecNumCloud est impossible.

    Vision stratégique et recommandations

    Dans une conclusion intéressante, le rapport met en garde les administrations contre une recherche trop prononcée de performances. La recherche du « plus haut niveau technologique » peut entrainer aussi bien une mise en cause de la souveraineté des données qu’une dépendance de l’administration à la politique commerciale d’un acteur dominant. En clair, les offres des multinationales américaines à l’heure de l’IA.

    Face à la question du coût de la souveraineté, l’investissement de l’État est considéré comme « limité » jusqu’ici, avec un marché de l’hébergement souverain « non stabilisé ».

    La Cour formule donc cinq recommandations : le déploiement d’outils bureautiques souverains, l’élaboration d’une stratégie de souveraineté chiffrée (au sens financier du terme), la convergence des clouds interministériels, une cartographie complète des données sensibles et la souveraineté de l’hébergement des données de santé, en alignant la certification HDS (Hébergeur de données de santé) sur les exigences de la qualification SecNumCloud.

    Source : next.ink

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    Bien beau d’accuser l’IA mais il ne fait que de copier les pires délires haineux humain, c’est tout.
    Et on est là à accuser l’IA mais qui est au commande de ce merdier là aussi, l’humain aussi.

    Si on était chez les Bisounours, l’IA aurait tous simplement copié leur comportement et on aurait des fraises tagada et des arcs en ciel en pagaille généré par l’IA.

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    La porte ouverte à toutes les fenêtres comme dirait Gad. :ahah:

    Vous ne voulez pas en manger, pas grave on vous la mettra en suppositoire.

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    Nvidia me semble le plus à risque en ce moment : son CA de $ 130 billion repose pour $ 115 billion sur l’activité data center le reste étant concentré sur puces et cartes graphique d’ailleurs en baisse de 11% sur 1 an.
    Il est donc évident que sa valorisation boursière à $ 4900 présente un risque de bulle important.

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    @duJambon Pour le Mac Studio Display c’est à partir de € 1749,00 c’est à dire avec verre standard et support à inclinaison réglable, si on ajoute les options cela monte à € 2459,00.
    Top quality mais very expensive !

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    @Popaul

    Là c’était carrément différent ^^ (il était télécommandé façon voiture télécommandée 😁) mais que certains disent que les robots Iron soient en faites des robots déguisés en humain, même à l’ère de l’IA ou ça fake à tous va, c’est quand même fort de café ^^

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    @Raccoon
    Ou pas, je me souviens d’une ordonnance de vitamine D (Uvedose 100 000 U) pour une ampoule par jour…
    Le pharmacien a réagi tout de suite, mais aucun contrôle à la délivrance.
    NB: 1 ampoule tous les 1 à 3 mois.

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    En même temps, grâce aux outils qu’ils fournissent, on peut regarder du foot.
    Inadmissible !

    @duJambon a dit dans Le fournisseur DNS Quad9 considère les ordres de blocage du piratage comme une « menace existentielle ». :

    Quad9 dénonce une tendance inquiétante : les ayants droit font désormais peser la responsabilité du piratage sur des intermédiaires neutres (FAI, VPN, DNS) plutôt que sur les véritables contrevenants.

    Ce constat est pertinent…
    C’est par facilité puisque difficile de s’attaquer à tout ces multicomptes internationaux qui partagent ces médias.

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    L’enjeu est de taille. Depuis cette année, tous les nouveaux bus achetés en Norvège – à l’exception des bus touristiques – doivent être sans émission, souligne le site d’informations Nettavisen. En conséquence, ajoute-t-il, “cela a conduit à une hausse des commandes de bus électriques chinois”.

    Encore un bon exemple de l’idiotie de la mise en place de normes sans prise en considération des effets de bord.

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    Dites 33. Non, 33, c’est le nombre de jours passés en solitaire par un soldat ukrainien blessé derrière les lignes ennemies. Selon une vidéo postée sur Telegram par le 1er bataillon médical des forces terrestres ukrainiennes, il est désormais de retour au bercail grâce au robot MAUL et à sa capsule blindée en forme de cercueil, où un homme peut s’allonger. Il a fallu six tentatives et un périple de 64 km pour que le drone terrestre arrive à récupérer le combattant en détresse. « Le soldat blessé est actuellement soigné et en rééducation. Il a été sauvé », a déclaré le président Volodymyr Zelensky dans une vidéo. Il a félicité les troupes du 1er bataillon médical pour cette opération, soulignant l’importance de telles missions de sauvetage et des innovations sur le champ de bataille.

    Source: https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4184346-20251107-guerre-ukraine-armee-kiev-encerclee-moins-visas-russes-sauvetage-robot-cercueil

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    Pas aux Marabouts ?

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    @duJambon A leur décharge, j’ai cru comprendre que certains systèmes étaient en interne et non raccordé au web.

    Et les gardes ne sont même pas armés!

  • Gemini va prendre les commandes de Google Maps.

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    Google remplace progressivement l’Assistant Google par Gemini dans ses produits, et Google Maps est désormais concerné. Le déploiement débute dès aujourd’hui et se fera progressivement.

    Gemini offrira dans Maps une interaction plus naturelle et conversationnelle : il pourra gérer des requêtes complexes, recommander des lieux pertinents (par exemple des restaurants végétaliens bon marché) et fournir des informations contextuelles supplémentaires.

    Une nouvelle version de Lens, intégrée à Maps et alimentée par Gemini, permettra aussi d’obtenir instantanément des informations sur les lieux environnants via la caméra (restaurants, monuments, commerces, etc.).

    Gemini améliorera la navigation vocale en remplaçant les distances abstraites (« tournez dans 150 m ») par des repères visuels (station-service, restaurant, panneau). Il signalera aussi en temps réel les accidents, embouteillages ou ralentissements, et pourra connecter Maps à d’autres services Google comme Agenda.

    Le système repose sur les données de Street View et les milliards de lieux enregistrés par Google pour limiter les erreurs. Gemini ne déterminera toutefois pas l’itinéraire lui-même.

    Le déploiement commence sur smartphone, puis sur Android Auto et les versions intégrées de Maps. Les utilisateurs d’Apple CarPlay devront attendre un peu plus longtemps.

    Source: https://arstechnica.com/google/2025/11/so-long-assistant-gemini-is-taking-over-google-maps/

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    L’incident touche principalement les ordinateurs équipés de processeurs Intel et dotés du Modern Standby, cette fonction qui maintient l’appareil en veille légère tout en préservant la connectivité réseau. Normalement, BitLocker ne devrait s’activer qu’en cas de modification suspecte du matériel ou du firmware. Ici, rien de tel : le système de chiffrement se déclenche sans raison apparente, transformant une protection en obstacle.

    L’éditeur reconnaît le problème et promet un correctif, mais la situation révèle une fragilité inquiétante dans le déploiement des patches de sécurité.

    https://www.lesnumeriques.com/informatique/windows-10-11-nouveau-fiasco-bitlocker-bloque-l-acces-a-des-milliers-de-pc-sans-prevenir-n244959.html