Actualités High-Tech

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    Protocole intéressant …Merci pour ces infos ; je vais marquer cette page pour plus tard…

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    @duJambon a dit dans Comment éviter que l’IA élimine votre CV sans même le lire :

    Il faut adapter son CV avec les mots-clés exacts de l’annonce.

    Le truc de base qui existe depuis la nuit des temps. La même chose pour la lettre de motivation.

    Par contre, j’ai toujours fait des trucs très graphique car l’IT s’y prête et c’est toujours bien passé.
    Je me rappelle encore de mon CV photoshopé qui reprenait la GUI de Facebook à l’époque 🙂

    Je faisais même des sites web pour mon CV accessible via un QR Code qui donnait plus d’informations dedans si le recruteur était intéressé et voulait en savoir plus.
    A savoir qu’en plus, ma lettre de motivation elle aussi, portait les mêmes paramètres graphiques que le CV.
    Tout le graphisme était cohérent.

    C’est le truc qui fait que mon CV n’arrivait pas dans la pile des “A jeter”
    Tout ça à toujours fait son petit effet et j’ai toujours eu des remarques très positives sur le CV papier et numérique.

    Soit ça passe, soit ça casse. Perso, c’est toujours passé.

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    @djuza413 a dit dans Nouveau: le retour du tiny vinyl, une vieillerie qui a déjà fait un flop par le passé :

    Ça séduit ce produit?

    Non je ne penses pas :lol:
    Même un collectionneur chevronné comme moi en a rien à *****

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    Derrière le câble qui relie nos box et nos consoles à nos téléviseurs, un bras de fer a débuté. La Chine a décidé de s’attaquer à la suprématie d’un standard occidental : la prise HDMI. Ce connecteur a été créé en 2002 par un groupe d’industriels japonais (Hitachi, Panasonic, Sony, Toshiba), européens (Philips, Thomson-RCA devenue Vantiva) et américain (Silicon Image, aujourd’hui Lattice Semiconductors). Sur le plan technique, ce consortium a fait disparaître la forêt de câbles derrière nos postes. Sur le plan économique, c’est autre chose : un système très verrouillé.

    Pour utiliser le standard HDMI, un fabricant d’appareils électroniques doit payer des frais fixes annuels de 5 000 à 10 000 dollars et verser quelques centimes par appareil vendu. La redevance de base est de 0,15 dollar par produit, réduite à 0,05 dollar si le logo HDMI apparaît sur l’appareil - voire à 0,04 dollar s’il a un système de chiffrement Intel pour limiter la copie illégale de films et séries.

    Autrement dit, chaque télé, chaque console, chaque lecteur qui sort d’une usine paie son obole au club HDMI. Quand on sait qu’en 2024, il s’est vendu environ 230 millions de téléviseurs dans le monde, un peu plus que l’année précédente, cela finit par faire une belle rente. Le paysage a toutefois changé. Samsung reste le numéro un, mais les chinois TCL et Hisense ont pris les deuxième et troisième places, reléguant LG au quatrième rang. Surtout, 84 % des téléviseurs sont désormais fabriqués en Chine. Le marché se polarise entre volumes de masse à bas prix, dominés par les marques chinoises, et segment premium (OLED, MiniLED, 8K) où Coréens et Chinois se livrent une bataille frontale.

    Les industriels sud-coréens n’ont jamais remis en cause le standard HDMI. Mais la Chine, elle, a décidé d’en découdre. En 2025, une alliance d’entreprises basée à Shenzhen a lancé un nouveau standard baptisé GPMI. Pour l’utilisateur, la promesse est séduisante. Il gère l’ultra haute définition (8K), fait passer deux fois plus de données que le HDMI et peut alimenter un écran ou un PC. Sur le papier, le GPMI prétend remplacer à la fois les technologies HDMI, DisplayPort, USB-C et même Thunderbolt. Autrement dit, un câble unique pour la télé, l’ordinateur, la console et le casque de réalité virtuelle.

    Ecrire les règles du jeu

    Mais le vrai changement est économique. GPMI ne fonctionne pas sur un modèle de redevances. Le standard est géré par une cohorte d’industriels chinois - Huawei, TCL, Hisense, BOE et une cinquantaine d’autres. Ils mettent leurs brevets en commun et organisent le partage de la valeur entre eux. L’objectif ? Permettre à la filière chinoise de réduire son écot aux standards occidentaux mais contrôler aussi les prochains cycles de produits électroniques.

    Cette stratégie s’inscrit dans la doctrine China Standards 2035 : passer du statut de pays qui subit les règles du jeu à celui de pays qui les écrit. Depuis la fin des années 2010, la Chine envoie de plus en plus d’experts dans les grands organismes internationaux de standardisation, discute chaque virgule et pousse ses propositions. Malgré cette offensive, la Chine reste aujourd’hui un importateur net de propriété intellectuelle. En 2023, le pays a versé environ 46 milliards de dollars de royalties à l’étranger, pour seulement 8 milliards encaissés. L’écart est important, et les autorités chinoises reconnaissent elles-mêmes que les paiements vers les États-Unis augmentent rapidement.

    La guerre GPMI contre HDMI illustre donc un affrontement beaucoup plus large. Du côté occidental, l’économie de l’immatériel, qui a progressivement séparé la conception de la production, en externalisant la fabrication vers l’Asie tout en conservant la propriété intellectuelle, a parfois dérivé vers une économie de la dîme, où quelques consortiums vivent de petits pourcentages sur chaque produit. Du côté chinois, l’immatériel n’est pas dévalorisé, il est subordonné : on brevette et on normalise pour verrouiller les futures générations de biens manufacturés qui seront exportés en masse. GPMI n’est pas qu’une histoire de câble. C’est le symbole d’un pays qui ne se contente plus de fabriquer les produits des autres, mais veut écrire les règles techniques auxquelles le monde devra se plier.

    Source: https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/lavenir-du-cable-hdmi-en-peril-pourquoi-le-branchement-de-votre-tele-est-un-enjeu-geopolitique-QM3MRLE3XFBDLNO35J5NOFL3NI/

    Est-ce que la protection HDCP contre la copie de l’HDMI sera intégré au GPMI ? 🙂

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    Le restaurant Woohoo mise sur l’IA pour surprendre les clients avec des recettes futuristes. Le concept fascine autant qu’il divise.

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    Au pied des gratte-ciel rutilants du centre-ville, le Woohoo reçoit les clients dans un décor aux allures de science-fiction

    Un restaurant qui se prévaut d’être piloté par le premier «chef IA» au monde vient d’ouvrir ses portes dans le riche émirat de Dubaï, suscitant curiosité et scepticisme quant à la capacité de la technologie à rivaliser, en cuisine, avec la créativité humaine.

    Situé au pied des gratte-ciel rutilants du centre-ville, le Woohoo reçoit les clients dans un décor aux allures de science-fiction: de l’entrée, où ils sont accueillis par un écran holographique du «chef IA» – baptisé Aiman et représenté comme un homme blond portant des lunettes technologiques masquant les yeux – jusqu’à la salle illuminée par des hologrammes et des projections futuristes. Le tout est contrôlé par l’intelligence artificielle grâce à une grande machine cylindrique, présentée par l’établissement comme un superordinateur, trônant au milieu de la pièce.

    La star du show, le «chef Aiman» est un modèle d’IA spécialisé, développé par une compagnie émiratie. Il ne cuisine pas, mais conçoit les plats, entrainé sur des milliers de recettes et des décennies de recherches en arts culinaires et en gastronomie moléculaire, selon l’établissement.

    «L’IA créera peut-être un jour de meilleurs plats que les humains»

    Le cofondateur du Woohoo, le Turc Ahmet Oytun Cakir.
    (Une omelette d’oeufs de dodo ? 🙂 )

    Si la carte propose essentiellement des plats inspirés de la cuisine internationale fusion, le «chef IA» se démarque avec certains plats signatures, comme celui baptisé «tartare de dinosaure», censé offrir le goût de l’animal disparu en se basant sur l’étude de son ADN. Cette entrée à la recette tenue secrète – et qui, en bouche, ressemble à une combinaison de viandes crues – est proposée à 215 dirhams (environ 46 francs) dans une assiette pulsante, donnant l’impression qu’elle respire.

    «C’était une vraie surprise. C’était absolument délicieux», confie l’un des clients, Efe Urgunlu. Aux fourneaux, des cuisiniers en chair et en os réalisent les recettes et peuvent les rectifier si nécessaire. «Si je goûte un plat et qu’il est trop épicé, je retourne en discuter avec le ‘‘chef Aiman’’. Après l’échange, on finit par trouver le bon équilibre», explique le chef exécutif Serhat Karanfil.

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    Le chef exécutif Serhat Karanfil (mince alors, c’est pas un robot 🙂 )

    «Ni sentiments ni souvenirs»

    Si le cofondateur du Woohoo rêve de faire de son «chef IA» le «prochain Gordon Ramsay», du nom du célèbre chef britannique, une utilisation aussi poussée de l’intelligence artificielle dans la cuisine est loin de faire l’unanimité dans l’industrie. «Un chef IA, ça n’existe pas», tranche le chef syrien Mohamad Orfali, dont le restaurant à Dubaï, Orfali Bros, a décroché l’année dernière une étoile au célèbre guide Michelin. «Je n’y crois pas», dit-il à l’AFP en soulignant l’importance en cuisine du «nafas», un terme arabe qui désigne la capacité très personnelle d’un cuisinier à créer des plats emprunts d’âme et d’émotions.

    «L’intelligence artificielle n’a ni sentiments ni souvenirs (…) Elle ne peut pas insuffler cette énergie dans les plats», affirme ce professionnel, qui reconnait avoir lui-même recours à l’IA, mais pour accomplir des recherches ou des tâches administratives.

    «Nous l’utilisons comme un assistant de cuisine, mais pour finir, ce n’est pas elle qui cuisine», insiste-t-il. Pour autant, le concept séduit une clientèle habituée aux extravagances de Dubaï, mégalopole ultra-connectée et à l’affût des dernières tendances. «Tout le monde soutient ce genre d’idées ici à Dubaï», assure Ahmet Oytun Cakir.

    Le restaurant a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, avec un compte Instagram dédié au «chef IA», où apparaît son avatar pour partager astuces et recettes. Une médiatisation qui a poussé Dio, une cliente qui a préféré ne pas donner son nom, à tenter l’expérience. «Le concept est tellement créatif que je me suis dit qu’il fallait que je l’essaye (…) Les plats étaient extraordinaires», juge-t-elle.

    Source: https://www.lematin.ch/story/emirats-arabes-unis-a-dubai-un-chef-ia-intrigue-avec-son-tartare-de-dinosaure-103460649

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    Une action collective portée par 1800 plaignants accuse Meta d’avoir enterré une étude interne montrant que réduire l’usage de Facebook améliore nettement la santé mentale.

    La vie serait plus belle sans Facebook. Pour le dire autrement, Facebook est nocif pour la santé mentale. Telle était la conclusion d’une étude menée dès fin 2019 par le bureau Nielsen. Et dont personne n’a jamais entendu parler. Et pour cause: les résultats de ces recherches sont restés au fond d’un tiroir. Ou plutôt dissimulés sous le tapis de celui qui, à l’époque, avait commandé l’étude: Meta, la maison mère de Facebook et Instagram. Ces documents internes ressurgissent aujourd’hui à la faveur d’une action collective portée aux États-Unis par 1800 plaignants: districts scolaires, parents, procureurs…

    Selon la plainte, le programme interne de Meta, baptisé Project Mercury, avait pour but d’évaluer l’effet d’une désactivation temporaire de Facebook et d’Instagram sur le bien-être des utilisateurs. Les résultats préliminaires, datés de 2020, sont sans ambiguïté: les participants ayant coupé Facebook une semaine déclaraient moins d’anxiété, moins de dépression, moins de solitude et une baisse marquée de la comparaison sociale. Ces conclusions, que Meta n’a jamais publiées, allaient manifestement à l’encontre de ses intérêts économiques.

    Selon les 1800 plaignants, l’entreprise aurait alors interrompu le projet alors même que ses équipes, en interne, jugeaient les données solides. Un des chercheurs impliqués aurait même comparé la situation à celle de l’industrie du tabac, accusée d’avoir dissimulé pendant des décennies ses propres recherches sur la nocivité de la cigarette. Malgré cette étude, qui établit un lien de cause à effet entre Facebook et les effets négatifs sur la santé mentale, Mark Zuckerberg avait ainsi affirmé devant le Congrès américain qu’il n’existait aucun moyen de mesurer si ses réseaux sociaux étaient nuisibles aux ados. Face à ces nouvelles accusations, Meta oppose un démenti ferme, affirmant que l’étude souffrait de failles méthodologiques et qu’elle ne reflétait que des perceptions préexistantes chez les utilisateurs.

    Google, TikTok et Snapchat dans le viseur

    La plainte va bien plus loin. Elle accuse aussi Meta d’avoir délibérément limité l’efficacité de certaines fonctionnalités de sécurité pour adolescents, d’avoir imposé des seuils «anormalement élevés» avant de supprimer des comptes impliqués dans des trafics sexuels. Ou encore d’avoir privilégié d’autres priorités stratégiques (comme le métavers) au détriment de la sécurité des jeunes utilisateurs.

    La procédure ne vise pas seulement Meta: Google, TikTok et Snapchat sont également accusés d’avoir laissé des mineurs utiliser leurs services sans garde-fous et d’être inefficaces contre les contenus pédocriminels. Certaines plateformes auraient même financé des organisations de protection de l’enfance pour vanter publiquement la sécurité de leurs services.

    La première audience est prévue le 26 janvier, devant la Cour fédérale du district Nord de Californie. Les avocats des plaignants espèrent faire reconnaître une stratégie commune visant à maximiser le temps d’écran, malgré les risques identifiés pour la santé mentale.

    Ces révélations interviennent dans un contexte de mobilisation internationale. De la Malaisie au Danemark, en passant par l’Australie et l’Union européenne, plusieurs pays renforcent leurs législations pour limiter l’accès des mineurs aux réseaux sociaux ou imposer de nouveaux standards de sécurité. À New York, les autorités locales ont récemment lancé une enquête sur le rôle des réseaux sociaux dans la crise de santé mentale des adolescents. L’affaire Meta pourrait amplifier cette dynamique mondiale.

    Source: https://www.tdg.ch/meta-une-etude-cachee-prouve-la-nocivite-de-facebook-750870176033

    Je pensais juste que les idiots sur les rézos amalgamaient les idiots, mais là, c’est beaucoup plus grave.

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    Inutile de démonter d’autres paradoxes, les humains s’en sont occupés bien avant l’IA, qui n’affiche que ce qu’elle trouve. :blase:

    Ça permet juste d’obtenir facilement les réponses connues.

    Il vaut mieux essayer de s’en protéger:

    Comment éviter que l’IA élimine votre CV sans même le lire

    Les entreprises utilisent toujours plus d’algorithmes pour sélectionner des dossiers. Problème: ils sont biaisés. Que faire pour maximiser vos chances?

    Voir: https://www.tdg.ch/emploi-comment-eviter-les-discriminations-de-lia-a-lembauche-151680204930

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    Dernière consultation de l’oracle pour aujourd’hui. :irma:

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    Au cours des trois dernières semaines, de nombreuses mairies françaises ont dû avertir une partie de leurs administrés : plusieurs de leurs données personnelles se sont retrouvées dans la nature. Ces piratages, qui seraient menés par le même groupe, s’inscrivent dans un contexte plus large d’attaques contre des prestataires de services.

    Un nombre important de mairies, dont beaucoup en Bretagne, ont signalé des incidents cyber. Tous en commun une fuite d’informations : nom, prénom et, selon les cas, adresse postale, adresse e-mail et numéro de téléphone. Des données non sensibles, mais qui peuvent alimenter ensuite les grandes opérations de phishing.

    La première mairie à avoir communiqué sur le sujet semble être Brest, le 14 novembre, aisant état d’une fuite de 50 000 données environ.

    https://brest.fr/actualites/fuite-de-donnees-personnelles-la-ville-de-brest-appelle-la-vigilance

    Sur X, SaxX s’empare du sujet et commence à faire l’historique des fuites en commençant par Brest.

    https://x.com/SaxX/status/1990359988280152238

    Le 19 novembre, c’était au tour de Quimper avec 12 000 données, puis le chiffre total s’est rapidement approché des 100 000 avec plusieurs autres villes de Bretagne.

    https://x.com/SaxX/status/1991063536240296395

    https://x.com/SaxX/status/1991098033300189589

    Le même jour, on apprenait que la mairie d’Alfortville (Île-de-France cette fois) commençait à envoyer des e-mails concernant là encore une fuite, avec toujours les mêmes caractéristiques.

    https://x.com/SaxX/status/1991123630109962404

    Il est rapidement apparu que toutes ces mairies n’avaient pas été directement piratées. Les attaques étaient dirigées contre des prestataires de services, notamment deux plateformes fournissant des solutions de prises de rendez-vous : RDV360 et SynBird. Sur le site Bonjourlafuite.eu.org, on peut voir plusieurs mairies référencées, avec des captures des messages envoyés aux personnes concernées.

    Plus précisément, les informations sont celles données par les administrés lors des demandes de rendez-vous pour la production d’une pièce d’identité. Dans la plupart des cas, ces informations proviennent de demandes faites entre 2022 et 2025.

    Crédits : France Télévisions

    Une vigilance particulière demandée

    […]

    Article en accès libre : next.ink

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    Le design se construit par couches successives : du squelette aux muscles, puis à la peau avec une peau synthétique artificielle. Différents gabarits sont possibles, avec des morphologies masculines ou féminines, des physiques athlétiques ou élancés.

    L’IRON Next-Gen affiche des mensurations de 65 kg pour 173 cm, proches de celles d’un humain moyen. En revanche, le fait de proposer le choix d’une morphologie masculine ou féminine commence déjà à faire débat, il me semble difficile de mettre tout le monde d’accord sur cette question.

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    C’est très bluffant quand même.

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    Je doute fortement qu’ils (X) utilisent l’adresse IP seul pour géolocaliser leurs abonnés. Le téléphone associé au compte semble beaucoup plus juste et difficile à falsifier.

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    Après la poésie, on pourra utiliser la “non-vérité” on trouvera toujours un moyen de tromper cette plomberie. 🙂

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    Chili : asséché par les data centers

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    Au Chili, l’eau disparaît. Pas seulement à cause de la sécheresse, mais aussi du cloud.
    Ce nuage qui n’amène jamais de pluie. Dans la banlieue nord de Santiago, les marais s’assèchent, les nappes phréatiques se vident et les paysans se retrouvent contraints de migrer.

    En cause : les data centers, ces usines du numérique qui font tourner l’intelligence artificielle mondiale. Pour refroidir leurs serveurs, les géants de la tech pompent des millions de litres chaque jour dans un pays frappé par une sécheresse endémique depuis plus d’une décennie. Et ce n’est qu’un début : le gouvernement chilien vient d’approuver l’an passé, le plan national des data centers qui envisage de multiplier par trois le nombre de centre de données sur l’ensemble du territoire. De trente-trois aujourd’hui, le Chili comptera dans quelques années une centaine de data centers, faisant du pays le hub numérique le plus dense d’Amérique latine.

    À travers le combat d’artisans vivant des ressources du marais de Quilicura près de la capitale Santiago, mais aussi celui d’activistes du climat, de familles d’agriculteurs et de réfugiés climatiques contraints de s’exiler, une bataille bien plus vaste se joue. Celle d’une transition numérique mondialisée qui s’implante dans les territoires fragiles, souvent au détriment des populations locales et des équilibres écologiques.

    ARTE Reportage :
    https://www.arte.tv/fr/videos/128630-000-A/chili-asseche-par-les-data-centers
    Réalisation : Pierre Morel 2025. 25 min.

    Avec ce post, j’ai contribué à cet assèchement via un autre date center ailleurs dans le monde qui consomme de la flotte pour être refroidi. Autant pour moi. :claquage_joue:

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    Les utilisateurs de Roku seront les premiers touchés.

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    Plex commence à appliquer ses nouvelles règles, qui empêchent les utilisateurs d’accéder à distance à un serveur multimédia personnel sans abonnement.

    Auparavant, les personnes extérieures au réseau du propriétaire d’un serveur pouvaient accéder gratuitement à sa bibliothèque multimédia via Plex. Depuis les nouvelles règles annoncées en mars, un propriétaire de serveur doit disposer d’un abonnement Plex Pass, à partir de 7 $ par mois, pour autoriser l’accès à distance à son serveur. Il est également possible d’accéder à distance au serveur Plex d’une autre personne en souscrivant à son propre abonnement Plex Pass ou à un Remote Watch Pass, un abonnement offrant moins de fonctionnalités que le Plex Pass et proposé par Plex depuis avril à partir de 2 $ par mois.

    Les nouvelles règles de Plex sont entrées en vigueur le 29 avril. D’après un message récent les forums Plex publié par un employé de Plex et repéré aujourd’hui par How-To Geek, les changements sont déployés cette semaine. Un abonnement est désormais requis pour les utilisateurs de l’application Plex sur Roku OS pour l’accès à distance. L’employé de Plex a ajouté :

    Cette modification des exigences relatives à la diffusion à distance sera appliquée à toutes les autres applications Plex TV (Fire TV, Apple TV, Android TV, etc.) et à tous les clients tiers utilisant l’API pour proposer la diffusion à distance en 2026.

    Plex a vu le jour en 2009 comme une adaptation pour Mac du projet Xbox Media Center, avant de devenir une entreprise de serveurs multimédias puis, plus récemment, un fournisseur de services de streaming. Ses nouvelles règles d’accès à distance mettront l’entreprise à l’épreuve, elle qui a multiplié les changements au cours de l’année écoulée pour ses utilisateurs de longue date : augmentation du prix du Plex Pass, lancement de la location de films sous licence officielle, introduction de fonctionnalités sociales et refonte de son application mobile.

    Plex a déjà souligné la nécessité de faire face à la hausse des coûts, notamment pour assurer la compatibilité avec de nombreux appareils et codecs. L’entreprise a également indiqué avoir besoin de fonds pour implémenter de nouvelles fonctionnalités, dont une intégration avec Common Sense Media , une nouvelle application de gestion de serveurs dédiée aux utilisateurs, et une API ouverte et documentée pour l’intégration de serveurs, incluant des agents de métadonnées personnalisés, comme indiqué dans un article de blog publié en mars.

    En janvier 2024, TechCrunch annonçait que Plex était sur le point d’atteindre la rentabilité et avait levé 40 millions de dollars (Plex avait levé 50 millions de dollars lors d’un tour de table en 2021). Théoriquement, les nouvelles règles d’accès à distance pourraient également accroître les revenus d’abonnement et permettre aux investisseurs de Plex de rentabiliser leurs investissements.

    Cependant, l’évolution de Plex risque d’isoler les utilisateurs de longue date qui s’appuient sur Plex comme serveur multimédia depuis des années, ainsi que ceux qui ne sont pas intéressés par les abonnements, les chaînes FAST (télévision en streaming gratuite financée par la publicité) ou la location de films. Il est toutefois peu probable que Plex abandonne son activité de streaming. En 2023, Scott Hancock, alors vice-président marketing de Plex, a déclaré que, depuis 2022, le service de streaming en ligne de Plex comptait plus d’utilisateurs que ses fonctionnalités de serveur multimédia.

    Pour ceux qui recherchent des logiciels davantage axés sur l’hébergement multimédia, les alternatives à Plex, comme Jellyfin, deviennent de plus en plus attrayantes, d’autant plus que les deux peuvent très bien fonctionner ensemble sans rien changer dans flex.

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    Jellyfin

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    Jellyfin

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/11/plexs-crackdown-on-free-remote-streaming-access-starts-this-week/

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    je m’en servais dans les telex quand j’avais 19 ans lol

    fallait des fois les découper les scotcher pour rattraper des erreurs, c’était fun.

    sauf pour le gars qui était dans la salle des telex tout le temps, y’en avait 7 ou 8 qui marchaient en permanence quasiment… le bruit était infernal !!!

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    @Popaul a dit dans Trois jours de marche sans s’arrêter: un robot chinois entre dans le livre des records :

    il va falloir que l’humain trouve quelque chose à faire qui “paie” et rassemble dignement.

    Je suis tout à fait ok avec cette philosophie mais, parce qu’il y a un grand mais, l’humain dont on parle sont les bezos, musk et compagnie et le rassemblement dans la dignité c’est pas leur truc ^^ (et aussi aux “grands” de ce monde milliardaires d’ailleurs).

    Quand ils causent de robots et consorts, c’est pas pour notre bien mais juste pour se faire + de brouzoufs ^^ (“les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent” comme dirait l’adage)

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    L’Intelligence Artificielle (IA) est un tout nouveau modèle émergeant auprès du vaste public béotien et passif comme étant une promesse « agent/argent $€ économique nouvelle » qui ne fait pas que le bonheur. Comme la course vers l’or aux U.S. et aux diamants en Afrique?

    Pour en revenir à ma chère tante Rose Agathe, elle n’avait pas compris le monde virtuel il y a 30 ans - avec la bulle Internet qui comme tout bulle a fait « psshiiiiit » avec les investisseurs avides - Mais pire aujourd’hui il est devenu virtuel + artificiel, elle est complètement paumée, je ne trouve plus les mots pour lui expliquer…

    Révolutions industrielles puis informatiques/numériques, il faut en être curieux sans pour autant en devenir passif et esclave [allégorie de la grenouille et de l’eau de la casserole qui monte en température].Toujours garder du recul sur ses bienfaits et ses dévoiements toxiques !

    Sur mes bignolos ordis & smartphones, notamment lors des MAJ système incitatives, je refuse et désactive toutes les options de push-assistance IA. Mais jusqu’à quand avant quelles soient rendues « obligatoires » ? Je privilégie encore mon autonomie mentale à celle des algorithmes aussi puissants et inquisiteurs soient-ils.

    Il n’empêche que je consulte occasionnellement l’oracle https://chat.mistral.ai pour des questions pointues auxquelles je sollicite des éclaircissements philosophiques, sociologiques, historiques et autres qui est un outil qui agrège efficacement des résultats que j’aurais passé des plombes à recueillir sur de multiples sites.

    Source : aurel

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    @Popaul Avec photos ?

    Et on peut lier les données à une autre source.