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    @Violence a dit dans La mise à jour Windows 11 25H2 rend les claviers et souris USB inutilisables dans l'environnement de récupération WinRE :

    C’est pas comme si monsieur michu utilisait WinRE tout les jours

    Oui et heureusement !

    Ça m’est arrivé une fois de planter mon autre pc à cause d’une coupure internet pendant une mise à jour, plus de clavier et souris ne fonctionnaient.
    J’avais bien galéré et résolu le problème comme un des témoins cité dans l’article.

    Merci les gars pour ces informations :pouce:

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    @Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Les films que vous considérez comme des navets irregardables :

    j’avais même cru que j’allais me taper du jumpscare à souhait et chier dans mon froc mais il en est rien

    C’est ce qui a fait que je l’ai téléchargé. :ahah:

    Le truc que j’aurais trouvé génial, c’est qu’ils le filment à la première personne, genre le premier FPS canin.

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    Parce qu’il n’y a pas que les cigognes dans la vie:

    https://www.toutesleswebcams.com/webcams-animaux.html

    Il y a beaucoup de webcam mortes (maudit chasseurs 🙂 ), mais quelques-une de fonctionnelles, et d’autres sites sur votre moteur de recherche préféré ou mieux avec une recherche sur chatgpt, avec les bons mots clefs (en fonctionnement par exemple).

    Meilleure source: https://explore.org/livecams/currently-live

    Les loutres (live aux heures d’ouverture): https://www.montereybayaquarium.org/animals/live-cams/sea-otter-cam

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    Présente à la Paris Games Week, l’association MO5.com a profité, jeudi, de ce grand rassemblement dédié au jeu vidéo pour annoncer l’ouverture prochaine de son « Musée National du Jeu Vidéo », qui couvrira des années 50 à l’époque moderne.

    C’est à Arcueil, à proximité immédiate du périphérique parisien et de l’A6 que prendra place cet espace d’exposition permanent estimé à 1200 m² dans un premier temps, « pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes simultanément et incluant micros-ordinateurs, consoles, bornes d’arcade jouables en libre accès ».

    Attendu de longue date par MO5.com, ce futur musée mettra le rétrogaming à l’honneur - crédit MO5.com

    « Le musée sera doté d’un espace restauration, d’un atelier de 200 m² dédié à la préservation et à la recherche, mais aussi d’un atelier d’entretien et de diagnostic permettant au public de faire réparer ses machines (selon une liste prédéfinie) », promet encore l’association dédiée à la conservation du patrimoine vidéoludique.

    L’ouverture est programmée à une date comprise entre le 5 et le 15 décembre, avec un musée accessible au public de 14 h à 18 h les mercredis, samedis et dimanches (les autres jours étant réservés aux groupes). Le ticket d’entrée devrait être facturé moins de 10 euros, et l’accès sera gratuit pour les adhérents de l’association, dont les collections étaient déjà stockées dans un local situé à Arcueil.

    « À terme, l’association vise le label “Musée de France” qui garantit la protection de la collection et permet des prêts de pièces avec d’autres musées », espère MO5.com, qui promet l’arrivée imminente d’un site web dédié à son musée, et remercie les nombreux partenaires, locaux ou du secteur, qui ont soutenu sa démarche.

    https://www.youtube-nocookie.com/embed/OW4Hvuh480k?si=dBGEhsHERMJOupLh

    Jusqu’ici, l’association exposait principalement ses collections au travers d’expositions temporaires, comme Game Story, organisée entre octobre 2024 et avril 2025 à Versailles. MO5.com milite de longue date pour disposer d’un espace permanent.

    Outre ce « Musée National du Jeu Vidéo », la région parisienne devrait par ailleurs s’enorgueillir d’un autre projet, baptisé Odyssée et porté par Tev, un youtubeur spécialisé dans la culture japonaise. Attendu pour 2028, il prévoit qu’un musée du jeu vidéo et un village japonais d’une surface de 11 000 m² soient intégrés à un pôle d’activités dédié au jeu et à la culture pop, à Bussy-Saint-Georges.

    Source : next.ink

  • [Aide] Gestionnaire des tâches

    Déplacé Résolu Windows, Linux, MacOS & autres OS
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    @azurette Bonjour, c’est un bug de la dernière mise à jour de windows, vous avez de la chance de pouvoir le fermer, il arrive qu’il se relance sur certaines machines.

    Il va falloir patienter, jusqu’à la prochaine mise à jour.

    Voir: https://planete-warez.net/topic/7611/windows-11-enfin-microsoft-répare-le-bouton-mettre-à-jour-et-arrêter-qui-redémarrait-les-pc/2?_=1762031197753

    Ou pour plus de détails: https://www.phonandroid.com/windows-11-la-derniere-mise-a-jour-detraque-completement-le-gestionnaire-des-taches-cest-un-comble.html

  • Je ne sais pas ce que je fais ici...

    Présentations
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    Content de voir que cette décision n’était pas définitive.
    Il est, en effet, rare de voir ces dames donner leurs avis. 7cf est la seule qui me vient en tête actuellement. Et pourtant (que la montagne est belle), une mixité élève le débat.

    Assez drôle cette tendance à “sur-réagir”… J’avoue avoir le même “défaut” ^^ Certainement lié à une époque où je restais passif.

    Encore une fois, ravi de te voir de retour… Et t’as le droit de m’envoyer balader si le besoin s’en fait ressentir.

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    Vous êtes dur, il tient debout sans se casser la gueule, c’est déjà ça! :ahah:

    Quant au reste, il m’a pas bluffé plus que ça, mais souvenez vous des mêmes robots il y a dix ans, ça avance lentement, mais ça avance.

    Edit: ça va être coton avec les animaux de compagnie, entre les chats agrippés à sa tenue et les câlins de chiens faisant son poids voir plus. :ahah:

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    Depuis juillet, Meta fait l’objet d’une plainte de deux studios de production de vidéos porno, qui l’accusent d’avoir téléchargé illégalement plus de 2 000 contenus pour entrainer ses IA. L’entreprise de Mark Zuckerberg réplique en invoquant plutôt l’« usage personnel » de ses salariés, sous-traitants ou visiteurs.

    De nombreuses entreprises accusent les entreprises d’IA générative d’utiliser leurs contenus illégalement pour entrainer leurs modèles.

    Cet été, deux entreprises états-uniennes de production et de distribution de films porno, Strike 3 Holdings et Counterlife Media, ont attaqué Meta, en l’accusant d’avoir téléchargé, via le protocole BitTorrent, 2 396 films. Elles demandent des dommages et intérêts qui pourraient atteindre 350 millions de dollars.

    Cette semaine, comme l’explique Torrent Freak, Meta a demandé au tribunal américain en charge de l’affaire de rejeter la plainte en arguant notamment que les téléchargements de ces vidéos étaient pour de l’ « usage personnel ».

    47 IP de Meta ayant téléchargé les vidéos de deux studios

    Dans leur plainte initiale, les deux studios affirmaient que Meta avait téléchargé leurs contenus « à partir de sources pirates dans le but d’acquérir du contenu pour former son Meta Movie Gen, son modèle linguistique à grande échelle (“LLaMA”), ainsi que divers autres modèles d’IA Meta qui s’appuient sur du contenu vidéo pour l’entraînement ». Et d’évoquer la possibilité que Meta les concurrence en créant un modèle qui puisse générer des films en reproduisant la « qualité hollywoodienne » technique de leurs films.

    Strike 3 Holdings et Counterlife Media expliquent avoir découvert 47 IP appartenant à Meta dans les bases de données qu’elles ont mises en place pour repérer les utilisateurs de BitTorrent s’échangeant leurs contenus. Elles affirment avoir fait cette recherche suite à l’affaire opposant Meta à l’autrice Andrea Bartz et aux auteurs Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson, dans laquelle l’entreprise a aussi été accusée d’utiliser le protocole de transfert de données pair-à-pair.

    Meta se décharge sur l’ « usage personnel » de ses salariés, sous-traitants et visiteurs

    […]

    Suite de l’article en accès libre : next.ink

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    C’est pas forcément un mal, dans la mesure ou plus on monte dans la hiérarchie, plus les décisions s’éloignent du bon sens (pour ne pas dire deviennent complètement connes).

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    C’est un sacré gain de temps pour résumer un article pondu par un pigiste “circonvolutioniste” (genre ars technica), même si on perd des détails intéressants (pas pour tout le monde, heureusement) dans la manoeuvre. Il est devenu possible de lire un article jusqu’au bout, quitte à se référer à la source pour plus de détails.

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    Tous unis contre les regardeurs pirates de foot !

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    Plusieurs créateurs de contenu technologique sur YouTube ont récemment constaté la suppression soudaine de leurs vidéos éducatives, notamment des tutoriels sur l’installation de Windows 11 sur du matériel non compatible. Ces contenus, autorisés et populaires depuis des années, ont été étiquetés comme « dangereux ou nuisibles » sans possibilité de véritable recours humain, laissant penser à une intervention excessive de l’IA dans la modération.

    Face à la polémique, YouTube a rétabli les vidéos et nié tout problème lié à l’automatisation, affirmant que les suppressions et les rejets d’appels résultaient d’examens humains. Mais les créateurs, comme Rich White (CyberCPU Tech) et Britec09, restent sceptiques : leurs appels ont été rejetés en quelques secondes, et le chatbot d’assistance semble piloté par l’IA.

    Les suppressions touchent surtout les vidéos récentes, mais les créateurs craignent une suppression massive de leurs anciens contenus. Ces tutoriels sont essentiels à leur audience et à leurs revenus, certains ayant même bâti leur carrière dessus. L’incertitude les pousse à s’autocensurer, voire à suspendre des partenariats, de peur de perdre leur chaîne.

    Ironie supplémentaire : l’outil interne de YouTube continue de recommander aux créateurs de produire exactement le type de vidéos que la plateforme supprime. Les créateurs dénoncent donc un manque de cohérence et de transparence.

    YouTube, tout en assurant qu’aucune décision n’est automatisée, n’a pas dissipé les inquiétudes. Les youtubeurs technologiques redoutent désormais une modération incontrôlable qui pourrait menacer tout leur travail.

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    On va dire qu’avec ces gadgets, c’est plus un garage qu’il faut aller voir pour une révision mais plutôt un centre électro-technique.

    Autrement… prenez un vélo ^^
    Mais gaffe aux scooters qui te frôlent en te doublant sur la piste cyclable.

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    @Violence a dit dans Windows 11 : Enfin ! Microsoft répare le bouton "Mettre à jour et arrêter" qui redémarrait les PC :

    J’ai un Aorus 16x ASG pour le taf

    Tu m’étonnes que c’est rapide! :ahah:

    Ça a jasé un peu à la compta, ou c’est passé crème? :haha:

  • Aux origines D'Halloween...

    Discussions générales
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    Halloween.jpg

    Les origines d’halloween ont toujours généré un grand nombre de récits plus ou moins exacts.
    La seule chose qui semble certaine est que le mythe est né en Irlande et non aux USA
    comme on l’a prétendu pendant longtemps

    Samhain: aux origines celtiques et mystiques d’Halloween en Irlande.

    Dans le comté de Meath en Irlande se déroule depuis quelques années le Púca Festival, où les habitants célèbrent Samhain, fête celtique à l’origine d’Halloween. Pendant trois jours, les villes de Trim et Athboy, à 30 minutes environ de Dublin, vibrent au rythme de la musique traditionnelle irlandaise, des performances inspirées de la mythologie celte et de la flamme ancienne de Samhain.

    Avant que Halloween ne se pare de ses habits vert et orange et que la citrouille en devienne son emblème, c’est dans des navets que les irlandais creusaient bouche et yeux et allumaient une bougie. À quelques kilomètres de Dublin, dans le comté de Meath, se situent les villes de Trim et Athboy, où se déroule sur trois jours le Púca Festival, “púca” signifiant “fantôme” en irlandais. La région, également appelée “ancient East”, est l’une des plus anciennes et mystiques d’Irlande. À Trim se situe le plus ancien château d’Irlande, construit en 1172 par les anglo-normands et que l’on peut apercevoir dans le film Braveheart, Mel Gibson prenant part à l’histoire de la ville. Lors du festival, un marché de créateurs se tient au pied du château, où les marchands reviennent sur l’Histoire de Samhain — à prononcer Saweyn, ce qui signifie novembre — et la mythologie qui l’entoure.
    Pour les plus aventureux, des guides entourés d’acteurs proposent de revenir sur la mythologie de Samhain, les acteurs interpellant les visiteurs, nous plongeant directement dans la tradition irlandaise, démons et autres créatures venant perturber la visite au pied du château de Trim.

    Samhain ou le nouvel an celte.

    Dans la tradition celte, l’année était composée de deux saisons, une saison claire, célébrée au 31 mai, et une saison sombre, célébrée le 31 octobre. Pour les anciens celtes, il s’agit même d’une sorte de nouvel an, qui marque la transition d’une année à l’autre et l’ouverture vers l’Autre Monde, celui des ancêtres et des divinités. D’autres fêtes ponctuaient la roue de l’année, comme celle de Beltaine, qui célèbre le printemps, celle de Lugnasad, au mois d’août, qui célèbre l’été et la récolte, et celle d’Imbolg, qui célèbre la sortie de l’hiver.
    Samhain était associée à l’assemblée de Tara, qui se tenait sur la colline de Tara, dans le comté de Meath. La dernière assemblée rituelle se serait déroulée en l’an 560, où les druides se réunissaient afin de voter les lois, de célébrer la moisson ou encore de célébrer des mariages. Le 31 octobre, le roi attendait sur la colline de Tara que la flemme de Samhain s’allume sur la colline de Tlachtga, du nom d’une ancienne déesse dont les pouvoirs envahiraient le pays le soir d’Halloween, s’étant sacrifiée par amour pour un mortel afin de protéger l’Irlande. Le calendrier celte étant fixé sur les récoltes ainsi que sur la lune, Samhain durait à l’origine une semaine : trois jours avant la pleine lune de novembre, le jour de la pleine lune puis trois jours après. C’est le pape Grégoire IV qui aurait enterré les célébrations de Samhain pour laisser place à Halloween en l’an 835, la fête religieuse de la Toussaint balayant la célébration païenne.

    Des origines Nationalistes

    À la fin du XIXè siècle, le rapprochement entre Halloween et Samhain est établi afin de servir le nationalisme irlandais. En 1910, le journaliste et homme politique Arthur Griffith prend la tête du journal Sinn Féin, ancien parti nationaliste irlandais et organise l’année suivante des jeux et coutumes pour célébrer Samhain. Cependant, les origines de Samhain restent floues et seraient plus à attribuer aux auteurs et politiques du XIXè siècle qu’aux druides.
    La mère d’Oscar Wilde elle-même, Lady Francesca Wilde, a notamment publié en 1887 un ouvrage intitulé Ancient Legends, Mystic Charms and Superstitions of Ireland afin de donner à son pays ses lettres mystiques, dépeignant ainsi de nombreux rites ancestraux qui auraient eu lieu la nuit du 31 octobre au 1er novembre.

    Une pièce pour le púca

    Avant que les bonbons n’envahissent le marché d’Halloween, une tradition irlandaise toujours d’actualité permet aux plus jeunes de se faire un peu d’argent de poche. Si aujourd’hui on a l’habitude de frapper aux portes en demandant “un bonbon ou un sort”, les irlandais continuent à dire “a penny for the púca”, ou “un bonbon pour le púca”. La tradition veut que les familles fassent des gâteaux, dans lesquels les mères placent une ou plusieurs pièces : tomber sur une pièce est signe de richesse, et permet d’éloigner le mauvais sort ! Car en Irlande, le 31 mai et le 31 octobre sont célébrés comme étant deux jours où le voile entre le monde des vivants et celui des morts se trouve être fin, très fin. La colline de Tlachtga, à Trim, est même un lieu ancestral et mythique qui accueillait les druides lors de leurs rituels.
    Ainsi, au premier jour du festival de Púca, le 31 octobre, les habitants sélectionnés se rendent sur cette colline ancestrale où est allumée la flamme de Samhain, avant de descendre jusqu’à la ville d’Athboy, où se déroule la cérémonie ouverte au public. Ici, pas de citrouille mais les créatures de Púca qui viennent rendre visite aux spectateurs, cérémonie centrée autour de la flamme de Samhain, qui vient célébrer la fin des récoltes, la fin de la saison, l’ouverture du voile vers l’autre monde tout en éloignant les démons et en rendant hommage aux ancêtres. Lors de cette procession, alors que tous les autres feux du comté sont éteints, les habitants se déguisent avec des masques d’animaux, afin de ne pas être reconnus par les fées, considérées comme des créatures mesquines venues emmener les mortels vers l’Autre Monde. Les druides sacrifiaient aussi des animaux, le feu de joie permettant de se débarrasser de la négativité et d’être synonyme de chance, demandant ainsi aux ancêtres et aux divinités des récoltes fructueuses pour l’année à venir. Aujourd’hui, alors que l’herbe verte pousse partout sur la colline de Tlachtga, le lieu attribué aux sacrifices est le seul où l’herbe ne pousse pas.

    La légende de Jack-o’-lantern

    Cependant, si toutes ces traditions semblent difficiles à dater, celle de Jack-o’-lantern daterait des années 1750, en Irlande ou en Écosse. Avant que les citrouilles ne viennent habiller les porches des anglo-saxons, les irlandais utilisaient un légume bien à eux : le navet. La légende raconte que Jack, un maréchal-ferrant ivrogne et mesquin, n’aurait jamais pu entrer au Paradis à cause de la vie de débauche qu’il a mené. Mais le Diable n’était pas de son côté non plus, et lui aurait également refusé l’entrée de l’Enfer, le condamnant entre les deux mondes. Ainsi, il serait condamné à errer dans le noir avec pour seul repère un navet creusé en guise de lanterne depuis le jour de sa mort… Le 31 octobre. Dès lors, les irlandais ont pris l’habitude de creuser un navet et d’y placer une bougie le soir de Samhain.

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    Source : Geo

    https://www.geo.fr/voyage/samhain-aux-origines-celtiques-et-mystiques-d-halloween-en-irlande-229034

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    Après plusieurs sanctions imposées par les États-Unis, la Cour pénale internationale s’apprêterait à signer un contrat avec la société allemande Zendis en vue d’un déploiement de la solution openDesk, pour remplacer la suite Office de Microsoft.

    L’information a été révélée par le média allemand Handelsblatt. Osvaldo Zavala Giler, greffier de la CPI et responsable de l’informatique, a confirmé à demi-mot l’information : « Compte tenu des circonstances, nous devons réduire les dépendances et renforcer l’autonomie technologique de la Cour. »

    Portée symbolique

    Les travaux envisagés ne marqueraient pas par leur ampleur : avec 1 800 postes, la Cour pénale internationale ne détient pas une vaste infrastructure. En revanche, comme relevé par Handelsblatt, la portée symbolique du changement n’échappera à personne, les questions sur la souveraineté s’intensifiant, particulièrement en Europe.

    La Cour pénale internationale va abandonner Office au profit d’openDesk - Next

    Les « circonstances » évoquées par Osvaldo Zavala Giler sont en effet les fortes tensions avec les États-Unis depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Le président américain avait ainsi annoncé des sanctions en février dernier contre la CPI pour avoir lancé des enquêtes contre Israël pour crimes de guerre.

    En mai, on apprenait que le compte e-mail de Karim Khan, procureur de la CPI, avait été [supprimé par Microsoft](https://next.ink/206945/la-cour-penale-internationale-va-abandonner-office-au-profit-dopendesk//http://Microsoft a supprimé le compte email du procureur de la Cour pénale internationale). Interrogée devant le Sénat américain le mois suivant, l’entreprise avait nié.

    En aout, c’était au tour de Nicolas Guillou, juge français à la Cour pénale internationale, et de plusieurs autres magistrats de faire les frais de ces sanctions, avec une coupure de tous les services numériques par Microsoft. Le juge avait indiqué que ce type de sanction touchait habituellement « des membres d’Al Qaïda, de Daech, de groupes mafieux, des dirigeants de régimes dictatoriaux ».

    Nécessaire mais pas suffisant

    Sur la migration vers openDesk, Microsoft s’est montrée laconique : « Nous apprécions notre relation client avec la Cour pénale internationale et pensons que rien n’affectera notre capacité à poursuivre notre collaboration à l’avenir ». Zendis, de son côté, n’a pas répondu aux sollicitations d’Handelsblatt.

    Mais même si cette transition se fait, il faudra au minimum plusieurs mois pour aboutir à un changement effectif. De plus, comme souligné par Handelsblatt, le remplacement d’Office n’est qu’une partie du problème. Si les sanctions des États-Unis s’intensifient, toutes les entreprises américaines pourraient se voir interdire la moindre relation commerciale avec la CPI, tout comme les forces de l’ordre pourraient cesser tout envoi d’informations. Le fonctionnement de la Cour en serait largement affecté.

    Source : next.ink

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    Sans bruit ni fanfare, TiboInShape a rendu son visage et sa voix réutilisables par tout un chacun sur l’application Sora, appuyée sur le modèle de génération de vidéo d’OpenAI. Une décision qui pose de multiples questions sur les risques encourus, par le vidéaste lui-même, mais aussi par les internautes plus ou moins adeptes de son travail.

    Depuis quelques jours, les vidéos de TiboInShape inondent les réseaux sociaux. Elles ont le visage de TiboInShape, elles ont la voix de TiboInShape, mais elles n’ont pas du tout été créées par le vidéaste : elles ont été générées par IA. Bref, ce sont des deepfakes.

    Mais des deepfakes d’un genre particulier : des deepfakes a priori consentis. Sur Sora, la plateforme de génération de vidéos d’OpenAI qui vise à devenir une sorte de contre-TikTok uniquement alimenté de vidéos générées par IA, les utilisateurs peuvent rendre leur « cameo », c’est-à-dire un enregistrement de leur image et de leur voix, utilisable uniquement par eux-mêmes, en ouvrir l’accès à quelques personnes autorisées, ou le rendre accessible à tout le monde.

    C’est cette dernière option que TiboInShape, Thibaud Delapart de son vrai nom, a choisie. « Si on veut rester à l’ordre du jour, il faut rebondir de réseaux en réseaux », explique-t-il sur BFM. Et d’évoquer Sora 2, et le fait que « les gens s’amusent bien sur TikTok à me mettre en situation, en train de manger des burgers chez McDo par exemple », une situation a priori invraisemblable, pour ce roi du fitness.

    Quand bien même l’application Sora, donc les cameo de célébrités, ne sont pour le moment disponibles qu’aux États-Unis et au Canada, la décision du vidéaste étonne l’avocate spécialiste du droit du numérique Betty Jeulin. « C’est peut-être intéressant d’un point de vue marketing, mais en l’occurrence, TiboInShape est suivi par 27 millions de personnes, selon la loi française sur les influenceurs, cela lui donne une responsabilité », explique-t-elle à Next.

    Risques de détournements et d’arnaques.

    Or, une fois son image diffusée, sans restriction aucune, celle-ci peut servir — et sert déjà — à produire des vidéos quelquefois drôles, quelquefois violentes, voire injurieuses.

    Dès les premiers résultats de recherche sur TikTok, des vidéos apparaissent dans lesquelles la version IA du vidéaste tient des propos ouvertement racistes. D’autres l’utilisent pour créer de supposés journaux télévisés, selon lesquels TiboInShape aurait « porté plainte contre l’IA », une formulation très floue, intégrée dans un discours évoquant plus largement un contenu de mésinformation généré automatiquement.

    L’image de TiboInShape peut aussi servir à créer des arnaques, souligne Betty Jeulin, « un peu comme celle qui avait utilisé l’image de Brad Pitt pour piéger une internaute. Sauf que dans ce cas-là, il était difficile d’attaquer Brad Pitt : l’acteur n’avait rien fait d’autre qu’être lui-même ». C’étaient les arnaqueurs qui avaient récupéré son image pour la manipuler, puis soutirer des fonds à leur victime.

    « Dans le cas de TiboInShape, il y a une décision positive de sa part, une action pour rendre son image et sa voix disponibles. » Pour l’avocate, si une personne tombait dans le piège d’une arnaque montée à partir de l’image du vidéaste, ce dernier pourrait se retrouver assigné en justice.

    Ne pas se laisser dépasser par l’IA ?

    « Rester à l’ordre du jour », est-ce que cela suffit à expliquer la décision du vidéaste le plus suivi de France à rendre son image et sa voix réutilisables à l’envi pour générer des vidéos par IA ? Spécialiste des cultures web et autrice, la journaliste Pauline Ferrarri se déclare elle aussi « étonnée » devant le choix de TiboInShape, sur lequel ce dernier ne s’est pour le moment que très peu exprimé, mais le trouve cohérent avec sa stratégie générale d’influence.

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    Dans ma boite on vend une solution de MFA pour déverrouiller les postes utilisateurs, les logs indiquent donc chaque verrouillage et déverrouillage de session. Heureusement, nos commerciaux ne mettent pas ça en avant car plus d’un employeur serait intéressé de savoir quand et combien de temps leurs employés ont verrouillé leurs sessions.

  • Pères-Noël tueurs (Films)

    Cinéma & Séries
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    Merci @Violence pour l’info et l’ajout ! :pouce:

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    OpenAI qui va se fournir en puces AMD, Anthropic qui va utiliser celles de Google, Qualcomm qui séduit l’Arabie saoudite : un vent nouveau souffle sur le marché des puces pour l’intelligence artificielle, ultra-dominé par Nvidia. Une concurrence attisée par la diversification des technologies et le marché de l’inférence.

    Résumé:

    Nvidia conserve un quasi-monopole grâce à son avance technologique et logicielle. AMD et Qualcomm cherchent à briser cette domination. Les géants du cloud développent leurs propres puces pour plus d’autonomie. Le marché se diversifie avec l’essor des accélérateurs d’inférence.

    La Chine reste freinée par les restrictions américaines.

    Plus de 80% de parts de marché sur les puces pour l’IA, et même 94% pour les seules GPU (puces graphiques) selon le cabinet d’analyse Jon Peddie Research. L’américain Nvidia est le leader incontesté du marché des semi-conducteurs dédiés à l’intelligence artificielle. Un marché où souffle pourtant un vent nouveau. Spécialiste des processeurs pour les smartphones, le géant Qualcomm a dévoilé, lundi 27 octobre, ses deux premières puces dédiées à l’IA. Destinées à équiper les centres de données et prévues pour 2026 et 2027, elles ont déjà trouvé un premier client : l’Arabie saoudite, dont les investissements dans l’IA s’accélèrent.

    Début octobre, c’est AMD, le numéro deux des GPU qui plafonne à 5% de parts de marché, qui avait signé deux gros contrats. La société californienne va fournir pour six gigawatts de GPU à OpenAI, l’un des leaders de l’IA générative, et 50000 GPU au géant Oracle pour l’un de ses futurs clusters d’IA. Une belle victoire pour cette entreprise fondée en 1969, qui a pris plus tardivement que Nvidia le virage vers l’IA et les datacenters. «Avec les puces de sa série MI400, AMD montre sa capacité à sortir des produits équivalents à ceux de Nvidia, juge John Lorenz, directeur de l’activité Calcul et mémoire du cabinet Yole group, spécialisé dans les semi-conducteurs. Désormais, son objectif va être de confirmer cette inflexion de marché.»

    Julia Hess, chercheuse sur les semi-conducteurs au sein du think tank européen Interface, salue elle aussi «le signe positif d’une plus forte concurrence dans les puces». Mais elle nuance le rattrapage d’AMD. «S’il peut être un concurrent crédible en terme de performance des puces, sur la partie logicielle il n’est pas encore au niveau de Nvidia, malgré tous les efforts engagés ces dernières années.»

    L’écosystème logiciel Cuda, la force de Nvidia

    La partie logicielle, c’est la grande force de Nvidia. Et la clé pour comprendre son quasi-monopole. «Nvidia a compris avant toute autre entreprise que les GPU seraient essentiels pour l’IA et il a investi des milliards dans le développement d’un écosystème logiciel appelé Cuda, qui facilite le développement de systèmes d’IA, rappelle l’historien Chris Miller, auteur du livre de référence “La guerre des semi-conducteurs”. Aujourd’hui, la plupart des modèles d’IA dans le monde sont développés à partir de Cuda.»

    De la même manière, Nvidia a voulu simplifier la vie des grands fournisseurs de cloud, que sont les hyperscalers Google, AWS (Amazon) et Microsoft. «Grâce à sa position de précurseur, Nvidia n’a pas seulement innové au niveau du GPU, il a eu le temps et les moyens financiers de réfléchir à son intégration avec tous les autres composants, comme le serveur, le rack, la connectivité et la partie stockage des données. Il a ainsi construit son propre écosystème de produits, devenu la norme dans les centres de données grâce à une stratégie de partenariats engagée très tôt avec les hyperscalers», observe Julia Hess. Voilà ce qui a poussé les développeurs d’IA et les hyperscalers à se ruer sur du Nvidia. Avant de réaliser leur dépendance et de vouloir en sortir.

    OpenAI veut sa première puce maison en 2026

    Pour ce faire, OpenAI a aussi signé un contrat avec Broadcom, une société qui facilite le design des puces. Le père de ChatGPT, l’agent conversationnel désormais utilisé par plus de 800 millions de personnes chaque semaine, entend ainsi disposer de sa première puce maison en 2026, selon les informations du Financial Times. Cette démarche a déjà été celle des hyperscalers. Google a développé une puce appelée TPU (Tensor Processing Unit), celles d’Amazon se nomment Trainium et Inferentia. «Meta et Microsoft disposent également de leurs propres puces, éclaire Chris Miller. Toutes ces puces ne sont pas vendues à des clients externes, seulement utilisées en interne et par les partenaires proches, comme Anthropic pour les puces d’AWS.»

    Mais pour l’historien, «ces projets internes représentent une concurrence sérieuse» à Nvidia car ils répondent en partie aux besoins de ses grands clients : ce sont donc autant de puces qu’il ne vend pas. Surtout, la tendance montre que les hyperscalers louent de plus en plus les capacités de calcul de ces puces via leur plateforme cloud. En témoigne le contrat signé fin octobre par Anthropic, une autre start-up de l’IA générative, avec Google pour l’utilisation d’un million de puces TPU. Un contrat qui se chiffre en dizaines de milliards de dollars.

    Le nouveau marché des accélérateurs d’inférence

    «La logique des hyperscalers, c’est de vendre de la puissance de calcul à leurs clients, donc de leur offrir le choix de la meilleure puce pour leur usage, sans gâcher de puissance, contextualise John Lorenz de Yole Group. On s’oriente donc vers une diversification des technologies.» Une référence au fait que de plus en plus de puces pour l’IA sont conçues pour un type d’applications spécifique. C’est ce qu’on appelle les ASICs (application-specific integrated circuit), dont font par exemple partie les TPU de Google. Une catégorie particulièrement intéressante pour l’inférence de l’IA, la phase qui suit l’entraînement et qui correspond aux calculs faits par les modèles en fonctionnement.

    «Les GPU de Nvidia et d’AMD sont capables de tout faire, mais ce n’est pas toujours optimal, considère également Eric Eppe, directeur technologique du calcul avancé chez Eviden. De plus en plus de start-up développent donc des puces dites accélérateurs d’inférence, un marché qui devrait rapidement être plus important que celui de l’entraînement.» On y trouve par exemple la start-up californienne Groq, fondée en 2016 par un ancien de Google, considéré comme le père de TPU. Et de plus jeunes acteurs, comme Tsavorite, dont les accélérateurs d’inférence devraient arriver sur le marché en 2026, et Tenstorrent, fondée au Canada et dirigée par Jim Keller, un grand nom des semi-conducteurs passé par Apple, Tesla et AMD.

    Les start-up européennes lorgnent aussi ce marché en pleine ébullition. A l’image de la hollandaise Axelera, de l’allemande SpiNNcloud, de l’espagnole OpenChip et de la française Vsora. Fondée par Khaled Maalej, cette dernière propose une puce dont l’architecture intègre un maximum de mémoire, habituellement séparée du calcul. Elle a démarré sa production fin octobre chez le fondeur taïwanais TSMC et vise une mise sur le marché en 2026. Crédibles, ces acteurs n’en sont pas moins très petits. Et ne rattraperont pas Nvidia avant au moins une décennie.

    En Chine, des progrès limités par les capacités de production

    Pour freiner le développement technologique de son grand rival, Washington interdit les exportations de puces avancées vers la Chine, qu’elle prive aussi de machines de fabrication de pointe. Forçant Pékin à innover. Au point que le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a estimé que la Chine est «à quelques nanosecondes derrière» les États-Unis dans la fabrication de puces. Une affirmation nuancée par Chris Miller. «Huawei est l’entreprise chinoise la plus crédible, mais elle n’est pas en mesure de produire des puces à l’échelle requise, juge l’historien. Elle n’a pas accès aux capacités de fabrication avancées de TSMC, ce qui la place plusieurs années en retard dans ce domaine. Son écosystème logiciel est aussi considéré comme beaucoup moins performant.» Les contraintes de fabrication freinent aussi Alibaba et ByteDance qui, comme les hyperscalers américains, conçoivent leurs propres puces. Et la start-up Cambricon Technologies, régulièrement citée comme une start-up chinoise prometteuse dans les puces pour l’IA.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/editorial/amd-google-qualcomm-dans-les-puces-pour-l-intelligence-artificielle-la-concurrence-a-nvidia-emerge-lentement.N2240392