Actualités High-Tech

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    Protocole intéressant …Merci pour ces infos ; je vais marquer cette page pour plus tard…

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    Merde fausse joie.

    J’ai lu “Fâché de sa condamnation, X ferme” puis il y’a eu la suite 🥺

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    Floorp prend en charge les serveurs mcp depuis peu.

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    Et par exemple:

    Les 10 meilleurs serveurs et clients MCP pour l’automatisation des flux de travail IA en 2025

    https://www.datacamp.com/fr/blog/top-mcp-servers-and-clients

    Et puisqu’on parle de floorp, voilà quelque chose qui va en intéresser certains:

    L’installation des extensions Chrome est désormais prise en charge !
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    Ouaip… et le pire, c’est limite toi qu’est le coupable d’avoir fait confiance en ces boîtes.

    Maintenant que t’as partagé une bonne partie de ce que tu es, va pour retrouver un semblant d’anonymat.

  • Face à Excel et Google Sheets, Proton lance son tableur

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    Après un éditeur de texte, Proton étoffe sa suite collaborative avec un tableur nommé Sheets. Il mise sur un chiffrement de bout en bout des données pour se démarquer de la concurrence.


    Avec Sheets, Proton se lance sur le marché du tableur avec la sécurité des données comme différenciateur. (Crédit: Proton)

    Petit à petit, la suite Workspace de Proton s’enrichit pour être une alternative européenne et sécurisée aux offres de Microsoft et Google. En juillet 2024, la société suisse avait dévoilé son éditeur de texte Docs. Aujourd’hui, il lance Sheets, un tableur avec un ensemble de fonctionnalités. Ainsi l’outil est capable de transformer les données en graphiques ou diagrammes pour en faciliter l’analyse. Sans nécessiter de compétences particulières, la majorité des formules courantes sont prises en charge et des calculs, qu’ils soient simples ou complexes, sont exécutés sans difficulté.

    La plateforme inclut un mode de collaboration en temps réel : plusieurs utilisateurs peuvent travailler simultanément sur une même feuille et voir instantanément les modifications apportées. L’accès aux documents est sécurisé depuis n’importe quel appareil, et les droits de consultation ou de modification peuvent être définis avec précision, avec la possibilité de retirer un accès à tout moment. Les fichiers importés au format CSV ou XLS bénéficient automatiquement du chiffrement de bout en bout. « Une alternative robuste et respectueuse de la vie privée, qui remet le contrôle, la sécurité et la confiance entre les mains des utilisateurs », résume dans un communiqué Anant Vijay Singh, responsable produit Proton Drive.


    Le tableur de Proton intègre différentes fonctionnalités pour rivaliser avec les concurrents Excel de Microsoft et Google Sheets. (Crédit Proton)

    Intégré dans Drive

    La question de la protection de la confidentialité des données est la marque de fabrique de Proton. « Sheets applique les mêmes standards de sécurité et de conformité que l’ensemble de nos services », indique le responsable. Certifiée ISO 27001, l’entreprise a également réussi un audit SOC 2 Type II en juillet 2025, attestant de l’efficacité de ses contrôles.

    Sur la partie tarifaire, Sheets comme Docs sont intégrés dans l’offre Proton Drive. Pour les professionnels, ils peuvent choisir une formule à 10 € HT/ mois avec 1 To de stockage ou la Business Suite à 15 € HT/ mois comprenant plus de fonctionnalités. Pour mémoire, Proton a aussi lancé récemment son assistant IA Lumo capable d’analyser des ensembles de données, de rédiger des documents, de synthétiser des notes de réunion ou de planifier des séances de réflexion.

    Source : lemondeinformatique.fr

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    @Aerya Comme tous les autres.

    Je viens de le tester sur un article du genre sac de noeuds, il semble bien se débrouiller pour extraire les bonnes infos et les structurer comme il faut. (au moins aussi bien que chatgpt).

    Vu qu’il ne demande pas de login, il ne retient pas les sessions précédentes, mais c’est à la fois le prix à payer (pour le moment) et la garantie de la vie privée et pour un résumé, c’est pas un problème, je ne lui demande pas de me faire des séances de psychiatrie. 🙂

    Pour moi, tant que c’est gratuit, j’adopte.

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    Plus de détails pour éclaircir le mic-mac en cours

    Netflix a remporté l’enchère pour les activités de streaming et de production cinématographique de Warner Bros. Discovery (WBD) pour 72 milliards de dollars en actions, incluant HBO et HBO Max, mais excluant les chaînes câblées, qui seront scindées en une nouvelle entité, Discovery Global, d’ici le T3 2026.

    Paramount, en revanche, refuse d’abandonner et lance une offre publique d’achat hostile pour l’intégralité de WBD (y compris Discovery Global), proposant 108,4 milliards de dollars (30 $ par action, soit une prime de 139 %). Paramount accuse WBD d’avoir ignoré ses six offres précédentes et affirme que sa proposition est meilleure pour les actionnaires.

    WBD a rejeté l’offre de Paramount, estimant que la scission en deux sociétés est plus avantageuse à long terme. Paramount critique l’accord Netflix, arguant qu’il met en danger les actionnaires et menace les salles de cinéma et les créateurs, notamment en Europe, où la fusion créerait un monopole de la SVOD.

    Netflix, via Ted Sarandos, qualifie l’offre de Paramount de « prévisible » et affirme que son accord est bénéfique pour les consommateurs et les emplois.

    Les obstacles réglementaires sont majeurs :

    Aux États-Unis, la fusion Netflix-WBD pourrait être bloquée par le DOJ, mais l’influence politique de Trump (proche de Paramount) complique le scénario. En Europe, la fusion risque d’être jugée anticoncurrentielle. Paramount, elle, a déjà réussi à fusionner avec Skydance sous Trump, mais des allégations de paiements à Trump (via CBS News) soulèvent des questions éthiques.

    Les relations entre Trump et Paramount se détériorent après une interview controversée sur 60 Minutes, ce qui pourrait affaiblir les chances de Paramount auprès du DOJ.

    Enfin, Paramount promet de maintenir ou d’augmenter les sorties en salles, contrairement à la perception que Netflix réduirait la distribution cinématographique — bien que Sarandos ait assuré que le calendrier actuel de WBD serait respecté jusqu’en 2029.

    Conclusion :
    La bataille pour WBD est loin d’être terminée. Elle mêle milliards de dollars, enjeux réglementaires, pressions politiques et tensions industrielles. Netflix a un accord, mais Paramount ne lâche rien — et le pouvoir de décision repose désormais entre les mains des régulateurs et des actionnaires.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/12/paramount-says-it-could-get-antitrust-approval-for-wbd-before-netflix/

    Structuré par Euria

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    Un rapport de l’UE tire des leçons de l’ère Napster.

    Une analyse approfondie sur l’entraînement de l’IA et le droit d’auteur, commandée par le Parlement européen, met en garde contre la répétition des erreurs du début des années 2000, période marquée par l’essor du piratage en ligne. Plutôt que de ruiner les entreprises d’IA par des poursuites judiciaires ou de s’appuyer sur des mécanismes d’« exclusion », le rapport préconise les « licences légales » comme solution optimale. Celles-ci autorisent de fait l’utilisation d’œuvres protégées par le droit d’auteur pour l’entraînement de l’IA et devraient, à terme, profiter aux créateurs et aux entreprises du secteur.

    Lorsque Napster s’est installé sur des millions d’ordinateurs de bureau Il y a 25 ans, l’industrie musicale était terrifiée par cette menace existentielle apparente.

    Déterminée à éradiquer le problème, la réaction légale fut immédiate. Moins d’un an plus tard, la RIAA portait plainte contre Napster, et des artistes comme Metallica et Dr. Dre suivirent rapidement.

    Cette stratégie sembla fonctionner, puisque le procès intenté par la RIAA mit fin à Napster deux ans après son lancement. Cependant, le mal était fait, et la « magie » de l’accès illimité inspira de nombreuses nouvelles applications de partage, telles que LimeWire et Kazaa. Ces nouvelles applications finirent, elles aussi, par rencontrer des difficultés.

    Rapport : L’économie du droit d’auteur et de l’IA

    La réaction juridique massive contre les logiciels de partage de fichiers au début des années 2000 présente des similitudes avec les conflits actuels autour du droit d’auteur entre les ayants droit et les entreprises spécialisées en IA. Nombre d’entre eux perçoivent l’IA comme une menace existentielle, et des dizaines de procès retentissants sont en préparation. Parallèlement, les législateurs examinent la nécessité d’une intervention.

    D’après un nouveau rapport préparé pour le Parlement européen, les poursuites judiciaires ne constituent pas une solution adéquate au piratage et ne permettront pas non plus de résoudre les défis actuels posés par l’IA. Intitulé « L’économie du droit d’auteur et de l’IA » , ce rapport a été commandé par la commission des affaires juridiques (JURI) du Parlement européen afin d’éclairer l’élaboration de la législation future.

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    L’auteur du rapport, Christian Peukert , professeur de numérisation, d’innovation et de propriété intellectuelle, a mené par le passé des recherches approfondies sur les défis liés au droit d’auteur en matière d’IA et de piratage.
    L’application de la loi ne fonctionne pas

    La conclusion générale est que multiplier les obstacles à l’utilisation de contenus pour l’entraînement des IA nuira à l’économie et au public. L’UE devrait plutôt s’inspirer des leçons tirées du piratage en ligne.

    L’un des enseignements à tirer est que les premières actions et législations antipiratage, telles que les poursuites contre Napster ou les nouvelles lois antipiratage en France et en Suède, se sont avérées largement inefficaces. Ces mesures ont généralement entraîné des hausses de ventes éphémères, rapidement éphémères, les pirates se tournant simplement vers d’autres sites et services.

    Le tournant décisif s’est produit avec la mise à disposition du public des téléchargements légaux et des services de streaming. Tout a commencé avec iTunes, pionnier du téléchargement de musique, suivi par des services de streaming comme Spotify et Netflix.

    « Ces innovations ont réussi à modifier les comportements des consommateurs en faveur d’une consommation légale. Les données agrégées indiquent que la consommation de musique illégale est en baisse constante depuis 2010, tandis que la consommation de films et de séries télévisées illégales est restée stable et a diminué plus lentement », écrit le professeur Peukert.

    Licences obligatoires et légales

    Au lieu de freiner le développement de l’IA en limitant l’accès aux contenus protégés par le droit d’auteur, le rapport propose un système de licences obligatoires et légales. Ce système garantirait aux développeurs d’IA le droit d’utiliser toutes les œuvres publiées. En contrepartie, une autorité indépendante fixerait un taux de redevance pour indemniser les ayants droit.

    Cela autoriserait de fait l’utilisation d’œuvres protégées par le droit d’auteur pour l’entraînement des IA, comme le font déjà certains pays. Cependant, dans ce cas, les ayants droit recevraient une compensation.

    Les licences légales diffèrent des accords de licence conclus avec les services de streaming en ligne tels que Spotify et Netflix. Le rapport le reconnaît, mais souligne que les modèles de licence directe ne constituent pas une solution optimale pour l’entraînement des IA à grande échelle.

    Si Spotify collabore avec un nombre limité de maisons de disques et d’éditeurs, ses modèles d’IA nécessitent des données d’entraînement provenant de l’ensemble d’Internet, notamment des milliards de textes, d’images et de vidéos. Le rapport affirme qu’identifier et négocier avec des millions de propriétaires de sites web, de créateurs et de photographes est pratiquement impossible.

    Cette approche de licence individuelle serait particulièrement problématique pour les petites startups spécialisées en IA, qui n’ont pas les ressources nécessaires pour négocier des milliers d’accords.

    Aucune possibilité de retrait

    L’aspect le plus controversé du rapport est sans doute sa mise en garde contre un modèle de « désinscription » permettant aux détenteurs de droits d’exclure leur contenu. Il soutient que ces désinscriptions créent des « lacunes » dans les données d’entraînement, ce qui risque de biaiser les modèles d’IA.

    Du point de vue du bien-être économique, le rapport classe le modèle de « désinscription » comme la pire option possible, pire encore que de ne rien faire.

    « Lorsqu’un titulaire de droits exerce son droit de retrait, il ne tient pas compte du fait que cela diminue la valeur pour la société », souligne le rapport. Ce dernier conclut que les titulaires de droits ne devraient en aucun cas pouvoir se soustraire à l’entraînement de l’IA.

    La leçon de Napster

    Dans l’affaire Napster il y a 25 ans, le tribunal a explicitement rejeté le système de licences légales car il permettrait à un contrevenant de payer une amende pour continuer à enfreindre la loi.

    Le rapport suggère que, cette fois-ci, il faudrait inverser le raisonnement. L’IA promet des avantages considérables pour les consommateurs, estimés à 97 milliards de dollars par an rien qu’aux États-Unis ; c’est pourquoi le rapport soutient que le développement de l’IA ne devrait pas être freiné.

    Pour la formation en IA, les entreprises devraient être autorisées à « poursuivre leurs activités » moyennant le paiement d’une redevance, car restreindre l’accès aux œuvres protégées par le droit d’auteur détruirait une trop grande valeur économique.

    « L’intelligence artificielle diffère considérablement des cas historiques de piratage en ligne, car elle génère d’importants bénéfices nets pour la société tout en utilisant des œuvres protégées par le droit d’auteur. Par conséquent, un régime permettant la poursuite des activités est dans l’intérêt de la société », indique le rapport.

    S’appuyant sur ces enseignements historiques et sur des modèles détaillés de bien-être économique, le rapport considère les licences légales obligatoires comme la meilleure solution pour relever les défis posés par le droit d’auteur de l’IA en Europe. Reste à savoir si les titulaires de droits et les législateurs parviendront à un accord.

    Source: https://torrentfreak.com/eu-report-distills-ai-training-lessons-from-napster-piracy-era-dont-sue-license/

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    @patricelg a dit dans Pourquoi les fans de jeux vidéo sont devenus la cible préférée des hackers :

    Vous savez pourquoi les hackers ne sortent que très peu de chez eux ?

    Spoiler

    Par crainte d’attraper un virus !

    :mouhaha: :loool: :pas_taper: :clac:

    @Psyckofox a dit dans Pourquoi les fans de jeux vidéo sont devenus la cible préférée des hackers :

    @patricelg

    Ho purée mazette 🤣

    T’as bien fait de sortir 😁

    :loool:

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    Analyse approfondie de cette problématique de norme d’affichage:

    Lorsque Valve a annoncé le mois dernier sa nouvelle console Steam Machine , certains joueurs attentifs ont peut-être été surpris de constater que la fiche technique officielle mentionnait la prise en charge de la sortie HDMI 2.0, plutôt que la norme HDMI 2.1, plus récente et offrant une bande passante supérieure, introduite en 2017. Valve explique désormais à Ars que, bien que la console soit compatible HDMI 2.1, l’entreprise rencontre des difficultés pour assurer une prise en charge complète de cette norme en raison de pilotes Linux « encore en développement côté logiciel ».

    Comme nous l’avions indiqué l’année dernière , le HDMI Forum (qui gère les spécifications officielles des normes HDMI) a officiellement bloqué toute implémentation open source de HDMI 2.1. Cela signifie que les pilotes AMD open source utilisés par SteamOS ne peuvent pas implémenter pleinement certaines fonctionnalités spécifiques à la norme de sortie mise à jour.

    « À l’heure actuelle, une implémentation open source de HDMI 2.1 n’est pas possible sans enfreindre les exigences du Forum HDMI », avait déclaré à l’époque Alex Deucher, ingénieur chez AMD.

    Ils font ce qu’ils peuvent

    Cette situation a causé d’importants problèmes à Valve, qui a indiqué à Ars avoir dû valider le matériel HDMI 2.1 de la Steam Machine sous Windows lors des tests. Concernant les performances HDMI sous SteamOS, un représentant de Valve a déclaré à Ars : « Nous travaillons à débloquer la situation. »

    Cela inclut le déblocage des limites de résolution et de fréquence d’images de l’HDMI 2.0, qui plafonnent à 60 Hz pour une sortie 4K , selon la norme officielle. Valve a toutefois indiqué à Ars avoir pu augmenter cette limite à « 4K à 120 Hz », comme indiqué dans la fiche technique de la Steam Machine, grâce à une technique appelée sous-échantillonnage de la chrominance .

    Ce procédé consiste essentiellement à compresser les données de luminance qui définissent la gamme de couleurs du signal vidéo. Ainsi, SteamOS peut optimiser la résolution et la fréquence d’images malgré la bande passante plus limitée des pilotes HDMI 2.0 de Linux.

    D’après la plupart des avis, la réduction des informations de couleur due au sous-échantillonnage de la chrominance peut affecter sensiblement la qualité globale de l’affichage vidéo. Cependant, les testeurs d’écran de RTINGS estiment que cela ne devrait pas « affecter significativement la qualité d’image » et que seuls « certains jeux PC, notamment ceux qui mettent l’accent sur le texte, pourraient souffrir » d’un léger flou au niveau des mots affichés à l’écran. Les joueurs souhaitant éviter ce problème peuvent utiliser la sortie DisplayPort 1.4 de la Steam Machine, qui offre une bande passante supérieure à celle du HDMI 2.1 (et qui peut être convertie en signal HDMI à l’aide d’un simple adaptateur). (mais je ne suis pas sûr que le displayport soit compatible VRR avec les cartes NVidia qui utilise des puces G-SYNC).

    L’absence de prise en charge complète de la norme HDMI 2.1 limite également la gestion des taux de rafraîchissement adaptatifs par la Steam Machine. Valve indique que la Steam Machine prend actuellement en charge la norme FreeSync d’AMD via HDMI, mais ne peut pas prendre en charge la norme HDMI-VRR plus générale autorisée par la norme 2.1, en raison des problèmes de pilotes mentionnés précédemment. Cela pourrait poser problème dans certains salons, car de nombreux téléviseurs compatibles HDMI-VRR ne prennent pas en charge spécifiquement la norme FreeSync d’AMD (consultez une liste comme celle-ci pour savoir lesquels).

    Ces problèmes de normes vidéo ne constituent pas un obstacle majeur pour le projet Steam Machine, et la plupart des joueurs ne remarqueront probablement même pas l’absence de ces fonctionnalités. Néanmoins, cette situation met en lumière certains points de conception que Valve doit prendre en compte lors du développement de nouvelles consoles de jeux sous Linux.

    Source: https://arstechnica.com/gaming/2025/12/why-wont-steam-machine-support-hdmi-2-1-digging-in-on-the-display-standard-drama/

  • Comment l’IA assèche le monde de l’électronique

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    Votre nouvel ordinateur ou smartphone va bientôt vous coûter plus cher. Et c’est un peu de la faute de ChatGPT

    Dans la Mecque des bricoleurs informatiques, le quartier scintillant de néons de Akihabara, à Tokyo, au Japon, quelques geeks ont récemment vu apparaître des panonceaux peu ordinaires : des restrictions d’achat sur les disques durs et autres barrettes de mémoire vive (RAM), particulièrement utiles pour le stockage d’informations et la rapidité de traitement d’un ordinateur. Pas plus de huit articles dans le panier, signalent des affiches. Sur les sites spécialisés, les clients ont vite remarqué l’emballement : le prix de certaines RAM a crû de 500 %, celui de disques durs de 100 %. Tous les signes avant-coureurs d’une pénurie.

    Quelques fabricants d’ordinateurs, comme Dell ou HP, l’ont confirmé sans détour ces dernières semaines : les prix vont grimper. Car ces composants représentent jusqu’à un cinquième de leur tarif final. Et la contagion pourrait s’étendre au-delà. Des smartphones aux véhicules modernes, en passant par les simples clés USB et les équipements médicaux : toute l’électronique mondiale a également besoin de ces pièces dédiées à la mémoire pour son bon fonctionnement. “Les appareils les plus touchés seront clairement les smartphones d’entrée de gamme à moins de 300 euros, mais chaque fabricant fixera sa stratégie en fonction de la variation du prix d’achat et sa capacité à bien négocier”, a estimé un responsable de Motorola dans Le Parisien. La réaction d’Apple est très attendue. Que se passe-t-il au juste ?

    Le boom des puces HBM

    La cause se trouve loin des étals d’Akihabara : dans les salles climatisées des data centers. La demande en intelligence artificielle générative dope désormais la croissance en composants mémoire. Les agents de conversation comme ChatGPT, Claude, Gemini ou Le Chat en ont besoin pour mémoriser les conversations et y répondre de manière pertinente. Ces composants mémoire permettent aussi aux utilisateurs de réaliser des commandes (ou prompts) plus longues. Ce que l’on appelle le “contexte”. Aux débuts de ChatGPT, il y a trois ans, celui-ci s’étendait à environ 4 000 “tokens” ou 3 000 mots - un très long article de presse. Aujourd’hui, il dépasse allègrement les 200 000 tokens, voire un million. Au moins cinq à dix romans complets.

    Tous les serveurs IA requièrent donc aujourd’hui une puce spéciale, dite HBM (High Bandwitch Memory), pour mémoire à large bande passante. Moins stratégiques que les désormais célèbres puces “GPU”, décisives pour le calcul, elles demeurent néanmoins indispensables pour la montée en gamme des modèles d’intelligence artificielle générative. Cela s’est d’ailleurs matérialisé dans les ventes. “Les produits mémoire occupaient la deuxième place en termes de ventes, avec une augmentation de 78,9 % en 2024 pour atteindre un total de 165,5 milliards de dollars”, note l’une des principales associations de semi-conducteurs au monde, la SIA, dans son rapport 2025. La World Semiconductor Trade Statistics estime quant à elle que la mémoire devrait connaître le plus grand bond en termes de vente en 2026, avec plus de 40 % de croissance. La puce HBM y contribuera en majorité. OpenAI a notamment signé des accords préliminaires avec Samsung et SK Hynix pour son projet Stargate, qui demande jusqu’à 900 000 plaquettes HBM par mois d’ici 2029, ce qui représente le double de la production mondiale actuelle.

    Le problème est que ce composant est fabriqué par les mêmes constructeurs que les autres puces mémoires qui alimentent les smartphones ou les ordinateurs, sur une technologie antérieure dite DRAM. Deux acteurs sud-coréens, SK Hynix et Samsung, ainsi qu’un américain, Micron, règnent sans partage sur ce marché. Or “la technologie HBM se vend plus cher que la DRAM, et les marges sont meilleures”, note Khaled Maalej, patron de l’entreprise de semi-conducteurs Vsora. La tentation de délaisser la production des autres puces est forte. Micron a ainsi abandonné, cette semaine, la production de mémoire pour le grand public, se concentrant sur les usages professionnels liés à l’IA. Samsung a un temps pensé à faire de même, avant de rétropédaler, selon Reuters. SK Hynix a atteint des sommets en Bourse grâce au HBM, une catégorie qu’elle domine technologiquement à la manière de Nvidia dans les GPU. Pas de quoi, donc, arranger la pénurie naissante.

    “L’irrationalité de l’IA n’a pas été envisagée”

    Claire Troadec et Pierre Cambou, analystes au sein de Yole Group, une société spécialisée dans la recherche sur les semi-conducteurs, décrivent un “empilement de tensions”. L’IA absorbe une part croissante de la capacité mondiale, les fabricants de smartphones remplissent leurs entrepôts pour la fin d’année et le Nouvel an chinois - des périodes de forte vente -, et la mémoire reste un produit historiquement volatil, dont les produits sont interchangeables. Trois forces qui, combinées, créent un marché instable, presque spéculatif.

    Le retour à la normale ne se produira pas avant fin 2026, estiment Claire Troadec et Pierre Cambou : “Ce serait se mentir que de croire que la situation est temporaire.” Il faut que de nouvelles usines soient construites. Mais l’industrie des puces ne lance pas ce genre de chantier à la légère. Certains cycles sont brutaux. Il y a deux ans, une chute de la demande en mémoire avait entraîné des pertes importantes au sein de plusieurs entreprises du secteur. Toutes ne se sont pas encore remises du choc. Une même prudence est observée dans le domaine du HBM. Si la “bulle IA” explose, les commandes pourraient se tarir.

    En attendant, les alternatives à Micron, SK Hynix et Samsung sont rares. Toute première gamme de puces à avoir été lancées, les “mémoires” ont perdu de leur attrait au fil des décennies face aux puces logiques, comme les CPU ou les GPU. Aujourd’hui, ces dernières accaparent la majorité des investissements dans l’IA. Mais cette crise pourrait toutefois profiter à certains. Les fabricants chinois de mémoire DRAM d’entrée de gamme, comme ChangXin Memory Technologies (CXMT) ou YMTC, tiennent ici une opportunité unique de monter en gamme, observent les stratèges de Yole Group. Et de récupérer des parts de marché qu’abandonnent les fabricants sud-coréens et américains. L’Europe, elle, reste spectatrice. Depuis la faillite de l’allemand Qimonda en 2009, elle ne produit presque plus de puces mémoire sur son sol.

    “L’industrie des puces n’a jamais vécu une croissance aussi forte sur la demande en computing, c’est un élément nouveau”, pointe Khaled Maalej, qui y voit un bouleversement plus profond. “Un vrai retournement se produit. Avant, le marché des puces était dicté par le smartphone, le sans-fil (wireless). Maintenant c’est le data center.” Un constat partagé par les analystes de Yole Group. “L’irrationalité de la demande en IA n’avait pas été envisagée. Depuis 2024, nous augmentons nos prévisions en termes de demande à chaque trimestre. Du jamais-vu. Il y a une dizaine de projets d’usines dans le monde, à plusieurs milliards de dollars. Et cela ne suffit toujours pas.” D’autres secousses sont à prévoir.

    Source: https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/comment-lia-asseche-le-monde-de-lelectronique-il-y-a-un-vrai-retournement-ZQB72VXR3VCCPA5TBV3S2UMHY4/

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    perso je fais mes sauvegardes sur 3 disques distinct dont un à froid, une tous les jours, une toutes les semaines et une tous les mois

    le journalier me sert pour les documents, les trucs rapide
    celui de la semaine c’est pareil mais plus large
    et celui du mois c’est sauvegarde du système + image

    tous les mois, je sors mon disque, je le range dans un endroit sur et bien à l’abri

    et je change de disque

    disque A janvier
    disque B février
    disque C mars
    etc…

    j’ai 3 disques de 6 to, 3 disque de 1 to et 3 clés usbs de 128 go (Kingston DataTraveler), je les change tous les 1 an environ et je garde toujours les anciennes, on ne jamais, idem pour les disques durs.

    je stock les 1 jour / 1 semaine au même endroit, et les disques durs sont dans un autre endroit, en cas de cambriolage ou incendie ou autre.

    je ne sais pas si mon workflow de sauvegarde est bien, mais il me convient parfaitement, j’ai déjà eu quelques accidents et grâce à mes sauvegardes, je n’ai eu aucune perte.

    Avec Windows 11 aussi, j’ai activé l’historique des fichiers, ça c’est vraiment top.

    Si j’avais eu tout ça quand j’ai fait les conneries du début, j’aurai perdu aucun fichier que je regrette tellement encore aujd 😞

    Après, rien n’est infaillible, les disques peuvent sauter en même temps, ou je sais pas mais je pense que je limite pas mal la casse.

    J’utilise la Sauvegarde Windows Standard et le magnifique https://freefilesync.org/

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    En Australie, Meta exclut les moins de 16 ans de ses plateformes, avant l’entrée en vigueur d’une loi les excluant des réseaux sociaux

    Alors que l’Australie s’apprête à exclure massivement les mineurs des réseaux sociaux, Meta et YouTube alertent sur les limites et les paradoxes d’une mesure inédite à l’échelle mondiale.

    Le géant technologique américain Meta a annoncé, jeudi 4 décembre, commencer à supprimer les comptes des utilisateurs australiens de moins de 16 ans sur Instagram, Threads et Facebook, devançant leur exclusion généralisée des réseaux sociaux le 10 décembre − une première mondiale voulue par Canberra pour les protéger des algorithmes « prédateurs ».

    « Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d’ici au 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes », a déclaré un porte-parole du groupe.

    Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et, « avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l’accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les aviez laissés », a-t-il ajouté.

    Le géant technologique américain Meta a annoncé, jeudi 4 décembre, commencer à supprimer les comptes des utilisateurs australiens de moins de 16 ans sur Instagram, Threads et Facebook, devançant leur exclusion généralisée des réseaux sociaux le 10 décembre − une première mondiale voulue par Canberra pour les protéger des algorithmes « prédateurs ».

    « Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d’ici au 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes », a déclaré un porte-parole du groupe.

    Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et, « avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l’accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les aviez laissés », a-t-il ajouté.

    Le gouvernement australien a reconnu que l’interdiction serait loin d’être parfaite au début et que certains jeunes Australiens passeraient entre les mailles du filet avant que le système ne soit amélioré. Le premier ministre australien, Anthony Albanese, a qualifié les réseaux sociaux de « plateformes de pression sociale, vectrices d’anxiété, un outil pour les arnaqueurs et, pire que tout, pour les prédateurs en ligne ».

    Les opérateurs en infraction s’exposeront à des amendes de près de 28 millions d’euros sans « avancées raisonnables » pour se mettre en conformité. Cependant, ce concept n’a pas été clairement expliqué par les autorités.

    La ministre des communications australienne, Anika Wells, a qualifié la position de l’entreprise de « franchement étrange ». « Si YouTube nous rappelle à tous qu’il n’est pas sûr et qu’il contient des contenus inappropriés pour les utilisateurs soumis à une restriction d’âge, c’est un problème que YouTube doit résoudre », a-t-elle déclaré. Pour M<sup>me</sup> Wells, « cette loi en particulier ne résoudra pas tous les problèmes liés à Internet, mais elle permettra aux enfants de devenir plus facilement une meilleure version d’eux-mêmes ».

    Source : lemonde.fr

  • Samsung présente son premier téléphone pliable en trois

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    C’est une période formidable pour les guitaristes qui ne souhaitent pas s’encombrer d’amplis à 2 000 $ et d’un pédalier hors de prix. Les simulateurs d’amplis et de pédales, qui existent depuis des décennies, se sont enfin imposés ces dernières années comme des alternatives sonores quasi identiques. Même John Mayer est désormais prêt à troquer ses amplis à lampes adorés contre des modèles numériques .

    Je n’ai certes pas le talent ni le budget de Mayer, mais j’adore bidouiller avec ce genre de technologie et j’ai acheté tout le matériel, de NeuralDSP la série Archetypes de à Amplitube et Guitar Rig . La semaine dernière, profitant des soldes anticipées du Black Friday, j’ai acquis deux suites d’amplis et d’effets du développeur britannique Polychrome DSP : Nunchuck (amplis Marshall) et Lumos (sons clairs et saturés). Ils sont tous deux excellents.

    Toute personne raisonnable devrait se satisfaire de cette configuration technique, qui reproduit des équipements dont le prix cumulé équivaut à celui de ma maison. Après mes achats de logiciels de traitement du signal Polychrome, je me suis rappelé que je suis une personne raisonnable et que je peux donc ignorer toute autre simulation d’ampli susceptible de me tenter.

    Et puis lundi, Universal Audio, l’un des noms les plus prestigieux en matière de technologie audio, a sorti Paradise Guitar Studio. Malheureusement pour mon portefeuille, il est incroyable.

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    Le simulateur d’ampli Dumble de Paradise est génial

    Deux billets pour le paradis

    Universal Audio (ci-après « UA ») développe depuis de nombreuses années des émulations haut de gamme d’équipements de studio classiques. Plus récemment, la société a également lancé une série d’amplis modélisés, disponibles sous forme de plugins et de pédales physiques, chaque pédale étant vendue à plus de 300 dollars.

    Avec Paradise Guitar Studio, la société a intégré la plupart (mais pas tous ; Anti et Knuckles ne sont pas inclus) de ces amplis dans un seul plugin, puis les a associés à une généreuse suite d’équipements de mise en forme du son, comprenant six pédales de distorsion classiques, sept unités d’effets de modulation, quelques compresseurs, quatre délais, quatre réverbérations et quelques égaliseurs.

    Côté amplis, vous en avez six : plusieurs Fender, un Marshall, un Vox AC 30 et un Dumble. La plupart existent en plusieurs versions et avec quelques modifications ; le Dumble, à lui seul, propose quatre itérations différentes de son légendaire matériel boutique et vous permet d’ajuster son circuit principal en modifiant la valeur des condensateurs et les niveaux de réglage internes.

    Chaque ampli est fourni avec une sélection de simulations de baffle et de micro spécialement choisies. À Paradise, vous pouvez utiliser n’importe quel ampli avec n’importe quelle configuration de micros et de baffles. Envie d’associer un Fender Twin Reverb à un baffle Marshall 4x12 microphoné par deux SM57 ? Lancez-vous !

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    Vous pouvez avoir jusqu’à 10 unités d’effets, cinq avant l’ampli et cinq après

    Le son est stupéfiant. UA est réputé pour ses émulations de compresseurs 1176, de délais à bande et d’unités de réverbération Lexicon, et tout cet équipement a été intégré à Paradise. (Certaines commandes sont simplifiées, mais il semble s’agir de la version complète de ces outils.) De plus, chaque ampli permet de contrôler la quantité de réverbération captée par les micros, et cette simulation de pièce est incroyablement convaincante.

    Paradise trouve le juste équilibre – du moins pour moi – en offrant un grand nombre d’options sans en faire trop. On peut placer cinq effets avant l’ampli et le baffle, et cinq après. L’interface est large et claire, avec des boutons et des potentiomètres bien visibles, et il est facile de créer un nouveau pédalier et de trouver le son parfait. Le fait que Paradise propose plusieurs centaines de préréglages, d’excellente qualité, est un atout indéniable.

    Bien que Paradise, Polychrome DSP et NeuralDSP surpassent Amplitube en termes de qualité sonore, leur principal atout réside dans leur facilité d’utilisation. Amplitube est un véritable fouillis d’amplis et d’effets à agencer en chaînes de routage complexes : division des signaux, utilisation de boîtes de direct, placement de micros virtuels près de haut-parleurs virtuels, sélection de l’acoustique de la pièce et manipulation d’une multitude de boutons presque illisibles. C’est excessif. À un certain point, cette profusion de choix nuit à la créativité.

    J’ai enregistré deux petites démos à Paradise en quelques heures, histoire de vous donner un aperçu des sonorités disponibles. (Vous pouvez les écouter ci-dessous.) L’une utilise beaucoup de sonorités rock typiques des années 80, tandis que l’autre met en valeur des sonorités proches de la saturation sur le Dumble. Je n’ai utilisé aucun matériel sophistiqué : une simple guitare PRS bon marché et une basse bas de gamme trouvée sur Craigslist, branchées directement sur une interface audio dans mon bureau.

    Son 1: https://cdn.arstechnica.net/wp-content/uploads/2025/12/Paradise-rock-demo.m4a?_=1

    Son 2: https://cdn.arstechnica.net/wp-content/uploads/2025/12/Paradise-demo-clean.m4a?_=2

    Des inconvénients ? Comme beaucoup de produits UA, Paradise est cher. Son prix de lancement est de 149 $, mais une offre de fidélité est proposée aux possesseurs d’anciens simulateurs d’amplis UA. Sachant que NeuralDSP et Polychrome DSP ont récemment bénéficié de 50 % de réduction, et qu’Amplitube est quasiment offert en ce moment, vous pourriez dépenser davantage pour Paradise. Cependant, ce prix est justifié, et il y a fort à parier que Paradise sera proposé à un prix très avantageux dans l’année à venir.

    La déception sera sans doute plus grande pour ceux qui ont déjà investi dans les plugins d’amplis d’UA et qui les trouveront désormais quasiment obsolètes. Même avec une mise à niveau à 79 $, les utilisateurs fidèles d’UA pourraient dépenser au total plus que les nouveaux acheteurs pour obtenir Paradise.

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    Voici quelques-unes des pédales proposées

    Deuxièmement, Paradise est exclusivement un plugin. Il n’existe pas de version autonome du logiciel ; par conséquent, pour commencer une session d’entraînement, il faut lancer un séquenceur comme Logic ou Pro Tools, ajouter Paradise à une piste ouverte et configurer les entrées et le monitoring – une étape supplémentaire fastidieuse si vous n’enregistrez rien. Amplitube, Guitar Rig, Lumos, Nunchuck et les collections NeuralDSP fonctionnent tous soit comme plugins, soit comme applications autonomes. C’est une lacune étrange, mais significative en termes de fonctionnalités.

    Enfin, parlons du son. Paradise sonne très bien, mais il semble principalement conçu autour des sonorités rock classiques des années 60 à 90, ce qui se reflète dans la plupart des noms de presets. Si vous jouez du metal avec un gain élevé, ce n’est probablement pas le meilleur choix pour le moment ; privilégiez plutôt NeuralDSP ou un logiciel similaire. De même, si vous êtes un guitariste plus moderne ou expérimental, vous préférerez peut-être Guitar Rig, qui propose des effets vraiment originaux, ou la suite McRocklin de Polychrome.

    Mais ce ne sont que des critiques. En réalité, il n’y a jamais eu de meilleur moment pour être guitariste. Même les guitaristes amateurs peuvent désormais sonner comme des virtuoses pour un prix modique (et sans faire trembler les murs, réveiller les voisins ou préchauffer les lampes au préalable).

    Comme tout outil, une bonne suite de simulation d’amplis se distingue par sa capacité à libérer la créativité. J’ai passé des heures sur chacune des meilleures simulations d’amplis mentionnées ici, à peaufiner les sonorités et à explorer les préréglages jusqu’à tomber soudainement sur celui qui évoque instantanément une chanson, une ambiance ou un motif rythmique. C’est également le cas de Paradise, dont le son est si bon que j’ai constamment envie de prendre ma guitare. Et n’est-ce pas là l’objectif ?

    Source: https://arstechnica.com/culture/2025/12/guitar-amp-sims-have-gotten-astonishingly-good/

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    @duJambon a dit dans Corée du Sud : 120 000 caméras personnelles hackées pour diffuser du contenu sexuel :

    @Raccoon a dit dans Corée du Sud : 120 000 caméras personnelles hackées pour diffuser du contenu sexuel :

    caméras de foyers et d’entreprises et d’avoir utilisé les images récupérées pour fabriquer des contenus d’exploitation sexuelle

    Entreprise ??? :lol: Même flouté, j’aimerais bien voir ça.

    Il y a un début d’explication à cela dans la suite de l’article, je cite :

    Cachées dans les toilettes publiques, les hôtels, l’espace public… en Corée du Sud, les scandales provoqués par l’installation de caméras dans des lieux indus ou l’exploitation illégale des flux vidéo enregistrés se sont produits à répétition, ces dernières années, au point que les femmes descendent dans la rue pour protester contre le phénomène. Entre 2011 et 2022, la police a réalisé près de 50 000 arrestations liées à l’usage de caméras pour créer des contenus ouvertement sexuels, rapporte le New-York Times.

  • La course aux armements atteint des sommets

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    @Memorex91 a dit dans La course aux armements atteint des sommets :

    Au moindre souci de trajectoire du missile, ils auraient très bien pu en devenir la cible.

    Bah ! On coupe au montage, c’est juste des dégâts collatéraux. 🙂

    On ne fait pas encore la guerre sans chair à canons.

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    Pas de chance, le gouvernement indien va devoir payer pour obtenir les données qu’Apple collecte de toute façon et ne veut pas qu’il les obtienne gratuitement. Idem pour Google, j’imagine…

    Quant aux consommateurs, ce sont toujours les dindons de la farce.

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    Je suis tout de même bluffé par sa capacité d’interprétation de dessins.
    Je lui ai présenté celui-là que je ne comprenais pas et il me l’a expliqué. Il a même “compris” qu’il s’agissait d’un dessin humoristique et où était la blague.

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  • ChatGPT prépare un changement qui risque de déplaire

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    Une découverte dans le code de la dernière version bêta de l’application Android laisse présager l’arrivée de publicités dans l’offre gratuite du service d’IA générative.

    Le fonctionnement de la version gratuite de ChatGPT pourrait bientôt changer. Une découverte partagée samedi sur le réseau X par Tibor Blaho, ingénieur qui suit de près les évolutions techniques du célèbre robot conversationnel, montre que le service d’OpenAI prépare l’intégration de publicités. Dans le code de la version bêta 1.2025.329 de l’application Android, on trouve des éléments tels que «ads feature», «search ad» ou encore «search ads carousels», qui pourraient faire référence à l’affichage d’annonces publicitaires pour les utilisateurs.

    Destinée à financer le service par la publicité, cette nouveauté devrait concerner la version gratuite de l’application. Contrairement aux offres payantes, celle-ci impose des limites d’utilisation aux utilisateurs, ce qui pourrait inciter certains d’entre eux à migrer vers un abonnement si l’ajout de publicités venait à se confirmer.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/openai-chatgpt-prepare-un-changement-qui-risque-de-deplaire-103461702

    Sans blague, il faudrait donc payer pour utiliser un truc aussi coûteux ? Qui l’eut cru ?