L’administration du Tennessee veut rajouter des Trous de balle dans le corps en saignant…
Pluton9
Messages
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C’est bien @Snoubi, tu fais des efforts…
Sur le fond, qu’est ce que l’on a à faire que cette artiste soit attirée les hommes, les femmes, les non binaires, les aliens ou les ratons laveurs?
C’est sa vie ! -
Ménage le suspens @Violence!!
T’aurais pu dire “Non non, plus rien, on a tous décidé d’entrer dans la lumière du droit chemin”, alors que là, d’office, tu vends la mèche…
On peut même plus se fendre la poire 5mn -
Et la Palme de la semaine revient à Poncho… Personnellement, j’aime beaucoup
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Pas très inspiré cette semaine…
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Pour un résumé non exhaustif…
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À chacun son coussin…
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Une patiente américaine souffrant de troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sévères et d’épilepsie s’est fait implanter des électrodes dans le cerveau. Grâce à la stimulation cérébrale profonde, les symptômes de ses deux maladies se sont nettement améliorés. Une première mondiale.
Amber Pearson, une Américaine de 34 ans et patiente au Oregon Health & Science University (OHSU) a reçu un implant cérébral pour traiter ses crises d’épilepsie. Ses médecins ont réussi à utiliser ce même implant pour lutter contre un autre trouble dont elle souffre, des TOC.
L’intervention chirurgicale a enfin soulagé la patiente des symptômes de ses deux maladies, et la procédure est toujours efficace même quatre ans plus tard. L’étude de cas a été publiée dans la revue Neuron.
Bien qu’on utilise parfois cette expression à la légère, le TOC est une maladie psychique grave qui touche 2 à 3% des Français. Cette forme de trouble anxieux peut réellement handicaper les patients dans plusieurs facettes de leur quotidien.
Le TOC se caractérise par deux principaux symptômes. D’une part, les obsessions : des pensées dérangeantes, envahissantes et récurrentes qui engendrent une forte anxiété. D’une autre part, les compulsions : des comportements ou des rituels que le patient se sent obligé de répéter – c’est pour lui la seule manière d’apaiser l’anxiété causée par ses obsessions.
Par exemple, le patient peut être obsédé par l’idée d’avoir oublié de verrouiller sa serrure, au point où il sera incapable de quitter sa maison, car il reviendra sans cesse la vérifier. Et pas qu’une ou deux fois… Une personne atteinte de TOC peut répéter sa compulsion plusieurs centaines de fois dans une même journée.
“Avant de commencer le traitement de stimulation cérébrale profonde, je me lavais les mains jusqu’au sang. Mes mains étaient si sèches que ma peau se crevassait dès que je pliais les doigts, raconte Amber Pearson dans un communiqué. Mon TOC avait le contrôle sur ma vie.”
En plus du temps perdu à refaire les mêmes actions et de la douleur qu’elles peuvent causer, ce trouble complique souvent les relations interpersonnelles et cause ainsi d’importantes souffrances psychologiques. Et malheureusement pour les patients atteints de TOC, plus du tiers d’entre eux ne répondent pas aux traitements et sont condamnés à vivre, revivre et revivre encore leurs obsessions et leurs compulsions. C’était le cas d’Amber Pearson, qui désespérée, a demandé à son médecin d’essayer une nouvelle technologie pour s’en sortir.
Un “pacemaker” dans le cerveau
La jeune américaine, souffrant aussi d’épilepsie, devait recevoir un implant de stimulation cérébrale profonde, une technologie utilisée depuis 2013 pour prévenir les convulsions chez certains patients atteints d’épilepsie résistante aux médicaments. Essentiellement, il s’agit d’un appareil similaire à un pacemaker… mais dans le cerveau !
Des électrodes sont placées directement dans la zone du cerveau impliquée dans l’épilepsie et sont connectées à un boîtier inséré sous la peau du crane, appelé le neurostimulateur. Celui-ci enregistre l’activité cérébrale et détecte les signaux électriques anormaux, précurseurs d’une crise. Il peut donc envoyer des impulsions pour bloquer le signal des convulsions avant même qu’une crise d’épilepsie ne se déclenche.
D’une pierre, deux coups
En effectuant des recherches avant sa chirurgie, Amber Pearson a découvert que la stimulation cérébrale profonde pouvait, dans de rares cas, être employée pour traiter d’autres conditions telles que les TOC. La patiente de l’OHSU a donc demandé à ses médecins d’essayer de faire d’une pierre deux coups avec l’implant, ce qui n’avait jamais été fait auparavant.
Pour ce faire, le professeur de chirurgie neurologique de l’École de Médecine de l’OHSU Ahmed Raslan a modifié la trajectoire des électrodes pour que celles-ci atteignent le noyau accumbens, une zone du cerveau associée à la motivation et à l’action, qui joue un rôle dans les TOC. “En ciblant deux parties du cerveau, on pouvait obtenir un second bénéfice”, raconte Ahmed Raslan dans un communiqué.
Programmer l’implant
Une fois l’implant posé, en 2019, le neurostimulateur avait immédiatement été activé pour prévenir les crises d’épilepsie, et avec succès. Mais pour apaiser les symptômes de TOC, l’équipe de recherche médicale devait d’abord analyser l’activité cérébrale de la patiente afin de détecter les signaux électriques associés à ses obsessions et compulsions. Pendant plusieurs mois, Amber Pearson a subi une série de tests dans lesquels elle était exposée à des situations neutres et à d’autres qui déclenchent son anxiété. Par exemple, elle était principalement stressée par des enjeux de santé et de sécurité donc la nourriture pouvait provoquer une réponse de stress, alors que lire la laissait indifférente.
Ces expériences ont été menées dans son quotidien, en laboratoire et en réalité virtuelle pour avoir le maximum de précision. Pendant tout ce temps, l’implant dans son cerveau détectait les pics d’activité électrique associés à ses obsessions et compulsions. Ainsi, les médecins ont pu programmer le neurostimulateur pour qu’il envoie des signaux électriques qui contrecarrent ses symptômes de TOC en cas de provocation.
Retrouver une qualité de vie
Quelques mois seulement après l’activation du neurostimulateur pour son TOC, la patiente rapportait qu’elle ne vivait plus certaines de ses obsessions et qu’elle ne sentait donc plus la nécessité de s’engager dans ses comportements compulsifs. Plusieurs années après l’opération, elle estime qu’elle passe environ 30 minutes par jour à répéter ses compulsions, alors qu’elle pouvait y passer plus de 8 heures par jours avant l’intervention !
Amber Pearson peut enfin vivre indépendamment de ses parents et est capable de faire des choses qu’elle n’aurait jamais cru possible, comme être en compagnie de quelqu’un qui mange, ou quitter la maison sans toute sa routine de vérification. “Maintenant, je ne me soucis rarement de ce qui se passe chez moi quand je ne suis pas là et je remarque moins d’obsessions et de compulsions au fil du temps, dit-elle. Je suis enfin capable d’avoir des relations saines avec mes proches”.
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@duJambon a dit dans Les ventes de HHC bondissent avant son interdiction dans les prochaines semaines :
Le ministre de la Santé a annoncé lundi que l’interdiction de vendre et de consommer du HHC, molécule dérivée du cannabis, devrait être effective dans les prochaines semaines.
Bon, étant super inattentif aux nouvelles drogues récréatives, je viens de passer 20mn à comprendre ce qu’est le HHC et en fait je vais faire une réponse jusridique… Il ne sert à rien de se faire des stocks de HHC pisque la consommation sera elle aussi interdite. Ce n’est parce que le consommateur aura acheté son produit légalement qu’il pourra le consommer sans risque légal après la date d’interdiction de la substance. De là, le CBD reste légal et je ne vois pas l’intérêt de prendre des risques. Ma seule drogue relaxante étant de venir voir régulièrement les “niaiseries” sur PW, je ne comprends pas cette course aux produits de synthèse.
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@duJambon L’écriture inclusive devrait être notifiée comme source de ban si utilisation. C’est bien de se marrer devant le grand n’importe quoi de ceux qui pensent trop, mais à trop vouloir gommer les différences, ils vont finir par gommer l’identité.
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@hodor a dit dans Victime d'un pneumothorax, un Américain de 19 ans met en garde contre l’usage excessif de la cigarette électronique: “J'arrête le vapotage” :
choisis.t (je ne sais pas si il faut s ou t alors je vous offre les 2, vous pouvez vapoter celui qui est inutile )
Puisque tu demandes, c’est “choisi” sans “s” ni “t”…
Ceci étant dit, quand j’ai commencé à fumer, la dangerosité, bien que connue, n’était pas mis en avant par les instances de santé. On fumait partout dans les trains, les avions, les bureaux et même dans les hôpitaux.
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A Brest, une buraliste se lance dans la pédicure pour cochons
Carole Germain, 46 ans, buraliste brestoise, s’est lancée l’été dernier dans la pédicure pour cochons, une activité qui a vite rencontré un grand succès chez des propriétaires de cochons domestiques de toute la France.
Une passionnée de cochons
“C’est hallucinant. Je pensais être la seule à avoir un cochon. Et finalement, non, des cochons de canapé, y en a partout. On est des milliers en France”, lâche Carole Germain, dans un grand éclat de rire.
Déjà propriétaire de deux chiens molosses (des Cane Corso), cette amoureuse des animaux a adopté son cochon en juin 2020, sur un coup de tête. Devenu un énorme bestiau de 60 kilos, “Couscous” passe sa vie à faire la sieste, se partageant entre le bar de sa maîtresse et son appartement de 50 m2, juste au-dessus.
“Il dort dans mon lit”, précise cette femme brune à la silhouette longiligne et au ton gouailleur. “Enfin, c’est moi qui dors dans son lit, parce que si je bouge trop, il râle et il peut même aller jusqu’à me pincer!”
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