• 1 Votes
    1 Messages
    41 Vues

    Elles se plaignent aussi que les travailleurs actuels sont peu qualifiés

    La pénurie de main-d’œuvre secouant le secteur de la cybersécurité persiste. De nouveaux rapports sur le sujet indiquent que les entreprises et les gouvernements continuent à rechercher désespérément des professionnels qualifiés pour lutter contre la montée de la cybercriminalité. Selon un rapport, le nombre de professionnels de la cybersécurité dans le monde s’élevait à 4,7 millions de personnes en 2022, mais 3,4 millions de postes restent encore à pourvoir. Le besoin de nouveaux talents qualifiés est d’autant plus pressant pour les organisations, car elles se plaignent du fait qu’une partie importante de leurs employés actuels en cybersécurité sont sous-qualifiés.

    Pénurie de talents en cybersécurité : le nombre de postes à pouvoir en hausse

    Les organisations publiques comme privées sont aujourd’hui confrontées à une hausse sans précédent des violations de données, conséquence directe du manque de professionnels qualifiés pouvant assurer la sécurité des données. Mais quelles sont les raisons à l’origine de cette pénurie ? Selon les experts, les pratiques héritées du passé, les budgets serrés, l’étroitesse d’esprit, le manque de diversité et le fait de considérer la cybersécurité comme un pis-aller sont autant de facteurs qui contribuent au problème. D’autres experts estiment que les entreprises ignorent quelle approche adopter en matière de cybersécurité, ouvrant ainsi la porte aux violations.

    « C’est le marché lui-même qui est en cause, les entreprises étant déconnectées et irréalistes », explique Jeremy Ventura, directeur de la stratégie de sécurité et RSSI (responsable de la sécurité des systèmes d’information) de terrain pour la société de protection automatisée contre les menaces ThreatX. La pénurie de talents dans la cybersécurité se fait davantage sentir dans des pays tels que l’Inde, où la numérisation est rapide. Mais même aux États-Unis, seuls 69 % des postes dans le domaine de la cybersécurité sont pourvus. Ces statistiques proviennent de Cyberseek, un site Web qui fournit des données sur le marché de l’emploi dans ce domaine.

    « Le fossé est énorme », déclare Clar Rosso, directrice générale de l’ISC2 (International Information Systems Security Certification Consortium). Selon la dernière étude d’IBM sur le sujet, les professionnels de la cybersécurité se font rares à une époque où le coût moyen d’une violation de données aux États-Unis s’élève à 4,5 millions de dollars. En outre, Fortinet, une entreprise américaine qui développe et vend des logiciels et services de cybersécurité, indique que 80 % des organisations ont subi une ou plusieurs violations qu’elles peuvent attribuer à un manque de compétences ou de sensibilisation en matière de cybersécurité. Mais ce n’est pas tout.

    Le manque de talents en cybersécurité n’est pas le seul problème des organisations : les travailleurs actuels seraient peu qualifiés. Un rapport publié cette année par le gouvernement britannique a révélé que 50 % des entreprises britanniques - soit 739 000 au total - manquent de compétences de base en cybersécurité, ce qui signifie que les responsables de la cybersécurité n’ont pas la confiance nécessaire pour mettre en œuvre les mesures techniques qui protègent contre les attaques numériques les plus courantes. D’autres rapports font le même constat et ajoutent que les travailleurs peu qualifiés sont souvent des portes d’entrée pour les cybercriminels.

    Par ailleurs, selon les analystes du secteur, la pénurie de talents qualifiés dans le domaine de la cybersécurité se poursuit et a commencé à avoir un impact sur la capacité des entreprises à se mettre en conformité. Les entreprises doivent respecter ou maintenir la conformité, et les données des consommateurs doivent être sécurisées. Les entreprises qui ne disposent pas de ressources suffisantes pour se mettre en conformité et garantir la sécurité des données de leurs clients risquent de rencontrer des difficultés dans la commercialisation de leurs produits et services, ce qui aura un impact sur leurs aspirations à la croissance et à l’expansion.

    Les causes de la pénurie de main-d’œuvre dans le secteur de la cybersécurité

    Roy Zur, PDG du fournisseur de compétences numériques et de cybersécurité ThriveDX, affirme qu’à certains égards, la pénurie de compétence est un problème “auto-infligé”, car les entreprises recherchent des candidats ayant un niveau d’expérience minimum strict. « On ne peut pas résoudre le problème en ne s’occupant que des personnes en place. Les entreprises doivent changer d’état d’esprit et comprendre que pour résoudre ce problème, elles doivent ouvrir les portes », explique-t-il. Les analystes indiquent qu’un problème particulier est le manque de programmes de formation spécialisée et accélérée, malgré la forte demande des employeurs.

    Selon un rapport publié cette année par Fortinet sur le déficit de compétences dans le secteur, 90 % des responsables de la cybersécurité recherchent des certifications axées sur la technologie lorsqu’ils recrutent du personnel. Selon Zur, les diplômes universitaires et collégiaux ne constituent pas un moyen efficace de former des gens dans le secteur de la cybersécurité. Zur estime que ces cursus prennent trop de temps et sont souvent trop généraux - en informatique ou en ingénierie, par exemple. En revanche, il n’a pas hésité à souligner le succès de l’unité israélienne de cyberguerre 8200, qui forme en six à huit mois des jeunes qui ont quitté l’école.

    « Il faut que davantage d’entreprises du secteur privé se lancent dans ce domaine et forment les gens », déclare-t-il. De même, Rosso estime que les jeunes employés devraient rapidement être en mesure de prendre en charge le gros du travail cybernétique de base, à condition qu’ils reçoivent la formation adéquate. Elle conseille donc aux entreprises de recruter pour les compétences non techniques et l’état d’esprit, c’est-à-dire de recruter des personnes capables de résoudre des problèmes et d’avoir un esprit analytique et critique, puis de les former pour les compétences techniques. Certaines organisations ont lancé de nouveaux types de formation.

    L’ISC2 a créé une nouvelle certification appelée “Certified in Cyber Security”, qui vise à former les candidats aux principes fondamentaux de la cybersécurité, tels que la réponse aux incidents et la sécurité des réseaux. Au cours de la première année, plus de 250 000 personnes se sont inscrites, un chiffre que l’ISC2 souhaite porter à 1 million au fil du temps. Les gouvernements prennent aussi des mesures. Aux États-Unis, l’administration Biden a annoncé en juillet la création d’une entité conçue pour augmenter le nombre de travailleurs qualifiés en rendant l’enseignement et la formation en cybernétique plus accessibles et plus abordables.

    De son côté, le Royaume-Uni a mis en place un programme “Upskill in Cyber”, en partenariat avec l’institut de formation à la cybersécurité SANS, qui a enregistré un nombre record de demandes d’inscription. Rosso estime qu’il devrait y avoir davantage de partenariats public-privé et de collaborations intersectorielles, et souligne également la nécessité d’atteindre des objectifs à plus long terme, tels que “l’amélioration des connaissances des écoliers dans le domaine de la cybersécurité, des cadres et des membres du conseil d’administration”. Certains analystes critiquent également le comportement des entreprises en cas de violation de données.

    « Alors que l’économie mondiale semble ralentir de jour en jour, supprimant de plus en plus d’opportunités d’emplois moralement sains, le risque de cybercriminalité va considérablement augmenter. Nous l’avons déjà vu. Étant donné que de nombreux cybercriminels attaquent à partir de juridictions non légales, les entreprises cherchent-elles à embaucher de véritables employés pour lutter contre la cybercriminalité, ou cherchent-elles à embaucher un bouc émissaire qui portera le chapeau lorsque l’inévitable se produira ? », peut-on lire dans les commentaires. Selon ces critiques, cela pousse certains travailleurs à fuir ce type de travail.

    Les domaines faisant le plus appel aux professionnels qualifiés en cybersécurité

    Selon Rosso, il existe des domaines particuliers dans lesquels la demande de compétences augmente. Il s’agit notamment de la sécurité dans le cloud, les entreprises s’orientant de plus en plus vers le cloud depuis que la pandémie a catalysé la croissance du travail à distance et hybride. En mars 2022, plus de 60 % des données des entreprises étaient déjà stockées dans le nuage. Ce pourcentage ne cesse d’augmenter à mesure que les entreprises transfèrent leurs opérations numériques dans des environnements de cloud computing. Mais en l’absence de professionnels qualifiés pour protéger l’accès aux données, les violations se multiplient également.

    Un autre domaine est l’automatisation, à l’heure où l’IA évolue rapidement et peut fournir des outils sophistiqués aux pirates informatiques comme aux défenseurs. Un rapport publié en janvier indique que des chercheurs de l’entreprise américaine de cybersécurité CyberArk sont parvenus à créer un logiciel malveillant polymorphe à l’aide de ChatGPT, le chatbot d’IA d’OpenAI. Les chercheurs affirment que le logiciel malveillant généré par ChatGPT peut facilement échapper aux meilleurs produits de sécurité et rendre les mesures d’atténuation fastidieuses ; tout ceci avec très peu d’efforts ou d’investissements de la part de l’adversaire.

    Ils ont mis en garde contre ce qu’ils appellent “une nouvelle vague de logiciels malveillants polymorphes faciles et bon marché capables d’échapper à certains produits de sécurité”. Dans leur rapport d’étude, les chercheurs expliquent : « en utilisant la capacité de ChatGPT à générer des techniques de persistance, des modules Anti-VM [Anti Virtual Machine] et d’autres charges utiles malveillantes, les possibilités de développement de logiciels malveillants sont vastes. Bien que nous n’ayons pas approfondi les détails de la communication avec le serveur C&C, il existe plusieurs façons de le faire discrètement sans éveiller les soupçons ».

    Un rapport de CheckPoint indique que ChatGPT peut générer le code d’un logiciel malveillant capable de voler des fichiers précis sur un PC, de les compresser et de les envoyer sur un ordinateur distant. Il peut aussi générer du code pour un outil qui installe une porte dérobée sur un ordinateur et ensuite télécharge d’autres logiciels malveillants à partir de cette dernière. L’entreprise rapporte en sus que les cybercriminels peuvent s’en servir pour la mise sur pied de logiciels capables de chiffrer les fichiers du PC d’une cible. CheckPoint estime que ChatGPT ouvre ces possibilités à des individus avec de très faibles connaissances techniques.

    Ces nouveaux outils et la pénurie de talents en cybersécurité font craindre le pire aux entreprises pour les années à venir. Les statistiques montrent que 52 millions de violations de données ont eu lieu dans le monde au cours du deuxième trimestre de l’année précédente. Ce problème stimule la demande de talents en cybersécurité dans tous les secteurs. Cependant, avec plus de 700 000 postes non pourvus dans ce domaine rien qu’aux États-Unis, les entreprises pourraient subir de graves pertes si elles ne trouvent pas rapidement une solution satisfaisante. Le coût d’une violation de données pourrait également augmenter à l’avenir.

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous de la pénurie de talents qualifiés dans le secteur de la cybersécurité ?
    Selon vous, qu’est-ce qui explique cette pénurie de talents ? L’industrie peut-elle y remédier ?
    Comment l’industrie peut-elle former des talents qualifiés ? Quelles sont les politiques à mettre en place ?
    Pensez-vous que les travailleurs fuient les postes dans la cybersécurité en raison des politiques des entreprises ?

    Source : developpez.com

  • 1 Votes
    1 Messages
    36 Vues

    et permet à ses employés de faire pareil, car cela n’impacte pas sur la productivité

    Les employés sont-ils plus productifs en télétravail ou dans un bureau ? La question se posait déjà avant la survenue de la pandémie de coronavirus. Elle revient sur la table avec acuité dans l’actuel contexte fait d’appels à répétition de retour au bureau par les entreprises de la filière technologique. Elle divise dans la filière technologique. En effet, dans une récente sortie le PDG d’Atlassian déclare que le télétravail n’a pas d’impact négatif sur la productivité. C’est un positionnement qui tranche avec celui d’autres chefs d’entreprise selon lesquels le télétravail est un frein pour la productivité et la créativité.

    « Le travail est une vocation et non un lieu. Nous attendons donc des gens qu’ils puissent travailler chez eux, depuis un café, un bureau, mais nous ne nous soucions pas vraiment de l’endroit où ils font leur travail. Ce qui nous importe, c’est le résultat qu’ils produisent », déclare le CEO d’Atlassian qui ajoute que « je travaille depuis mon domicile tout le temps et cela ne m’empêche pas de bosser dur. Et je le fais avec des équipes autour du monde et basées en Australie. Une grosse partie de nos équipes est en télétravail et nous n’avons pas constaté de changement dans la productivité. »

    Son positionnement tranche avec celui de plusieurs dirigeants pour le retour des employés au bureau. Même Zoom, dont le logiciel de visioconférence a permis de lancer la plus grande expérience au monde de travail à domicile pendant la pandémie de la Covid-19, demande désormais à ses employés de retourner au bureau. Motif : cela permet l’atteinte de leur maximum en capacité d’innovation et une meilleure connaissance les uns des autres. C’est une sortie en phase avec celle d’autres dirigeants comme Tim Cook selon lesquels « les employés doivent retourner au bureau, car cela stimule la créativité. »

    Les employés de Twitter pouvaient travailler à domicile pour toujours ou de là où ils se sentent le plus productifs et créatifs depuis le mois de mars 2022. C’est l’une des entreprises à avoir adopté l’une des politiques de travail à distance les plus souples en raison de la survenue de la pandémie de coronavirus. Cette donne a changé avec l’acquisition de Twitter par Elon Musk. L’une de ses premières mesures : fin du télétravail pour ceux qui continuent à faire partie des effectifs du réseau social après la suppression de la moitié des emplois. Ce dernier a ensuite confirmé son positionnement dans une sortie selon laquelle « le télétravail est une connerie qui pose un problème moral et est cause de baisse de productivité. »

    « Je crois fermement que les gens doivent être plus productifs lorsqu’ils sont lancés sur la formule “présentiel au bureau” », a-t-il déclaré avant d’ajouter entre autres que « le télétravail pose un problème moral, car c’est une formule injuste pour les personnes qui ne peuvent travailler à domicile. »

    Pourtant, certaines études font état de ce que le travail à distance n’a pas d’impact négatif sur la productivité des travailleurs

    L’équipe de l’université du Texas a travaillé sur des données d’un logiciel fourni par une grande entreprise pétrolière et gazière de Houston. Pendant la période d’étude (de janvier 2017 à décembre 2018), l’entreprise a été contrainte de fermer ses bureaux en raison des inondations provoquées par l’ouragan Harvey, ce qui a obligé les employés à travailler à distance pendant une période prolongée.

    Les chercheurs ont examiné les données technologiques des employés (le nombre total d’heures travaillées par employé, le temps de travail actif total, l’utilisation du clavier par minute active, l’utilisation de la souris par minute active, les mots tapés par heure et le nombre d’erreurs typographiques par mot tapé) avant, pendant et après l’ouragan Harvey. Ils ont constaté que, bien que l’utilisation totale des ordinateurs ait diminué pendant l’ouragan, les comportements professionnels des employés pendant la période de sept mois de travail à distance sont revenus aux niveaux d’avant l’ouragan. Cette conclusion suggérait que le travail à distance n’a pas d’impact négatif sur la productivité des personnes lancées sur la formule télétravail.

    Néanmoins, le télétravail introduit un facteur « difficulté de collaboration à distance » avec un possible impact sur la productivité

    Cette étude fait suite à celle de Hogan Assessments 43 % des travailleurs ont déclaré être plus productifs à domicile, 44 % ont déclaré être aussi productifs et seulement 13 % ont déclaré être moins productifs. Toutefois, le rapport montre que les travailleurs ont trouvé la collaboration à distance plus difficile, de sorte que le fait que la plupart des travailleurs aient déclaré se sentir aussi ou plus productifs est dû au fait qu’ils étaient plus productifs lorsqu’ils travaillaient seuls.

    C’est une brèche dans laquelle s’engouffrent les chefs d’entreprise quand on sait qu’ils sont d’avis que les employés doivent retourner au bureau, car cela stimule la créativité : « la communication marche mieux face à face. » Les dirigeants sont convaincus que les collègues construisent de meilleures relations de travail par exemple quand ils prennent le déjeuner ensemble, prennent le temps de discuter de divers sujets, même les plus banals ou alors participent à des exercices destinés à développer l’esprit d’équipe.

    En droite ligne avec ce positionnement, ces derniers évoquent un « impact sur la créativité. » Le mythe selon lequel un manque d’interaction sociale réduit la créativité et l’innovation reste profondément ancré. C’est d’ailleurs l’un des arguments sur lesquels s’appuyait Marissa Mayer pour s’ériger contre le télétravail lorsqu’elle a déclaré que « certaines des meilleures idées et décisions surviennent après des discussions à la cafétéria ou au couloir, après des rencontres avec les gens et des rendez-vous d’équipes impromptus ».

    Toutefois, si des recruteurs estiment que les conversations dans le genre « peux-tu s’il te plaît vérifier ceci ? » sont importantes, des contradicteurs pointent le revers de la médaille. Ces derniers indiquent que des « interactions » peuvent se transformer en « interruptions » qui coûtent plus ou moins cher en termes de productivité et flux de créativité. Des tiers en télétravail avancent par exemple que « les distractions sont insupportables. Les téléphones qui sonnent, les gens qui débarquent et ressentent toujours le besoin d’interrompre pour absolument tout (que ça soit relié ou non au travail) et plusieurs appels à propos de projets qui ne sont pas liés qui résultent en changement de contexte. »

    Un employé dans un bureau serait productif sur moins de 3 des 8 heures sur une journée de travail

    L’étude d’Invitation Digital Ltd a porté sur près de 2000 (1989 pour être exact) employés de bureau (à temps plein) âgés de plus de 18 ans et disséminés sur l’ensemble du territoire du Royaume-Uni. En réponse à la question de savoir s’ils se considèrent comme productifs tout au long d’une journée de travail, la grande majorité (soit 79 %) a répondu non. D’après les résultats de l’étude, seul le cinquième (donc les 21 % restants) a répondu par l’affirmative. Le sondage a ensuite révélé que la durée moyenne de productivité sur le lieu de service est de 2 h 53 min, soit moins de 3 h.

    Et vous ?

    Quel commentaire faites-vous de l’avis selon lequel « le plus important n’est pas de s’appesantir sur le lieu depuis lequel un employé travaille mais plutôt sur les résultats qu’il produit ? »
    Ces statistiques collent-elles avec la réalité dont vous êtes au fait ?
    Êtes-vous personnellement plus productif en travaillant à distance ?
    Quelles sont pour vous les difficultés majeures qui limitent votre productivité dans ce mode de travail ?
    La collaboration entre vous et vos collègues a-t-elle été affectée par le travail à domicile ?

    Source : developpez.com

  • 2 Votes
    2 Messages
    98 Vues

    ha ouai 50% quand même :blink:

    @indigostar a dit dans La plupart des gens mentent sur leurs compétences technologiques au travail :

    En moyenne, la plupart des personnes se heurtent à des problèmes liés à des dysfonctionnements logiciels et à des problèmes matériels. D’autres ne parvenaient pas à faire fonctionner des appareils de bureau importants comme les scanners et les imprimantes. Quelques-uns ont également signalé des problèmes liés au gel de l’écran de l’ordinateur et des problèmes avec les fichiers informatiques.

    :lol: :lolol: