On a testé Dispatch
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La bonne surprise de la fin d’année, à la frontière entre série et jeu vidéo pour remettre la pire équipe de héros sur le droit chemin.

Dispatch a conquis le coeur des joueurs en mélangeant les phases narratives graphiquement irréprochables, un gameplay simple et addictif, ainsi qu’un humour sans filtre dans une aventure en huit épisodes (dans le même jeu !). Voici ce qu’on en a pensé.
Un magnifique dessert pour conclure une année 2025 copieuse en jeux vidéo. Dispatch est une bonne surprise sortie le 22 octobre, peut-être un peu tard pour être nominé aux Game Awards, mais qui a conquis un large public. Notamment avec un concept très original : être à la fois un jeu vidéo et une série. Difficile de dire si cette œuvre est plus l’un que l’autre.
Vous y découvrez un monde peuplé de superhéros un peu désabusés, aussi ringards qu’irresponsables. La société superhéroïque SDN tente en tout cas de les encadrer et va s’allouer les services de Robert Robertson, alias Méca-Man, pour remettre les employés sur le droit chemin. Surtout l’équipe Z, qui est composée d’anciens vilains en quête de rédemption, et au tempérament chaotique.
Le jeu est découpé en huit épisodes, donc à la manière d’une série. À la sortie de Dispatch, seuls les deux premiers étaient disponibles ! La suite des missions était débloquée par paire, chaque semaine, plaçant les joueurs dans l’attente comme des fans de Game of Thrones qui regardaient les épisodes au compte-gouttes. À présent, les huit épisodes sont accessibles d’un seul coup, et cela ne gâche en rien le plaisir.
Un jeu addictif mais trop court ?
Dispatch est divisé en deux phases. D’un côté, c’est un jeu narratif : vous aurez l’impression de regarder une série d’animation à la direction artistique incroyablement soignée, entrecoupée régulièrement de choix qui vont réécrire l’histoire. L’autre partie de votre temps sera consacrée à la gestion de votre équipe de bras cassés.
La phase de gameplay est relativement simple et super addictive. Une carte de Los Angeles sera à votre disposition pour vous pointer les alertes de citoyens en détresse. C’est à vous de choisir le héros adapté pour tenter de remplir la mission, bien souvent un peu loufoque. D’un chat coincé dans un arbre au démantèlement d’un réseau criminel, il n’y a qu’un pas dans Dispatch.
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Source : presseaveyron.fr