Windows, Linux, MacOS & autres OS

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    text alternatif

    Qui peut servir pour le commentaire précédent également d’ailleurs.

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    @Snoubi cette build est une révolution 🙂

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    Linux Mint revient dans une version 21.2, nommée Victoria et pour l’instant en bêta. Elle embarque notamment Cinnamon 5.8 et comporte de nombreuses améliorations graphiques. Voici le résumé des nouveautés ainsi qu’une comparaison visuelle des principaux éléments entre les versions Vera (21.1) et Victoria.

    La distribution Linux Mint s’est rapidement faite une réputation de système particulièrement agréable à utiliser. D’abord parce qu’elle préservait l’expérience GNOME 2.X en gardant une barre des tâches et un menu général, ensuite par le soin apporté à l’interface par les graphistes et développeurs.

    La nouvelle mouture 21.2 est d’autant plus attendue qu’elle vient justement capitaliser sur ce souci du détail, en apportant une nouvelle fois des capacités de personnalisation et des raffinements visuels, qui viennent d’ailleurs en bonne partie de l’environnement de bureau Cinnamon 5.8, de la même équipe.

    Télécharger Linux Mint 21.2 Les améliorations visuelles

    L’équipe indique avoir été consciente que certaines modifications introduites dans Linux Mint 21 n’ont pas plu à de nombreuses personnes. Particulièrement l’utilisation d’un jaune très « Vista » uniforme pour les dossiers, la couleur d’accentuation n’apparaissant plus que comme un petit bandeau en biais en bas à droite.

    Dans la version 21.2, on revient à l’ancien fonctionnement, avec un bonus. Non seulement la couleur détermine bien celle des dossiers entiers, mais certaines teintes sont doubles, comme on peut le voir sur les captures ci-dessous :

    Cinnamon 5.8 – et donc Victoria – intègrent également les styles. C’est un fonctionnement similaire à celui que l’on trouve dans Windows 10 et 11 pour la teinte des couleurs : en plus des modes clair et sombre, un mode mixte fait son apparition, mélangeant les deux. Par exemple, la barre des tâches reste sombre, tandis que les fenêtres sont claires.

    Grâce aux styles, on peut personnaliser chaque mode, qui pourra dès lors avoir sa propre couleur d’accentuation. Si l’on clique sur « Paramètres avancés », on retrouve également des choix plus précis, comme le pointeur de la souris, le thème des applications ou encore l’apparence de la barre des tâches. Une fois modifié, le système garde ces réglages et les applique à chaque changement de mode. La présentation des thèmes a été nettement simplifiée.

    Les bulles d’aide ont été améliorées elles aussi. Leur apparence a été standardisée, avec une taille plus grande, des coins arrondis et des marges plus importantes. Pour qui a déjà manipulé une distribution utilisant GNOME 3.X, on reconnait l’inspiration.

    Notez que l’ancien thème Mint-Y-Legacy a été renommé simplement en Mint-L et est compatible avec l’ensemble des nouveaux réglages.

    Nouveautés dans les applications

    Logithèque a reçu un léger remaniement général de son interface. La section « En vedette » est réellement en vedette désormais, les catégories étant plus bas et prenant moins de place. On a moins cette sensation d’être envahi par les lignes. En outre, les applications mises en avant incluent maintenant les flatpaks. Le système de notation a lui aussi été revu pour mieux permettre aux applications ayant un succès croissant d’apparaître sur la page d’accueil, dans une nouvelle rubrique « Les mieux notées ».

    La visionneuse Pix a aussi droit à un ravalement de façade, pour être plus en phase avec les canons esthétiques de Mint aujourd’hui. Les icônes d’outils ont été directement intégrées à la barre titre, le haut de la fenêtre prenant donc moins de place. En outre, la base de l’application passe de gThumb 3.2.8 à la version 3.12.2.

    Warpinator gagne de son côté l’isolation des dossiers, garantissant que des fichiers ne seront pas écrits en dehors du dossier de téléchargement. La gestion du Bluetooth, via Blueman, passe à la version 2.3.5 et gagne au passage la gestion des formats HEIF et AVIF apportée par Linux Mint 21.2. La visionneuse de documents Xreader reçoit pour sa part le support des documents Adobe Illustrator.

    Cinnamon 5.8 introduit aussi Gestures. Comme le nom l’indique, le système permet maintenant de personnaliser les actions pour tous les gestes impliquant deux, trois ou quatre doigts, comme le swipe avec deux doigts ou la pince avec quatre. Les paramètres permettent de définir des seuils d’activation. Ces gestes sont compatibles avec les touchpads et les écrans tactiles. Ils peuvent également être repris dans les machines virtuelles, par exemple avec Windows.

    Base système et écran de connexion

    Rappelons que Linux Mint n’a pas la même orientation que des systèmes comme Fedora ou, dans une moins mesure, Ubuntu, sur laquelle pourtant le système est basé. Mint ne reprend en effet que les versions LTS de la distribution de Canonical.

    Aussi, même si la plupart des paquets sont mis à jour dans leurs dernières révisions stables, il ne faut pas s’attendre à avoir forcément les toutes dernières versions. Par exemple, le noyau Linux reste en mouture 5.15, quand les distributions sorties récemment ont le plus souvent les versions 6.1 ou 6.2. Le prochain bond se fera au printemps prochain, avec l’arrivée d’Ubuntu 24.04.

    Un mot également sur l’écran de connexion, qui reçoit deux améliorations importantes. D’une part, l’icône en haut à droite indiquant la disposition du clavier est maintenant cliquable. On peut alors la changer à la volée. Un ajout très utile puisqu’il permet de modifier notamment la manière dont on va écrire le mot de passe de la session. D’autre part, les utilisateurs de touchpads ont à présent droit au « toucher pour cliquer » directement dans cet écran.

    Enfin, Linux Mint 21.2 intègre le support de XDG Desktop Portal pour les XApps, aussi bien pour Cinnamon que MATE et Xfce. Cette arrivée doit permettre une meilleure compatibilité entre les environnements de bureau et les applications non natives comme celles provenant de GNOME ou des flatpaks.

    Les bénéfices sont importants, l’équipe citant en exemples la prise de captures d’écran ou la prise en charge du mode sombre. Trois réglages sont possibles pour les utilisateurs : préférer le mode clair, préférer le mode sombre ou laisser l’application décider.

    Source : nextinpact.com

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    Debian 12 n’est pas encore là, mais il est possible de se pencher sur le système au travers de ses préversions, surtout maintenant que la distribution est en « hard freeze », signifiant que plus aucune nouveauté ne sera ajoutée. Faisons donc le tour de ses apports.

    Debian est une distribution à part. En soi, les nouveautés qu’elle propose dans la version 12 n’ont rien d’extraordinaire. Pour la plupart, elles se retrouvent dans d’autres systèmes Linux depuis un bon moment déjà. La nouvelle version majeure sortira même avec des composants et applications que l’on peut considérer comme « en retard » sur d’autres distributions.

    Pour Debian cependant, l’intérêt n’est pas là. D’une part, l’intégralité du cycle de vie de cette distribution est centrée sur la fiabilité. Les composants ne sont pas forcément dernier cri, mais ils sont éprouvés. Aucune mise à jour majeure n’intervient tant que le système lui-même ne passe pas à la version suivante, à l’exception de certaines applications comme le navigateur. Chaque passage d’une mouture majeure de Debian à la suivante se traduit donc par des bonds conséquents dans les paquets.

    D’autre part, Debian est la racine d’un très grand nombre d’autres distributions, dont la plus connue est Ubuntu, qui sert elle-même de socle à de nombreux systèmes, dont Linux Mint. Même si ces distributions « filles » ont leurs propres évolutions, la sortie d’une nouvelle Debian est toujours une étape marquante dans le paysage Linux, d’autant que cela ne se produit que tous les deux ans en moyenne.

    Debian 12, nommée Bookworm, ne fait pas exception. Elle doit arriver durant ce trimestre en version finale, mais peut être testée sans trop de problème, même s’il s’agit toujours officiellement de l’alpha 2. Comme toujours dans ce cas, nous ne conseillons pas son installation sur un environnement de production ou sur un ordinateur important. Une machine dédiée ou un environnement virtualisé sont à privilégier.

    Télécharger la préversion de Debian 12 Bookworm Modernisation de la base

    Quand Debian 11 (Bullseye) est sortie durant l’été 2021, elle était accompagnée d’un noyau 5.10. Contrairement à la plupart des autres distributions, Debian n’utilise que des versions LTS (longterm support) du noyau et reste sur la même mouture principale pendant toute la durée de vie de sa version majeure. Actuellement, dans Debian 11.6, la version du noyau est ainsi la 5.10.0-21.

    Debian 12 embarque quant à elle un noyau Linux 6.1, ce qui implique des améliorations significatives à bien des niveaux, notamment pour le support du matériel et des hausses de performances diverses (surtout sur les systèmes de fichiers). Notez que les utilisateurs peuvent tout à fait choisir de passer sur un noyau plus récent en cours d’utilisation, mais beaucoup préfèrent se contenter des seules mises à jour officielles, pour préserver la fiabilité inhérente à la plateforme.

    Avec ce changement de noyau en vient un autre : l’utilisation par défaut de Pipewire pour la gestion du son, en lieu et place de Pulseaudio pour GNOME. Cette bascule a déjà été observée dans d’autres distributions et apporte une gestion plus efficace du traitement basse latence et du partage multimédia. Il est conçu pour fonctionner avec le serveur d’affichage Wayland, lui aussi utilisé par défaut dans Debian 12.

    Signalons également la présence du gestionnaire de paquets Apt en version 2.6. Celle-ci amène principalement la prise en charge des firmwares non libres (propriétaires). Cet ajout va de pair avec un autre changement de Debian 12 : il n’est plus besoin de choisir entre les images ISO libres et non libres. Le téléchargement se fait maintenant sur une image unique, dont on choisit la taille en fonction des besoins (complète, netinstall, etc.). Des questions supplémentaires sont posées pendant l’installation sur la possible activation des dépôts non libres, Apt se chargeant ensuite du reste, y compris des mises à jour.

    L’installateur de la distribution, actuellement en RC1, a reçu d’autres évolutions, comme l’utilisation d’un firmware UEFI 32 bits quand le système se charge sur une machine AMD64, l’abandon de win32-loader, le support de Windows 11 dans la détection du multiboot, la prise en charge d’EFI Zboot sur les machines ARM64, ainsi que quelques remaniements visuels pour adapter notamment l’interface au thème de Debian 12 (notamment le nouveau fond d’écran, nommé Emerald).

    Attention cependant, il reste quelques problèmes. Par exemple, la gestion des volumes LVM chiffrés peut échouer sur des ordinateurs ayant une faible quantité de RAM, de même que le mode « guided - use entire disk and setup LVM » peut bloquer sur des systèmes UEFI.

    Environnements de bureau

    Voici probablement le point sur lequel les personnes se servant de Debian verront les plus gros changements. Comme pour les versions du noyau, Debian ne change en effet pas de version d’un environnement de bureau pendant son cycle de vie. Mettre à jour vers une mouture majeure de Debian signifie donc de nombreuses nouveautés, selon ce que l’on utilise.

    GNOME est ainsi présent en version 43. La version 44 est sortie trop récemment en version finale pour pouvoir être intégrée, le « hard freeze » (gel de la liste des composants) de Debian 12 étant intervenu le 12 mars. Mais même ainsi, c’est un bond conséquent : Debian 11 est fournie avec GNOME 3.38 et n’a donc pas connu la branche 4X de l’environnement. Or, toutes ces versions ont apporté de nombreuses nouveautés, en particulier les moutures 40 et 41.

    GNOME 40 bascule les bureaux virtuels à l’horizontale sur les écrans multiples GNOME 41 prend le relai avec de nombreuses améliorations

    Même constat pour les autres environnements, que l’on peut choisir à l’installation du système. KDE Plasma est ainsi fourni en version 5.27 et est rejoint par LXDE 11, LXQt 1.2, MATE 1.26 ou encore Xfce 4.18. Il s’agit à chaque fois des dernières révisions stables disponibles au moment du hard freeze.

    Applications et modules développeurs

    La philosophie générale de Debian est très bien illustrée par les choix des versions pour les applications et autres modules. Cas emblématique, Firefox est présent dans sa révision 102.9, autrement dit la dernière ESR (Extended Support Release). Même chose pour LibreOffice, présent en version 7.4.4, la branche 7.5 étant trop récente (ce qui correspond d’ailleurs aux propres recommandations de la Document Foundation).

    Côté développement, on note tout particulièrement l’arrivée de Python 3.11 et l’abandon de python2. On y trouve aussi LLVM 15 (la version 16 est présente dans des distributions plus rapides comme Ubuntu 23.04 et Fedora 38, toutes deux en bêta), OpenJDK 11.6, PHP 8.2 ou encore Samba 4.17.

    Support du matériel

    C’est l’un des points forts de Debian : on peut l’installer sur pratiquement n’importe quoi. Debian profite du noyau Linux 6.1 qui apporte, comme nous l’avons mentionné, de nouveaux pilotes pour des processeurs, GPU et SoC ARM supplémentaires.

    Plus spécifiquement, Debian 12 prend en charge de nombreux nouveaux appareils ARM comme les Banana Pi BPI M2 Ultra, ODROID-C4, ODROID-HC4, ODROID-N2, ODROID-N2+, le smartphone Linux Librem 5r4 (Evergreen), ainsi que le pc portable modulaire MNT Reform Version 2.

    Bookworm apporte également le support de nouveaux appareils RISC-V comme le SiFive HiFive Unmatched, le BeagleV Starlight Beta et le Microchip PolarFire-SoC Icicle Kit.

    Dans l’ensemble, Debian 12 s’annonce comme une énorme mise à jour et une évolution majeure de la plateforme. La version finale est attendue pour ce trimestre, mais sans plus de précisions pour l’instant.

    Source : nextinpact.com

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    https://korben.info/activez-windows-xp-en-2023-le-retour-dune-legende.html

    Bien que cette méthode puisse être pratique pour certains nostalgiques de Windows XP, il est important de noter que l’installation d’un système d’exploitation aussi ancien sur un appareil connecté à Internet est fortement déconseillée, puisqu’il présente des risques de sécurité importants puisqu’il n’est plus pris en charge ou mis à jour par Microsoft.

    Bref, pensez à utiliser une machine virtuelle pour faire fonctionner Windows XP sur votre ordinateur actuel, ce qui vous permettra de rester en sécurité.

    Pour ceux qui sont curieux et qui souhaitent en savoir plus sur cette méthode d’activation, vous pouvez en découvrir davantage sur le blog tinyapps.

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    Je pense que ce VPN est de la daube :bye_cry:

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    j’utilise toujours le site tool de microsoft en exe 🙂

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    Jackie et Michèle vont être remplacé ?

  • Windows 10 X64 MSDN ou ?

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    Salut,

    C’est le thème (& icônes) KDE Infinity Dark/Sweet Paranoia qu’on trouve pour Linux et Windows. On le trouve également pour XFCE donc sans doute la plupart des DE.
    https://upandclear.org/2021/06/08/linux-windows-themes-dicones-infinity-dark-sweet-paranoia/

  • Créer un fichier à la racine de :smile:

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    @Pollux

    Super merci ^^

  • Recherche Keylogger

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    @Даэдрия

    – Je ne suis pas expert et n’en utilise pas, donc je ne peux pas te dire ce que ça vaut mais j’ai trouvé celui-ci en keylogger logiciel qui est un freeware : Spyrix.

    Il enregistre la liste de tous les processus lancés : Date et heure de lancement / d’activation, titre de la fenêtre, nom de l’application…etc et qui flash quelques captures de ce qui se passe à l’écran à chaque fois.

    Et pour faire sortir Spyrix du mode furtif, il suffit de taper la combinaison de touches secrète que vous avez paramétré et d’entrer votre mot de passe. Tout est expliqué sur leur site pour l’exclusion du coté antivirus

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    – Il existe aussi des keylogger hardware trouvable un peu partout sur le net, qui sont indétectables par les antivirus.

    – Pour les petits malins pas prises de tête, on a aussi le clavier virtuel qu’on peut lancer par la commande exécuter osk.exe qui permet de contrer un keylogger mais ça épuise vite les utilisations hors mot de passe.

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    –> Pour se prémunir de ce genre de softs, vous pouvez installer installer KeyScrambler (j’en avais déjà causé ici et ici 😉 ) de QFX Software qui va crypter les frappes clavier au niveau du noyau et dire fuck à toutes ses merdes. Je conseille bien sur la version Premium plutôt que la Free.

    ⚠️ Evidemment, je vous rappelle quand même que le piratage et le non respect de la vie privé sont des délits et que ce genre de soft/outils est à utiliser uniquement sur votre propre ordinateur et en connaissances de cause. Planète Warez n’est pas responsable de vos agissements ⚠️

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    Stardock fait d’excellents utilitaires de gestion de windows, je viens de découvrir Start11, qui remet menus, barres de tâches et autres propriétés à la sauce Windows 7 en deux coups de cuiller à pot.

    Voilà à quoi W11 peut ressembler:

    Start11.jpg
    Coût de la plaisanterie: 7€

    Nostalgiques de Windows XP, Windowblinds est fait pour vous:

    50970ecd-d938-43f3-a6fc-b7c6fc228575-image.png
    Mais vingt d’euro pour ça quand même :fbi:

    Stardock: https://www.stardock.com/

  • Windows Update et Windows 10

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    Merci beaucoup à vous deux 🙂 .

  • Windows Server 2022

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    Merci d’avoir mis la balise [Résolu] 🙂

  • Orange Pi 5

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    @Cellule732
    Merci de ton éclairage, orange PI 5 est fourni (en option )avec une clé usb wifi/Bluetooth quand au port M2 je vais lui installer un SSD M.2 2242 SATA NGFF de 1To
    Je devrais pouvoir m"amuser avec.
    Merci encore @Cellule732

  • Impossible d'ouvrir ces fichiers .

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    les amis , sincèrement grand merci 🙂

    j’ai enfin retrouver accès à mon dossier de fichiers grâce à votre aide 🙂 .

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    Il y a aussi AlmaLinux comme autre alternative possible qui viens d’avoir le feu vert du CERN

    https://almalinux.org/fr/

    https://www.silicon.fr/almalinux-cern-fermilab-454832.html

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    Et bien ca me parait pas mal ^^

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    @Violence J’ai un autre PC qui va probablement me faire le même coup, je prendrai un screenshot 😉

    Ça ne me dérange pas vraiment tant que je reste sous Windows 10, et si jamais je passe sous 11, je ferai le coup de l’adresse e-mail bidon pour le compte, mais j’ai bien peur que si le compte n’est pas validé, ces enfoirés bloqueront un jour ou l’autre le login.

    Pour le moment, j’en suis de nouveau là:

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