Actualités High-Tech

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    j’ai pas fais assez d’histoire à l’école lol

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    Durant la période du covid l’URSSAF avait déjà fait fort. En effet l’URSSAF était censé proposer aux entreprises qui le souhaitaient la possibilité de différer les paiements de leurs charges. Sauf que l’URSSAF sans rien demander à personne sans l’accord des entreprises a suspendu des prélèvements pour pas mal de petites entreprises certains s’en sont rendu compte assez tardivement et se sont retrouvés avec par la suite une année de cotisations à rattraper en plus de celle de l’année en cours.

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    @Rapace a dit dans En GAV, t’es fiché·e ! :

    trouver une aiguille dans une botte de foin

    Facile, tu brûles la botte de foin…

  • Chat GPT vous menace ? Pourquoi...

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    @Violence a dit dans Chat GPT vous menace ? Pourquoi... :

    De plus, écouter les youtubeurs de tout poils me gonflent aussi.

    Bordel ça va, j’ai cru que j’étais le seul :smile: (à mater ou les entendre causaient…j’arrive pas du tout lol)

    J’utilise YT que pour la musique la plupart du temps.

    En + de la musique, il m’arrive de mater des vidéos de chats se prendrent des gadins 😁

  • Drones Kamikaze ou mines mobiles ?

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    En temps de guerre, la science et la technologie font toujours de grandes avancées. 🙂

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    Perso, pour moi le jour où tout finira sera celui où on apprendra à l’IA comment s’auto développer (au sens info 😞 )

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    @Ashura a dit dans J’ai créé un monstre : le père de l’IA quitte Google par peur de son invention :

    Il fallait y penser avant, c’est un problème connu depuis 30 ans, on savait que ca allait arriver

    Certes, mais comme le climat, ça arrive infiniment plus vite que prévu, et ça s’accélère…!

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    Comment on fait, je suis partant :affole:

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    @duJambon
    Mais non petit saucisson tu n’es pas une IA, ne pleure pas…:colgate:

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    et oui les usa commencent un peu tard à se rendre compte que la Chine va leur défoncer le fiak

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    Le département de police de New York (NYPD) et le maire autoproclamé geek de l’informatique de New York exhortent les propriétaires de voitures résidents à équiper leurs véhicules d’un Apple AirTag. Lors d’une conférence de presse dimanche, le maire Eric Adams a annoncé la distribution de 500 AirTags gratuits aux New-Yorkais, affirmant que la technologie aiderait à réduire le nombre croissant de vols de voitures dans la ville.

    Adams a tenu la conférence de presse au 43e arrondissement du Bronx, où il a déclaré qu’il y avait eu 200 cas de vol d’automobiles. Un responsable du NYPD a déclaré qu’à New York, 966 Hyundai et Kia ont été volés cette année jusqu’à présent, dépassant déjà le total de 819 en 2022. Le suivi des statistiques publiques sur la criminalité du NYPD indique qu’il y a eu 4 492 vols de véhicules cette année, une augmentation de 13,3% par rapport à la même période l’année dernière et la plus forte augmentation parmi les sept principales catégories de crimes de New York.

    Adams, comme la ville l’a fait lors de l’annonce d’un litige contre Kia et Hyundai le 7 avril, a largement imputé l’augmentation des vols de voitures à Kia et Hyundai , qui, selon lui, “ouvrent la voie” aux marques de voitures volées.

    Hyundai et Kia ont été les sujets de la tendance Kia Challenge TikTok qui a encouragé les gens à brancher lesdits véhicules avec un simple câble USB-A. Le sujet est passé bien au-delà d’une mode des médias sociaux et est devenu une préoccupation sérieuse. Adams, par exemple, a désigné les voitures volées comme une porte d’entrée vers d’autres crimes, comme les délits de fuite. Cela peut aussi être dangereux; quatre adolescents du nord de l’État de New York sont morts au cours d’une balade avec une Kia volée l’année dernière. Et certaines compagnies d’assurance ont même cessé de prendre de nouvelles polices d’assurance pour certaines Hyundai et Kia. En février, Kia et Hyundai ont publié des mises à jour pour rendre les voitures plus difficiles à soulever.

    Adams était catégorique sur le fait que le nombre de vols automobiles de grande envergure faisait grimper le nombre global de crimes de la ville et a exhorté les New-Yorkais à “participer” à la lutte contre le vol de voitures en utilisant un AirTag.

    “C’est très simple”, a-t-il déclaré à propos des AirTags. “La durée de vie de la charge dure longtemps et vous pouvez voir en temps réel où se trouve ce véhicule.”

    Sur Twitter, le chef du département du NYPD, Jeffrey Maddrey, a déclaré que les utilisateurs qui signalent un véhicule volé équipé d’un AirTag verront la police utiliser “des drones, notre technologie StarChase et le bon travail de la police à l’ancienne pour récupérer en toute sécurité votre voiture volée”.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2023/05/nypd-urges-citizens-to-buy-airtags-to-fight-surge-in-car-thefts/

    Voir aussi: Voler une Hyundai ou une Kia avec une appli et un simple câble USB sur votre site préféré 😉

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    sérieux, c’est pas mal ça !

  • Open Data : un deal parfait ?

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    L’Open Data peut s’agir comme un véritable levier de performance pour les entreprises et ceci devient encore plus vrai quand elles acceptent de jouer le jeu de l’ouverture de leurs données.

    Accélérée par la numérisation massive des organisations et de l’économie au sens large, la tendance à la marchandisation de la donnée informatique bat son plein : profils clients, données financières et économiques, … De nombreux acteurs proposent aujourd’hui aux professionnels des services payants d’accès à la donnée.

    Pourtant cette conception mercantile de la donnée contraste avec une autre tendance de fond : la donnée ouverte, ou « Open Data », qui consiste à fournir un accès libre à des jeux ou flux de données. Parce qu’elle est encouragée par les institutions et occupe une place de plus en plus importante dans la chaîne de valeurs, il est intéressant de revenir d’une part aux origines de l’Open Data, d’autre part d’en mesurer les implications et les bénéfices avant d’en faire usage.

    Aux origines, toute une philosophie

    Loin d’être contemporaine, la question de la pertinence de l’ouverture des données se posait déjà dans les années 90 et l’on doit l’expression “Open data” à une publication scientifique du conseil national de recherche américain intitulée “On the full and open exchange of scientific data”.

    L’article met en confrontation les conceptions antagonistes de la donnée en tant que bien commun et en tant que bien privatisé. Il a nourri des réflexions et travaux qui ont mené à la création du concept juridique de savoir libre reposant sur des principes d’accessibilité, de redistribution et de réutilisation proches des préceptes adoptés par le monde du logiciel libre.

    Ces considérations vont facilement s’exporter et convaincre les pouvoirs publics européens d’orienter les politiques vers une ouverture des données sans discrimination. Tout ceci dans l’espoir que les données partagées, en particulier par les organismes publics, puissent servir les acteurs économiques dans l’amélioration de leur niveau de service apporté à la collectivité.

    Une mine d’or pour le développement des entreprises et un argument RSE

    Il serait réducteur de considérer l’Open Data comme une simple production du service public destinée à répondre à un besoin de transparence. Dans les faits, il peut s’agir d’un véritable levier de performance pour les entreprises et ceci devient encore plus vrai quand elles acceptent de jouer le jeu de l’ouverture de leurs données.

    Les résultats de l’enquête “Open Data : quels enjeux et opportunités pour l’entreprise ?” réalisée par BVA auprès de dirigeants de plusieurs grands groupes français, révèlent que 59% des répondants jugent l’ouverture des données privées utiles à l’amélioration de leurs produits et services. Aussi, 55% d’entre eux y voient un moyen de se différencier de la concurrence.

    Prenons l’exemple d’une boutique de maroquinerie qui rendrait accessible au public, son catalogue produits ainsi que les données sur les retours de produits défectueux. Cette démarche serait une opportunité de bénéficier du savoir-faire d’artisans maroquiniers qui pourraient, en exploitant ces données, proposer d’améliorer le service après-vente et d’innover dans l’offre d’articles que propose cette boutique.

    Ce serait là un partenariat gagnant-gagnant générateur de synergies et 60% des répondants à l’enquête sont aussi de cet avis.

    L’argument RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) n’est pas en reste car en plus de qualité, le marché est aujourd’hui en demande de transparence. A l’heure de la conscience écologique, indiquer clairement la provenance, la composition, l’empreinte carbone associées aux produits est devenu une nécessité. Mettre donc à disposition du public des données de ce type serait un gage de sérieux et de bonne fin dont il peut être préjudiciable de se priver.

    Une telle démarche de partage accru de la donnée reste malgré elle entachée par le caractère énergivore des datacenters qui sont à l’origine de 2% des émissions mondiales de gaz à effet de serre rejoignant ainsi celles générées par le transport aérien.

    Le recours à des systèmes écologiques de refroidissement et l’utilisation d’énergies renouvelables pour leur alimentation sont, entre autres, des solutions à envisager pour réduire l’impact des datacenters sur l’environnement. Mais outre les aspects écologiques, il faut être conscient que des gardes fous juridiques s’appliquent à l’utilisation des données ouvertes.

    L’encadrement de l’Open Data ne s’est pas fait attendre

    Il existe différents textes juridiques qui régissent la production et la consommation de données libres par des acteurs du public comme du privé. La question principale à laquelle le législateur apporte réponse porte sur les droits d’utilisation accordés par le propriétaire de la donnée.

    Si la mise à disposition est toujours garantie, certaines restrictions sur la modification et l’exploitation à usage commercial peuvent apparaître. Nous en avons un bel exemple sur les données de trafic routier publiées par la Direction Interdépartementale des Routes d’Île-de-France (DIRIF) qui exige d’être citée et ne tolère aucun usage commercial.

    A priori, les données libres sont sujettes à la protection des données personnelles mais il est opportun de mener une réflexion sur la place de l’Open Data dans le règlement général pour la protection des données (RGPD). En effet, le spectre couvert par la définition qu’il fait d’une donnée personnelle est si large qu’il peut vite s’avérer complexe de concilier les deux.

    La France, loin d’être en retard, a, grâce à la loi du 17 Juillet 1978, reconnu à toute personne un droit d’accès et de réutilisation des informations publiques moyennant une redevance. De nombreuses initiatives comme le plan France numérique 2012 et le projet Etalab émanant du gouvernement français, accompagnent déjà l’ouverture des données publiques à l’utilisation le plus large possible.

    Enfin…

    Le constat est limpide. L’Open Data est une pratique prometteuse dont nous ne mesurons que trop peu les incidences à ce jour. Ce potentiel ne pourra réellement être palpable que si elle se généralise voire se banalise. Il reste encore à lever certains verrous pour y arriver notamment concernant les réflexes qu’ont certains acteurs à vouloir conserver un contrôle exclusif sur leurs données ou la méfiance naturelle vis-à-vis de ce que pourraient en tirer des concurrents.

    Le secteur public quant à lui, a encore un travail de mise en qualité de ses données comme des canaux de diffusion afin de susciter plus d’adhésion.

    A l’avenir, il sera intéressant d’observer la dynamique de l’Open Data, notamment au travers des potentiels partenariats public-privé qui pourraient être noués. Car les gains tangibles de l’Open Data pour la communauté ne seront vraiment tangibles que lorsqu’un maximum d’entités économiques l’aura pleinement intégrée dans leur politique de développement et d’innovation.

    Source : silicon.fr

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    Bing Chat, le moteur de recherche basé sur l’intelligence artificielle de Microsoft, est désormais intégré par défaut sur tous les smartphones Samsung Galaxy. Cette intégration résulte d’un partenariat étroit entre les deux géants de la technologie, qui vise à offrir aux utilisateurs une expérience de recherche plus personnalisée et pertinente.

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    Lancé en mars 2023, Bing Chat est un outil conversationnel qui permet aux utilisateurs de dialoguer avec l’intelligence artificielle de Microsoft sous forme de requêtes en langage naturel. L’IA, basée sur GPT-4 d’OpenAI, est capable de générer des réponses adaptées au contexte et à l’intention de l’utilisateur.

    Bing Chat dispose également de capacités multimodales qui lui permettent de rechercher et de créer des images et des vidéos en fonction des demandes des utilisateurs. Par exemple, Bing Chat peut dessiner un chat avec des lunettes (grâce à Dall-E) ou trouver une vidéo d’un concert de Beyoncé.

    Bing Chat est accessible depuis le clavier SwiftKey, qui est intégré au système des smartphones Samsung Galaxy. Il suffit d’appuyer sur le bouton Bing Chat situé à côté de la barre d’espace pour lancer la conversation avec l’IA.

    Le clavier SwiftKey propose également deux autres boutons liés à Bing AI : un bouton de recherche, qui permet d’effectuer des recherches rapides sur le web sans changer d’application, et un bouton Tone, qui permet d’utiliser Bing AI pour personnaliser son texte en cours de rédaction afin de l’adapter à la situation. Par exemple, on peut demander à Bing AI de reformuler son texte de manière plus formelle ou plus amicale.

    Bing Chat, le moteur de recherche basé sur l’intelligence artificielle de Microsoft, est désormais intégré par défaut sur tous les smartphones Samsung Galaxy. Cette intégration résulte d’un partenariat étroit entre les deux géants de la technologie, qui vise à offrir aux utilisateurs une expérience de recherche plus personnalisée et pertinente.
    Qu’est-ce que Bing Chat ?

    Lancé en mars 2023, Bing Chat est un outil conversationnel qui permet aux utilisateurs de dialoguer avec l’intelligence artificielle de Microsoft sous forme de requêtes en langage naturel. L’IA, basée sur GPT-4 d’OpenAI, est capable de générer des réponses adaptées au contexte et à l’intention de l’utilisateur.

    Bing Chat dispose également de capacités multimodales qui lui permettent de rechercher et de créer des images et des vidéos en fonction des demandes des utilisateurs. Par exemple, Bing Chat peut dessiner un chat avec des lunettes (grâce à Dall-E) ou trouver une vidéo d’un concert de Beyoncé.

    Grâce à ces nouveautés basées sur l’IA, Bing Chat se distingue des autres moteurs de recherche notamment Google, leader incontesté jusqu’à maintenant.
    Comment accéder à Bing Chat sur les smartphones Samsung Galaxy ?

    Bing Chat est accessible depuis le clavier SwiftKey, qui est intégré au système des smartphones Samsung Galaxy. Il suffit d’appuyer sur le bouton Bing Chat situé à côté de la barre d’espace pour lancer la conversation avec l’IA.

    Le clavier SwiftKey propose également deux autres boutons liés à Bing AI : un bouton de recherche, qui permet d’effectuer des recherches rapides sur le web sans changer d’application, et un bouton Tone, qui permet d’utiliser Bing AI pour personnaliser son texte en cours de rédaction afin de l’adapter à la situation. Par exemple, on peut demander à Bing AI de reformuler son texte de manière plus formelle ou plus amicale.

    Bing Chat offre ainsi plusieurs avantages aux utilisateurs de smartphones Samsung Galaxy. Il leur permet d’abord d’obtenir des informations plus rapidement et plus facilement, sans avoir à taper des mots-clés ou à ouvrir un navigateur web.

    Bing Chat peut aussi donner accès à des contenus multimédias variés et créatifs, en utilisant la voix ou le texte pour demander ou créer des images et des vidéos. Enfin, l’IA de Microsoft peut accompagner les utilisateurs fâchés avec l’orthographe et la grammaire puisqu’il peut améliorer et corriger leurs messages avant de les envoyer, en utilisant Bing AI pour modifier le ton ou le style du texte.

    Bing Chat représente un enjeu stratégique pour Samsung et Microsoft, qui cherchent, pour le premier, à renforcer sa position sur le marché des smartphones, et pour le second, à concurrencer le moteur de recherche de Google.

    Samsung est le leader mondial des ventes de smartphones, avec plus de 20 % de part de marché. En intégrant Bing Chat par défaut sur ses appareils Galaxy, il offre à ses clients une alternative à Google Search, moteur de recherche dominant sur Android.

    Microsoft, quant à lui, profite du partenariat avec Samsung pour étendre la portée de son intelligence artificielle Bing AI, qui est déjà présente dans plusieurs produits comme Microsoft 365 Copilot, Azure OpenAI Service ou GitHub Copilot. Microsoft espère ainsi séduire davantage d’utilisateurs avec son moteur de recherche Bing Chat, qui se veut plus innovant et plus performant que Google Search.

    Selon un rapport du New York Times, Google serait inquiet de perdre Samsung comme partenaire, ce qui mettrait en péril environ 3 milliards de dollars de revenus annuels pour le géant du web. Google tente donc de rattraper son retard sur Microsoft en matière d’intelligence artificielle avec Bard, mais peine déjà à proposer une solution viable. Pour le moment.

    Source: https://www.presse-citron.net/pourquoi-lintegration-de-bing-chat-aux-smartphones-samsung-est-un-coup-de-maitre/

    Il faut un compte microsoft et donc, tout ce qui est fait avec bing est directement lié à votre compte et succeptible d’être stocké/revendu/utilisé par des tiers.

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    @BahBwah Certes non, mais là, sur ce sujet, il s’agit d’automobilistes 2.0
    Je dois être personnellement pire qu’un automobiliste… Je suis un motard! :mouhaha:

  • Le frigo du futur est presque la

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    Rika Zaraï l’aurait mis à l’horizontale mdrrrrrrr

  • Le disque dur du futur est presque la

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    tu te met sa avec la bible ta overdose remake de Lucy mdr

  • La botsexualité

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    @Rapace a dit dans La botsexualité :

    …ou avec un cochon…

    Bwaahh !!!

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    @Violence

    Il me semblait que consommateur docile c’était plus gentil que “monstre capitaliste adorateur de Satan” mais c’est toi qui vois.

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    Mis en service en décembre 2019, le premier parc solaire flottant en milieu alpin du monde, situé sur le lac des Toules à Bourg-Saint-Pierre, a livré ses premiers résultats. Les essais pilotes menés entre 2013 et 2019 laissaient augurer d’une production d’électricité jusqu’à 50% supérieure qu’en plaine. Le productible annuel était estimé à 1800 kilowattheures (kWh) par kWc installé. Mais le résultat obtenu est en moyenne de 1400kWh, soit un gain de seulement 30%, rapporte Romande Energie jeudi dans un communiqué. Les résultats ont été transmis à Office fédéral de l’énergie, qui soutient le projet.

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    Composé de 2240 m2 de panneaux solaires bifaciaux, répartis sur 35 structures flottantes, le démonstrateur a notamment dû résister aux conditions climatiques extrêmes à 1800 mètres d’altitude (neige, glace, vents jusqu’à 120 km/h et températures entre -25°C et 30°C), par exemple.

    Durant les trois dernières années, l’entreprise a exploité ce parc de démonstration pour déterminer la viabilité de ce type d’installations à grande échelle, le rendement énergétique en milieu alpin et l’impact possible sur l’environnement. «De manière générale, le parc solaire a répondu à nos attentes», déclare la société.

    Comme prévu, le démonstrateur va s’agrandir entre 2024 et 2028. Il devrait couvrir un peu plus d’un tiers de la surface du lac et produire plus de 22 millions de kilowattheures par an, ce qui représente la consommation moyenne de plus de 6200 ménages. «Le parc pourrait théoriquement atteindre les 50% de production de plus qu’en plaine», avance Romande Energie. Le positionnement des panneaux sera amélioré pour limiter les ombrages proches et l’accumulation de neige.

    «Ces parcs solaires apportent un début de réponse à l’indépendance énergétique de la Suisse, surtout en hiver. Nous envisageons de développer le solaire alpin sur d’autres lacs artificiels en Suisse», confie Guillaume Fuchs, codirecteur de l’Unité d’affaires solutions Energie chez Romande Energie. Aucun impact sur la faune et la flore n’est rapporté «sachant qu’il s’agit d’un lac artificiel, vidé régulièrement».

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/le-parc-solaire-flottant-nest-pas-aussi-performant-quespere-835695039717