Actualités High-Tech

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    @duJambon Juuuste ! mon 486 Dx2 66 avait ce port qui allait sur du 3.5’ de 1.44Mo !!!

    Sinon, si comme le dit @Raccoon les disquettes 5 1/4 ne sont plus fabriquées : ils ont intérêt à être délicats avec leurs outils jusqu’à cette MaJ matérielle de 2030 ^^

  • Kodi 21 est sortit, mais prudence

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    @Popaul Pour la recherche avec kodi j’utilise une télécommande avec un clavier au verso et le plugin qui va bien. C’est génial !

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    @duJambon je ne pensais même pas à l’espionnage mais au fait que les entreprises payent pour utiliser Outlook voir directement leurs boites mails chez M$.
    Si en plus de payer les services les entreprises se font aspirer leurs données au même titre que les particuliers qui eux utilisent les mêmes services mais gratuitement, je trouverais ça un peu fort de café. Mais je ne serais pas étonné que ce soit le cas.

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    C’est une bonne chose en effet, sachant qu’une étude récente parle que 90% des sites web ne respectent pas leur politique de cookies, et les refuser ne sert presque à rien, donc les sécuriser au max est une très bonne idée.

    https://www.tomsguide.fr/refuser-les-cookies-sur-un-site-web-ne-sert-a-rien-selon-cette-etude-accablante/

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    @Rapace

    Par une attaque bruteforce (ou par brumisation), on envoie des dictionnaires de mots de passe sur un compte (ou plusieurs séquentiellement) et quand ça matche, on a forcément le mot de passe… 🙂

    Sinon, dans le cas du hash code (le mot de passe crypté enregistré sur le site), on peut aussi travailler (si on connait l’algorithme) ou chercher un match, si le cryptage est asymétrique.

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    Vous avez vu Voice Engine d’OpenAI ? C’est un modèle d’IA qui est capable de générer des voix synthétiques ultra-réalistes à partir d’un simple échantillon audio de 15 secondes. Seulement 15 secondes, oui !

    Concrètement, ça veut dire qu’avec cette IA, on peut créer des voix qui ressemblent à s’y méprendre à celles de vraies personnes. Genre on donne un petit extrait de notre voix, et hop, l’IA peut générer un discours entier qui sonne exactement comme nous. C’est à la fois fascinant et un peu flippant, vous trouvez pas ?

    OpenAI sont à la pointe de la recherche dans le domaine et ils nous pondent régulièrement des trucs de malade comme Sora. Concernant Voice Engine, ils ont développé la techno fin 2022 et l’ont intégré dans leur API de synthèse vocale ainsi que dans les fonctionnalités vocales de ChatGPT.

    – Voici les 15 secondes de vraie voix :

    https://korben.info/app/uploads/2024/03/age-of-learning-reference.mp3

    – Et voici l’audio qui a été généré à partir de ça :

    https://korben.info/app/uploads/2024/03/age-of-learning-physics.mp3

    Mais attention, comme un grand pouvoir implique de grandes responsabilités (coucou Peter !), OpenAI joue la carte de la prudence. Ils sont bien conscients que cette technologie pourrait être utilisée à des fins pas très catholiques, genre pour créer des deepfakes audio et induire les gens en erreur. Du coup, ils la déploient pour l’instant à petite échelle, juste auprès de quelques partenaires de confiance.

    Et ces partenaires, ils en font quoi de Voice Engine ?

    Eh bien figurez-vous qu’ils développent des applications plutôt cools ! Par exemple, Age of Learning l’utilise pour générer des contenus audio éducatifs avec des voix naturelles et expressives. Ou encore HeyGen qui s’en sert pour traduire des vidéos dans différentes langues en conservant la voix du locuteur d’origine. D’ailleurs c’est ce que j’utilise pour ma chaine Youtube en anglais et je peux vous dire que ça coûte une couille. Ça peut aussi aider les personnes non-verbales à communiquer avec une voix unique grâce à Livox. Et même redonner la parole à des patients ayant perdu l’usage de la voix, comme le fait l’institut Norman Prince Neurosciences de Lifespan.

    Rassurez-vous, OpenAI a mis en place des garde-fous, comme l’interdiction d’utiliser Voice Engine pour imiter quelqu’un sans son consentement, l’obligation d’obtenir l’accord explicite du locuteur original, ou encore le watermarking des contenus générés pour pouvoir en tracer l’origine. Ils suggèrent également d’abandonner progressivement l’authentification vocale comme mesure de sécurité, mais également d’explorer des réglementations qui permettraient de protéger l’usage des voix dans l’IA, de sensibiliser le public aux deepfakes et de développer des techniques pour tracer l’origine des contenus audio et visuels.

    Bref, Voice Engine c’est à la fois excitant et inquiétant. Ce que je vois, c’est que ça ouvre des perspectives folles en termes d’applications, mais ça soulève aussi pas mal de questions sur l’avenir.

    Je vous invite à checker l’article d’OpenAI qui détaille leur approche avec plein d’exemples.

    – Sources :

    https://www.theverge.com/2024/3/29/24115701/openai-voice-generation-ai-model

    https://korben.info/openai-devoile-voice-engine-ia-generatrice-voix-synthetiques.html

    –> Punaise déja que la réglementation des IA est quasi inexistante alors avec ce truc :blink:

  • Fun, mais utile ?

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    C’est quand même impressionnant et je sortirais volontiers une blague bien lourde avec ce qui se fait militairement parlant mais je pense qu’il vaut mieux que je garde ça pour moi ^^

  • L'I.A. au service de la guerre

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    En lisant et dès que j’ai vu Corée du Nord, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce film : L’Aube Rouge
    Je ne donne pas très longtemps pour que ça arrive… 🙄

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    Un nouveau gang de ransomware surnommé SEXi est parvenu à compromettre l’infrastructure du fournisseur de services chilien IXMetro Powerhost ! Lors de cette attaque, les pirates ont chiffré des serveurs VMware ESXi ainsi que des sauvegardes ! Faisons le point.

    PowerHost est un fournisseur de services spécialisés dans les centres de données et l’hébergement, implanté en Amérique du Sud, notamment avec sa division IXMetro présente au Chili, aux États-Unis, et en Europe.

    Samedi 30 mars 2024, tôt en début de journée, IXMetro a subi une cyberattaque lors de laquelle les pirates sont parvenus à chiffrer plusieurs serveurs VMware ESXi notamment utilisés pour héberger des serveurs privés virtuels de clients (VPS). De ce fait, les services hébergés sont inaccessibles.

    Les équipes d’IXMetro cherchent à restaurer les données de leurs serveurs et de leurs clients à partir de précédentes sauvegardes, mais la tâche ne s’annonce pas simple : les sauvegardes sont également chiffrées. Ricardo Rubem, le CEO de PowerHost, affirme qu’il a essayé de négocier avec les cybercriminels, car il a envisagé de payer la rançon : “J’ai négocié avec le pirate, qui a exigé un montant exorbitant de bitcoins par client : 2 BTC pour chacun, soit environ 140 millions de dollars.”, précise-t-il.

    Le ransomware SEXi

    Le gang de ransomware SEXi serait une menace relativement récente et cette attaque serait son premier “gros coup” !

    , lorsque des fichiers sont chiffrés par ce ransomware, l’extension “.SEXi” est utilisée, et ceux-ci sont accompagnés par une note de rançon nommée “SEXi.txt”.

    D’après le site BleepingComputer, ce gang mène des attaques depuis mars 2023, mais cela reste à confirmer. Ce qui est certain, c’est que les cybercriminels du groupe SEXi cible seulement les hyperviseurs VMware ESXi, ce qui en fait une menace supplémentaire pour les infrastructures de virtualisation basées sur la solution VMware by Broadcom.

    Pour le moment, nous ignorons si ce gang de ransomware applique le principe de la double extorsion, car à l’heure actuelle, ce gang ne semble pas avoir de site dédié aux fuites de données.

    – Source :

    https://www.it-connect.fr/les-serveurs-vmware-esxi-un-hebergeur-chiffres-par-le-nouveau-ransomware-sexi/

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    Un nouvel ensemble de vulnérabilités baptisé “CONTINUATION Flood” a été découvert dans le protocole HTTP/2 ! Dans certains cas, l’exploitation de ces vulnérabilités permet un déni de service sur le serveur web pris pour cible, à partir d’une seule connexion TCP. Voici ce qu’il faut savoir.

    Le chercheur en sécurité Barket Nowotarski a fait la découverte des vulnérabilités “CONTINUATION Flood” présente dans HTTP/2, une version du protocole HTTP standardisée en 2015. S’il a choisi ce nom, ce n’est pas un hasard, car ces faiblesses sont liées à une mauvaise gestion des trames HTTP/2 CONTINUATION dans de nombreuses implémentations du protocole HTTP/2. Ces trames sont utilisées pour assembler le flux de données correspondant à différents blocs de messages du protocole HTTP/2, notamment pour l’en-tête.

    Lorsque les données ne sont pas correctement limitées ou vérifiées, un attaquant peut exploiter ces vulnérabilités en envoyant des trames extrêmement longues, sans définir l’indicateur “END_HEADERS”, ce qui va permettre d’épuiser les ressources du serveur cible et engendrer un déni de service. Dans certains cas, une seule connexion TCP en HTTP/2 peut suffire pour saturer le serveur en mémoire vive et le faire planter.

    “Les implémentations sans timeout pour les en-têtes ne nécessitaient qu’une seule connexion HTTP/2 pour faire planter le serveur.”, peut-on lire dans le rapport de Barket Nowotarski.

    Par ailleurs, il est important de préciser que le protocole HTTP/2 est encore largement utilisé. “Selon Cloudflare Radar, le trafic HTTP/2 représente environ 60 % de l’ensemble du trafic HTTP humain (données excluant les robots)”, précise Barket Nowotarski, avec un graphe à l’appui.

    CONTINUATION Flood, un ensemble de 9 failles de sécurité

    Le CERT/CC a également publié un rapport au sujet de l’ensemble de vulnérabilités CONTINUATION Flood. Il référence 9 failles de sécurité correspondantes à cette faiblesse dans différentes implémentations : la bibliothèque nghttp2, AMPHP, Apache HTTP, Arista Networks, Red Hat, SUSE Linux, Node.js, Envoy (version 1.29.2 ou antérieure), ainsi que le langage de programmation Go.

    À la fin de l’article du CERT/CC, il y a un tableau récapitulatif, et nous pouvons voir que le statut est actuellement inconnu pour plusieurs dizaines d’implémentations. Voici un extrait :

    Les CVE suivantes sont associées à CONTINUATION Flood : CVE-2024-27983, CVE-2024-27919, CVE-2024-2758, CVE-2024-2653, CVE-2023-45288, CVE-2024-28182, CVE-2024-27316, CVE-2024-31309, CVE-2024-30255.

    Si vous utilisez Apache2, sachez que la vulnérabilité CVE-2024-27316, correspondante à CONTINUATION Flood, a été corrigée dans Apache 2.4.59 publiée ce jeudi 4 avril 2024 (voir cette page).
    Ceci n’est pas sans rappeler la faille de sécurité “Rapid Reset” présente dans le protocole HTTP/2 et révélée en octobre 2023. À l’époque, elle avait permis de déclencher des attaques DDoS records !

    – Source:

    https://www.it-connect.fr/vulnerabilite-continuation-flood-dans-http2-expose-serveurs-web-attaques-dos/

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    On a éviter le carnage

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    C’est vachement pratique de pouvoir récupérer sa chambre d’hôtel après une grosse journée, simplement en passant par le terminal qui se trouve dans l’entrée de l’hôtel. On tape son nom, on paye et paf, on récupère son numéro de chambre et le code pour y accéder. Sauf que ce que vous ignorez peut-être, c’est que ce même terminal vient potentiellement d’exposer votre code d’accès à des personnes mal intentionnées…

    C’est exactement ce qui s’est passé dans un hôtel IBIS Budget à Hambourg, en Allemagne. Lors d’un congrès de hackers, la société Pentagrid a remarqué une faille de sécurité pour le moins inquiétante dans le terminal de check-in. Ainsi, en entrant une série de tirets à la place du numéro, le terminal liste toutes les réservations avec leur numéro, la date d’arrivée prévue et le prix total du séjour. Puis en sélectionnant une réservation, on accède directement au numéro de chambre et au code d’accès de la porte.

    Dans l’hôtel en question, pas moins de 87 réservations étaient ainsi exposées, soit près de la moitié des 180 chambres de l’établissement !

    Vous imaginez le désastre si ces codes tombaient entre de mauvaises mains ? Adieu vos effets personnels, surtout dans un hôtel bas de gamme comme celui-ci qui n’est pas équipé de coffres-forts dans les chambres. Et je vous parle pas des agressions en pleine nuit ! C’est la porte ouverte à toutes les fenêtres comme dirait l’autre.

    Fort heureusement, Pentagrid a immédiatement signalé cette faille à la chaîne hôtelière Accor, propriétaire des hôtels IBIS. Le problème a depuis été corrigé, mais il aura fallu quand même plusieurs échanges et relances de la part des hackers pour que des actions soient entreprises de la part d’Accor.

    Mais comment une telle faille a-t-elle pu se produire ? Et bien d’après les informations fournies par Pentagrid sur leur blog, il semblerait que le terminal de check-in ait une fonction de recherche des réservations qui nécessite uniquement le numéro de réservation pour afficher le numéro de chambre et le code d’accès. Donc c’est pas un bug, c’est une feature qui a mal tournée…

    Le pire dans tout ça, c’est que de base, les numéros de réservation ne sont pas une donnée très sécurisée puisqu’on les retrouve sur toute la paperasse comme les factures…etc qui peuvent ensuite être récupérées dans une poubelle par exemple. Donc n’importe qui pourrait mettre la main dessus et accéder à votre chambre.

    C’est pourquoi les auteurs de cette découverte recommandent aux hôtels de mettre en place une vérification supplémentaire pour accéder aux informations de réservation, comme un code PIN qui serait communiqué séparément au client. Les terminaux devraient aussi supprimer automatiquement les réservations dès que les informations ont été imprimées ou consultées.

    En attendant, si vous séjournez dans un hôtel IBIS Budget prochainement, n’allez pas vous amuser à vérifier que la faille a été corrigée sur le terminal de check-in parce que vous ne voulez pas finir en prison pour piratage (lol).

    En tout cas, sachez-le, la prochaine fois que je dors à l’IBIS, je vous attendrais de pied ferme en embuscade dans mon peignoir façon biopic DSK par Liam Neeson.

    – Sources :

    https://www.pentagrid.ch/en/blog/ibis-hotel-check-in-terminal-keypad-code-leakage/

    https://korben.info/faille-securite-terminaux-check-in-ibis-codes-acces-chambres-exposes.html

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    @Ashura a dit dans 42.parquet : la bombe Zip qui ruine le Big Data :

    Comment c’est possible de passer de 42ko à une telle taille finale, c’est dingue

    Encore un coup des poissons peut-être. :hum:

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    La solution pour contrer ça, c’est le bac à sable, au lieu de bloquer les pubs, il faut les exécuter hors affichage.

    J’en rêve depuis le début de l’invasion des pubs.

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    Marchez mains dans les poches, on sait jamais!

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    Je sais pas si vous avez vu passer ça, mais dernièrement, il y a eu un peu de grabuge entre George Hotz (Geohot) et AMD, puisque ce dernier a essayé de faire tourner son framework IA Tiny Grad sur des GPU AMD.

    Sauf que voilà, AMD lui a donné du fil à retordre avec ses firmwares propriétaires. Le driver open-source d’AMD se révélant être une jolie mascarade puisque tout les morceaux de code critiques sont bien protégés et sous licence.

    Pourtant, Geohot n’a pas lésiné. Des mois à éplucher le code, à bypasser la stack logicielle, à discuter avec les pontes d’AMD. Mais rien à faire, les mecs veulent pas cracher leurs précieux blobs binaires. « Trop risqué, pas assez de ROI, faut voir avec les avocats. » Bref, c’est mort.

    Pendant ce temps, Nvidia se frotte les mains avec son écosystème IA bien huilé. Des pilotes certifiés, des perfs au rendez-vous, une bonne communauté de devs… Tout roule pour eux, alors qu’AMD continue de s’enfoncer dans sa logique propriétaire, au détriment de ses utilisateurs.

    La goutte d’eau pour Geohot ? Un « conseil » de trop de la part d’AMD qui l’a incité à « lâcher l’affaire« . Résultat, geohot est passé en mode « je vais vous montrer qui c’est le patron« . Si AMD ne veut pas jouer le jeu de l’open-source, alors il va leur exposer leurs bugs de sécu à la face du monde !

    Et c’est ce qu’il a fait puisque durant un live de plus de 8h, il s’est attaché à trouver plusieurs exploit dans le firmware des GPU AMD. Il est fort !

    Dans l’IA, l’aspect hardware compte évidemment mais le software c’est le nerf de la guerre. Les boîtes noires, les firmwares buggés, le code legacy, c’est plus possible et les sociétés qui tournent le dos à la communauté des développeurs et des hackers font, selon moi, le mauvais choix.

    Et ce qui arrive à AMD n’est qu’un exemple de plus.

    Bref, comme d’habitude, gros respect à Geohot pour son combat de vouloir encore et toujours que la technologie profite au plus grand nombre. En attendant, suite à sa mésaventure avec AMD, il a annoncé qu’il switchait tout son labo sur du matos Nvidia et qu’il bazardait ses 72 Radeon 7900 XTX sur eBay. Si vous voulez des GPU d’occase pour pas cher (et apprendre à les faire planter ^^), c’est le moment !

    Et si le code source de ses exploits vous intéresse, tout est sur Github.

    Merci George !

    – Source :

    https://korben.info/geohot-atomise-les-firmwares-amd-et-ca-fait-mal.html

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    Tiens à propos de support numérique qui n’avait pas fait long feu, le HD DVD créé par Toshiba qui voulait concurrencer le Blu-ray de chez Sony (j’ai encore mon lecteur HD DVD de chez Microsoft que j’avais acheté juste pour le fun sur le boncoin pour une bouchée de pain 😁)

    https://www.cnetfrance.fr/produits/hd-blu-ray-hd-dvd-le-meilleur-format-39378766.htm

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    J’ai pu renouveler mon offre, juste avant l’arrivée de cette v9.
    Merci la révolution à 15€ :soupir_couettes:

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    Entre le tchat bot qui te sort des énormités et ce machin qui imite la voix de n’importe qui…

    Est-ce que quelqu’un aurait une grotte sympa pour s’y planquer ?

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    Si vous suivez l’actualité de l’IA générative, vous connaissez probablement la tendance des chatbots LLM à « confondre » des informations incorrectes tout en présentant ces informations comme faisant autorité. Cette tendance semble sur le point de causer de sérieux problèmes maintenant qu’un chatbot géré par le gouvernement de la ville de New York invente des réponses incorrectes à certaines questions importantes de droit local et de politique municipale.

    Le ChatBot « MyCity » de New York a été lancé en tant que programme « pilote » en octobre dernier . L’annonce présente le ChatBot comme un moyen pour les propriétaires d’entreprise de « gagner du temps et de l’argent en leur fournissant instantanément des informations exploitables et fiables provenant de plus de 2 000 pages Web et articles de NYC Business sur des sujets tels que le respect des codes et des réglementations, les activités commerciales disponibles. des incitations et des meilleures pratiques pour éviter les violations et les amendes.

    Mais un nouveau rapport de The Markup et du site d’information local à but non lucratif The City a révélé que le chatbot MyCity donnait des informations dangereusement erronées sur certaines politiques municipales assez basiques. Pour ne citer qu’un exemple, le robot a déclaré que les bâtiments de New York « ne sont pas tenus d’accepter les bons de la Section 8 », alors qu’une page d’information du gouvernement de New York indique clairement que les subventions au logement de la Section 8 sont l’une des nombreuses sources de revenus légales que les propriétaires sont tenus d’accepter. sans discrimination. The Markup a également reçu des informations incorrectes en réponse aux requêtes des chatbots concernant la réglementation sur la rémunération des travailleurs et les heures de travail, ainsi que des informations spécifiques au secteur, telles que les prix des salons funéraires.

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    Le plus gros bobard pour le moment.

    Vous pouvez être expulsé si vous ne payez pas votre loyer, malgré ce que dit le chatbot « MyCity ».

    Des tests plus approfondis effectués par Kathryn Tewson, utilisatrice de BlueSky, montrent que le chatbot MyCity donne des réponses dangereusement fausses concernant le traitement des lanceurs d’alerte sur le lieu de travail, ainsi que des réponses hilarantes concernant la nécessité de payer un loyer .

    Cela va continuer à se produire

    Le résultat n’est pas trop surprenant si l’on examine les modèles prédictifs basés sur des jetons qui alimentent ces types de chatbots. Le chatbot Microsoft Azure de MyCity utilise un processus complexe d’associations statistiques sur des millions de jetons pour essentiellement deviner le mot suivant le plus probable dans une séquence donnée, sans aucune réelle compréhension des informations sous-jacentes transmises.

    Cela peut poser des problèmes lorsqu’une seule réponse factuelle à une question peut ne pas être reflétée précisément dans les données de formation. En fait, The Markup a déclaré qu’au moins un de ses tests avait abouti à la bonne réponse à la même question concernant l’acceptation des bons de logement de la section 8 (même si « dix membres du personnel de Markup distincts » ont obtenu la mauvaise réponse en répétant la même question).

    Le chatbot MyCity, qui est clairement étiqueté comme un produit « bêta », indique aux utilisateurs qui prennent la peine de lire les avertissements qu’il « peut occasionnellement produire du contenu incorrect, nuisible ou biaisé » et que les utilisateurs ne doivent « pas se fier à ses réponses comme substitut à conseils professionnels." Mais la page indique également au premier plan qu’elle est “formée pour vous fournir des informations officielles sur les affaires de New York” et qu’elle est vendue comme un moyen “d’aider les propriétaires d’entreprise à naviguer dans le gouvernement”.

    Andrew Rigie, directeur exécutif de la NYC Hospitality Alliance, a déclaré à The Markup qu’il avait lui-même rencontré des inexactitudes de la part du robot et qu’il avait reçu des rapports à ce sujet d’au moins un propriétaire d’entreprise local. Mais Leslie Brown, porte-parole du Bureau de la technologie et de l’innovation de New York, a déclaré à The Markup que le robot « a déjà fourni à des milliers de personnes des réponses précises et en temps opportun » et que « nous continuerons à nous concentrer sur la mise à niveau de cet outil afin de mieux soutenir les petites entreprises à travers le monde ». la ville."

    Le rapport de Markup souligne le danger que les gouvernements et les entreprises déploient des chatbots auprès du public avant que leur exactitude et leur fiabilité n’aient été entièrement vérifiées. Le mois dernier, un tribunal a forcé Air Canada à honorer une politique de remboursement frauduleuse inventée par un chatbot disponible sur son site Internet. Un récent rapport du Washington Post a révélé que les chatbots intégrés aux principaux logiciels de préparation de déclarations de revenus fournissent « des réponses aléatoires, trompeuses ou inexactes » à de nombreuses questions fiscales. Et certains ingénieurs astucieux auraient réussi à tromper les chatbots des concessionnaires automobiles pour qu’ils acceptent une « offre juridiquement contraignante – sans contrepartie » pour une voiture à 1 $.

    Ces types de problèmes éloignent déjà certaines entreprises des chatbots plus généralisés basés sur LLM et se tournent vers des modèles de génération augmentée et de récupération plus spécifiquement formés , qui n’ont été réglés que sur un petit ensemble d’informations pertinentes. Ce type d’attention pourrait devenir d’autant plus important si la FTC réussit à rendre les chatbots responsables des informations « fausses, trompeuses ou désobligeantes ».

    Source: https://arstechnica.com/ai/2024/03/nycs-government-chatbot-is-lying-about-city-laws-and-regulations/

    Et on n’a pas fini de rigoler.