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    De grands chefs comme Thierry Marx ou Mauro Colagreco ont pris part à ce mouvement, alors que ce poisson est en danger d’extinction.

    Ils ne cuisineront plus d’anguille. Plus de 3 500 chefs, dont les 580 chefs des Relais & Châteaux et les 3 000 hôteliers et restaurateurs d’Île-de-France annoncent qu’ils ne serviront plus ce poisson « en danger critique d’extinction ». Et parmi ces cuisiniers, certains grands noms : Thierry Marx, Mauro Colagreco, ou encore Grégory Coutanceau, selon TF1 Info. L’initiative a été lancée par l’association Ethic Ocean. « Nous condamnons les Japonais et les Norvégiens qui tuent les baleines pour les manger. Regardons dans notre assiette ! Arrêtons de pêcher l’anguille, ce poisson fascinant qui mérite notre respect et notre admiration », appelle son président, le biologiste Gilles Bœuf.

    L’Union internationale de conservation de la nature (IUCN) a en effet classé l’anguille en « danger critique d’extinction ». Sa pêche n’est pourtant pas régulée. « C’est la seule espèce pour laquelle la pêche est autorisée à tous ses stades de développement. Pour les autres espèces commerciales, il existe des tailles minimales de capture », souligne Élisabeth Vallet, directrice d’Ethic Ocean.

    Cédric Béchade, chef de son restaurant L’Auberge basque, à Saint-Pée-sur-Nivelle, explique ce choix, qu’il a pris il y a trois ans : « Si je fais rentrer dans ma cuisine un produit en danger critique d’extinction, ça veut dire que je cautionne. Ce n’est pas possible. Nous devons respecter les ressources. »

    Victime de la surpêche

    Si l’anguille disparaît petit à petit, c’est pour plusieurs raisons, selon TF1 Info. Déjà, pour son cycle de vie : le poisson fait un voyage de plus de 6 000 kilomètres pour aller pondre en Atlantique, vers la mer des Sargasses, pour laisser les larves voguer jusqu’au sud de l’Europe. Les anguilles remontent ensuite lacs, rivières et autres cours d’eau douce.

    Un long chemin qui tue une partie de la variété. Mais l’homme pose également de grands problèmes avec les barrages, la pollution de l’eau… Et surtout la surpêche. Un important marché noir à destination de l’Asie est en place. Selon Europol, 100 tonnes de civelles sont exportées illégalement chaque année.

    L’Europe n’a pour l’instant pas de quota de pêche. C’est la seule variété de poisson qui n’en a pas pour la protéger. La France avait pris la décision d’en imposer un sur son territoire… Quota qui a été augmenté par arrêté le 24 octobre dernier, passant de 58 à 65 tonnes.

    Un comité d’experts « permettait de rehausser ce quota à 97 tonnes en constatant une hausse de la capacité de l’espèce à se reproduire pour cette saison et une baisse du taux d’exploitation sur 2022-2023 », se défend le ministère du secrétaire d’État chargé de la Mer, Hervé Berville, affirmant que « les professionnels du secteur ont préféré rester prudents et simplement rehausser le quota à 65 tonnes pour cette saison et l’État a suivi leur position de prudence ».

    Source : lepoint.fr

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    J’en connais une qui tente la méthode Bisou(s) depuis des années… mais ce n’est pas la même… Elle veut et c’est moi qui résiste :mouhaha:

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    Sa vision de ne plus travailler sur terre mais sur Mars :lol:

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    Ça va coûter une blinde, déjà qu’un bloquage de 2h coûte cher mais la…

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    Ouf heureusement j’ai mon jet privé

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    En avant pour la ww3, quelle aventure 🎵🎶🎵

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    Les 2 mon capitaine :hehe:

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    Apparemment, choisir l’ignorance nous donne une excuse pour agir de manière égoïste.

    Selon une nouvelle étude, 40 pour cent des gens préféreraient ne pas connaître les conséquences de leurs actes

    “Les exemples d’une telle ignorance délibérée abondent dans la vie quotidienne, par exemple lorsque les consommateurs ignorent les informations sur les origines problématiques des produits qu’ils achètent”, a déclaré l’auteur principal Linh Vu, MS, doctorant à l’Université d’Amsterdam aux Pays-Bas, dans un communiqué . . « Nous voulions savoir à quel point l’ignorance délibérée est répandue et nocive, ainsi que pourquoi les gens s’y livrent. »

    Vu et ses collègues ont mené une méta-analyse de 22 études précédemment publiées portant sur un total de 6 531 participants. Chaque étude s’est déroulée soit dans un laboratoire de recherche, soit en ligne, et toutes comprenaient une sorte d’arrangement selon lequel certains participants apprenaient les conséquences de leurs actes, tandis que d’autres pouvaient refuser cette information s’ils le souhaitaient.

    Par exemple, dans une étude importante , les participants pouvaient choisir de recevoir 6 $ pour eux-mêmes et 1 $ pour un autre bénéficiaire. Alternativement, le participant, appelé « décideur », pourrait choisir de recevoir 5 $ et le même montant serait versé à un autre bénéficiaire. Évidemment, la première option est bien moins altruiste que la seconde.

    Dans la condition de contrôle, dans laquelle les participants connaissaient les conséquences de leur décision, 74 pour cent ont agi de manière altruiste et ont choisi la deuxième option qui offrait de plus grands avantages à un autre bénéficiaire au prix de 1 $ pour eux-mêmes. Cependant, dans une situation où les participants ne savaient pas quel impact leur choix aurait sur les autres – où ils comprenaient simplement qu’il y avait 50 % de chances que leur décision ait un impact négatif sur l’autre destinataire – les choses étaient différentes.

    Dans cette configuration, les participants pourraient secrètement choisir d’apprendre le résultat de la sélection de la première ou de la deuxième option. L’étude a révélé qu’environ 44 pour cent des décideurs ont choisi l’ignorance. L’étude a montré que certaines personnes évitaient activement les informations, surtout si ces informations étaient directement liées à leurs choix.

    Selon les auteurs, cela a permis à ces participants de continuer à agir de manière égoïste tout en conservant le sentiment d’eux-mêmes en tant qu’individus altruistes.

    La nouvelle méta-analyse a confirmé cette interprétation. Selon Shaul Shalvi, co-auteur et professeur d’éthique comportementale à l’Université d’Amsterdam, ceux qui ont choisi de connaître les conséquences de leurs actes étaient 7 points de pourcentage plus susceptibles d’être altruistes que les participants qui ont reçu l’information par défaut. . Cela suggère que les personnes vraiment généreuses choisissent de se renseigner sur les résultats de leurs choix.

    “Les résultats sont fascinants car ils suggèrent qu’un grand nombre de comportements altruistes que nous observons sont motivés par le désir de nous comporter comme les autres s’attendent à ce que nous le fassions”, a expliqué Shalvi.

    « Même si la plupart des gens sont prêts à faire ce qu’il faut lorsqu’ils sont pleinement informés des conséquences de leurs actes, cette volonté n’est pas toujours due au fait que les gens se soucient des autres. Une partie des raisons pour lesquelles les gens agissent de manière altruiste est due aux pressions sociétales ainsi qu’à leur désir de se voir sous un bon jour. Étant donné qu’être juste coûte souvent cher et exige que les gens abandonnent leur temps, leur argent et leurs efforts, l’ignorance offre une issue facile.

    Des recherches plus approfondies sont nécessaires pour explorer comment l’ignorance volontaire se manifeste dans d’autres contextes et cultures, et comment cela peut être combattu.

    Sources: https://www.iflscience.com/40-percent-of-people-willingly-choose-ignorance-the-psychological-reason-why-71439
    et: https://www.apa.org/pubs/journals/releases/bul-bul0000398.pdf

    Sans réelle surprise.

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    @Pluton9 a dit dans Pourquoi à partir de ce lundi 6 novembre à 11 h 25, les femmes travaillent "gratuitement" en France ? :

    Les femmes gagnent 15,4% de moins que les hommes

    Ça c’est dégueulasse et inacceptable.
    Je ne comprends pas que cela puisse exister.

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    Les prévisions sur lesquelles se fondent les décideurs politiques sont « très irréalistes », ce qui conduit à des efforts insuffisants, indique le rapport de Finance Watch.

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    Les économistes sous-estiment les impacts économiques du changement climatique, ce qui n’incite ni le secteur financier ni les pouvoirs publics à s’investir dans la réduction des émissions de carbone, selon l’ONG Finance Watch.

    « Les risques économiques liés au changement climatique sont actuellement modélisés de la même manière que les risques financiers traditionnels », explique Thierry Philipponnat, chef économiste de l’ONG Finance Watch et auteur d’un rapport publié mardi 31 octobre.

    Or « les pertes liées au changement climatique seront d’une ampleur considérable, imprévisibles et permanentes ».

    Certaines conséquences climatiques, comme le dégel du permafrost ou les incendies de forêts, vont provoquer des pertes économiques « bien supérieures à celles des récentes crises financières », selon l’ONG basée à Bruxelles.

    En conséquence, « les modèles économiques des décideurs politiques ne prévoient qu’un niveau bénin de pertes dues au changement climatique » et leurs prévisions sont « très irréalistes », estime le rapport.

    Des analyses faussées

    Cette sous-évaluation des impacts risque de « fausser les analyses coûts/bénéfices » utilisées pour concevoir les politiques de lutte contre le changement climatique et les investissements dans la transition, dénonce encore Finance Watch.
    « Et même si les estimations des pertes économiques sont revues à la hausse, les autorités de surveillance du secteur financier ne disposent pas des outils prudentiels nécessaires pour préparer le système financier à ces pertes », abonde l’ONG créée à la suite de la crise de 2008 afin d’instaurer un contre-lobby à la finance.

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    Finance Watch accueille positivement le rapport demandé par la Commission européenne aux autorités européennes de supervision bancaire, afin d’évaluer la résilience du secteur financier à un scénario de réduction de 55% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 dans l’Union européenne. Une « opportunité pour aider le système financier à se préparer aux effets économiques du changement climatique », selon le rapport.

    Source: https://www.nouvelobs.com/ecologie/20231101.OBS80308/les-economistes-sous-evaluent-les-impacts-du-rechauffement-climatique-selon-une-ong.html?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

  • Temu, piège à cons

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    C’est le genre de truc, quand tu l’achète tu te dis, très enthousiaste, “Super, ça vaut rien 🙂 !!!”
    Puis tu le reçoit.
    Et quand tu l’utilise, tu te dis “Putain #]~]@|[~@ ça vaut rien :angry: !!!”

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    Toutes ces histoire de wokisme, greenwaching et j’en passe sa m’en touche une sans faire bouger l’autre…

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    @Pollux a dit dans Cannabinoïdes : Qu’est ce que le Delta-P ? origines, effets… :

    on est loin ne serait-ce que d’une weed basique.

    Je confirme absolument ce qu’a dit @Pollux ! OGM et chimie ne font pas mieux que la nature…
    Par contre je confirme que c’est bien au moins 40 fois plus fort que la camomille !

  • [2/11/2023] Tempête Ciarán

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    Y’a plus de courant non plus dans les hôtels, sandwiches et thé/café glacé au menu, ça leur fera les pieds… :lol:

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    Pour ceux que cela intéresse, je viens de tomber sur cet article qui fait une critique de la théorie développée par S. Bohler.

    https://bonpote.com/la-faute-a-notre-cerveau-vraiment-les-erreurs-du-bug-humain-de-s-bohler/

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    @duJambon

    Apparemment, tu étais passé à coter, mais le Midilibre avait déjà publié l’annonce de l’AFP, voir mon lien plus haut 😉

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    La multinationale indienne se montre un peu trop curieuse au sujet de ses salariés français.

    TATA, la célèbre world company indienne, a su développer de belles méthodes de travail sur le sol français. En particulier du côté de Puteaux, dans les Hauts-de- Seine, où l’antenne de sa filiale Tata Consultancy Services (des centaines de milliers de salariés dans le monde et une coquette valorisation en Bourse de 159 milliards de dollars) fait des étincelles en matière informatique. Forte d’un gros millier de salariés, cette succursale, qui bosse avec près de la moitié du CAC 40 (Société générale, Total -Energies, Engie…), a équipé ses ordinateurs, au plus fort de la pandémie de Covid-19, de deux étonnants logiciels. Motif officiel : << prévenir toute fuite d’informations confidentielles à l’extérieur ». A l’intérieur, ces outils, qui contrôlent les faits et gestes numériques des salariés, ont permis de prendre quelques libertés avec le droit du travail français… Le premier des deux joujoux de la direction a été baptisé du doux nom de «< Forcepoint ». Cet agent DLP (data loss prevention), comme on dit dans le jargon, se comporte comme un chalutier qui ramasserait dans ses filets tout un tas de données sur les salariés connectés au réseau interne de l’entreprise… à partir de mots-clés. Tata, étonnamment, n’a jamais voulu dire lesquels.

    Espion mais pas trop

    Sur le papier, les prouesses de Forcepoint sont réjouissantes: dès qu’un salarié envoie un mail, consulte une clé USB, bref, dès qu’il utilise son ordinateur, le logiciel passe à l’action, analysant le moindre flux avec son petit code musclé. Mais ce logiciel a aussi une fâcheuse tendance à bloquer les courriels flanqués de la mention << personnel >> et à publier automatiquement un mini rapport où figurent le nom de l’employé, le contenu du mail, l’adresse IP de son ordinateur, etc., le tout étant conservé pendant un an ! Tata se préoccupe visiblement peu des recommandations de la Commission nationale de l’informatique et des libertés, qui rappelle régulièrement aux employeurs que tout message portant la mention << personnel » doit être considéré comme une correspondance privée, sous peine de violation du secret des correspondances.
    Forcepoint n’étant sûrement pas assez protecteur pour Tata Consultancy Services, cette sympathique petite boîte a poussé plus loin le processus avec un deuxième outil, SBWS - pour Secure Borderless Workspaces. Un nom qui fleure bon la cybersécurité, et un gadget permettant de lorgner à distance les noms de domaines et les heures d’utilisation d’un ordinateur, sans distinguer les périodes de travail des autres. De l’espionnite professionnelle ? Que nenni: seulement de la prévention des fuites qui pourraient mettre en péril Tata, voire présenter << un danger de mort », comme le serine sans rire le groupe indien depuis trois ans.
    Pas très transparent, ce dernier a fait installer ces deux mouchards en 2020, sans en informer le comité social et économique (CSE) de l’entreprise. Deux ans plus tard, les élus du personnel et les syndicats ont fini, au nom du principe de précaution, par attaquer Tata en référé. A les en croire, les superlogiciels de leur employeur portaient << une atteinte injustifiée et disproportionnée au droit à la vie privée des salariés »>.
    Le tribunal judiciaire de Nanterre leur a donné raison dans une ordonnance du 24 juin 2022, enjoignant à l’entreprise de cesser d’utiliser ses deux bestioles dans les quinze jours. Las! le groupe indien - qui n’a pas répondu aux questions du «< Canard » - ne respecte pas cette décision de justice, dont il n’a pas fait appel, malgré une astreinte fixée à 1 000 euros par jour. Il a sans doute les moyens…

    Destination Bombay

    Les grincheux du CSE ont ouvert un second front: deux cabinets d’expertise ont été sollicités pour analyser les mouchards plus en détail. L’un deux, la société Arete, a notamment découvert que le fameux Forcepoint était également capable d’identifier les données sensibles contenues dans les images, les documents numérisés et les captures d’écran.
    Plus rassurant encore en plus d’être analysées sur place, les données récoltées par les logiciels magiques sont envoyées à la maison mère, en Inde, pour être passées au peigne fin par un service spécialisé à Bombay. Ce qui, là aussi, se révèle peu conforme au règlement européen sur la protection des données. Les salariés ne sont malheureusement pas près de prendre connaissance de ces belles informations, la publication des deux rapports d’expertise venant d’être refusée net par Tata.
    La peur d’une fuite à l’extérieur, sans doute…

    Source: https://lire.lecanardenchaine.fr/viewer/6988/5372/1

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    Ils auront toujours des clients vu leurs coûts de production dans quasi tous les domaines, leur propension à faire de la copie : je me suis vu envoyer des schémas de (ou des) connectiques Telegartner et les recevoir J+4 en sample, même résultats sur les bancs de tests. Sans compter toute la pub qui inonde les réseaux sociaux pour X gadgets, la fast fashion. Vraiment, je ne m’inquiète pas pour leur business ^^

    Par ailleurs, je pense que c’est surtout en réponse à la fin de l’aide à l’achat de voitures électriques made in china décidé récemment.

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    Perso je l’ai vécu comme ça

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