Discussions générales

On parle de tout le reste

543 Topics 5.8k Posts
  • Le coût des rêves

    2
    0 Votes
    2 Posts
    57 Views
    JO de Paris 2024 : craintes sécuritaires et dépenses colossales

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a présenté ce 23 mai un protocole de sécurité pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Un dispositif d’envergure sera mobilisé pour un événement coûteux et hors norme. «un enjeu de sécurité exceptionnel», a résumé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin : le 26 juillet 2024, la cérémonie d’ouverture de la 33e olympiade de l’ère moderne se déroulera à Paris. Pour faire face aux défis sécuritaires, le ministre a présenté un protocole avec les principaux acteurs de l’organisation des JO 2024, la maire de Paris Anne Hidalgo et le président du Comité d’organisation des Jeux (et triple médaillé d’or en canoë) Tony Estanguet. la première fois que la cérémonie se passera en dehors d’un stade a rapporté Darmanin.

    La cérémonie de tous les dangers La cérémonie d’ouverture sera «inédite» dans l’histoire moderne des Jeux : pour la première fois, elle se déroulera en extérieur, c’est-à-dire «en dehors d’un stade», a noté Darmanin. L’événement aura lieu le long de la Seine entre la bibliothèque François Mitterrand et la tour Eiffel, a-t-il rapporté. Les athlètes ne défileront pas sur une piste d’athlétisme comme habituellement mais à bord de bateaux. S’en suivra un spectacle artistique et musical puis la cérémonie protocolaire à proprement parler avec les officiels. La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques constitue un enjeu de sécurité exceptionnel : plusieurs centaines de milliers de spectateurs, 10 000 athlètes, 200 chefs d’État et plusieurs milliards de téléspectateurs.

    En tout, ce sont 115 bateaux qui seront mobilisés pour transporter quelque «10 000 athlètes», toujours selon le ministre. Environ «200 chefs d’États et de gouvernements» assisteront au spectacle, mais aussi «plusieurs centaines de milliers» de spectateurs sur place. L’AFP évoque même le chiffre de 400 000 personnes. Dans ses annonces, le ministre de l’Intérieur a fait part d’une mobilisation elle aussi inédite avec 35 000 membres des forces de sécurité intérieure en plus des renforts issus de la sécurité privée. Pour le gouvernement français, un faux pas serait déplorable. Gérald Darmanin estime ainsi que plusieurs milliards de personnes vont regarder la cérémonie. En cas d’incident majeur, les retombées en matière de tourisme pourraient être dramatiques. En 2022, la finale de la Ligue des champions de football qui devait avoir lieu au stade Krestovski de Saint-Pétersbourg mais qui fut finalement déplacée au Stade de France à Saint-Denis avait été le théâtre de violents incidents. La responsabilité du ministre de l’Intérieur avait alors été largement pointée du doigt.

    Partage des responsabilités et coût incertain Les Jeux olympiques impliquent un important dispositif sécuritaire, à plus forte raison dans une ville comme Paris particulièrement exposée à la délinquance. Les chiffres du ministère de l’Intérieur font ainsi état d’une augmentation de 24,6% des coups et blessures volontaires en 2022 dans la capitale. Le premier policier de France compte sur le développement du système de vidéosurveillance pour faire face aux enjeux sécuritaires et fait valoir une augmentation de 400 caméras à Paris, portant le total à 4 400. En tout, 25 millions d’euros seront ainsi alloués à ce seul dispositif. A la menace sécuritaire directe, s’ajoute celle, potentielle, des attaques de drones, qui inquiète les autorités françaises, mais aussi la question du cyber.

    Ainsi, le ministre évoque «quatre milliards d’attaques» de ce type lors des Jeux de Tokyo en 2021 pour un événement sportif qui n’avait accueilli que très peu de public, crise sanitaire oblige. Au Japon, les Jeux devaient initialement coûter 6 milliards d’euros et la facture finale s’est élevée à 12 milliards. Pour Paris, l’audition initiale (2017) évoquait un coût à 6,6 milliards, elle est aujourd’hui chiffrée à 8,8 milliards. Un total qui ne prend pas en compte le coût de la sécurité. Celui-ci pourrait pourtant faire gonfler le budget. Le chiffrage d’un pré-apport de la Cour des comptes évoquait à l’été 2022 un coût de 419 millions d’euros pour les dépenses de sécurité de l’État. La cérémonie d’ouverture, exceptionnelle, n’était alors pas prise en compte.

    Les Jeux olympiques de Paris sont un événement majeur pour la France et le président de la République entend faire de cette manifestation sportive un moment historique de sa présidence. Après les faux pas en matière de ventes de billets, jugés trop chers par les Français, les autorités publiques vont devoir se montrer rassurantes sur la sécurité et éviter de faire exploser le budget.

    Source: [link removed]/france/105629-jo-paris-crainte-securitaire-depenses

  • 2 Votes
    16 Posts
    361 Views

    @Psyckofox et ça purifie les bronches :ahah:

    N’oubliez pas qu’après la révolution il y a eu la terreur.

    La révolution, pourquoi pas, mais pas avec, ni pour, n’importe qui!

  • Au secours, IA le feu !

    2
    0 Votes
    2 Posts
    69 Views

    Effectivement, il n’a pas été très loin en étant embaûché chez Microsoft, qui est actionnaire à 49% d’openAI.
    Malgré tout, il n’est pas resté très longtemps chez Microsoft, Altman. Après s’être fait viré d’openAI, 98% des employés d’openAI on menacé de le suivre s’il ne revenait pas. Résultat: il est revenu chez openAI après 1 journée et a sûrement obtenu du board d’openAI tout ce qu’il voulait – exigences inconnues et qui constituaient certainement la vraie raison de son limogeage.
    Pour la petite histoire, il paraît que Satya Nadella (CEO de Microsoft) a été furieux de n’apprendre la décision du board d’openAI qu’une minute avant son annonce publique.

  • A******o sur TV connectée.

    3
    0 Votes
    3 Posts
    78 Views

    Une tv avec android

  • A quoi sert d'être écolo ?

    21
    0 Votes
    21 Posts
    171 Views

    … et on parle d’écologie qd le glyphosate est autorisé pour encore 10 ans par l’UE (je crois, pas vérifié) et même interdit en france, ce sera importé par l’UE et on parle encore d’écologie. Si, achetez vos voitures électriques et vos conneries d’économies vertes, en fait, c’est vous les polueurs, c’est vous qui doivent payer, comme à l’armée… Vous êtes des moutons qu’ils nous disaient ou des vaches à lait à votre choix. En tout cas, sûr que comme pigeon, on est au top

  • 0 Votes
    3 Posts
    60 Views

    Qu’ils s’occupent déjà des riches qui passent au travers avant de faire chier l’ouvrier qui galère en fin de mois

  • 0 Votes
    35 Posts
    725 Views

    @michmich

    Tu préfères vivre en Suisse tu veux dire. :ahah:

    Moi aussi je préfère vivre dans mon pays, on a des comiques tellement formidables.

  • 1 Votes
    8 Posts
    112 Views

    Ouaiep !!

    mais y’aura nos enfants 😞 😞

  • 1 Votes
    19 Posts
    246 Views

    @michmich Merci pour ces infos je regarderais si j’en trouve c’est toujours bien d’essayer

  • 2 Votes
    4 Posts
    63 Views

    C’est clair que c’est un exemple à suivre

  • 1 Votes
    8 Posts
    172 Views

    @Rapace a dit dans La «cosy girl», l'énième tendance à la con pour avoir chaud cet automne :

    en même temps on peut pas vraiment dire qu’il fasse froid cet automne, il n’a jamais fait si chaud pour un mois de novembre ^^

    Dans le sud peut être, la par chez moi il fait 4° et pluie depuis 3 semaines, donc pas le choix faut mettre un peu de chaud

  • 0 Votes
    14 Posts
    163 Views

    @RussianFighter a dit dans Paris 2024 : les élus parisiens rejettent les taxis volants :

    Et les épreuves dans la Seine, elles sont maintenues ?

    Ta pas vu les rapports ? L’eau est dégueulasse, insalubre, risque d’infection pour les athlètes

    Ça va être magnifique les jo, ça plus nos jeunes qui vont dépouiller les touristes 👍

  • 2 Votes
    3 Posts
    89 Views

    A quand un satellite “kidnapeur”, comme dans james bond :lol:

  • 0 Votes
    1 Posts
    35 Views

    Deux des neuf atolls de cet Etat polynésien ont déjà été largement submergés. Selon des spécialistes, Tuvalu sera complètement inhabitable dans 80 ans.

    Une vue aérienne d’une île appartenant à l’archipel des Tuvalu, le 6 janvier 2023. (MICHAEL RUNKEL / ROBERT HARDING PREMIUM / AFP)

    L’archipel des Tuvalu fait partie des nations les plus menacées par le changement climatique. Pour venir en aide à ses 11 000 habitants, l’Australie a annoncé, vendredi 10 novembre, qu’ils pourront bénéficier de droits “spéciaux” pour s’installer et travailler dans le pays, en vertu d’un traité rendu public par les deux Etats.

    “Nous croyons que le peuple de Tuvalu mérite d’avoir le choix de vivre, étudier et travailler ailleurs, alors que le changement climatique empire”, ont déclaré dans un communiqué conjoint le Premier ministre australien, Anthony Albanese, et son homologue de Tuvalu, Kausea Natano.

    Le traité comprend aussi des volets consacrés à la défense, engageant l’Australie à venir en aide à Tuvalu en cas d’invasion ou de catastrophe naturelle. Les Tuvalais pourront bénéficier d’un “accès aux services australiens qui leur permettront une mobilité dans la dignité”, précise le texte, qui doit encore être ratifié par les deux pays avant de devenir effectif. Il prévoit, dans un premier temps, de limiter les arrivées à 280 Tuvalais par an, pour éviter une “fuite des cerveaux”.

    Enfin, le texte du traité déplore que le passage à l’action soit si tardif, alors que les effets du dérèglement climatique se font déjà sentir. Deux des neuf atolls de l’archipel ont déjà été largement submergés. Selon des spécialistes, Tuvalu sera complètement inhabitable d’ici à la fin du siècle.

    L’Australie dépendante au charbon

    La signature de ce traité peut être perçue comme une victoire stratégique pour Canberra, qui ambitionne d’étendre son influence dans le Pacifique face à la présence grandissante de la Chine.

    Or, un rapprochement entre les petits états insulaires et l’Australie ne va pas de soi, tant l’économie australienne est dépendante du charbon et des exports de gaz, deux secteurs qui jouent un rôle déterminant dans le réchauffement climatique qui condamne les îles du Pacifique. Le sujet est depuis longtemps une pierre d’achoppement dans leurs relations. Kiribati et les îles Salomon se sont tournés vers Pékin ces dernières années. Tuvalu y reste opposé, et continue par exemple de reconnaître diplomatiquement Taïwan.

    Le niveau moyen des mers et des océans a augmenté d’environ 23 cm depuis 1880, mais leur hausse s’est fortement accélérée ces 25 dernières années. Selon le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), il aura gagné 30 cm de plus d’ici à 2050, et 77 cm d’ici à 2100. Combinée aux catastrophes naturelles qui, elles aussi, vont se multiplier sous l’effet de la hausse moyenne des températures mondiales, cette hausse menace à court et moyen terme de nombreux états insulaires tels que les Maldives (océan Indien), Kiribati et Tuvalu (Polynésie) ou encore les îles Marshall et Nauru (Océanie), qui vont devenir inhabitables avant d’être avalées par l’océan.

    Source : francetvinfo.fr

  • 1 Votes
    1 Posts
    48 Views

    Il y aurait comme un QWAC

    Plus de 300 chercheurs en cybersécurité, et plus d’une dizaine d’ONG et d’entreprises expertes en question de protection de la vie privée, alertent les instances européennes d’une discrète modification d’un règlement qui pourrait permettre aux États membres de l’UE de surveiller le trafic Internet de n’importe quel citoyen européen.

    Plus de 300 chercheurs en cybersécurité et scientifiques originaires de 31 pays, ainsi que plusieurs ONG de défense des libertés numériques (dont le CDT, l’EFF, EDRi, l’Internet Society, La Quadrature du Net et le Tor Project), ont publié une lettre ouverte à l’attention des eurodéputés et du Conseil de l’Europe.

    Ils s’inquiètent, rapporte Le Monde, d’un retour en arrière dans le projet de révision de l’Electronic Identification, Authentication and Trust Services (eIDAS), qui doit être finalisé d’ici au 8 novembre avant d’être soumis au vote au Parlement européen.

    Son article 45 entend en effet obliger les éditeurs de navigateurs à considérer obligatoirement comme « fiables » des autorités de certification choisies par les membres de l’Union européenne (UE), ce qui fait bondir les signataires du courrier :

    « Cela signifie que des États membres pourraient décider seuls d’imposer [une mesure permettant] de surveiller le trafic Internet de n’importe quel citoyen européen, sans parade possible. »

    Un problème déjà dénoncé en 2021, et 2022

    Un problème qu’avait déjà dénoncé Mozilla en 2021, la Quadrature et l’EFF en 2022 (voir ici aussi), et que viennent de nouveau de déplorer, dans une autre lettre ouverte (.pdf), CloudFlare, la Linux Foundation, Mozilla et Mullvad, pour qui « une erreur de jugement, ou une action délibérée d’un seul État membre, pourrait affecter les citoyens de toute l’Union européenne ».

    « En tant qu’Européen, je comprends très bien que l’Europe souhaite avoir le contrôle sur certaines parties de l’infrastructure d’Internet », explique au Monde Sylvestre Ledru, le responsable de l’ingénierie chez Mozilla. « Mais en tant qu’ingénieur, je sais que dans ce cas précis, la solution technique retenue n’est pas la bonne. »

    Le texte proposé ne respecte pas la vie privée des Européens

    Les règlements eIDAS étaient entrés en vigueur pour la première fois en septembre 2018, rappelle Computer Weekly, pour promouvoir et améliorer la confiance, la sécurité et la commodité des citoyens de l’UE grâce à un ensemble unique de règles à l’échelle de l’Union régissant l’identification électronique et les services de confiance, tels que l’identification électronique et les signatures, sceaux, horodatages, services de livraison et authentification de sites Web.

    « Le texte avait été amendé par le Parlement européen pour intégrer les inquiétudes formulées par les experts », précise au Monde Gaëtan Leurent, chercheur à Inria et signataire du premier courrier. « Mais ces adoucissements ont malheureusement disparu du texte lors de la discussion par le trilogue [Commission européenne, Conseil de l’UE et Parlement européen] » :

    « Le texte proposé par le trilogue ne respecte pas la vie privée des citoyens européens, ni les principes garantissant des communications sécurisées. Sans l’intégration de garde-fous, il risque plutôt d’augmenter les risques [pour les internautes]. »

    Des certificats EV & QWAC

    Il donnerait en effet aux États membres de l’UE la possibilité de délivrer des « certificats d’authentification de sites Web qualifiés » (QWAC). Cette mise à jour remplace une précédente tentative infructueuse de l’industrie d’améliorer la transparence des certificats par le biais de ce que l’on appelle un certificat à validation étendue (EV), précise The Record.

    Ces certificats devaient en effet non seulement authentifier le domaine, mais aussi indiquer qui était le propriétaire légal et l’opérateur du site web. Pour un certain nombre de raisons – en particulier le coût de la validation de la propriété légale – ces certificats EV n’ont pas réussi à être largement adoptés, explique notre confrère, sans plus de détails.

    Les QWAC proposés seraient dès lors destinés à permettre aux gouvernements de pallier l’absence de certificats EV pour certains sites, ce qui, écrit The Record, « présente des avantages évidents compte tenu de l’importance de l’authentification lorsque les utilisateurs du web interagissent réellement avec un service gouvernemental plutôt qu’avec une page d’hameçonnage ».

    Le propriétaire d’un certificat racine peut intercepter le trafic web

    « Dans certains cas, il est possible que vous souhaitiez utiliser votre identité émise par le gouvernement pour faire des choses, par exemple signer des contrats juridiquement contraignants sous votre nom, et l’eIDAS est vraiment là pour ça, et c’est très bien, les gouvernements sont les personnes qui émettraient les certificats pour les identités émises par le gouvernement », explique Steven Murdoch, l’un des signataires de la lettre, professeur d’ingénierie de la sécurité à l’University College de Londres et directeur de l’ONG Open Rights Group, interrogé par The Record :

    « Mais là où cette proposition pose problème, c’est qu’elle a été étendue aux navigateurs web, et ce ne sont pas seulement les signatures numériques qui sont utilisées pour signer des contrats et des choses liées aux identités gouvernementales. »

    « Les certificats racine, contrôlés par ce que l’on appelle les autorités de certification, fournissent les mécanismes d’authentification des sites web en garantissant à l’utilisateur que les clés cryptographiques utilisées pour authentifier le contenu du site web appartiennent à ce site web. Le propriétaire d’un certificat racine peut intercepter le trafic web des utilisateurs en remplaçant les clés cryptographiques du site web par des substituts qu’il contrôle », résument les chercheurs en sécurité.

    Source : nextinpact.com

  • 0 Votes
    1 Posts
    49 Views

    De grands chefs comme Thierry Marx ou Mauro Colagreco ont pris part à ce mouvement, alors que ce poisson est en danger d’extinction.

    Ils ne cuisineront plus d’anguille. Plus de 3 500 chefs, dont les 580 chefs des Relais & Châteaux et les 3 000 hôteliers et restaurateurs d’Île-de-France annoncent qu’ils ne serviront plus ce poisson « en danger critique d’extinction ». Et parmi ces cuisiniers, certains grands noms : Thierry Marx, Mauro Colagreco, ou encore Grégory Coutanceau, selon TF1 Info. L’initiative a été lancée par l’association Ethic Ocean. « Nous condamnons les Japonais et les Norvégiens qui tuent les baleines pour les manger. Regardons dans notre assiette ! Arrêtons de pêcher l’anguille, ce poisson fascinant qui mérite notre respect et notre admiration », appelle son président, le biologiste Gilles Bœuf.

    L’Union internationale de conservation de la nature (IUCN) a en effet classé l’anguille en « danger critique d’extinction ». Sa pêche n’est pourtant pas régulée. « C’est la seule espèce pour laquelle la pêche est autorisée à tous ses stades de développement. Pour les autres espèces commerciales, il existe des tailles minimales de capture », souligne Élisabeth Vallet, directrice d’Ethic Ocean.

    Cédric Béchade, chef de son restaurant L’Auberge basque, à Saint-Pée-sur-Nivelle, explique ce choix, qu’il a pris il y a trois ans : « Si je fais rentrer dans ma cuisine un produit en danger critique d’extinction, ça veut dire que je cautionne. Ce n’est pas possible. Nous devons respecter les ressources. »

    Victime de la surpêche

    Si l’anguille disparaît petit à petit, c’est pour plusieurs raisons, selon TF1 Info. Déjà, pour son cycle de vie : le poisson fait un voyage de plus de 6 000 kilomètres pour aller pondre en Atlantique, vers la mer des Sargasses, pour laisser les larves voguer jusqu’au sud de l’Europe. Les anguilles remontent ensuite lacs, rivières et autres cours d’eau douce.

    Un long chemin qui tue une partie de la variété. Mais l’homme pose également de grands problèmes avec les barrages, la pollution de l’eau… Et surtout la surpêche. Un important marché noir à destination de l’Asie est en place. Selon Europol, 100 tonnes de civelles sont exportées illégalement chaque année.

    L’Europe n’a pour l’instant pas de quota de pêche. C’est la seule variété de poisson qui n’en a pas pour la protéger. La France avait pris la décision d’en imposer un sur son territoire… Quota qui a été augmenté par arrêté le 24 octobre dernier, passant de 58 à 65 tonnes.

    Un comité d’experts « permettait de rehausser ce quota à 97 tonnes en constatant une hausse de la capacité de l’espèce à se reproduire pour cette saison et une baisse du taux d’exploitation sur 2022-2023 », se défend le ministère du secrétaire d’État chargé de la Mer, Hervé Berville, affirmant que « les professionnels du secteur ont préféré rester prudents et simplement rehausser le quota à 65 tonnes pour cette saison et l’État a suivi leur position de prudence ».

    Source : lepoint.fr

  • 2 Votes
    3 Posts
    92 Views

    J’en connais une qui tente la méthode Bisou(s) depuis des années… mais ce n’est pas la même… Elle veut et c’est moi qui résiste :mouhaha:

  • 0 Votes
    10 Posts
    166 Views

    Sa vision de ne plus travailler sur terre mais sur Mars :lol:

  • 0 Votes
    2 Posts
    74 Views

    Ça va coûter une blinde, déjà qu’un bloquage de 2h coûte cher mais la…

  • 0 Votes
    4 Posts
    91 Views

    Ouf heureusement j’ai mon jet privé