Discussions générales

On parle de tout le reste

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    Même les plus grands paquebots de luxe n’ont pas une durée de vie illimitée. Mais qu’advient-il de ces géants des océans une fois qu’ils cessent de naviguer?

    Selon le site de voyage américain The Points Guy, la construction d’un bateau de croisière moderne coûte en moyenne entre 425 et 755 millions de francs. Une somme considérable, surtout si l’on considère que ces énormes navires n’ont qu’une durée de vie limitée.

    La plupart du temps, les navires finissent leur parcours dans des parcs à ferraille spéciaux, où ils sont démantelés. Certaines pièces telles que les métaux sont démontées, puis réutilisées. Selon le site d’information américain «Business Insider», les matériaux d’un navire peuvent rapporter jusqu’à quatre millions de dollars.

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    C’est à Aliaga, dans les environs de la ville turque d’Izmir, que se trouve l’une des plus grandes usines de démantèlement de navires

    Certaines des plus grandes installations de démantèlement de navires au monde se trouvent au Bangladesh, en Inde, au Pakistan et en Turquie.

    Une seconde vie pour les bateaux de croisière

    Une autre possibilité consiste à redonner une seconde vie aux bateaux en leur trouvant un autre usage. Un exemple est le bateau de croisière Queen Mary, qui a été en service entre 1936 et 1967, avant de faire sa dernière escale dans le port de Long Beach en Californie, où il est toujours amarré.

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    Véritable attraction touristique, le bateau, aujourd’hui transformé en hôtel, dispose de 347 cabines et suites et fait un clin d’œil au glamour d’antan. Pour passer la nuit à bord, il faut compter à partir de 137 francs pour une chambre standard. Il est également possible d’y faire des visites guidées, ou de réserver les lieux pour y organiser des événements. (En France, le Lydia a été transformé en Casino il y a belle lurette - Cocorico !)

    Les navires échoués représentent un véritable défi

    Mais que se passe-t-il lorsqu’un bateau de croisière chavire? Souvent, le sauvetage est tellement risqué et coûteux qu’il est très long, voire impossible à réaliser. Celui du Costa Concordia en est un bon exemple.

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    Il a fallu plus de deux ans pour redresser, remorquer à Gênes et démanteler le paquebot de croisière qui a sombré en 2012. Il n’est toutefois pas donné à toutes les épaves de finir dans ces «cimetières». Le MS World Discoverer en est un exemple.

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    Le MS World Discoverer repose aujourd’hui au large des îles Salomon, dans le Pacifique Sud et attire de nombreux touristes

    Le navire de croisière allemand mis en service en 1975, s’est échoué en 2000 au large des îles Salomon dans le Pacifique Sud. En raison de sa situation isolée et des troubles politiques dans l’archipel, l’épave n’a pas pu être remorquée et repose aujourd’hui dans l’océan, pour la plus grande joie des touristes pour qui elle est devenue une véritable attraction.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/voila-ce-qui-arrive-aux-paquebots-de-croisiere-en-fin-de-vie-262706950956

    Le danger qu’entraine la perte de ses boulons est bien moindre dans un bateau que dans un Avion 😉

  • L'Alaska est à nous !

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    Qu’ils y aillent, juste pour voir, les spetsnaz, ils les mangent en brochettes là-bas. 🍢

  • Recette de la Bwalette des Rois

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    Un petit florilège des Gâteaux des Rois (J’en oublie sûrement).

    Galette des Rois, dite Parisienne :

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    Gâteau des Rois Provencal :

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    Gâteau des Rois Bordelais :

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    Gâteau des Rois Landais :

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    Bonne Epiphanie à tous. 🖖

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    Et oui et ça va arriver partout avec l’inflation

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    @Raccoon je parlais à la maison pendu par une fourche pour les grosses bêtes

  • La politique américaine

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    Trump 2024, le vieux sénile repassera pas 😂

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    @Psyckofox a dit dans Percée scientifique de l'année 2023 : des médicaments amaigrissants qui ont une réelle chance de lutter contre l'obésité :

    @michmich a dit dans Percée scientifique de l'année 2023 : des médicaments amaigrissants qui ont une réelle chance de lutter contre l'obésité :

    Put1 les gens sont plus atteints que je pensais, pour moi les toilettes c’est juste un lieu d’expulsion, pas un coin détente ou un espace lounge, puis hygiéniquement parlant c’est moyen pour l’écran du smartphone

    Quand j’étais gosse, je faisais de longue parties de GameBoy (la plupart du temps dans ce coin, j’ai carrément battu des scores 😁)

    Même team ! :amis:
    C’est dans cet endroit que j’ai fini pour la première fois Super Mario Land premier du nom. :cool:

  • Presse: Qui possède quoi ?

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    Voilà à quoi peux mener les mensonges, les trucages et les méthodes employées par France Soir/Alzabert et la complosphère 😞

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    Et je ne parle pas des vidéos/images du compte X Fact and Serious (qui appartient à FranceSoir) qui ont mystérieusement disparues mais retrouvables.

    Allez voir leur compte pour rigoler des étonnantes informations factuelles et sérieuses respectant la charte de Munich 😆

    Ils peuvent aller très très loin. J’espère qu’il perdra le procès comme ceux déjà intentés et perdus.
    Azalbert en roue libre n’en finit pas de creuser.

    Force à Antoine

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    Un couple et leur petite fille à la plage face à la merPhoto de Natalya Zaritskaya sur Unsplash

    Coup sur coup, la CNIL a publié une mise en garde au sujet des risques associés au « partage de photos et vidéos de votre enfant sur les réseaux sociaux », et le Sénat adopté en seconde lecture une proposition de loi afférente.

    Le Sénat a adopté, en seconde lecture ce mardi 19 décembre, une proposition de loi de l’Assemblée nationale visant à garantir le respect du droit à l’image des enfants.

    Leur texte, qui « se veut avant tout pédagogique vis-à-vis des parents », entend modifier les règles du Code civil relatives à l’autorité parentale, « pour y intégrer le respect de la vie privée et le droit à l’image », et « mieux sensibiliser les parents à leurs obligations ».

    En nouvelle lecture, le Sénat a « accepté de faire figurer expressément dans le Code civil l’obligation des parents de protéger en commun le droit à l’image de leur enfant ».

    Les sénateurs veulent également « consacrer la possibilité pour le juge aux affaires familiales d’interdire à un parent la diffusion d’un contenu relatif à l’enfant sans l’accord de l’autre parent ».

    Il a par contre « refusé de créer un cas de délégation de l’exercice du droit à l’image de l’enfant » lorsque la diffusion de l’image de celui-ci par ses parents porte gravement atteinte à sa dignité ou à son intégrité morale, considérant que cette procédure « n’apportait pas de solution plus efficiente » que les mesures d’assistance éducative que peut déjà prendre le juge des enfants.

    L’échec de la commission mixte paritaire

    Ce texte revenait au Sénat après l’échec de la commission mixte paritaire en raison de divergences sur deux points principaux : l’exigence d’un accord des deux parents pour toute diffusion d’une image de leur enfant sur internet, que le Sénat avait ajoutée, et la création d’une « délégation forcée de l’exercice du droit à l’image de l’enfant à un tiers » en cas d’atteinte grave à sa dignité ou à son intégrité morale, que souhaitaient maintenir les députés.

    Lors de son examen en nouvelle lecture, la commission des lois a finalement renoncé à la nécessité d’un accord des deux parents pour la diffusion d’une image de l’enfant sur internet, en cohérence avec la position exprimée par le Sénat en matière d’inscription des mineurs sur les réseaux sociaux lors du vote de la loi du 7 juillet 2023 « visant à instaurer une majorité numérique et à lutter contre la haine en ligne ».

    La rapporteure précise que son article 4 ne requiert en effet l’accord que d’un seul titulaire de l’autorité parentale pour permettre à un enfant de s’inscrire à un réseau social avant ses quinze ans. Il ne lui a donc pas semblé logique de créer une différence de traitement entre ces deux situations, sachant que l’inscription à un réseau social n’est souvent que le préalable à la diffusion de photos.

    La question du rôle des parents, du juge et de la CNIL

    Elle a par contre consacré dans le Code civil l’obligation pour les parents de « protéger en commun le droit à l’image de leur enfant », afin de les sensibiliser aux dangers d’exposer leurs enfants sur les réseaux sociaux, mais également de « donner une référence légale aux professionnels qui interviennent auprès des parents et des enfants en la matière ».

    À l’initiative de la rapporteure, la commission a en outre accepté de préciser les pouvoirs du juge aux affaires familiales (JAF) pour interdire à un parent la diffusion d’un contenu relatif à l’enfant sans l’accord de l’autre parent, tout en précisant que ces pouvoirs s’exerçaient dans le but d’assurer la protection du droit à l’image de l’enfant. Et ce, au motif que « le rôle des parents n’est en effet pas tant d’exercer le droit à l’image de leur enfant que de le protéger ».

    Introduit en première lecture au Sénat, l’article 5 qui vise à permettre à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) de saisir le tribunal judiciaire en référé dès lors que des données à caractère personnel d’un mineur sont concernées, a été précisé par l’Assemblée nationale « afin de circonscrire l’intervention de la CNIL en référé aux cas de non-exécution ou d’absence de réponse à une demande d’effacement de ces données ».

    Sharenting : l’avis de la CNIL

    « Vos enfants ont le droit au respect de leur vie privée et disposent d’un droit à l’image », rappelait la CNIL dans une fiche consacrée à ces questions et mise en ligne la veille.

    Elle y relève que l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique (OPEN)-POTLOC avait estimé que 53 % des parents français ont déjà partagé sur les réseaux sociaux du contenu sur leurs enfants. Une pratique surnommée « sharenting » (mot-valise anglais composé de share, partager, et parenting, parentalité).

    La CNIL note également qu’une étude britannique, publiée en 2018, estimait qu’en moyenne, les parents d’un enfant de 13 ans avaient partagé 1 300 photos de lui sur les réseaux sociaux.

    « _Le partage de vidéos ou de photos de vos enfants sur les réseaux sociaux n’est pas un acte anodin et comporte de nombreux risque_s », relève la CNIL.

    Des parents refusent de dépublier des photos de leur enfant

    Elle déconseille notamment de partager des photos d’enfants dans le bain ou à la plage, ces images pouvant être détournées à des fins malveillantes, voire les diffuser sur des réseaux pédocriminels.

    À plus long terme, ces images peuvent aussi « priver les enfants de leur capacité à définir leur propre image et leur identité », et porter atteinte à leur réputation en ligne (avec un risque de cyberharcèlement) dans un cadre scolaire ou dans leur avenir personnel et professionnel.

    Elle raconte avoir ainsi été contactée par un mineur qui voulait voir retirer des photographies, vidéos et enregistrements vocaux diffusés par ses parents par l’intermédiaire du groupe sur un réseau social. La CNIL ne précise pas ce pourquoi ses parents auraient refusé de répondre favorablement à leur enfant.

    La CNIL évoque aussi les difficultés rencontrées par certains parents à faire cesser la diffusion de photographies du baptême de leurs enfants mineurs.

    La CNIL recommande les messageries sécurisées et éphémères

    La CNIL rappelle qu’ « avant de publier une photo ou une vidéo de votre enfant sur les réseaux sociaux, il est nécessaire d’en parler avec lui et d’obtenir son accord ». Il convient également de demander (et d’obtenir) l’accord de l’autre parent.

    Plusieurs décisions de justice « établissent clairement » que le fait de diffuser des photographies de ses enfants, notamment sur les réseaux sociaux, « est un acte non habituel qui nécessite l’accord des deux parents ». Un juge pourrait donc interdire à l’un des parents de diffuser des photographies des enfants « sans l’accord de l’autre parent ».

    La CNIL relève en outre que les enfants peuvent aussi agir eux-mêmes contre leurs parents en cas de non-respect de leurs droits par ces derniers. En 2018, un adolescent de seize ans avait ainsi porté plainte contre sa mère pour violation de sa vie privée. Le tribunal de Rome avait alors ordonné à la mère d’arrêter de poster des photos de son fils sur les réseaux sociaux, sous peine d’amende.

    « De manière générale », la CNIL « déconseille fortement de partager des photos ou des vidéos de vos enfants sur les réseaux sociaux, surtout lorsque votre profil est public ».

    À défaut, elle conseille de cacher le visage de son enfant, de le photographier de dos, ou d’ajouter une émoticône sur son visage avant de partager les photos.

    Mais également de privilégier le partage par messagerie privée instantanée sécurisée, « dont certaines proposent même des fonctionnalités qui vous permettent d’envoyer des messages éphémères ».

    Source : next.ink

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    @michmich a dit dans Fraude au compteur Linky : un phénomène "en pleine expansion" :

    ça marche dans l’autre sens, genre on aimerait payer plus?!

    Ayé on a perdu @michmich 😂

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    @Violence a dit dans "Je déteste Noël et son obligation d'être heureux ", quand sapin, cadeaux et dinde filent le bourdon... :

    Ouai moi aussi les repas de Noel en famille avec plus de 20 personnes, ça me les cassent sévère. J’adore Noel quand je déballe les cadeaux avec ma femme, mes enfants et personne d’autres !
    donc je n’irais pas à leur repas de mes couilles, ça fait 15 ans que je leur fait plaisir, cette année c’est niet.

    Rien a ajouter ! tout pareil cette année c’est ma femme et mes enfants et c’est tout !

    Le reste je m’en balek ^^

    bonne fêtes à toutes et tous 🙂

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    Ce n’est pas tant le problème de qui a inventé quoi @michmich, C’est de l’internationalisation de la terminologie. Nos penseurs oublient trop souvent que seulement 10% de notre langue est issue de l’anglais, alors qu’un bon tiers de l’anglais est issu du français.

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    @Pluton9 a dit dans Monsanto condamné à 857 millions de dollars d’amende pour avoir exposé une école à des « polluants éternels » :

    La Commission européenne a annoncé le 16 novembre qu’elle renouvellerait l’autorisation du glyphosate pour dix ans dans l’Union européenne (UE)

    Ils nous veulent du bien, ils le prouvent tout les jours, merci l’UE

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    Près de 40 % des tatoués auraient des regrets. Pas de panique : si vous avez “Maman for ever” dans le dos ou le prénom d’un(e) ex sur la poitrine, les techniques de détatouage se perfectionnent… moyennant finance. Reportage à Barcelone.

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    Anna est infirmière. À 30 ans tout rond et après une rupture sentimentale, elle est en train de refaire sa vie avec un homme rencontré à Barcelone, sa ville natale. Dans son entourage, personne n’a pensé que le tatouage porté au poignet gauche par cette grande jeune femme brune pouvait la déranger. Un cœur avec deux alliances à l’intérieur, qu’elle s’était fait graver pour sceller son amour avec un précédent compagnon. « Quand on s’est séparés, ce tatouage m’est devenu insupportable », explique-t-elle dans la salle d’attente de Ray studios.

    Située dans le quartier bobo de Gracia, cette petite clinique nec plus ultra, ouverte depuis septembre 2022, propose de faire disparaître les tatouages à 100 %, sans trace ni cicatrice. C’est un succès : vingt à quarante patients franchissent le seuil chaque jour. Au départ, en pleine pandémie de Covid, Anna s’était rendue dans une petite succursale sombre du Gòtic, le centre historique de la capitale catalane, où les tatoueurs sont légion. Un amateur lui avait proposé une abrasion à l’aide d’une brosse rotative, sous anesthésie. Un autre avait carrément entrepris d’éliminer son dessin au poignet au scalpel. Deux techniques préconisées depuis quelques années déjà par des cliniques de chirurgie esthétique. « C’était hyper douloureux, j’ai préféré faire une pause, jusqu’à ce que je découvre la technique au laser », dit-elle.

    Casser les molécules d’encre

    Cette solution s’est considérablement perfectionnée récemment, grâce à son usage courant en ophtalmologie, mais qui nécessite huit à douze séances en moyenne. Toutes les bourses n’y ont pas accès : en fonction de la superficie à traiter, le prix d’une séance peut atteindre 1 000 euros. « En ce moment, je suis dans un entre-deux désagréable, confie Anna, les gens n’arrêtent pas de me poser des questions, ils veulent savoir pourquoi je me fais enlever mon tatouage, je le vis comme une intrusion pénible dans mon intimité. »

    Ray studios est une chaîne d’origine parisienne. Ses praticiens, infirmières ou médecins, utilisent un laser capable de casser les molécules d’encre logées dans l’épiderme. « Les pores de la peau sont trop petits pour les laisser sortir, d’où le caractère théoriquement indélébile du tatouage. Avec notre machine à fréquence très élevée, on permet à l’encre d’être évacuée par le système lymphatique, sans aucune lésion », indique Laurent Morin, patron de la filiale espagnole.

    L’enseigne s’est lancée en 2021, constatant une tendance de fond repérée initialement par plusieurs cliniques de chirurgie esthétique et « comparable à celle de l’épilation laser il y a vingt ans ». Un phénomène nouveau à Barcelone, l’une des villes d’Europe où le tatouage est le plus en vogue. Même si l’Espagne n’est que sixième au classement mondial des pays les plus tatoués (42 % de la population), le trio de tête étant composé de l’Italie, de la Suède et des États-Unis – où le leader mondial, la chaîne Removery avec ses cent cinquante cliniques, fait fureur depuis 2019

    Prénoms, dessins tribaux, étoiles…

    Selon le groupe hispanique de cliniques privées Quirónsalud, environ 20 % des personnes tatouées se font actuellement retirer leur tatoo. Si d’après différentes études, le taux de regret atteindrait 40 %, d’autres montrent que les repentis sont plus nombreux autour de la quarantaine. Les plus jeunes et les plus vieux, à l’inverse, assument bien mieux leur tatouage.

    Les motifs les plus regrettés sont le prénom d’autrui, mais également les dessins tribaux et les étoiles disséminées sur tout le corps. Présentateur télé, DJ, juge, délinquant, star du porno… On trouve tous les profils, y compris les tatoueurs responsables de ratages, qui amènent leurs propres clients ! Il y a aussi les candidats à des emplois dans des secteurs rétifs au tatouage : la police, les compagnies aériennes…

    La proscription du tatouage est peut-être aussi ancienne que la pratique elle-même, dont les premiers bénéficiaires connus sont des momies égyptiennes âgées de plus de 5 000 ans. « Employé uniquement à des fins coercitives en Grèce, à Rome et en Chine impériale, le tatouage, interdit par la Bible, disparaît presque totalement de l’Europe médiévale, explique Luc Renaut, maître de conférences à l’université de Grenoble. Toutefois, à partir de la fin du XVIᵉ siècle, des pèlerins reviennent de Terre sainte avec des tatouages de dévotion, bien avant les quelques membres de l’expédition James Cook dans l’océan Pacifique qui, en 1769, livrèrent leurs bras aux tatoueurs tahitiens. » Ce chercheur a découvert un document du milieu du XVIIIᵉ siècle relatant les mésaventures de deux lords anglais qui, après s’être fait tatouer à Venise sur un coup de tête, cherchent en vain le moyen d’effacer des marques devenues gênantes au regard de leur condition sociale : l’un portrait l’effigie d’une prostituée, l’autre le blason d’un monarque devenu entre-temps ennemi de sa patrie.

    Aujourd’hui, si le tatouage s’explique surtout par le culte du corps et moins par la contre-culture qu’il véhiculait au XXᵉ siècle, le détatouage, lui, peut avoir de multiples causes : changement de vie, effet de mode, religion… En décembre, un Catalan d’une quarantaine d’années s’est rendu à Ray studios pour corriger la skyline de Barcelone dessinée sur son bras. La montagne du Tibidabo qui surplombe la cité était représentée sous un ciel menaçant. « Il fait toujours beau ici, c’est irréaliste, je veux enlever les nuages. »

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    @Raccoon a dit dans Comment la mécanique de la librairie d’Amazon influe sur les ventes… et le discours public :

    Parmi ces suggestions, les ouvrages d’Henri Joyeux, interdit d’exercer la médecine, ou de Jean-Bernard Fourtillan, poursuivi pour avoir réalisé des essais thérapeutiques « sauvages », sont régulièrement poussés en bonne place, de même que ceux de Pierre Caillot ou Alexandra Henrion-Claude,

    En passant, toutes des personnes régulièrement invitées par le torchon France soir, voire défendues par le site lui-même, haha, alors “Pollux”, une réaction peut-être?^^

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    En matière de taxes, la France a déjà démontré son savoir-faire. C’est un domaine dans lequel les fonctionnaires français excellent!
    Je suis prêt à parier qu’ils trouveront quelque chose d’inventif pour récupérer au moins autant que les taxes sur le pétrole ne rapportent – et je ne serais pas surpris qu’on finisse par plus.

    On n’est pas dans le topic citations, mais:

    " La France est un ays extrêmement fertile: on y plante des fonctionnaires et il y pousse des imôts. "
    – Georges Clémenceau

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    J’en doute. ça n’a jamais pété depuis qu’on se fait presser dans tous les sens (depuis Mitterrand ?). Et les plus jeunes s’en tapent complètement, ils vivent pour les plaisirs et les loisirs, à crédits. Enfin c’est que je vois au boulot et autour de moi, dans la grande majorité.
    Pour moi c’est pas de l’insouciance mais tout simplement que pour eux un job = un salaire et rien de plus et qu’ils vivent plus à court terme que nous qui pensions à long terme.

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    @Violence a dit dans La fabrique du crétin digital - Les dangers des écrans pour nos enfants :

    Déjà, la plupart arrive au collège et ne savent pas taper au clavier.

    La plupart ne savent même pas lire.

    @Raccoon a dit dans La fabrique du crétin digital - Les dangers des écrans pour nos enfants :

    Contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire, espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes.

    Complètement d’accord.

    D’ici qu’on arrive à un degré d’intelligence comme dans le film “Idiocracy”
    y a pas loin.

    Pauvre de nous

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    Les recherches de l’écologiste Thomas Crowther ont inspiré d’innombrables campagnes de plantation d’arbres, de greenwashing et d’attaques de la part des scientifiques. Il est maintenant de retour avec un nouveau plan de restauration de la nature.

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    Dans un théâtre caverneux éclairé par les formes vertes des chameaux et des palmiers lors de la COP28 à Dubaï, l’écologiste Thomas Crowther, ancien conseiller scientifique en chef de la campagne des Nations Unies pour un billion d’arbres, faisait quelque chose auquel il n’aurait jamais pensé il y a quelques années : mendier. les ministres de l’environnement d’arrêter de planter autant d’arbres.

    Les plantations de masse ne sont pas la solution environnementale qu’elles prétendent être, a affirmé Crowther lorsqu’il a pris la parole le 9 décembre lors de l’un des événements de la « Journée de la nature » du sommet. Le potentiel des forêts nouvellement créées à absorber le carbone est souvent surestimé. Ils peuvent nuire à la biodiversité. Surtout, ils sont très préjudiciables lorsqu’ils sont utilisés, comme c’est souvent le cas, comme compensation pour éviter les émissions – « comme excuse pour éviter de réduire les émissions », a déclaré Crowther.

    La popularité de la plantation de nouveaux arbres est un problème – au moins en partie – imputable à Crowther lui-même. En 2019, son laboratoire de l’ETH Zurich a découvert que la Terre pouvait accueillir 1,2 billion d’arbres supplémentaires, ce qui, selon les recherches du laboratoire, pourrait absorber jusqu’à deux tiers du carbone que les humains ont historiquement émis dans l’atmosphère. “Cela met en évidence la restauration mondiale des arbres comme notre solution la plus efficace au changement climatique à ce jour”, indique l’étude. Crowther a par la suite donné des dizaines d’interviews à cet effet.

    Cette solution climatique apparemment simple a déclenché un engouement pour la plantation d’arbres de la part d’entreprises et de dirigeants désireux de redorer leur réputation écologique sans réellement réduire leurs émissions, de Shell à Donald Trump . Cela a également provoqué une vague de critiques de la part des scientifiques, qui ont affirmé que l’étude Crowther avait largement surestimé les terres propices à la restauration forestière et la quantité de carbone qu’elles pourraient capter. (Les auteurs de l’étude ont ensuite corrigé l’article en affirmant que la restauration des arbres n’était que « l’une des solutions les plus efficaces » et qu’elle pouvait absorber au plus un tiers du carbone atmosphérique, avec de grandes incertitudes.)

    Crowther, qui affirme que son message a été mal interprété, a publié le mois dernier un article plus nuancé, qui montre que la préservation des forêts existantes peut avoir un impact climatique plus important que la plantation d’arbres. Il a ensuite présenté les résultats à la COP28 pour « tuer le greenwashing » du type que sa précédente étude semblait encourager, c’est-à-dire utiliser des preuves peu fiables sur les avantages de la plantation d’arbres comme excuse pour continuer à émettre du carbone.

    « Tuer le greenwashing ne signifie pas arrêter d’investir dans la nature », dit-il. «Cela signifie faire les choses correctement. Cela signifie distribuer la richesse aux populations autochtones, aux agriculteurs et aux communautés qui vivent avec la biodiversité.

    La question est la suivante : les pays présents à la COP28 ont-ils compris ? Quelques minutes après le discours de Crowther, Mariam Almheiri, ministre du Changement climatique et de l’Environnement du pays hôte, les Émirats arabes unis, s’est adressée au théâtre. Elle a salué sa présentation, puis a commencé à se vanter que les Émirats arabes unis étaient presque à mi-chemin de la plantation de 100 millions de mangroves d’ici 2030. Dans le même temps, la société pétrolière d’État des Émirats arabes unis, ADNOC (dont le PDG était président de la COP28), a les plus grands projets d’expansion future. de n’importe quelle compagnie pétrolière dans le monde – une expansion incompatible avec l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris, qui cherchaient à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius. C’est du greenwashing, selon Kate Dooley, chercheuse à l’Université de Melbourne qui a étudié la réduction du carbone liée à la restauration de la nature. “Le stockage du carbone dans la nature est temporaire et n’équivaut donc pas aux émissions permanentes de combustibles fossiles”, explique Dooley.

    Plus tard dans la journée, en marchant le long des allées ombragées de l’Expo City de Dubaï, Crowther a déclaré qu’il « n’en savait pas assez sur le processus pour porter un jugement » sur les projets des Émirats arabes unis, mais qu’il était enthousiasmé d’avoir entendu d’autres ministres parler de l’autonomisation des communautés autochtones pour protéger et protéger les communautés autochtones. nourrir la forêt. “Il y a cinq ans, la conversation autour de la nature n’avait rien de tel”, a-t-il déclaré.

    C’est ce genre d’optimisme – avec une pointe de naïveté – qui a permis à Crowther, barbu et queue de cheval, qui aime jouer du tambour handpan et monter des camps de « bushcraft » dans les bois de Zurich, d’avoir un tel impact à seulement 37 ans. Ayant grandi « obsédé par la nature » dans la campagne galloise, il a surmonté ses problèmes de dyslexie pour obtenir un doctorat et un postdoc à Yale. C’est là qu’un colocataire travaillant pour ce qui était alors la Campagne pour un milliard d’arbres de l’ONU a soulevé une question qui allait lancer l’ascension fulgurante de Crowther dans le monde universitaire : combien d’arbres y a-t-il dans le monde ?

    Rares sont ceux qui pensaient pouvoir répondre à cette question, car les satellites ne peuvent pas voir combien de troncs se trouvent sous le couvert forestier. Mais Crowther et un collègue ont commencé à utiliser l’intelligence artificielle pour établir des relations entre le nombre d’arbres sur le terrain et l’imagerie satellite des mêmes zones, puis ont extrapolé leurs résultats à des régions plus vastes. En collectant et en analysant les données d’autres scientifiques, ils ont publié en 2015 une carte de la densité forestière suggérant qu’il y avait 3 000 milliards d’arbres sur Terre, bien plus qu’on ne le pensait auparavant. La campagne de plantation d’arbres de l’ONU est passée d’un milliard à un billion d’arbres. En 2017, Crowther a reçu 2,7 millions de dollars d’une fondation néerlandaise pour démarrer son propre laboratoire.

    Puis est venue l’étude de 2019. Al Gore en a parlé au PDG de Salesforce, Marc Benioff, qui a lancé sa propre initiative One Trillion Trees avec le Forum économique mondial et a convaincu Trump de s’y joindre. Crowther est devenu l’un des conseillers du projet (devenant ainsi associé à deux campagnes « billion d’arbres »). La popularité de l’idée a rapidement explosé, à tel point que les pays du monde entier ont désormais pris tellement de promesses de plantation d’arbres qu’elles nécessiteraient au moins 500 millions d’hectares de terre, soit une superficie représentant plus de la moitié de la superficie de la planète. les États Unis. Tout cela alors que les émissions mondiales ont continué d’augmenter.

    Les retombées de l’étude de 2019 ont dévasté Crowther, car elles ont miné la confiance dans les projets de restauration de la nature, alors qu’en fait les pays et les entreprises doivent accroître leurs investissements dans la restauration ainsi que dans la décarbonisation, dit-il. La crise de confiance dans les programmes basés sur la nature s’est poursuivie cette année, alors qu’une autre forme de compensation carbone – l’achat de crédits carbone privés pour préserver les forêts existantes – s’est révélée sans valeur dans de nombreux cas. “Il y a encore des débats sur le rôle de la nature dans le climat”, déclare Crowther. « Et cela a paralysé le mouvement environnemental. »

    de Crowther de novembre En réponse, l’étude – avec plus de 200 scientifiques répertoriés comme coauteurs – souligne plutôt le pouvoir de préserver les forêts intactes. Alors que la restauration des forêts détruites ou fragmentées absorberait potentiellement 87 gigatonnes de carbone, le simple fait de permettre aux forêts existantes de pousser jusqu’à maturité absorberait 139 gigatonnes supplémentaires. Ces estimations excluent les zones urbaines, agricoles et de pâturage qui auraient pu autrefois contenir des forêts mais qui ne seront probablement pas cédées à la nature.

    À titre de référence, les humains ont émis environ 2 500 gigatonnes de carbone au cours de l’histoire, qui se sont en grande partie retrouvées dans l’atmosphère et les océans. La restauration des forêts ne serait pas une solution miracle à la crise climatique, mais elle pourrait, en théorie, faire une différence significative. Et l’article montre que « la nature est clairement un élément central de notre lutte contre le changement climatique », déclare Crowther à propos de ses nouvelles recherches. “Mais plus important encore, c’était un peu comme des lignes directrices sur ce que doivent signifier des engagements responsables envers la nature.”

    Le nouveau document a suscité beaucoup moins de critiques de la part d’autres scientifiques. Mais cela pourrait encore surestimer le potentiel carbone de la restauration des forêts en incluant des zones telles que les zones arides et les « forêts en activité » nécessaires à une exploitation forestière durable, explique Matthew Fagan de l’Université du Maryland. Ces estimations haut de gamme du potentiel forestier pourraient à nouveau encourager des interprétations erronées et du greenwashing, s’inquiète-t-il.

    « C’est là que je pense qu’il incombe au Dr Crowther de clarifier la rapidité avec laquelle ce carbone peut être obtenu, les limites de son travail et la probabilité que le nombre réel soit probablement beaucoup plus faible. Ils l’ont mentionné dans leur document, mais ils doivent bientôt étoffer cela avec des chiffres », déclare Fagan.

    Et même si les forêts sont restaurées et préservées de la bonne manière (en évitant la mort des jeunes arbres , les incendies de forêt ou l’expulsion des peuples autochtones), de tels projets naturels peuvent toujours contribuer au greenwashing s’ils sont utilisés comme excuse par les entreprises ou les gouvernements pour continuer. émettant du carbone comme d’habitude, surtout s’ils finissent par être moins efficaces que prévu pour réduire le carbone.

    Dans une victoire en faveur d’une véritable restauration de la nature, les textes convenus lors de la COP28 incluaient pour la première fois une référence à l’objectif de la Déclaration de Glasgow d’inverser la perte des forêts d’ici 2030, ainsi qu’à la « nécessité d’un soutien et d’un investissement accrus » pour atteindre cet objectif. Le sommet a également progressé dans l’établissement de règles pour les investissements « non marchands » des pays dans la nature – essentiellement des subventions plutôt que des crédits – sans toutefois parvenir à un accord sur des accords de comptage des émissions entre pays ou sur un marché des crédits carbone de l’ONU. Cela soulèvera encore davantage de doutes quant au fait que la compensation carbone soit la voie de l’avenir.

    Mais le greenwashing est difficile à tuer. de 50 millions de dollars de la Norvège Le don au Fonds Amazonie lors de la COP28 semble impressionnant, jusqu’à ce que l’on considère que le pays a récemment approuvé 18 milliards de dollars pour de nouveaux projets pétroliers et gaziers, notamment par la société publique Equinor. (On estime que le monde doit dépenser 700 milliards de dollars supplémentaires par an pour mettre un terme à la perte de la nature et de la biodiversité.)

    « Si personne n’avait jamais dit : « Plantez un billion d’arbres », je pense que nous aurions été dans un bien meilleur espace », déclare Crowther. “Mais peut-être qu’il n’y aurait pas eu autant de bruit et d’attention portée à la nature, pour que tous les scientifiques très responsables présents ici puissent la corriger et la transformer en quelque chose de bon.”

    Source: https://www.wired.com/story/stop-planting-trees-thomas-crowther/

    Pardon pour l’énorme pavé, je n’ai pas eu le courage de “tailler” dedans pour le rendre plus digeste.

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    il n’y a pas à dire, il y en a qui savent déconner ^^